• Déchéance d'une religion Chap. N° 7 - Conciles, Trinité, Épîtres

    Représentation
    de la « Sainte Trinité »

     

    Première
    Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler
    personne « 
    Père »
    sur la Terre, car un seul est votre « 
    Père »
    celui qui est dans les cieux. »
    ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors
    pourquoi un « Très Saint
    Père = le Pape
     », pourquoi nommé un prélat « mon
    Père
     » ?

    « Notre
    Père qui est aux cieux …
     », cela fait bien partie
    de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que
    ton Nom soit sanctifié…
     », ton nom ce n’est pas
    ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu »
    il en existe des milliers, donc que « ton
    NOM
     » comme EL-SADDAÏ
    qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu
    au-dessus des Montagnes
     », cela est un « NOM »
    comme Très-Haut, Tout-Puissant,
    Roi des Âges, Éternel, Yahvé
    , etc.

    Ce
    Nom est un nom « Saint »
    voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer,
    glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le
    sien à lui, le Dieu seul et
    unique !

    Je
    viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du
    christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire
    et déchéance de cette Religion

     

    Dernières
    lignes du chapitre précédent

     

    Jean
    VIII : 28 - 29, 42, 54

    « Jésus
    leur dit donc : « Quand vous aurez élevé le Fils de
    l'homme,
    alors vous saurez qui je suis et que je
    ne fais rien de moi-même,
    mais je dis ce que le
    Père m'a enseigné,
    et celui qui m'a envoyé est avec
    moi. Il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui
    lui plaît.
    »

    Jésus
    leur dit : « Si EL-SHADDAÏ  était votre Père, vous
    m'aimeriez,
    car c'est d’EL-SHADDAÏ que je suis sorti et
    que je viens.
    Je ne viens pas de moi-même, mais
    mon Père EL-SHADDAÏ m'a envoyé.
     »

    Jésus
    répondit :

    «
    Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien.

    C’est
    mon Père EL-SHADDAÏ qui me glorifie, lui dont vous dites : «Il est
    notre Dieu», et vous ne le connaissez pas. Mais moi, je le connais
    et si je disais : « Je ne le connais pas », je serais semblable à
    vous, un menteur. Mais je le connais et je garde sa parole.
     »

     

    Chapitre
    N° 7

     

    Conciles,
    Trinité, Épîtres

     

    Le
    seul endroit dans la Bible où avec malice nous pourrions supposer,
    supputer une « Trinité » est dans l’évangile
    de Matthieu 28 : 18-20

    « S'avançant,
    Jésus leur dit ces paroles :

    «
    Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre.

    Allez
    donc, de toutes les nations faites des disciples,
    les
    baptisant au
    nom
    du Père

    et du
    Fils
    et du
    Saint
    Esprit
    , et leur apprenant
    à observer tout ce que je vous ai prescrit
    . »

    Les
    exégètes modernes affirment sans être démenti par le Vatican que
    « Fils et Saint-Esprit » sont des ajouts de ce
    verset et que l’original est « les baptisant au nom de mon
    Père et leur apprenant …
     »

    En
    second, si Jésus le Nazôréen avait réellement dit cela, il
    se mettait à égalité avec son Père, faisant preuve d’orgueil,
    de vanité, donnant raison à l’ennemi juré de son Père, Sammaël,
    Satan pour vous chrétiens, et supprimant
    la prérogative du « Dieu Unique
     ».

    Comme
    vous le voyez il est impossible que Jésus le Nazaréen, votre
    Jésus-Christ
    , ait pu prononcer ces paroles, la
    logique est trop évidente, et reconnaissez, combien par mon
    raisonnement, je suis dans la vérité et les exégètes aussi.

    Je
    reviens au christianisme primitif.

    Adoption
    du « 
    Symbole
    de Nicée
    . »
    qui porte aussi le nom pompeux de « 
    Symbole
    des Apôtres
     »
    est un « 
    kérygme »
    auquel il sera donné le nom de « 
    Credo ».

    Adoption
    de la
    consubstantialité
    du Père et du Fils. --- « 
    consubstantialité »
    ce mot introduit à ce Concile veut parler de la substance dont est
    fait le
    Père
    EL-SHADDAÏ

    et le
    Fils
    Jésus le Nazaréen.

    Ce
    problème né d’humains est toujours au cœur des questions
    christologiques, même aujourd’hui, mais ne doit pas être confondu
    avec le problème du « filioque » d’où vient la
    scission des Églises d’Orient et d’Occident. De tout cela,
    j’écrirai par la suite.

