• PÂQUE, année 2015

     

    Petit Texte d’introduction

    Dans trois semaines c’est la Pâque pour nous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ. Entre les deux soirs ce vendredi 03 Avril nous mangerons la Pâque tel que Jésus le Nazôréen nous à montré. Nous mangerons une viande rôtie, non bouillie, accompagnée d’un pain sans levain que nous aurons confectionné nous-mêmes, avec un verre de vin rouge et le responsable de la tablée refera les gestes de Jésus le Nazôréen en expliquant que ce que nous faisons c’est l’autel spirituel pour EL-SHADDAÏ, afin qu’il nous pardonne toute notre imperfection et que nous acceptons toutes ses Lois et Préceptes, ainsi que tous les Enseignements de son fils Bien-Aimé, notre Roi, en particulier ce onzième commandement.

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Et juste avant ce onzième commandement, il est écrit dans les commandements donnés à Moïse sur le Sinaï :

    « Tu adoreras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, et tu … »

    Contrairement à la chrétienté, nous ne mangeons pas le corps de Jésus le Nazaréen, et ne buvons pas son sang, car nous ne sommes pas des cannibales, mais la viande, le pain comme le vin représente la vie, et le vin qui représente le sang transporteur de la vie puisqu’il nourrit le corps humain, mais il est aussi la génétique de l’humain, voilà pourquoi depuis que l’humain est sur la Terre pas un seul, j’écris bien, pas un seul est pareil, d’où sa reconnaissance individuel le jour de la résurrection et il n’y aura pas d’erreur, ça c’est la justice divine !

    « Entre les deux Soirs », c’est-à-dire entre le coucher du soleil et la nuit noire soit pour la longitude  de la France entre 19h30-20h et 23h30-24h.

    Je reviendrai sur la signification spirituel de ce repas, disons plutôt sur cette Pâque !

     

    Dernières phrases du Chapitre précédent

     

      Nous  pouvons  présumer, sans être accusé d’être téméraire ou irrationnel, que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis parèdre d’Astarté -- Ishtar-- et de Tammuz lors de l’équinoxe du printemps…

    «  C’est une coïncidence remarquable… que les fêtes chrétiennes et païennes de la naissance, de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment… Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle » (The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309).

    Pour résumer ce qui est écrit ci-dessus. L’Église chrétienne romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes en leur collant un nom « chrétien », pour en faire des fêtes religieuses « chrétiennes. » Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.

    Comment les choses en sont-elles venues à cela ?

    Ces écrits confirment l’hypocrisie de cette  religion, et m’encouragent à vous écrire pour dévoiler toute cette sournoiserie religieuse qui vous éloigne de la réelle vérité, en vous entraînant dans un « Enfer » spirituel.

    Comme je viens de vous écrire sur le « Carême », le prochain texte sera sur la « Cène » et la résurrection

    Le carême provient du paganisme et non de la Bible !

     

     

    Chapitre N° 4

     

    La Pâque et non …. les Pâques

     

    La Cène

    La « Cène », souper que Jésus le Nazaréen fit avec ses Apôtres le premier jour des « Pains sans levain », fête juive de « La Pâque » de sept jours pour ceux qui vivent dans le pays d’Israël et huit jours pour les juifs de la Diaspora.

    En effet la journée du calendrier juif commence le soir au coucher du soleil et non comme dans les autres nations, au lever du soleil.

    Comme il fut écrit dans les chapitres précédents, Jésus le Nazaréen, ainsi que ses Apôtres et Disciples ne faisaient aucun jeûne avant le commencement de cette fête de la Pâque. La Bible livre sacré des chrétiens l’explique bien.

    Ce livre est théoriquement d’inspiration Divine, alors je voudrais que l’on m’explique ces écritures ?

    Je pose les textes et je suis sûr que comme moi vous allez être étonné.

    Matthieu XXVI : 1-2, 6-7

    Et il advint, quand Jésus eut achevé tous ces discours, qu'il dit à ses disciples :

    « La Pâque, vous le savez, tombe dans deux jours, et le Fils de l'homme va être livré pour être crucifié. »

    Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table.

    Jean XII 1-3

    Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

    On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

    Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux ; et la maison s'emplit de la senteur du parfum.

    Jean XI : 1-2

    Il y avait un malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe.

    Marie était celle qui oignit le Seigneur de parfum et lui essuya les pieds avec ses cheveux ; c'était son frère Lazare qui était malade.

    Que de désaccord dans ces textes Bibliques pour les mêmes actions !

    Deux jours ou six jours avant la Pâque ce repas ?

    Le repas chez Simon le Lépreux ou chez Lazare ?

    Le parfum est versé sur la tête de Jésus ou sur ses pieds pour les laver ?

    Que dire du parfum ?

    Quel manque de concordance pour des écrits soi-disant inspirés !

    Il faut savoir que les Évangiles tel que nous les connaissons aujourd’hui, sont des livres qui ont été à la merci des copistes religieux le plus souvent, et que ceux-ci ont volontairement fait des suppressions, rajouts, changements de tournure de phrases selon leurs pensées et leurs convictions. Un exemple flagrant et reconnu de tous les traducteurs et exégètes modernes. L’Évangile de Marc s’arrête au chapitre XVI et au verset 8 dans la plus ancienne version connue qui était déjà une copie. Les versets suivant sont des ajouts et non jamais été écrit par Marc puisque leur écriture commencerait vers 150 à 200 ans après J-C.

    Je reviendrais sur tout ceci une autre fois.

    Revenons à la « Cène », ce fameux dîner de Jésus le Nazaréen.

    Histoire :

    Ce repas à été institué par EL-SHADDAÏ --- pour vous chrétien Dieu, « Dieu » , et pour d’autres Yahvé, Éternel, Adonaï, Élohim --- pour que son peuple, à l’époque le Peuple du pays d’ISRAËL, commémore la délivrance de l’esclavage égyptien. [ lire l’histoire de cette libération dans les livres de la Pentateuque, la Thora  ou dans l’Ancien Testament. (Exode chap. V-XV)]

    Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous, est un hébreu de naissance dont la langue maternelle était l’araméen.

    Dans les chapitres précédents, je vous ai écrit l’origine de la Pâque, mais je vais quand même faire un petit rappel, histoire de rafraîchir la mémoire.

    A l’époque, bien avant les grands-parents et parents d’Abraham, au printemps on sacrifiait un agneau ou un petit bétail et avec son sang on badigeonnait l’entrée de la tente ou de la maison pour préserver la maisonnée toute l’année en éloignant les « Dieux du Mal. »

    Ceux qui étaient sédentaires, c’est-à-dire cultivateurs façonnaient des galettes ou pain sans levain nommé azyme pour la fête de la moisson, et les mêmes raisons que les nomades.

    La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.

    Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie « passage ». Il désigne le passage d’EL-SHADDAÏ  qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot  commémore aussi le passage de la mer rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.

    Encyclopédie juive :

    « La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de 7 jours -- 8 jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »

    Dans le chapitre N°2, au petit texte d’introduction je vous ai posé le chapitre douze de l’Exode et les versets de 1 à 17, donc je vais vous poser le verset manquant et je vous invite à suivre l’abrégé ci-dessous pour la lecture de ce passage biblique.

    Exode XII : 1-11

    Voyons ce que dit « EL-SHADDAÏ », le Dieu d’Abraham et de ses descendants !

    « Yahvé dit à Moïse et à Aaron au pays d'Égypte :

    « Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l'année….//

    C'est ainsi que vous la mangerez : vos reins ceints, vos sandales aux pieds et votre bâton en main. Vous la mangerez en toute hâte, c'est une pâque pour  EL-SHADDAÏ  »

    Puis plus loin il est écrit : Exode XII : 14-18

    « Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel. …//

    Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

    Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour. »

    Toujours à ce chapitre Exode XII : 24

    « Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

    J’ai souligné ce verset car je vous le rappellerai plus avant, vu son importance capitale.

    Si pour un évènement indépendant de votre volonté, vous ne pouviez respecter la Pâque le mois de Nissan la Bible dit :

    Nombre 9 : 10-12, 14

    « Parle aux Israélites et dis-leur : Si quelqu'un, parmi vous ou vos descendants, se trouve impur, du fait d'un mort ou est en voyage au loin, il célébrera une Pâque pour EL-SHADDAÏ.

    C'est au second mois, le quatorzième jour, au crépuscule, qu'ils la célébreront. Ils la mangeront avec des azymes et des herbes amères ; rien n'en devra rester au matin, ils n'en briseront aucun os. C'est selon tout le rituel de la Pâque qu'ils la célébreront.

    Si quelque étranger réside parmi vous et célèbre une Pâque pour EL-SHADDAÏ, c'est selon le rituel et les coutumes de la Pâque qu'il la célébrera. »

    Tous ces écrits nous prouvent l’importance qu’EL-SHADDAÏ avait pour la fête de Pâque.

    Je vous ai écrit ces versets de la Bible sur la fête de la Pâque qui existait quelque quinze siècles avant  l’événement de la Pâque de Jésus le Nazaréen, l’année de la « Cène », car la juxtaposition des faits est évidente.

    Tout juif devait, en principe, aller en pèlerinage à Jérusalem célébrer la fête de la Pâque, ce que faisait Jésus le Nazaréen depuis son plus jeune âge.

