• Pâque Vendredi 03 Avril 2015, chap. N° 6 - Dernier repas

    PÂQUE, année 2015

     

    Petit Texte d’introduction

     

    Vendredi 03 Avril « Entre les deux Soirs » nous allons, nous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, fêter la Pâque comme notre Père Créateur nous le demande. Cette année la Pâque pour nous sera un jour considéré comme sacré par toute la chrétienté puisque ce jour sera pour eux le « Vendredi Saint », jour qui, entre parenthèse, n’est pas plus « Saint » que les autres jours, plus idolâtre cela est une certitude puisqu’un nombre incalculable d’humains vont se signer plus de quatorze fois devant de la matière sans vie, donc j’ai bien dit c’est le jour de fête de l’idolâtrie.

    Éloignons nous de ces actes exécrables pour EL-SHADDAÏ !

    Vendredi 03 Avril nous mangerons une viande rôtie avec une galette de pain sans levain, accompagné d’un verre de vin. Pain sans levain : mélanger de la farine de blé avec une autre farine si vous le désirez, un peu d’eau du sel un œuf un peu de beurre très malléable, on mélange le tout pour faire une belle pâte qui ne colle pas aux doigts ou au bol, puis on étale la pâte avec le rouleau à pâtisserie ou avec une bouteille, nous découpons la pâte en plusieurs galettes, au four à 220°C ou thermostat « 8 » que l’on aura fait chauffé avant, nous enfournons pour 20, 30 minutes que la pâte soit doré sur le dessus, c’est fini. Avant de mettre au four mon épouse badigeonne le dessus de la pâte avec un jaune d’œuf et fait des dessins avec la fourchette.

     

     

    Dernières phrases du Chapitre précédent

     

    Deux mois après cette Pâque, par l’intermédiaire de Moïse, EL-SHADDAÏ conclu une Alliance avec son Peuple.

    Exode XXIV : 6-8

    Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel.

    Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce qu’EL-SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. »

    Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »

    Cette Alliance ne tenait plus à l’époque de Jésus car les humains avaient abandonné El-Shaddaï leur Dieu voilà pourquoi Saül de Tarse dit dans son épitre aux Hébreux IX : 15-20

    Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis.

    Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée.

    Un testament, en effet, n'est valide qu'à la suite du décès, puisqu'il n'entre jamais en vigueur tant que vit le testateur.

    De là vient que même la première alliance n'a pas été inaugurée sans effusion de sang.

    Effectivement, lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate et de l'hysope, et il aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant :

    « Ceci est le sang de l'alliance qu’EL-SHADDAÏ a prescrite pour vous. »

    N’oubliez pas que le sang est le siège de la vie et que la vie éternelle ne peut venir que par la purification du sang, puisque le péché fut retransmis par le sang et que le sang perdait de sa pureté à la vitesse de reproduction de l’humain.

     

     

    Chapitre N°6

     

    Un dernier repas

     

    Pour remplacer l’immolation du petit bétail à la Pâque il fallait une action importante, comme le jour de délivrance de l’esclavage égyptien qui fut une nuit et un jour mémorable dans l’esprit des humains, mais aussi une symétrie théologique et spirituelle, de ce jour, afin que les humains soient marqués profondément dans leur cœur et leur esprit.

    Ce n’est pas le repas de la Pâque où certes il y eut deux actions importantes puisque Jésus le Nazôréen est le petit bétail avec son sang préfiguré par le vin

    Il faut s’imaginer que le souper avec Jésus le Nazaréen, le soir, début de la Pâque, doit être une harmonie de l’« Alliance » perpétuelle entre EL-SHADDAÏ, son Père, et les humains qui vont former le « Nouveau Peuple » de celui-ci.

    Au dîner Jésus prend le pain qui va remplacer la viande rôtie du petit bétail, puis le vin qui va remplacer le sang pour la « Nouvelle Alliance », mais il faut obligatoirement que le sacrifice de l’immolation ait lieu pour que le symbolisme deviennent une action perpétuelle de la « Nouvelle Alliance ».

    N’oubliez pas qu’EL-SHADDAÏ demandait pour le sacrifice de la Pâque un petit bétail sans tache, sans tare, âgé d’un an.

    Je réitère que la Pâque existait depuis les temps immémoriaux. La Pâque dans le monde de l’époque, bien avant Moïse, à l’ère d’Abram, avait une très grande importance, car les rites avec le sacrifice de la plus belle bête étaient sensés protégé la maisonnée en éloignant les « Forces du Mal » pour l’année.