    Problème
    qui ne devrait pas exister, puisque le Fils ayant été engendré, il
    est obligatoirement de la même substance que son Père, avec un
    mélange mâle-femelle égalitaire sans être androgyne. Quant à la
    partie terrestre il est pour une partie charnelle-céleste et pour
    l’autre moitié, la partie de sa mère terrestre Marie. Comme tout
    être humain qui nait, ce Fils à un ADN pour moitié de son Père
    Céleste et pour moitié un ADN de sa mère terrestre, Marie, voilà
    pourquoi j’aurai aimé connaître son ADN.

    Cela
    explique aussi la puissance de guérison qu’il avait sur la Terre
    et pourquoi il pouvait vaincre la mort.

    Nous
    pouvons imaginer que, s’il n’avait pas été exécuté par les
    humains il aurait pu vivre indéfiniment, le vieillissement des
    cellules du corps n’ayant pas de prise sur Lui.

    Cette
    explication cloue le bec à tous ceux, surtout dans le monde
    protestant, qui lui attribue des enfants. Si cela avait été le cas
    ceux-ci auraient été des géants.

    Je
    reviens au « Symboles de
    Nicée-Constantinople
     » ou « Symbole
    des Apôtres
     » en 381 de J-C. Les Évêques
    décidèrent, et en vérité ils décrétèrent :

    Fixation
    de la date de
    Pâques.

    Adoption
    de l'ordre des sièges patriarcaux
    Rome,
    Alexandrie,
    Antioche
    et
    Jérusalem.

    Mais
    le terme « Trinité » et « Sainte
    Trinité
     » ne sera débattue, …

    Ni
    au premier Concile de Constantinople en 381

    contre la négation de la divinité du
    Saint-Esprit
    et contre les
    Ariens.

    Adoptions
    de la
    consubstantialité
    de l'Esprit-Saint avec le Père et le Fils, du « 
    Symbole
    de Nicée-Constantinople
     »
    qui est une confirmation du « 
    Credo ».
    Attribue le deuxième rang au siège patriarcal de
    Constantinople,
    reléguant Alexandrie au troisième rang.

    A
    ce Concile vous constaterez que « l’Esprit »
    devient substance, donc matière, cela
    permet de le considérer comme un « Dieu »,
    comme EL-SHADDAÏ qui est matière, puisqu’il
    est substance
    , tout comme son Fils, Jésus le Nazaréen,
    Jésus-Christ pour vous chrétiens, car celui-ci fut engendré
    et non créé, et de déclarer  cet « Esprit »
    « Saint », qui signifie sanctifier, vénérer,
    adorer, glorifier mais sûrement pas parfait, propre, sans tache,
    sinon « l’Esprit »
    aurait été orthographié comme ceci,  « SAIN »

    Ni
    au Concile de Chalcédoine en 451 de EC

    qui condamne la doctrine d'
    Eutychès
    selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, Divine, la
    nature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature
    divine, doctrine dite des
    Monophysites.

    Au
    contraire, le Concile affirme ses deux natures, divine et humaine en
    l'unique personne de Jésus-Christ.

    Adoptions
    du
    Symbole
    de Chalcédoine

    et de la Discipline des
    Sacrements.

    Il
    ne faut pas oublier qu’en 431 de J-C. il y eu le premier
    « Concile d’Éphèse » un petit concile où les
    humains proclamèrent Marie, la mère de Jésus le
    Nazaréen,
    « Mère de Dieu »
    et condamnèrent les idées de Nestorius, mais ils proclamèrent
    aussi « l’Unité de Personne en Jésus-Christ ».

    Comme
    il se doit, adoption du Symbole d’Éphèse.

    Athanase
    d’Alexandrie essaya dans ces écrits de faire adopter que Jésus
    le Nazaréen,
    Jésus-Christ pour la chrétienté, était
    Dieu lui-même
    , il dit :

    « L'homme
    ne serait pas sauvé si le Christ n'était pas pleinement Dieu ».

    Au
    Concile de Chalcédoine les Évêques abordèrent le terme de la
    « Trinité » sans rendre officiel ce dogme
    « Trinitaire ». Il faudra
    attendre le
    Concile de Constantinople
    II
    en 553
    de J-C
    . pour que la question soit
    définitivement tranchée.

    Comme
    l’on peut déjà se rendre à l’évidence des écrits, le Père
    Créateur ne compte plus, mais l’on prend son Fils pour un Dieu
    afin de se démarquer définitivement de la religion hébraïque, en
    trouvant un égal à ce Dieu.