    Selon le rituel probablement en vigueur au temps de Jésus, le repas pascal était préparé à la fin de l’après-midi du 14 nisan. On ne pouvait consommer du pain fermenté pendant les sept jours qui suivaient. Chaque famille devait immoler au temple un agneau ou un chevreau mâle d’un an, sans défaut, et pour les plus pauvres un pigeon. Son sang était soigneusement recueilli, puis avec une branche d’hysope, on en marquait les montants et le linteau de la porte du Temple pour le pardon des péchés. Ensuite l’agneau était rôti entier sans qu’on lui brisât aucun os. Puis la famille et les convives se réunissaient dans la « chambre haute », ornée de tapis pour la circonstance. ( Lc XXII :12, Mc XIV : 15 )

    Comme souvent je vous le dis, toujours se poser par l’esprit dans le contexte de l’époque du récit ou de la lecture.

    Les maisons juives de l’époque étaient aménagées à l’intérieur, avec une mésaline, en étage. Le bas de plain-pied, était la pièce qui servait d’étable pour le bétail, dont une partie était réservée pour la préparation des repas. Au-dessus de l’étable, tout le tour était installé l’endroit pour manger et dormir, mais vous aviez la vue sur tout le bas. Tout l’ensemble se nommait la « chambre-haute ». I Roi XVII : 19, Juges III : 20-25 --

    Les repas était consommés en famille, dans le sens large de la famille qui formait des clans. En effet pour ce jour ce sont les fils qui venaient avec leurs enfants, mais il y avait aussi des voisins si ceux-ci n’avaient pas de famille. Tout ce petit monde mangeait ensemble. Ce sont les femmes qui faisaient le service tout en étant de la tablée.

    Je vous ai écrit ceci pour que vous imaginiez le repas de la « Cène »

    C’était un repas qui devait obligatoirement ce fêter en famille, car le chef de famille devait conter aux enfants et à tous les convives comment EL-SHADDAÏ avait libéré leurs ancêtres de l’esclavage égyptien par la traversée de la Mer de Roseaux ou la Mer Rouge et leur pérégrination jusqu’au pays de Canaan, pays de « lait et de miel ». ( Exode XII : 14, XIII : 10 )

    Maintenant faites-vous une image de ce « dîner » de « la Pâque » sachant que Pierre était marié tout comme Philippe qui avait quatre filles. Je vous cite uniquement ces deux Apôtres, car là vous ne pouvez me contredire car écrit dans le Nouveau Testament. En réalité, tous avaient femmes et enfants sauf l’Apôtre Jean qui n’a jamais connu de femme.

    Tout ce qui est écrit ci-dessus est authentique et reconnu par tous les exégètes, religieux ou public, même si certains de mes semblables de mauvaise foi vont nier l’évidence.

    La « Cène » tel que l’Église Chrétienne nous la décrit n’est qu’un tissu de mensonges, car elle va en contradiction avec la « LOI perpétuelle » d’EL-SHADDAÏ sur la fête de Pâque.

    Je vois difficilement, même impossible, son Fils Bien-Aimé, Jésus le Nazaréen, désobéir à son Père, particulièrement pour la Pâque.  --- Le Jésus-Christ des chrétiens peut-être, sauf si ce Jésus-Christ est aussi Jésus le Nazaréen, donc la même personne.---

    En effet ce jour de la Pâque, entre les deux soirs, Jésus mangeait la Pâque en compagnie de ses Apôtres qui étaient accompagnés de leur femme avec les enfants, car s’ils ne faisaient pas cela ils étaient en discordance avec la Loi d’EL-SHADDAÏ.

    La Pâque, principale solennité d’Israël commence au soir du 14 Nissan, ce jour est le quatorzième après le début du mois qui commence à la Nouvelle Lune de l’équinoxe de Printemps, début du premier mois de l'année selon la Bible. Je réitère le calendrier hébreu commence une journée du coucher du soleil au coucher de soleil suivant, ce qui fait qu’une journée peux faire de vingt trois à vingt six heures. Le premier jour des « Pains sans Levain » est un jour sanctifié, donc sabbatique et c’est aussi le jour de la Pâque qui est la fin du quatorzième jour au coucher du soleil et le début du quinzième jour au coucher de soleil, mais c’est aussi le début « d’entre les deux soirs » qui commence du coucher du soleil jusqu’à la nuit noire. Selon le rituel au temps de Jésus, le repas pascal, nommé « Seder », était consommé entre les « deux soirs. »

    Je réitère, les prêtres à la Pâque badigeonnaient les linteaux du Temple avec le sang d’un jeune taureau pour « le péché et non pour les péchés » car le péché fait allusion à la première transgression d’une seule et unique Loi par les deux premiers humains qui perdirent leur perfection de leur propre volonté.

    EL-SHADDAÏ fit une nouvelle « Alliance » avec un nouveau « Peuple » qui sera formé, cette fois-ci, de tous les humains de la Terre, car ce n’est pas Lui qui choisira un « Peuple », mais ce sont les humains qui le choisiront, qui formeront par leur nombre un « Peuple », un « Nouveau Peuple sur toute la surface de la Terre habité ». Son propre fils, deux fois engendré, la première fois aux Cieux, la deuxième fois comme un humain, en tant que tel, mourut par la torture romaine de la crucifixion, après avoir vécut quelques décennies parfaitement sur la Terre, et son Père géniteur le ressuscita de l’Hadès, le troisième jour, soit exactement soixante douze heures après son entré dans le Séjour des Morts, sont corps ne goûtant pas aux affres de la mort, redonnant espoir à la race humaine, de recouvrer la vie éternelle.

    Jésus le Nazôréen, Fils engendré d’EL-SHADDAÏ, par sa mort sacrificielle comme le petit bétail dont il est la juxtaposition, son Père le ressuscitant, devenait le « Grand Guerrier » vainqueur sur la Mort de l’humain, donnant un sang parfait à ce dernier équivalant aux deux premiers humains qui avaient un sang sans tache, sans tare avant leur transgression. Les humains qui auront la chance de la résurrection, ressusciteront avec un sang parfait.

    Vous constaterez par vous-mêmes que les actions sont exactement les mêmes que le rite païen, agneau, sang badigeonné à l’entrée, pain azyme qui est du pain sans levain, même la date est pareille, puisque cela doit avoir lieu à l’équinoxe du printemps.

    EL-SHADDAÏ ne fait rien au hasard, alors si, Il a choisi cette date, c’est que c’est l’époque du renouveau de la nature, de sa « Création. »

    A cette ère de Moïse, parmi toutes les Nations de la terre, le « Peuple » d'EL-SHADDAÏ était la population hébraïque, ce « Peuple » que Lui, EL-SHADDAÏ, avait choisi volontairement.

    En choisissant cette date, comme le printemps, il donnait un renouveau à ce « Peuple » et en même temps Il prouvait aux Nations que c’était Lui le « Dieu Unique, le Dieu Jaloux »

     Exode 34 : 14

     « Tu ne te prosterneras pas devant un autre dieu, car EL-SHADDAÏ a pour nom Jaloux : c'est un Dieu jaloux. »

    Sophonie I : 18

     « Ni leur argent, ni leur or ne pourront les sauver. Au jour de la colère d’El-SHADDAÏ, au feu de sa jalousie, toute la terre sera dévorée. Car il va détruire, oui, exterminer tous les habitants de la terre. »

    Deutéronome IV : 23-24

     « Gardez-vous d'oublier l'alliance qu’EL-SHADDAÏ, votre Dieu, a conclue avec vous et de vous fabriquer une image sculptée de quoi que ce soit, malgré la défense d’EL-SHADDAÏ, ton Dieu ; car EL-SHADDAÏ, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux. »

    Pour être certain que ce jour de délivrance, ce jour de renouveau, son « Peuple » s’en souvienne, il exigea que chaque année, à la même époque, ce « Peuple » commémore cette liberté, cette délivrance par la fête de la Pâque, et ceci à perpétuité.

    Exode XII : 24

    « Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

    Exode XIII : 10

    « Tu observeras cette loi au temps prescrit, d'année en année. »

    Pendant des centaines d’année EL-SHADDAÏ veilla sur ce « Peuple » ingrat et infidèle.

    Pour faire comprendre à ce « Peuple » toutes ses mauvaises actions Il lui envoya des « Prophètes »  qu’il assassina. Il l’envoya en exil sous la domination des Nations, et à son retour ce « Peuple » respecta les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ pendant quelques petites années, puis il recommença à faire ce qui déplaisait à son Dieu.

    Ce « Peuple » choisi par EL-SHADDAÏ était indécrottable, alors il le livra dans la main des Nations. Le dernier Prophète qu’Il donna à ce « Peuple » fut Malachie qui prophétisa après la reconstruction du Temple de Jérusalem ( - 400 av. J-C.)

    Pensant sincèrement que cette lecture tout doucement vous fortifie intérieurement pour avoir comme ces premiers humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » une foi inébranlable en EL-SHADDAÏ notre Père et notre seul « Dieu » ainsi qu’en notre Roi, notre médiateur, assesseur, mais aussi enseignant, je nomme son Fils Jésus le Nazôréen.

    Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


    votre commentaire
  • PÂQUE, année 2015

     

    Petit Texte d’introduction

     

    EL-SHADDAÏ avait dit dans l’Exode XII à son Peuple que la Pâque était un décret perpétuel. A l’ère de Jésus le Nazôréen le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ n’existait plus. La seule chose qui restait était cette marque au fer rouge, la circoncision, qui distinguait les hébreux des autres Nations comme adorateur d’un seul « Dieu ». En 722-721 av. l’EC grande déportations des Israéliens. Les dix tribus du pays d’Israël disparaissent, c’est la Diaspora ne reste que la Judée et la tribu de Benjamin comme Peuple d’EL-SHADDAÏ. Le « Peuple » d’El-Shaddaï c’est formé en Égypte puisque ce sont les descendants de la tribu de Jacob. Quand le peuple entra en Terre Promise sous le commandement de Josué, le peuple hébreu comprenait un peu plus de cinq-cents mille homme de « pieds », en plus il faut compter femmes, enfants, vieillards, adolescents, et jeune homme n’ayant pas l’âge pour combattre. Ces humains restèrent fidèles à leur Dieu pendant plus de quatre cents ans puis ils commencèrent à être idolâtres comme leurs voisins. Depuis cette époque malgré les miracles, protection, ce peuple resta ingrat envers son Dieu. «  Vous m’avez abandonné, alors moi aussi je vous oublie, dit EL-SHADDAÏ, et je vous laisse dans les mains des Nations avec votre perversion et vous récolterez ce que vous avez semé, car je suis sourd à vos doléances, aveugle à vos pleurs,  et je n’apprécie plus vos holocaustes »

     

    Dernières phrases du Chapitre précédent

     

    En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:

    « C'est le mois de Tammuz. »

    En Égypte, vers le milieu de mai.

    « Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chré­tiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres. »

    Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C.,  auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de quatre années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chré­tienne, ou de la naissance du Christ lui-même.

     Le fit-il par ignorance ou volontairement ?

     

    Chapitre N° 3

     

    Reine des Cieux, Astartés

     

    « Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences. (Vol. I, p. 51, Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclara­tions, HUMBERGER, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in MARTINI, Thesaur. Dissertat; JANI, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et IDELER, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies.)

     II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carê­me.

    C'était un mauvais signe que des chrétiens ne pussent jamais songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégrada­tion, et c'était aussi la cause d'un grand mal. »

    Cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde.

    À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carê­me avec les orgies du carnaval qui le précédaient et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen.

    On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière cer­taine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines. 

    Je cite toujours des textes d’humain beaucoup plus érudit que moi, et qui ont une certaine notoriété pour leur honnêteté.

    Gieseler,( Johann Ludwig Karl, 1792-1854 historien de l’Église Chrétienne, Protestant Allemand, il publia ses premiers travaux (Historisch-kritischer Versuch über die Entstehung u. meurent frühesten schriftlichen der Schicksale Evangelien -- Historique et essai critique sur l'origine et le devenir des premiers évangiles écrits ), parlant de l'Église d'Orient au IIème siècle, à propos des coutumes pascales, dit:

    « Dans cette fête de Pâques, en souvenir de la mort de Christ, les chré­tiens d'Orient mangent du pain sans levain, probablement comme les Juifs, pen­dant huit jours. Il n'y a point de trace d'une fête annuelle en souvenir d'une résur­rection, célébrée tous les dimanches. (cf. Église catholique, sect. 53, p. 178, note 35).

     Quant à l'Église d'occident à une période plus rapprochée, époque de Constantin le Grand, on se livrait pendant 15 jours à des exercices religieux sur la fête de Pâques, bien que la période du jeûne ne soit pas bien indiquée.(cf. Origines Ecclés. vol. IX, p. 94)

    Les solennités de Pâques ont lieu les semaines avant et après le dimanche de Pâques, la semaine de la Passion et celle de la Résurrection. Les anciens parlent de Pâques, de la Passion et de la Résurrection comme d'une solennité de 15 jours. La loi de l'empire ordonnait 15 jours de fête, et les commandait à toute l'Église. »

    Scaliger (1540-1609) cite une loi de Constantin le Grand, ordonnant deux semaines de fête pour Pâques, et la suspension de toutes les affaires légales.  (Bingham, IX, p. 95).

    Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 440-450 après J.-C. :

     « Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur. » (Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.)

    Les Deux Babylone :

    Avant toute écriture, il faut connaître l’importance de la déesse « Astarté » dans tout le Bassin Méditerranéen et l’Asie Mineure.

    Astarté est une déesse d'origine phénicienne présentant un caractère belliqueux. Dans la mythologie égyptienne sous les Ramessides dynastie des « Ramsés », elle est la fille de Rê et une compagne de Seth. À califourchon sur son cheval, elle accompagne et protège le Pharaon.

    Astarté est « Athtart » chez les Ougarites, déesse le l’amour, de la guerre et de la fertilité, comme chez les Hourrites ou elle se nomme « Shaushka », mais elle a le nom de « Ashtart » en langue punico-phénicienne. Pour les Babyloniens c’est la déesse « Ishtar » épouse de Tammuz et « Inanna » épouse de Dumuzi pour les Sumériens.

    Sa descendance est Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, région de la Toscane en Italie, Vénus à Rome. A Carthage en Afrique du Nord elle est « Tanit » déesse de la fertilité.

    Elle forme le couple suprême avec « BAAL » et est toujours associé à lui.

    Les noms Baal et Tammuz représentent le même Dieu babylonien, puisque associés à la grande déesse Astarté. Même le livre sacré de la chrétienté, la BIBLE, fait référence à ces deux personnages. Je cite :

    I Samuel XII : 10

    « Ils crièrent vers EL-SHADDAÏ :

    « Nous avons péché, dirent-ils, car nous avons abandonné EL-SHADDAÏ et servi les Baals et les Astartés. Maintenant, délivre-nous de la main de nos ennemis et nous te servirons ! »

    VII : 3-4

    « Alors Samuel parla ainsi à toute la maison d'Israël :

    « Si c'est de tout votre cœur que vous revenez à EL-SHADDAÏ, écartez les dieux étrangers du milieu de vous, et les Astartés, fixez votre cœur en EL-SHADDAÏ et ne servez que lui : alors il vous délivrera de la main des Philistins. »

    Les Israélites écartèrent donc les Baals et les Astartés et ne servirent qu’EL-SHADDAÏ »

    Dans Jérémie Astarté -- Ishtar -- est nommé la « Reine des Cieux »

    Jérémie VII : 18

    « Les fils ramassent le bois, les pères allument le feu, les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la Reine du Ciel, puis on verse des libations à des dieux étrangers pour me blesser. »

    Jérémie XLIV : 16-17

    «En ce qui concerne la parole que tu nous as adressée au nom d’EL-SHADDAÏ, nous ne voulons pas t'écouter, nous continuerons à faire tout ce que nous avons promis offrir de l'encens à la Reine du Ciel et lui verser des libations, comme nous le faisions, nous et nos pères, nos rois et nos princes, dans les villes de Juda et les rues de Jérusalem : alors nous avions du pain à satiété, nous étions heureux et nous ne voyions point de malheur.»

    Ézéchiel VIII : 14

    « Il m'emmena à l'entrée du porche du Temple d’EL-SHADDAÏ qui regarde vers le nord, et voici que les femmes y étaient assises, pleurant Tammuz. »

    Par ces écrits, nous pouvons certifier que la « Reine des Cieux », Astarté, portait bien son nom et qu’elle était vénérée par toutes les « Nations », même au VIème siècle de J-C.

    Je reprends les écrits.

    « A la fin, lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, -- la primauté, la supériorité -- on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou quarante jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un Concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennelle­ment observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.)

     Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys-le-Petit. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. »

    Nous sommes au VIème siècle, et les enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes. Ce qui compte le plus pour l’Église Chrétienne, c’est d’avoir un pouvoir politique qui lui donnerait richesses et autorité absolue. Pour ce faire  l’Église doit faire des concessions avec les coutumes et croyances païennes.

    De plus, en rapport avec les écrits ci-dessus, il ne faut pas oublier que le christianisme est la religion de l’Empire Romain, par déduction une religion d’État, donc une religion politique.

    Toujours les « Deux Babylone »

    « Voilà l’histoire de « Pâques ». Les coutumes populaires qui caractérisent encore l'époque où on la célèbre confir­ment amplement le témoignage de l'histoire sur son caractère Babylonien. Les galettes chaudes marquées d'une croix le Vendredi Saint, et les œufs coloriés de Pâques, figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme aujourd'hui. Les galettes connues aussi par leur même nom de « buns » étaient en usage dans le culte de la Reine des Cieux, la déesse Ishtar, aux jours même de Cécrops, fondateur d'Athènes, -- Il interdit les sacrifices humains pour les dieux, et remplaça ceux-ci par des gâteaux -- c'est-à-dire vers 1500 avant l'ère chrétienne. »

    « Une espèce de pain sacré, dit Bryant, qu'on avait l'habitude d'offrir aux dieux, était d'une haute antiquité et s'appelait « Boun ». »

    Diogène Laerce,-- IIIème siècle de J-C.--- parlant de cette offrande faite par Empédocle, -- 490-435 av. J-C. -- décrit les différents éléments dont elle était composée, et ajoute:

    « II offrit un des gâteaux sacrés appelés boun, qui étaient faits de fleur de farine et de miel. »

    Le pro­phète Jérémie fait remarquer ce genre d'offrandes quand il dit :

     « Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine des cieux. »

    « Aujourd'hui à la fête d'Astarté, on n'offre pas des gâteaux chauds en forme de croix, on les mange, mais cela ne laisse aucun doute sur leur origine. L'origine des œufs de Pâques est tout à fait aussi claire. Les anciens Druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. (cf. Mythologie, vol. I, p.373 - Laertius p.227 - Davies, les Druides p.208)

    Dans les Dionysiaques, ou mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne.

    Autrefois les œufs étaient en usage dans les rites religieux des Égyptiens et des Grecs, et on les suspendait dans les temples pour des cérémonies mystiques. »

    Autre, je cite :

     « L’origine des œufs de Pâques est basée sur la tradition des races indo-européennes… pour elles, les œufs étaient un symbole du printempsDepuis les temps de la chrétienté, ils se virent attribuer une interprétation religieuse, devenant le symbole de la pierre du sépulcre duquel sortit le Christ pour Sa nouvelle vie après Sa résurrection » (Francis X. Weiser, Handbook of Christian Feasts and Customs, p. 233).

    Les deux Babylone

    On peut distinctement suivre la trace de l'usage de ces œufs depuis l'Égypte jusqu'aux bords de l'Euphrate.