    Dés l’hors, pour l’humanité, il fallait aussi un être sans tare, sans tache, comme les deux premiers humains avant leur transgression, pour que le sacrifice, l’immolation soit agréable à EL-SHADDAÏ, soit une fête, la fête de la « Nouvelle Alliance avec son Nouveau Peuple » et que celui-ci en fasse une fête de la mémoire perpétuelle jusqu’au « Temps » du Royaume d’EL-SHADDAÏ sur la Terre.

    L’humain qui devait aller à l’holocauste devait être comme le petit bétail, « Sain », ( et non saint comme la religion chrétienne l’écrit, car ce qui est « saint » n’est pas sans tache puisque cela signifie « vénérer, adorer, glorifier, » ) sans tache, limpide, cristallin, sans tare ce qui signifie que cet humain ne devait pas avoir la tare de naissance de tous les humains, la tare de la transgression, l’imperfection. En plus de ce qui vient d’être écrit, il fallait que cet humain incarne le  « Grand Guerrier » contre les « Forces du mal », qu’il soit craint par celles-ci pour les « Nations Païennes. »

    Jésus le Nazôréen par une naissance dans un corps parfait, puisque Marie à l’âge de trois ans fut lavée par EL-SHADDAÏ de la tare adamique, naquit parfait et il vécut sur cette Terre, pendant plusieurs décennies sans commettre le moindre péché. Le jour de sa crucifixion, comme il l’a expliqué à ses Apôtres et Disciples au souper de la Pâque, il représentait le petit bétail que l’on immolait le jour de la Pâque, cet animal sans tache, Jésus le Nazôréen sans péché, sain en tout. Avec une poignée d’hysope trempée dans le sang du petit bétail l’on badigeonnait les montants et linteau de la porte du Temple pour la rémission des péchés.

    Je réitère, j’aurai aimé connaître l’ADN du sang de Jésus le Nazôréen, car le sang de cet « Homme » devait être parfait, comme les deux premiers humains avant leur transgression. Donc si Jésus le Nazaréen tout au long de sa vie devait commettre ne serait-ce qu’un péché, si petit soit-il, le sang n’était plus parfait et l’action sacrificielle de Jésus le Nazôréen pour sauver l’humain ne tenait plus, car le symbolisme de la Loi du Talion n’existait plus.

    Jésus le Nazôréen devait être parfait en tout, de sa naissance à sa mort, de son premier « souffle », à son dernier « souffle » comme humain sur la Terre, et cela je vous le rappel assez souvent. Agissant ainsi il devenait notre parangon, notre exemple, nous prouvant que l’on pouvait vivre sur la Terre parfait des dizaines d’années, sans commettre le péché, une question de volonté !

    Je reviens à ce que j’ai écrit au début de ce chapitre. Il fallait une action qui marque l’esprit humain, que ceux vécurent ces instants soit marqué au fer rouge, et que, oralement l’on conte ce jour pendant plusieurs décennies.

    Pareillement je l’ai écrit plusieurs fois, Jésus le Nazôréen était un bel homme, d’une stature harmonieuse, imposant le respect. Ce n’est pas ce freluquet maladif, malingre, valétudinaire, chétif que nous présente la chrétienté sur ses sculptures, peintures, iconographies !

    Quand il démarra son ministère, il fallut qu’il laisse l’entreprise de charpente à des humains de confiance, sachant qu’il n’allait pas revenir, mais pour commencer il partit avec une bourse sans aucun doute bien remplie. Pour que des humains abandonnent tout pour le suivre, il devait avoir une certaine autorité, une stature de dirigeant, qui imposait la crainte, le respect, mais en plus un quelque chose, en le regardant, attirant, qui vous poussait à le suivre sans rechigner.

    Il choisit soixante douze Disciples et parmi eux ses douze Apôtres qui vont le suivre pendant tout son ministère, et parmi eux, deux évangélistes, Matthieu le collecteur d’impôts et Jean celui qu’il aimait le plus, puisque sur la croix il lui confia sa mère, et parmi ses Disciples deux évangélistes, le plus jeune Marc et un médecin Luc.