    Les poètes classiques sont remplis de la fable de l'œuf mys­tique des Babyloniens et voici l'histoire qu'en fait l'égyp­tien Hyginus, le savant secrétaire de la Bibliothèque Palatine à Rome, à l'époque d'Auguste, homme habile dans toute la sagesse de sa patrie :

    « On dit qu'un œuf de dimensions extraordinaires tomba du ciel dans l'Euphrate. Les poissons le poussèrent au rivage, là les colombes vinrent se fixer dessus, le couvèrent, et Vénus en sortit bientôt. Elle fut appelée la déesse Syrienne, c'est-à-dire Astarté. »

    De là vint l'emploi de l'œuf comme symbole d'Astarté, c'est pour cela que dans l'île de Chypre, l'un des sièges favoris du culte de Vénus ou d'Astarté, l'œuf était représenté comme étant d'une grosseur extraordinaire.

    L'Église Romaine adopta cet œuf mystique d'Astarté et le consacra comme un symbole de la résurrection du Christ. Une formule de prière fut même désignée pour être faite à ce sujet par le pape Paul V,--Camille Borghèse ( 1550--1621 ) élu pape le 16 mai 1605 sous le nom de Paul V -- qui faisait ainsi prier à Pâques ses superstitieux partisans :

     « Bénis, ô Dieu, nous t'en supplions, cette création qui est la tienne ces œufs qui sont l'œuvre de tes mains afin qu'ils deviennent une nourriture fortifiante pour tes servi­teurs, qui les mangent en souvenir de notre Seigneur Jésus-Christ. »

    N’oubliez surtout pas que le nom « Astarté » signifie « Pâques » dans la religion chrétienne.

     En effet, comme déjà écrit plus avant, Astarté était l’un des cultes païens les plus puissant et « l’Église Chrétienne  » dû faire des concessions pour « aspirer » ce culte dans son girond. Donc, cette Église garda les rites païens de ce culte, avança légèrement les dates pour faire coïncider les fêtes d’Astarté et de Tammuz avec la mort et la résurrection de Jésus-Christ, en changeant le nom « Astarté » en « Pâques. »  

    Ceci est un exemple typique, parmi tant d’autres, de la façon dont les coutumes et symboles païens sont  « christianisés », attribuer un nom à consonance chrétienne sur une tradition païenne. Cela est fait autant pour tromper que pour permettre aux gens de se sentir « à l’aise » après avoir adopté des coutumes qui ne se retrouvent pas dans la Bible.

    Voici quelques exemples :

    La fête de Saint-Georges en avril a remplacé l’ancien festival païen de Parilia.

    La fête de Saint Jean-Baptiste en juin a pris la place de la fête païenne de l’eau de la mi- été.

     La fête de l’Assomption de la Vierge en août a déplacé la fête de Diane.

    La fête des morts, qui suit l’Halloween et la Toussaint, en novembre est la continuation, comme son nom l’indique, d’un ancien festival païen en l’honneur des morts.

    La nativité du Christ elle-même a été placée au solstice d’hiver en décembre parce qu’il était désigné comme moment de la naissance du dieu soleil Mithra, dieu Romain, Sol Invinctus, période de fête de « Natalis Invicti »

      Nous  pouvons  présumer, sans être accusé d’être téméraire ou irrationnel, que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis parèdre d’Astarté -- Ishtar-- et de Tammuz lors de l’équinoxe du printemps…

    «  C’est une coïncidence remarquable… que les fêtes chrétiennes et païennes de la naissance, de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment… Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle » (The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309).

    Pour résumer ce qui est écrit ci-dessus. L’Église chrétienne romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes en leur collant un nom « chrétien », pour en faire des fêtes religieuses « chrétiennes. » Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.

    Comment les choses en sont-elles venues à cela ?

    Ces écrits confirment l’hypocrisie de cette  religion, et m’encouragent à vous écrire pour dévoiler toute cette sournoiserie religieuse qui vous éloigne de la réelle vérité, en vous entraînant dans un « Enfer » spirituel.

    Le carême provient du paganisme et non de la Bible !

    Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

    « Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

    Et moi Grandeloupo, je dis qu’elle se tient comme une « Mère Maquerelle », le sourire aux lèvres, fardée comme une princesse, avec un couteau planqué dans la ceinture.

    Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »


    votre commentaire
  • Porte de la Déesse Isthar dit porte du Lion

    PÂQUE, année 2015

     

    Petit Texte d’introduction

    Comme chaque année, plusieurs semaines justes avant la Pâque je vous écris plusieurs chapitres sur ce jour qui a tellement d’importance pour nous. En effet c’est une ordonnance de ce Dieu seul et unique de fêter la « Pâque » et non comme toute la chrétienté qui fête « les Pâques ». EL-SHADDAÏ nous demande chaque année  de commémorer la Pâque, qui comme à l’époque de Moïse, était pour le peuple choisit par Lui, la délivrance de celui-ci de l’esclavage du joug égyptien et pour ce Peuple c’était la commémoration de ce jour de délivrance, le quatorzième jour après la nouvelle lune de l’équinoxe de printemps. Le quatorzième jour après le coucher du soleil, début du quinzième qui était un jour sanctifier, puisque c’était le premier jour « des Pains Azymes » et aussi une Pâque.

    Exode XII : 1-17

    EL-SHADDAÏ dit à Moïse et à Aaron au pays d'Égypte :

    « Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l'année.

    Parlez à toute la communauté d'Israël et dites-lui : Le dix de ce mois, que chacun prenne une tête de petit bétail par famille, une tête de petit bétail par maison.

    Si la maison est trop peu nombreuse pour une tête de petit bétail, on s'associera avec son voisin le plus proche de la maison, selon le nombre des personnes. Vous choisirez la tête de petit bétail selon ce que chacun peut manger.

    La tête de petit bétail sera un mâle sans tare, âgé d'un an. Vous la choisirez parmi les moutons ou les chèvres.

    Vous la garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois, et toute l'assemblée de la communauté d'Israël l'égorgera au crépuscule.

    On prendra de son sang et on en mettra sur les deux montants et le linteau des maisons où on le mangera.

    Cette nuit-là, on mangera la chair rôtie au feu ; on la mangera avec des azymes et des herbes amères.

    N'en mangez rien cru ni bouilli dans l'eau, mais rôti au feu, avec la tête, les pattes et les tripes.

    Vous n'en réserverez rien jusqu'au lendemain. Ce qui en resterait le lendemain, vous le brûlerez au feu.

    C'est ainsi que vous la mangerez : vos reins ceints, vos sandales aux pieds et votre bâton en main. Vous la mangerez en toute hâte, c'est une pâque pour EL-SHADDAÏ.

    Cette nuit-là je parcourrai l'Égypte et je frapperai tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, tant hommes que bêtes, et de tous les dieux d'Égypte, je ferai justice, moi EL-SHADDAÏ.

    Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous vous tenez. En voyant ce signe, je passerai outre et vous échapperez au fléau destructeur lorsque je frapperai le pays d'Égypte.

    Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel.

    « Pendant sept jours, vous mangerez des azymes. Dès le premier jour vous ferez disparaître le levain de vos maisons car quiconque, du premier au septième jour, mangera du pain levé, celui-là sera retranché d'Israël.

    Le premier jour vous aurez une sainte assemblée, et le septième jour, une sainte assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

    Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

    Tout est écrit dans ces versets de 1 à 17 de l’Exode qui restera valable jusqu’à la venue sur Terre de son Fils Bien-Aimé Emmanuel, Jésus le Nazôréen.

     

    Dernières phrases du Chapitre précédent

     

    Voici le texte biblique, Exode XII : 15-19

    « …//… Le premier jour vous aurez une sainte assemblée, et le septième jour, une sainte assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

    Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

    Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour.

    Pendant sept jours il ne se trouvera pas de levain dans vos maisons, car quiconque mangera du pain levé sera retranché de la communauté d'Israël, qu'il soit étranger ou né dans le pays. »

    Vous constaterez le mystère de ce signe, « --- le sang --- » car il correspond à un rite païen de protection.

    Je pense que vous avez dû remarquer que le premier jour de la fête des « Pains Azymes » est un jour saint, un jour sanctifié, un jour d’adoration de vénération, donc un jour sabbatique, tout comme le septième jour, un exemple pour cette année 2015 le Vendredi 3 Avril du coucher du soleil, jusqu’au Samedi 4 Avril au coucher du soleil sera une journée sabbatique, qui cette année était aussi le commencement du jour sabbatique normal.

    La Pâque est donc devenue la célébration de la libération du peuple hébreu. C’est un transfert de l'esclavage à la liberté, la renaissance du peuple d'Israël, comme le printemps est la renaissance de la nature. 

    Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâque en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient l'agneau au temple puis le mangeaient en famille.

    Jésus-Christ étant juif, il est logique de penser que tous les ans avec sa famille, il allait en pèlerinage à Jérusalem. N’est-ce pas à cette époque, que, à l’âge de douze ans, il lisait sur les rouleaux le livre d’Isaïe devant les Sanhédrins au Temple ? …

     

     

    Chapitre N° 2

     

    L’invention du Carême Chrétien

     

    Les Pâques chrétiennes

    Pâques, ou dimanche de Pâques, est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la  crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.

    Il marque la fin du jeûne du « Carême. » 

    Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.

    Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert.

    Matthieu IV : 1-11

    Alors Jésus fut emmené au désert par l'Esprit, pour être tenté par le diable.

    Il jeûna durant quarante jours et quarante nuits, après quoi il eut faim.

    Et, s'approchant, le tentateur lui dit :

    « Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, dis que ces pierres deviennent des pains. »

    Mais il répondit :

    « Il est écrit : Ce n'est pas de pain seul que vivra l'homme, mais de toute parole qui sort de la bouche d’EL-SHADDAÏ »

    Alors le diable le prend avec lui dans la Ville Sainte, et il le plaça sur le pinacle du Temple et lui dit :

    « Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera pour toi des ordres à ses anges, et sur leurs mains ils te porteront, de peur que tu ne heurtes du pied quelque pierre. »

    Jésus lui dit :

    « Il est encore écrit : Tu ne tenteras pas SHADDAÏ, ton Dieu. »

    De nouveau le diable le prend avec lui sur une très haute montagne, lui montre tous les royaumes du monde avec leur gloire et lui dit :

    « Tout cela, je te le donnerai, si, te prosternant, tu me rends hommage. »

    Alors Jésus lui dit :

    « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est SHADDAÏ ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. »

     Alors le diable le quitte. Et voici que des anges s'approchèrent, et ils le servaient. »

    Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année. 

    On appelle aussi le carême, la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de  Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Messie dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques. 

    La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.

    C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.

    Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :

    Canon 60 décrété au Concile de Laodicée

    « Liste les écritures retenues par l'Église, notamment les quatre évangiles canoniques constituant le Nouveau Testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.

    À ce concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :

    « Le concile de Laodicée, tenu en 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »

    Comique … non ? …

    Au VIIème siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel. 

    Le jour de Pâques a été fixé lors du Concile de Nicée en l’an 325, aujourd'hui İznik, en Turquie.

    Les rédacteurs des Évangiles ont toujours été influencés par l'Ancien Testament. A la Pâque juive s'est substituée la célébration de la Cène, le dernier repas que Jésus partageât avec ses Apôtres et Disciples, la veille de son arrestation.

    Les jours qui ont précédé la Pâque et la mort de Jésus, ni Jésus ni ses disciples n'ont jeûné.

     Les récits des Évangiles indiquent qu’à Béthanie, seulement quelques jours avant sa mort, ses Disciples et lui se sont rendus chez des gens, où ils ont pris des repas. Jésus a en outre mangé le repas de la Pâque la nuit précédant sa mort.

    Matthieu XXVI : 6-7 

    « Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table. »

    Jean XII : 1-3

    « Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

    On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

    Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux, et la maison s'emplit de la senteur du parfum. »

    Vous constaterez que les écrits de Matthieu et de Jean sont très différents. Le lieu du repas n’est pas le même, le parfum est différent, ainsi que les convives. De plus le parfum est versé pour l’un sur la tête, pour l’autre sur les pieds

    Alors qui dit vrai ? …

    La Marie qui oint les pieds de Jésus, qui-est-ce ? …

    Quelle Marie ? …La « Femme », quelle femme ? …

    Pour des écrits « Inspirés » de « Dieu » que de trouble ?

    Voici la vérité

    Jamais, je ne le répète pas assez, jamais la Bible nous incite à faire un jeûne de quarante jours avant la Pâque.

     Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique ?

    Il n’existe aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que Jésus le Nazôréen, les Apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de Carême.

     Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazôréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.

    En instituant le « Carême » avec le « Jeudi, le Vendredi Saint » et « Les Pâques », l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont  profondément ancrées dans le paganisme ancien.

    Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive. Aux prémices de ce que l’on nommera au IIIème, IVème siècle, le christianisme, la fête de Pâque se faisait sur la base du judaïsme puisque les tous premiers humains qui formeront la mouvance de Jésus le Nazôréen sont des hébreux de pensées pharisiennes, sadducéennes, voire esséniennes et aussi hellénistes.

    Je cite l’Encyclopédie catholique 1917

    « …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»

    À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde  du Disciple Saül de Tarse nommé Paul quand il écrit à Timothée.

    II Timothée 3 : 13-17

    « Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.

    Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les saines Lettres. --- et non saintes Lettres comme cela est écrit car toujours pour la même raison.---- Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen » -- Christ Jésus -- ou -- Jésus-Christ --

    Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »

    Je réitère ce que j’ai écrit

    En instituant le « Carême » avec le « Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont  profondément ancrées dans le paganisme ancien.

    Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?

    Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »

    Venons-en maintenant à la fête de Pâques 

    Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison  a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques

    Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »

    « La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux III  et IVème siècles, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujour­d'hui dans l'Église Romaine.

     On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en sou­venir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »

    Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est  « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâquejamais les Pâques !--- C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.

    « Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême. »

     « Il faut savoir, dit le moine  Johannes Cassianus  de Marseille, écrivant au Ve siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'obser­vation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » (Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30).  

    D'où venait donc cette observation ?

    Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne. Le jeûne de 40 jours au printemps de l'année est encore observé par les Yezidis ou adora­teurs païens du diable dans le Kurdistan, qui l'ont emprunté à leurs anciens maîtres les Babyloniens.

    II en était de même en Égypte. » (Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278)

    « Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, (vol. I, p. 112) , était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur. 

    Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »

    Socrate de Constantinople (380-450), l'historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.

    « Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).

    Je cite toujours des extraits des Deux Babylone en ajoutant des références de confirmation.

     « Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. Dans bien des pays cette mort était célébrée beaucoup plus tard que la fête chrétienne.

    En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:

    « C'est le mois de Tammuz. »

    En Égypte, vers le milieu de mai.

    « Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chré­tiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres. »

    Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C.,  auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de quatre années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chré­tienne, ou de la naissance du Christ lui-même.

     Le fit-il par ignorance ou volontairement ?

     

    Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

    Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à « Tous » !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »



    votre commentaire
  • PÂQUE, année 2015

     

     

    La commémoration de la Pâque pour « Nous » enfants d’EL-SHADDAÏ sera dans six semaines, alors comme chaque année, j’écris sur l’histoire de la Pâque, essayant de me renouveler, afin que cette révision soit agréable pour ceux qui me suivent depuis plusieurs années.

    C’est la seule et unique fête, que ce DIEU seul et unique, nous demande de respecter. Alors par amour pour Lui, Lui qui tous les jours nous donne sont amour par tous les bienfaits, plaisir des yeux, du goût, de l’odorat, plus tout le nécessaire pour nous vêtir et remplir notre ventre, fêtons comme il nous le demande cette Pâque dans la joie !

     

    Petit texte d’introduction

     

     

    Pour nous, « Enfants » de cet admirable Dieu seul et unique, EL-SHADDAÏ, nom que lui donnait Abraham et toute sa descendance jusqu’à Moïse, où son véritable « Nom » fut dévoilé aux Humains, ces mêmes humains, quelques dix siècles plus tard, décrétèrent ce nom trop « Saint » pour être prononcé par la populace.

    Avec les décennies, les discordes entre humains de mêmes langues, priant le même Dieu, sans compter les déportations massives du peuple ainsi que les invasions successives, firent que le « NOM » disparut du langage et des « Écritures » remplacé par ce tétragramme de quatre lettres « YHWH » qui se prononcerait hypothétiquement « YAVHÉ » qui signifierait « Seigneur » tout comme « Élohim ».

    Comme toute chose porte un « Nom », nous, ses « Enfants » le nommerons donc comme Abraham, qui ignorait son véritable « Nom », nous l’appellerons « EL-SHADDAÏ », « Dieu au-dessus des Montagnes » et non, ce « Nom » vulgaire de « DIEU » employé péjorativement par toute la « Chrétienté » car elle nomme son dieu, « Dieu ».

    Vous venez de lire, c’est vraiment péjoratif, vulgaire comme Nom pour Celui qui nous a créé. Reconnaissez qu’EL-SHADDAÏ, Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Principe des Jours, Yahvé, Seigneur des Esprits, Être-Suprême, etc, sont des « Noms » pour qualifier le Dieu seul et unique, notre Père Fondateur, plus agréable que ce vulgaire nom de dieu « DIEU »

    Voilà pourquoi je change systématiquement le nom « DIEU », en, EL-SHADDAÏ, dans tous mes écrits et dans toutes les références bibliques et apocryphes.

    Nous, ses « Enfants », nous allons en cette année 2015 lui prouver qu’il est vraiment notre Père Céleste, en respectant la seule et unique fête qu’il nous demande de commémorer, la « Pâque » et non les « Pâques » comme le célèbre le christianisme, toutes confessions entendues, c’est-à-dire pour être clair, des Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et toutes leurs innombrables factions comme les Témoins de Jéhovah, Baptistes, Évangéliques, Scientologues, Calvinistes, Luthériens, mais aussi tous les Jésus en Sauce, les Franciscains, Dominicains, Jésuites, Carmélites, etc …

    Comme à l’ère d’Abraham quatorze jours après l’Équinoxe du Printemps qui est la Nouvelle Lune, où pour nos villageois, la Lune Rousse, et pour le calendrier Hébreux le 14 Nisan, la « Pâque » sera pour nous, cette année, le Vendredi 3 Avril, entre les deux soirs. Nous mangerons cette « Pâque » comme EL-SHADDAÏ notre Dieu, le seul que nous vénérions, adorions, glorifions nous le demande et pas un autre, sûrement pas son Fils unique Jésus le Nazôréen, le Bien-Aimé, notre Roi aux Cieux et médiateur, assesseur sur la Terre en attendant son intronisation sur cette dernière.

    Vous savez impertinemment que je vous donnerai de plus amples détails au fur et à mesure que nous nous approcherons de la date de la « Pâque 

     

    Chapitre N° 1

     

    Naissance de la fête de Pâque

     

    La Pâque, la seul fête qui existe depuis le commencement de la vie de l’humain sur la Terre.

    La seul fête aussi qu’EL-SHADDAÏ nous demande de respecter.

    En effet cette fête, est la fête du renouveau,  d’un nouveau cycle saisonnier pour la nature, qui commence par la fête du printemps, victoire de la Lumière sur les Ténèbres.