    Le 14 Nissan qui est aussi le mois d’Abib, est le premier mois de l’année lunaire, qui est à cheval sur notre mois de Mars et Avril. Ce mois commence le jour de la nouvelle lune à l’équinoxe de Printemps, après le coucher du soleil et le jour de Pâque est le quatorzième jour après cette nouvelle lune, après le coucher du soleil qui est le commencement du quinzième jour, premier jour des Pains sans Levain, ainsi que « l’Entre deux Soirs », où le repas de la Pâque doit être consommé.

    Nous sommes le soir de Pâque et imaginez-vous une grande pièce avec une grande table où Jésus le Nazôréen serait assis au milieu, sa mère à coté de lui, puis à coté et face à lui ses Apôtres avec leur famille ainsi que plusieurs Disciples avec femme et enfants. A cette table, cela est une certitude, ils sont un grand nombre ! Ils ont commencé à manger, -- Jean XIII : 2-10, -- et bien avant que Jésus ne fasse ce que l’on nommera l’Eucharistie, ce dernier ce ceignant avec des habits comme un esclave, lavera et essuiera les pieds de ses Apôtres et Disciples présents dans la pièce, devant tous les convives, afin de leur faire comprendre l’humilité, particulièrement à ses Apôtres qui se chiffonnaient pour savoir lequel d’entre eux était le plus grand. – (Luc XXII : 24-27)

    La Pâque fut officialisée comme un jour de fête pour EL-SHADDAÏ par son « Peuple », mais aussi un jour de commémoration de la délivrance de l’esclavage égyptien, par des cris et des larmes, nuit de peur et d’angoisse car les Anges de leur Dieu supprimaient tous les premiers-nés du pays d’Égypte, et, au lever du jour, le départ vers la liberté, la joie au cœur.

    Deux mois après au pied du Mont Sinaï par l’intermédiaire de Moïse EL-SHADDAÏ signait une Alliance avec son Peuple, Exode XXIV : 6, « Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel. », l’autel est celui de ce Dieu seul et unique, puis Moïse continua, v7« Tout ce qu’El-Shaddaï a dit, nous le ferons et nous y obéirons. » et pour conclure le v8, « Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »

    Revenons à Jésus qui est en plein repas pascal, et il vient de faire le lavement des pieds de ses Apôtres et Disciples. Tous les convives sont à table et mange cette viande rôtie avec un pain Azyme, comme le veut son Père géniteur, le tout accompagné par une coupe de vin rouge.

    Il sait que dans un peu plus de vingt quatre heures, Judas Iscariote va le vendre à Anne et Caïphe Grand Prêtre du Temple de Jérusalem. Jésus demande son attention et à ce moment il invente ce que la chrétienté va appeler « l’Eucharistie ». Jésus sait que c’est son dernier repas sur cette terre alors il leur dit, Luc XXII : 15-16, « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ; car je vous le dis, jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. » d’autres traduction termine «  dans le Royaume de mon Père. » Pour continuer j’ai choisi Matthieu qui est moins confus que Luc. Matthieu XXVI : 21, « Et tandis qu'ils mangeaient, il dit : « En vérité je vous le dis, l'un de vous me livrera. » quelques instants après Jésus le Nazôréen commence son action, Matthieu XXVI : 26, « Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. », la seconde action de bénédiction Jésus ne la fait pas tout de suite comme la Bible pourrait nous le faire penser, mais quelque instants après, Matthieu XXVI : 27-29, « Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »

    Le repas est fini et au petit matin Jésus avec ses Apôtres et Disciples montent au Mont des Oliviers, comme me semble-t-il, ils avaient souvent l’habitude de le faire. Le soir venu tous descendent à Gethsémani, dont le nom signifie « pressoir à huile » qui est en bas du Mont des Oliviers. Jésus sait qu’il va être livré cette nuit. Il prévient ses Apôtres et Disciples qu’ils vont être orphelins, Matthieu XXVI : 31-32, « Alors Jésus leur dit : « Vous tous, vous allez succomber à cause de moi, cette nuit même. Il est écrit en effet : Je frapperai le pasteur, et les brebis du troupeau seront dispersées ; Mais après ma résurrection je vous précéderai en Galilée. » Pierre d’une voix forte jurera qu’il ne succombera pas, et Jésus prophétisera lui disant qu’il l’aura renié trois fois avant que le coq ne chante. Ce qui fut vrai !

    Ce soir là à Gethsémani Jésus se retira du groupe des Apôtres et Disciples, avec Pierre, André et Jean les deux frères Zébédée pour prier. Matthieu XXVI : 38, « Alors il leur dit : « Mon âme est triste à en mourir, demeurez ici et veillez avec moi. » Là, Jésus est amer, car il s’aperçoit que l’humain est ancré dans le péché, dans les profondeurs de la terre. Comme tout humain, il voudrait échapper à la mort, mais il doit faire la volonté de son Père géniteur. Matthieu XXVI : 39, « Étant allé un peu plus loin, il tomba face contre terre en faisant cette prière : « Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux. » Puis il revient vers les trois Apôtres, et les trouve endormi. Il les réveille leur demandant de rester debout et de prier avec lui. Il retourne à un jet de pierre pour prier son Père, Luc XXII : 43-44, « Alors lui apparut, venant du ciel, un ange qui le réconfortait. Entré en agonie, il priait de façon plus instante, et sa sueur devint comme de grosses gouttes de sang qui tombaient à terre », et comme un humain, car c’est un humain, au sens figuré, il boit la coupe de l’amertume et l’approche de la mort l’effraie un peu. Ces deux versets de Luc ci-dessus ont été supprimés par les copistes dans les évangiles synoptiques de Matthieu et Marc. Attestés dès le IIème siècle de leur existence par de nombreux témoins, ils présentent le style et la manière de Luc. Leur omission où plus véridique leur suppression s’explique par le souci d’éviter un abaissement jugé trop humain de Jésus. Il ressent dans toute sa force l’effroi que la mort inspire à l’humain. Il éprouve et exprime le désir naturel d’y échapper, tout en le réprimant par l’acceptation de la volonté paternel. Quand il revient pour la troisième fois, trouvant  les Apôtres endormis, Matthieu XXVI : 45-46, « Alors il vient vers les disciples et leur dit : « Désormais vous pouvez dormir et vous reposer : voici toute proche l'heure où le Fils de l'homme va être livré aux mains des pécheurs. Levez-vous ! Allons ! Voici tout proche celui qui me livre. »

    La Loi juive interdisait l’arrestation d’un humain la nuit, il fallait attendre l’aube, et pourtant pour Jésus le Nazôréen, certains prêtres qui composaient le Sanhédrin ont passé outre, en compagnie de l’Apôtre Judas Iscariote, des soldats romains, et de toute sorte d’individus qui voulaient voir Jésus en prison. Ils l’arrêtèrent et l’amenèrent pour un premier interrogatoire chez Anne durant la nuit, et au petit matin, à la première heure, ils le conduisirent à Caïphe, le Grand Prêtre du Temple de Jérusalem, au « Tribunal », bâtiment construit dans l’enceinte du Temple en partie sur l’esplanade de ce dernier. Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, Grands Prêtres et Scribes, pour questionner et juger Jésus le Nazôréen dans une séance solennelle car il cherchait à le tuer.

    Pour Judas Iscariote, la nuit d’avant il avait bafoué la loi religieuse en quittant la table de la Pâque, après la fraction du pain et la bénédiction du vin, sortant de la maison, la nuit, pour aller vendre Jésus le Nazôréen pour trente pièces d’argent.

    Cette nuit, pour nous prouve l’imperfection humaine, fut-il Apôtre, puisque Pierre par trois fois péchera par le mensonge en reniant connaître Jésus le Nazaréen et ses Disciples.

    Jésus le Nazôréen arrêté les Apôtres et autres Disciples ayant peur pour leur vie quitteront Jérusalem, et d’autres comme les onze Apôtres avec quelques Disciples  s’enfermeront, se barricaderont après le crucifiement de celui qui fut leur Maître et Enseignant.

    Quant à Judas Iscariote, s’apercevant que Jésus de Nazareth allait être condamné, sa conscience le travaillant il eu des remords et partit au Sanhédrin rende les trente pièces d’argent. Les grands prêtres ayant ramassé cet argent achetèrent le « Champ du Potier » car c’était l’argent du sang. Ce terrain était situé à proximité de la Porte de la Poterie à Jérusalem, donne sur la vallée de la Géhenne, au sud de la ville. Il y a là un gisement d’argile qui au temps d’Achaz 736-716 av. L’EC., était exploité comme terre à foulon. Ce champ du Potier est probablement le champ du foulon dans Isaïe VII : 2