    Bien avant que le peuple hébreu ne soit connu, les humains faisaient une fête à l’équinoxe du printemps surtout les familles et clans nomades. Ces humains qui vivaient de l’élevage de petit et moyen bétail se déplaçaient sans cesse afin de trouver le l’herbe grasse pour leurs troupeaux. Alors cette fête du printemps était une très grande fête pastorale.

    C’était la fête de la Pâque qui avait un nom différent selon la langue, le dialecte du clan ou de la tribu ou encore du peuple, mais le résultat était le même puisque cette fête se faisait toujours à la même époque.

    On sacrifiait un petit bétail pour offrir aux Dieux et avec son sang on badigeonnait les pourtours de l’entrée de la tente ou de la cabane afin que les Dieux détournassent les mauvais Esprits et protégeassent toute la famille ou le clan pour l’année.

    Ceux qui vivaient de l’agriculture faisaient la même chose en façonnant un pain sans levain qui sera nommé le pain azyme.

    Le mot « hébreu » qui vient d’un très vieil araméen serait la langue sacré d’El-Shaddaï d’avant la « Confusion » à la Tour de Babel, la seule langue qui existait à l’époque et qui fut éradiquer au moment du changement d’aspect des humains et de leur langage. Seul un petit nombre de justes gardât cette langue qui disparut malgré tout avec le temps. La légende veut que ce soit El-Shaddaï qui remit cette langue dans la bouche d’Abraham.

    Ce sont les humains de l’époque qui donnèrent le nom d’ « Hébreux » au clan de Térakh, père d’Abraham car il signifiait « Ceux qui passent ». En effet ils se déplaçaient beaucoup pour faire paître leur immense troupeau de bovins, caprins, moutons.

    N’oublions pas que l’humanisation de la Terre est partie du plateau du Mont Loubard en Anatolie --- Turquie d’aujourd’hui --- qui faisait partie des montagnes Ararat où le Tigre et l’Euphrate prennent leur source. Ces deux grands fleuves se jettent dans le Golfe Persique. Toute cette région entre ces deux fleuves était très fertile. Se sera la Mésopotamie.

    Nous ne sommes peut-être pas à l’ère d’Abram, mais sûrement à celle de ces géniteurs.

    Faisons un peu d’histoire antique, --- une Légende ---

    « Dumuzi en sumérien ou Tammuz en babylonien est un Dieu-pasteur mésopotamien, ainsi que le Dieu de la fertilité dans la religion babylonienne. C’est un berger-Roi uni à Ishtar --- qui se prononce « Easter » --- déesse mythologique hermaphrodite --- qui possède les deux sexes --- babylonienne de l’amour physique et de la guerre, d’une renommée culturelle jamais égalée. Elle portera le nom de Inanna en sumérien, Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, Vénus à Rome, Isis chez les Égyptiens, Astarté en Ougarit, Ashtoreth, chez les Palestiniens, Shaushka  chez les Hourrites, Ashtart en langue punico-phénicienne, etc.

    Un récit mythologique oppose Tammuz ou Dumuzi à Enkimdu, dieu des agriculteurs, auquel il dispute les faveurs de la déesse Inanna, qui finit par le choisir. Cela reprend les conflits entre agriculteurs et pasteurs.

    Dans une autre légende, la Descente d'Inanna ou Ishtar aux Enfers, elle est choisie par sa parèdre pour la remplacer aux Enfers. Il est donc mort, et est alors considéré comme une divinité infernale. Il se fait cependant remplacer une moitié de l'année par sa sœur Geshtinanna.

    Le retour de Dumuzi ou Tammuz sur terre est vu comme le début du renouveau de la nature. Cela est notamment marqué dans les rituels mésopotamiens par le Mariage sacré Hiérogamie, dans lequel les rois sumériens interprétant Dumuzi, s'unissaient rituellement à la déesse Inanna, pour marquer le retour du printemps.

    Inanna ou Ishtar en Akkadien, Babylonien est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien. »

    Nous pourrions dire que les événements décrits ci-dessus constituent, dans un certain sens, la fête de Pâques.

    Je vous ai écrit tout ceci afin de vous faire comprendre que la « Pâque » avant d’être religieux comme nous l’entendons aujourd’hui était une fête pagano-religieuse.

    La fête de Pâques pratiquée aujourd’hui par le christianisme, n’est-elle pas retournée à son origine païenne avec toutes ces cérémonies de jours « Saints » comme ce Vendredi avec son chemin de croix ou vous chrétiens vous vous signez quatorze fois devant une icône en tableau ? …

    Ce geste est bien un geste idolâtre puisque vous vous signez devant de la matière sans vie ! …

    Nous disons la Pâque juive et les Pâques chrétiennes. La Pâque juive a influencé la célébration chrétienne, et elle n'a pas la même signification.

    La Pâque juive commence le 15 Nissan : --- le mois de Nissan est à cheval sur les mois de Mars et Avril du calendrier grégorien ---, c'est le mois des épis et le premier mois de l'année, selon la Torah. Le calendrier juif est lunaire. Le mois commence avec la nouvelle lune. Le premier jour du mois de Nissan est celui de la première nouvelle lune autour de l'équinoxe de printemps. Le jour de Pâque est le jour de la pleine lune suivante. En cette année 2015 la première nouvelle lune autour de l’équinoxe de  Printemps se trouve être le Vendredi 20 Mars qui sera le premier jour du mois de Nissan, la journée commençant le 20 Mars après le coucher du soleil. Le jour de Pâque sera donc le Vendredi 3 Avril, entre les « Deux Soirs » après le coucher de soleil, mais nuit de pleine lune.

    À l'origine, il existait deux fêtes pour célébrer le printemps.

    Le « Hag Ha-Pessah » : fête de l'agneau pascal. C'est une fête pastorale dont l'origine remonte au temps où le peuple hébreu était un peuple de nomades. Nous pouvons remonter jusqu'à l’ère du père, Térakh, voir du grand-père, Nak-hor d’Abram dit Abraham.

     Le rite du sang avait une valeur importante. On prenait le sang de l'agneau pour oindre le pourtour des portes d'entrée de la tente ou de la cabane. C'était un rite de protection pour détourner les mauvais esprits et protéger ainsi la famille.

    Le mot « pâque » désignait ainsi la fête et aussi l'animal que l'on sacrifiait et que l'on mangeait. --- pastorale, agneau --- Ce sacrifice était encore pratiqué au temps de Jésus mais ne l'est plus depuis la destruction du second temple de Jérusalem en 70 de J-C. ou  EC, --- Ère Commune. ---

     Le « Hag Ha-Matsoth » : fête du « Pain sans levain », est une fête agricole célébrée par un peuple sédentaire au début de la moisson. Le « Pain sans levain » porte aussi le nom de pain « Azyme. »

    « La Pâque », de l’hébreu « pessa’h -- il passa par-dessus » d'où « passage », est le nom de la fête juive  qui commémore la sortie d’Égypte. D'après les Évangiles, c'est pendant cette fête juive qu'eut lieu la résurrection de Jésus ; c'est pourquoi le nom a été repris pour désigner la fête chrétienne.

    Pâque est bien considérée comme la fête du renouveau.

    La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.

    Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot « Pessah » signifie « passage ». Il désigne le passage de « Yahweh »,-- EL-SHADDAÏ -- qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot  commémore aussi le passage de la Mer Rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.

    Encyclopédie juive :

    « La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de 7 jours -- 8 jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »

    Abraham, qui dans les montagnes de Harran, appela ce Dieu qu’il entendait mais ne voyait pas, EL-SHADDAÏ, qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes » quitta son père pour partir en Canaan.

    Il eut un fils Isaac et Isaac eut Ésaü et Jacob. Jacob fut appelé Israël par El-Shaddaï car il eut douze fils qui formèrent les douze tribus d’Israël. Léa sa femme lui enfanta Ruben, Syméon, Lévi, Juda, Ysachar, Zabulon et Dina leur sœur, Rachel sa femme lui enfanta Joseph et Benjamin. Bala sa première concubine lui donna Dan et Nephtali, quant à Zelfa sa deuxième concubine elle enfanta de Gad et Aser.

    Les enfants de Jacob suite à une grande famine se réfugièrent en Égypte où Joseph leur frère était « Grand Chambellan » du Pharaon du peuple Hyksôs. C’est dans ce pays l’Égypte que le « Peuple d’Israël » se forma. C’est de ce pays qu’El-Shaddaï délivra son « Peuple » de la servitude.

    Contrairement à ce que certains de mes semblables pensent, ce Dieu ne choisit pas un « Peuple », mais la descendance d’un humain fidèle, qui devint un « Peuple ».

    Pour reconnaître la descendance de cet humain, El-Shaddaï passa une alliance avec lui.

    Genèse XVII : 1-5, 7, 9-11, 17, 19, 21

    « Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit :

    « Je suis El-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. J'institue mon alliance entre moi et toi, et je t'accroîtrai extrêmement. »

    Et Abram tomba la face contre terre. EL-SHADDAÏ lui parla ainsi :

    « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d'une multitude de nations.

    Et l'on ne t'appellera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d'une multitude de nations

    J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi. » »

    « EL-SHADDAÏ dit à Abraham :

    « Et toi, tu observeras mon alliance, toi et ta race après toi, de génération en génération.

    Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis.

    Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. » »

    « Abraham tomba la face contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même :

     « Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a quatre-vingt-dix ans va-t-elle enfanter ? »

    « Mais EL-SHADDAÏ reprit :

     « Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui. »

    « Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. » »

    Selon la Bible, à l'époque des pharaons, les Hébreux vivaient en esclavage en Égypte.

     L’Exode est à l’origine de la fête juive de la Pâque et est considéré comme l’événement fondateur de l’identité des « Enfants d’Israël » et de leur relation avec EL-SHADDAÏ

    Voici le texte biblique, Exode XII : 12-19

    « Cette nuit-là je parcourrai l'Égypte et je frapperai tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, tant hommes que bêtes, et de tous les dieux d'Égypte, je ferai justice, moi, EL-SHADDAÏ

    Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous vous tenez. En voyant ce signe, je passerai outre -- par-dessus -- et vous échapperez au fléau destructeur lorsque je frapperai le pays d'Égypte.

    Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour -EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel.

    Pendant sept jours, vous mangerez des azymes. Dès le premier jour vous ferez disparaître le levain de vos maisons car quiconque, du premier au septième jour, mangera du pain levé, celui-là sera retranché d'Israël.

    Le premier jour vous aurez une sainte assemblée, et le septième jour, une sainte assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

    Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

    Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour.

    Pendant sept jours il ne se trouvera pas de levain dans vos maisons, car quiconque mangera du pain levé sera retranché de la communauté d'Israël, qu'il soit étranger ou né dans le pays. »

    Vous constaterez le mystère de ce signe, « --- le sang --- » car il correspond à un rite païen de protection.

    Je pense que vous avez dû remarquer que le premier jour de la fête des « Pains Azymes » est un jour saint, un jour sanctifié, un jour d’adoration de vénération, donc un jour sabbatique, tout comme le septième jour, un exemple pour cette année 2015 le Vendredi 3 Avril du coucher du soleil, jusqu’au Samedi 4 Avril au coucher du soleil sera une journée sabbatique, qui cette année était aussi le commencement du jour sabbatique normal.

    La Pâque est donc devenue la célébration de la libération du peuple hébreu. C’est un transfert de l'esclavage à la liberté, la renaissance du peuple d'Israël, comme le printemps est la renaissance de la nature. 

    Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâque en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient l'agneau au temple puis le mangeaient en famille.

    Jésus-Christ étant juif, il est logique de penser que tous les ans avec sa famille, il allait en pèlerinage à Jérusalem. N’est-ce pas à cette époque, que, à l’âge de douze ans, il lisait sur les rouleaux de cuivre, le livre d’Isaïe devant le Sanhédrin au Temple ? …

    Je pense et j’espère pouvoir vous écrire six chapitres sur la Pâque, jusqu’au jour où chacun chez- soit mais tous ensembles nous célébrerons la Pâque, jour de joie et de bonheur.

    Oui, avec vous le Vendredi 3 Avril entre les deux soirs, nous mangerons la Pâque car je serai avec vous,  et deux convives en plus, Jésus le Nazaréen qui sera là, à votre table, assis parmi-vous pour manger et fêter cette Pâque, son Père et notre Père, son   Dieu et notre Dieu, sera aussi avec vous, vous pardonnant votre imperfection, mais vous encourageant dans vos efforts comme un Père avec amour remet ses « Enfants » sur le droit chemin.

    Portez-vous bien ! Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »


    votre commentaire
  • SAINT VALENTIN fêtes païenne ?...

     

    Miracle ! …Elle est Chrétienne

     

    Cette fête fut fixée arbitrairement le 14 février par un Évêque de Rome Gélase 1er, jour de son anniversaire. De cela je vais y revenir un peu plus loin

    Comme toujours avant d’être une fête religieuse chrétienne, c’était une fête païenne qui avait une certaine importance dans l’Empire Romain, particulièrement à Rome et toutes les citées environnantes ainsi que  les provinces.

    Dans la Rome antique, les « Lupercales » sont les fêtes annuelles célébrées à Rome du 13 au 15 février, près d’une grotte nommée le « Lupercal », en l’honneur du dieu des troupeaux, Faunus Lupercus qui est le protecteur des troupeaux contre les loups d’où son nom de « Lupercus » et il donne aussi la fécondité à ces troupeaux d’ovins et caprins.

    Les Luperques, prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc, un bélier, une chèvre à leur dieu dans la grotte du Lupercales, au pied du mont Palatin, à coté de la ville de Rome, où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Raimus, après avoir découvert les deux jumeaux sous un figuier sauvage situé devant l'entrée de celle-ci.

    La coutume voulait que, une fois le sacrifice animalier et la cérémonie religieuse terminée, deux jeunes hommes, aristocrates de préférence, vêtus uniquement d'un pagne avec la peau de l’animal qui avait été sacrifié, courraient dans toute la ville de Rome, armés de lanières taillées dans la peau de l’animal sacrifié, avec lesquelles, ils fouettaient les femmes rencontrées sur leur passage et qui souhaitaient avoir un enfant dans l’année, afin de les rendre fécondes.

    En réalité cette fête célébrée dans tout l’Empire Romain et l’Europe était la fête des célibataires. Dans les villages les jeunes femmes célibataires en âge de se marier allaient se cacher aux alentours du village et les jeunes hommes célibataires devaient les trouver. Ce jeu, qui durait trois à quatre jours, était ouvert à de toutes les triches possibles et inimaginables car certains hommes visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.

     À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages.

    La terre commençait à se réchauffer car les journées de lumière étaient plus longue et le soleil montait dans le ciel. Pour les uns c’était bientôt les semailles, pour les autres c’était de remettre les animaux dans les prés. Dans la basse-cour l’on sentait l’époque des amours tout comme les oiseaux dans les arbres.

    L’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fécondité date de l’Antiquité.

    Dans le calendrier grec de l’antique Athènes, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage incestueux, mais sacré de Zeus, fils des Titans Kronos et Rhéa tout comme son épouse Héra qui est leur fille, déesse de la fécondité et sœur de Zeus.

    Alors comment est venue cette fête chrétienne de la « Saint Valentin »

    Au troisième siècle trois « Saints nommés Valentin » étaient vénéré par ceux que l’on commençait, du bout des lèvres, à appeler « Chrétiens », et le plus connu de tous, était le moine Valentin de Terni.

    Valentin de Terni était un moine qui vivait à l’époque de l’Empereur Claude II le Gothique  -- 214-270 règne de 268 à 270 --- surnommé Claude II le Cruel

    Valentin était connu pour conseiller les jeunes amoureux. Il est dit qu'une fois les jeunes hommes assurés par les paroles de Valentin, celui-ci donnait, en guise d'offrande, une fleur de son jardin au prétendant, lequel s'empressait de rejoindre sa dulcinée pour la lui offrir.

    La légende

    « Claude II n’aimait pas particulièrement la chrétienté et ordonna que Valentin de Terni soit arrêté et emprisonné.

    C'est dans cette période de sa vie qu'il rencontra la fille de son geôlier, laquelle s'appelait Julia et était aveugle de naissance. Durant sa captivité, Valentin entretint des relations amicales avec Julia. Celle-ci, étant donnée sa cécité, avait demandé à Valentin la description du monde. Julia, par amour envers Valentin, lui apporta à manger jusqu'au soir où, un miracle se produisit.

    Certains témoins auraient dit avoir aperçu une vive et forte lumière par la fenêtre de sa cellule, Julia venait de trouver enfin la vue ! Ses paroles furent :

    « Maintenant je vois ! Je vois le monde tel que vous me l'avez décrit ! »

    Ce grand événement parvint jusqu'aux oreilles de Claude II le Cruel, lequel n'apprécia pas ce genre d'histoire, et ordonna sur le champ l'exécution de Valentin.

    Le jour de son exécution, il fut roué de coups par les légionnaires romains et fut décapité sur la voie Flaminia, le 14 février 269.

    Il est dit que Julia planta, près de la tombe de Valentin, un amandier et cet arbre fut depuis ce jour, le symbole de l'amour. »

    Valentin de Terni aurait été martyrisé au IIIème siècle par l’Empereur Claude II le Gothique. C’est l’Évêque de Rome, Alexandre IV, qui déclara Valentin saint et martyr et comme épitaphe il fut le « Patron des Amoureux » fêté le 14 Février.

    Depuis ce jour c’est une fête chrétienne en remplacement des fêtes païennes de l’époque quelle soient grecque ou romaine.

    Fin du cinquième début du sixième siècle le monde chrétien est toujours en proie à la discorde entre Byzance nommé Constantinople et Rome. N’oublions pas que les Empereurs de l’empire Romain sont les « Pontifex Maximus » de la religion chrétienne.

    Gélase Ier, d’origine berbère, est l’Évêque de Rome de 492 à 496 sous l’Empereur Anastase 1er.

    J’écris sur cet Évêque que la chrétienté nomme « Pape », alors que lui se considère « Évêque » car le terme pontife « Pape » n’existe pas encore dans le christianisme, mais aussi pour « notre fête ».

    Gélase défendit vigoureusement la primauté de Rome lors du schisme d'Acacius, patriarche de Constantinople, conséquence de la politique religieuse de l'empereur Zénon[]

    Il continue la politique d'indépendance de l'Église, entamée par Félix III, en particulier vis-à-vis de la cour de Byzance et du nouvel empereur Anastase 1er en lui faisant parvenir en 494, une lettre où il formule avec clarté le principe, qui selon lui, doit inspirer les relations entre l’évêché et l'empire.

    « Deux pouvoirs, Auguste Empereur, règnent sur le monde.

    Le pouvoir sacré des Évêques et le pouvoir des Rois. Le pouvoir des Évêques l'emporte d'autant plus sur celui des Rois que les Évêques auront à répondre au tribunal de Dieu de tous les hommes, fussent-ils rois.