    Jésus le Nazaréen fut vendu pour trente pièces d’argent, Matthieu XXVII : 9-10, « Alors s'accomplit l'oracle de Jérémie le prophète : Et ils prirent les trente pièces d'argent, le prix du Précieux qu'ont apprécié des fils d'Israël, et ils les donnèrent pour le champ du potier, ainsi que me l'a ordonné le Seigneur », cela fait penser obligatoirement à El-Shaddaï se plaignant de n’avoir reçu des Israélites, en la personne de son prophète Zacharie, qu’un salaire dérisoire, le prix d’un esclave à cette époque. Zacharie XI : 11-13, « L’Alliance fut donc rompue en ce jour-là, et les marchands de brebis qui m'observaient surent que c'était là une parole d’EL-SHADDAÏ. Je leur dis alors : Si cela vous semble bon, donnez-moi mon salaire, sinon n'en faites rien. Ils pesèrent mon salaire : trente sicles d'argent. EL-SHADDAÏ me dit : Jette-le au fondeur, ce prix splendide auquel ils m'ont apprécié ! Je pris donc les trente sicles d'argent et les jetai à la Maison d’El-Shaddaï, pour le fondeur. » Il faut bien reconnaître que d’un coté comme de l’autre, la valeur est creuse, le prix de l’humain, la valeur du « Dieu », vraiment insignifiante.

    Autre signification, l’argile est rouge et le premier humain fut façonné avec l’argile, mais c’est aussi la couleur du sang, et le sang c’est la vie. Ce champ était aussi nommé « Champ du Sang » car les Israélite à l’ère de Jérémie faisaient des sacrifices humains à Baal.

    Au début de ce chapitre je vous ai dit qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain afin que l’on se souvienne de ce jour mémorable pendant des décennies.

    Maintenant tout va aller très vite !

    Chronologie entre  la première heure et la troisième heure.

    Pendant la nuit Jésus est emmené en premier chez Anne, beau-père de Caïphe, après que Judas Iscariote par un baiser le désigna parmi les Apôtres, Disciples, et autres gens présents. Là, chez Anne il fut une première fois interrogé puis à l’aube envoyé chez le Grand Prêtre Caïphe. Pendant ce déplacement la valetaille lui mis un voile sur la tête puis le frappait disant, Luc XXII : 63-65, « Les hommes qui le gardaient le bafouaient et le battaient ; ils lui voilaient le visage et l'interrogeaient en disant : « Fais le prophète ! Qui est-ce qui t'a frappé ? » Et ils proféraient contre lui beaucoup d'autres injures », car c’était à l’époque un jeu de devinettes bien connu puisqu’il datait des temps anciens. Et pour compléter Matthieu XXVI : 67-68, « Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d'autres lui donnèrent des coups en disant : « Fais le prophète, Christ, dis-nous qui t'a frappé. » Ce sont les premiers outrages et premières invectives contre Jésus le Nazôréen, mais aussi la première prophétie à son sujet qui se réalise, EL-SHADDAÏ  parlant de son « Serviteur », et je vous invite, vous mes semblables à lire ce chapitre complet ainsi que le précédent,  cela touchera votre cœur j’en suis certain. Isaïe L : 6, « J'ai tendu le dos à ceux qui me frappaient, et les joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; je n'ai pas soustrait ma face aux outrages et aux crachats. »

    Jésus le Nazaréen est moqué comme « Prophète » à cause de ses paroles sur le Temple et sans doute plus précisément comme « Messie-Prophète », c’est-à-dire comme prétendu Grand Prêtre eschatologique qui veut établir un « Nouveau Temple ».

    Le « Tribunal » était un bâtiment construit en partie sur l’esplanade du Temple et ouvrait ses portes au petit matin, soit au levé du jour et c’est là que Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, grands prêtres et scribes pour questionner une seconde fois Jésus le Nazôréen, car Caïphe voulait sa mort coûte que coûte. Cette seule séance solennelle du Sanhédrin fut une session formelle et définitive pour donner la mort à Jésus le Nazôréen. Tous le condamnèrent, et pour ne pas se salir les mains l’envoyèrent à Ponce Pilate, Procurateur de la Judée de l’an 26 à 36 de J-C.

    Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

    « Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

    Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »


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  • Commentaires

    1
    Samedi 28 Mars 2015 à 16:04
    merci
    merci pour vos articles qui en explique beaucoup sur les traditions. Effectivement le monde actuel ne connaît ni Dieu ni les choses de Dieu, ni le pourquoi, ni le comment. je suis contente car j'ai acheté de la farine de sarrasin pour faire du pain sans levain pour paques et je cherchais une recette et voilà, merci !
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