    Votre pieuse Majesté ne pourra donc qu'en conclure que personne, en aucun temps, sous aucun prétexte humain, ne pourra jamais se dresser contre la fonction absolument unique de cet homme que le précepte du Christ lui-même a placé à la tête de tous et que la Sainte Église reconnaît comme son chef. »

    Comme vous venez de le lire le terme « pape » n’est absolument pas employé. Vous constaterez en même temps le peu d’humilité dans cette écriture. En plus le mensonge ne le dérange pas beaucoup car jamais, je dis bien jamais, Jésus le Nazaréen n’aurai accepté une telle vanité.

    De plus j’ai constaté dans « Wikipédia » que le terme véridique et historique dérangeait et volontairement remplacé le terme « Évêque » par le terme « Pape » alors que le véritable « Pontife » de la chrétienté fut sous Gélase 1er l’Empereur Zénon puis Anastase 1er.

    Ce que je viens d’écrire est historique alors je serai heureux que « Wikipédia » remette la vérité il en va de sa crédibilité.

    Pour éradiquer la fête de Lupercales, Gélase Ier décide autoritairement en 495 de célébrer la fête de la « Saint Valentin » le 14 février qui sera la fête chrétienne des amoureux, et dans le même élan il interdit cette fête païenne, cette date étant aussi la date anniversaire de sa naissance

    Si cela n’est pas une christianisation d’une fête païenne, dites moi ce que c’est !

     Un peu d’histoire !

    Jules 1er est intronisé Évêque de Rome en l’an 337, jusqu’en l’an 352 année de sa mort, c’est-à-dire qu’il est le premier Évêque de tous ceux de la cité de Rome mais aussi de ce que l’on nommera « l’Évêché Occidental » puisqu’il sera élu « Premier Évêque » par tous les Évêques d’Italie, mais aussi par ceux des Gaules et les Ibériques.

    L’encyclopédie catholique des Pères de l’Église :

    « Comme Évêque de Rome il sera en conflit contre les courants d’idées qui divisaient profondément les « Messianistes, la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, Nazareth, etc » toutes ces sectes juives que l’on commençait à appeler « Chrétien », sur l’Arianisme, le Donatisme et autres. En dehors des murs de Rome il fit construire une église sur la route de Porto, une deuxième via Aurélia où il sera inhumé, et une troisième, celle qui nous intéresse sur la via Flamina dédié au tombeau du martyr Saint-Valentine  découverte récemment par l’archéologie.»

    À cette fête Gélase Ier ajouta la fête de la « Chandeleur » qui devient une fête chrétienne le 2 février en remplacement de la fête païenne de purification des « Chandelles », qui faisait partie des fêtes de Lupercales.

    Quand j’écris que la chrétienté est l’emblème de SAMMAËL sur la Terre je suis vraiment dans la vérité.

    Et aujourd’hui que reste-il de cette fête théoriquement religieuse. En premier c’est une fête commerciale pour enrichir les riches qui sont de plus en plus riche.

    Mais au niveau spirituel. ?

    La chrétienté, par une Messe ce jour là, bénit les lesbiennes, les homosexuels, les adultérins, enfin tous ceux qui s’aiment par un acte sexuel, cette fête étant la fête de la fécondité. Je ne dis pas que les deux premières catégories citées ci-dessus peuvent se reproduire, quoiqu’il y en ait de plus en plus.

    Il faut bien que les « Prophéties » se réalisent ! …

    Ce qui me fait plaisir c’est que nous sommes vraiment retournés à une fête païenne, transformée et encore beaucoup plus inique que la fête d’origine, approuvé par le « Dieu » des Chrétiens, ce qui m’étonnerait puisqu’il a en horreur les humains qui pratiquent le contre-nature

    Pour finir aucun texte Biblique ne parle de cette fête de la Saint Valentin ou plus exactement de « Lupercales »

    Alors devrait-on supprimer cette fête ?

    Que nenni !

    Jamais EL-SHADDAÏ n’a interdit une fête tant qu’il n’y pas d’adoration d’idoles pour un « Dieu » quelconque.

    La fête des amoureux c’est la fête de ses êtres humains qui ne font qu’un. Ces couples hétérosexuels, homme femme, qui vivent ensembles depuis un certains nombre d’années. Ceux que vous appelé les « vieux jeux » !

    Dans cette époque moderne sans amour, si l’amour sexuel, que vous reste-t-il ?

    Rien !

    Ce n’est pas vos Curé, Abbé, Pasteur qui vous apprennent l’amour au sens « SAIN » du terme. Pour vivre avec quelqu’un pendant trente, quarante, cinquante ans et plus, il faut beaucoup d’amour, car l’amour demande des concessions, de la patience, s’accepter mutuellement avec ses qualités et ses défauts, savoir pardonner, je ne parle pas d’adultère ceci est une autre histoire, et que chacun tienne le rôle de sa génétique.

    Combien de femme de quarante ans quitte leur marie pour la « Bisouquette » et quelles t’ont gagné ?

    Que des déboires !

    Il est reconnu aujourd’hui le nombre incalculable de femme qui étant à l’âge de la retraite se retrouve seule, bannit par leurs propres enfants, filles où garçons. Les enfants sont plus indulgents pour leur père que pour leur mère car ils disent :

     « Papa est un homme il propose, si la femme refuse il s’en va. »

    Comme ils disent « L’homme propose la femme dispose ! » donc c’est à leurs yeux la femme qui est responsable et non l’homme.

    En plus la femme veut être légale de l’homme, c’est sa perte !

    J’ai beaucoup de jeunes qui me rendent visite et dans nos discussions tous disent la même chose. Mon propre fils pense comme eux. Il y en a qui ont été marié, Église et Mairie et tous disent :

    « Jean-Paul, pourquoi voudrais-tu que je prenne une gonzesse ? Pour faire comme avec la première que je fasse le ménage, la vaisselle, le repassage, même le lit conjugale elles ont la rame de le faire et si tu fais une réflexion elles te disent : «  t’as qu’à te le faire ! »

    « Alors pour faire tout cela je n’ai pas besoin de « Nana » je suis assez grand pour le faire tout seul sans être emmerdé par une gonzesse et puis comme je suis un garçon Maman me lave et repasse mon linge ou sinon je le donne à la laverie et il est tout propre et repassé alors pourquoi veux-tu que je m’emmerde ? 

    Quand à la bagatelle ce n’est pas les « salopes » qui manquent, surtout avec internet deux heures après tu en as une dans ton lit voir deux alors ! »

    Ce que je viens d’écrire est malheureusement la vérité !

    Enfin chez nous, nous ne fêtons pas la « Saint Valentin » car cela est une fête idolâtre et comme mon épouse dit

    « Nous la fête des amoureux c’est tous les jours, car les jours passant nous nous aimons de plus en plus, cela n’empêche pas que nous devons faire des concessions car nous ne sommes pas toujours en accord et ils nous arrivent des prises de bec, cela fait partie de la vie de couple. »

    Je tenais à dire qu’une femme qui tient son rôle de femme est une fortune pour l’homme qui la possède !

    Et il en existe car j’en connais même des jeunes et elles sont loin d’être malheureuse même si leurs copines les prennent pour des tarées.

    Comme elle disent ; «  Moi, je suis heureuse et je n’ai pas besoin d’aller me défouler et me saouler en boîte de nuit car je suis contente de ma vie, et mon mari n’a pas besoin d’aller chercher ailleurs car il a le vêtement soigné, le ventre plein d’une bonne cuisine et il m’offre et je lui donne le nécessaire au lit. »

    Ça, c’est de l’amour !

    Cette jeune personne qui est entre la trentaine et la quarantaine est loin d’être malheureuse. Son époux était, je dis bien était un fervent catholique et voulait faire baptiser ses enfants, et elle, qui n’a aucune religion, est aussi opposée à tous sacrements religieux quel qu’il soit. Il faut reconnaître que pour faire plaisir à sa femme il n’a pas fait le « forcing ». Son père à lui, involontairement a donné raison à sa belle-fille. En effet lui qui était un pilier d’Église, qui a poussé ses enfants à tous les sacrements, qui faisait mauvaise figure à sa belle-fille sûr le sujet religieux, voilà que l’on vient d’apprendre que la femme de cette homme portait les « cornes » à ne pas pouvoir entrer chez- elle et en plus à soixante six ans il quitte son épouse pour une personne de soixante dix ans. Je peux vous dire que les enfants, filles et garçons, ont leur auraient mis un poing sur le nez ce  n’aurait pas été pire. La seule qui jubilait était l’épouse, la personne que je vous cite depuis quelques lignes.

    Comme elle dit : Jean-Paul je ne vais pas à l’église mais au niveau conscience je suis plus propre que tous ces gens car je peux te dire que ce n’est pas l’exception dans le village, alors j’aime mieux être le complément de mon mari, en vivant heureuse, car là-dessus j’ai confiance en lui. S’il venait à me tromper je le verrais tout de suite tellement je le connais

    Personnellement, et je reconnais que c’est de l’égoïsme, je ne voudrais pas que mon épouse parte pour le « Grand Sommeil » avant moi, car là, je serai perdu, mais ce qui me fait plaisir c’est que la pensée est exactement la même pour mon épouse.

    C’est là, qu’il y a la foi, EL-SHADDAÏ dans sa bonté, par sa justice divine sans faille, si nous sommes toujours resté fidèle dans ces Lois, alors je sais que quoiqu’il arrive dans peu de temps nous allons nous retrouver pour une éternité et ça !...., c’est fantastique, merveilleux !

    Maintenant c’est à vous de choisir, comme je le dis souvent vous êtes responsable de vous, de vos actions, vous avez la liberté de choisir sans torture, sans menace, pour mon Maître EL-SHADDAÏ ou pour le Roi de cette Terre et de ses environs SAMMAËL, celui que vous nommez « SATAN ».

    Portez-vous bien et prenez soins de vous !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


    votre commentaire