    Cependant,
    les notions qui constituent la doctrine trinitaire ne sont pas
    contenues dans les
    Écritures.
    À ce sujet,
    Claude
    Tresmontant

    précise :

    «
    Si, comme c'est le cas dans tous les écrits du
    Nouveau
    Testament

    — sans exception — le terme « fils » désigne
    Jésus
    de Nazareth

    pris concrètement, c'est-à-dire l'Homme véritable uni à
    Dieu
    véritable, alors, comme c'est le cas aussi dans tous les écrits du
    Nouveau
    Testament
    ,
    le terme « père » signifie et désigne
    Dieu,
    purement et simplement. Dieu est le père de tous les êtres, parce
    qu'il est le Créateur. »

    Dans
    son Dictionnaire universel, Maurice Lachâtre écrit:

    «
    La trinité platonique, qui ne fut elle-même au fond qu’une sorte
    d’arrangement, de disposition nouvelle, des trinités plus
    anciennes des peuples qui avaient précédé, nous paraît bien être
    la trinité philosophique, rationnelle, c’est-à-dire la trinité
    d’attributs qui a donné naissance à la triplicité d’hypostases
    ou de personnes divines des Églises chrétiennes (...). Cette
    conception de la Trinité divine du philosophe grec Platon, IVème
    siècle av.EC. se trouve partout dans les anciennes religions[.]»

    J’ai
    constaté que les Évêques théologiens chrétiens des quatre
    premiers siècles se sont donné beaucoup de mal pour faire accepter
    à leurs ouailles cette « Trinité » que
    j’appellerai moi une « Trimurti » comme dans la
    religion hindoue, mais il ne faut pas oublier que peu de gens dans la
    population savait lire et que l’enseignement était surtout oral. 

    Selon
    l'
    Encyclopedia
    Britannica
    ,
    «
    Ni le mot Trinité, ni la doctrine explicite de la Trinité
    n'apparaissent dans le Nouveau Testament. Jésus et ses disciples
    n'avaient pas l'intention de contredire le
    Shema
    de l'Ancien Testament, savoir :
    « Écoute,
    Israël ! L’Éternel, ton Dieu, est Un.
     »
    - Deutéronome VI : 4

    {
    Le
    Shema
    Israël

    s'insère selon la
    Bible
    dans un long sermon prodigué par
    Moïse
    aux
    enfants
    d'Israël

    peu avant sa mort. Énoncé après la seconde version du
    Décalogue,
    il constitue le fondement du message mosaïque :
    le
    Dieu d'Israël est Un et il n'y en a pas d'autre
    .}

    La
    chrétienté
    a bien pris comme « DIEU » le
    Dieu d’Israël !

    L’Ancien
    Testament fait bien partie de ses Livres Sacrés à égalité avec le
    Nouveau Testament ?

    Donc
    nous avons la certitude que le Dieu « DIEU » des
    chrétiens, EL-SHADDAÏ pour moi, est bien seul et unique puisque
    c’est le même Dieu que les hébreux !

    Chercher
    l’erreur avec cette « Sainte trinité » ! … !

    La
    Bible a aucun moment ne parle de « Trinité »,
    mais il ne faut pas oublier que les copistes de ce livre ce sont
    livrés à des suppressions de mots, de phrases, de tournure de
    phrase, mais aussi à des ajouts tel que : « Au nom du
    Père, du Fils et du Saint-Esprit.
     »

    Avec
    de tels ajouts il n’est plus difficile d’inventer une
    « Trinité » 

    Maintenant
    reculons d’un petit siècle, c’est-à-dire vers l’an 100 de
    J-C.

    Il
    y a beaucoup de Lettres ou Épîtres en circulation, mais
    l’enseignement oral prime.
    Je réitère
    les
    Apôtres
    et premiers
    Disciples
    de
    Jésus le Nazaréen
    sont
    hébreux, cela est
    confirmé historiquement par de multiples écrits.

    Eusèbe
    de Césarée confirme ce fait par l’intermédiaire de Papias
    d’Hiérapolis, même s’il n’avait pas grande affection pour cet
    humain.

    Vers
    la fin du premier siècle les Apôtres et Disciples enseignent les
    Lois d’EL-SHADDAÏ de l’Ancien Testament et les Enseignements de
    Jésus le Nazaréen, le Nouveau Testament n’étant pas encore
    écrits.

    Les
    Apôtres Pierre, Jean, Thomas, Jude, André, Philippe et quelques
    autres
    ne prenaient que très rarement le titre d’Apôtres, se
    faisant nommer plus facilement sous le titre de « Presbytre
    ou Évêque
     » qui signifie « Ancien ou Maître »

    L’Apôtre
    Jean est encore vivant puisqu’il se reposera définitivement en
    l’an 101 ou 102 de J-C. à Éphèse.

    Donc
    à la fin du premier siècle et au début du second tous ces humains
    comme Papias de Hiérapolis, Polycarpe de Smyrne, Ignace d’Antioche,
    Clément de Rome, Hermas dit le « Pasteur », et bien
    d’autres, sont disciples des Apôtres, voir disciples des
    premiers Disciples de Jésus le Nazaréen
    comme Évode
    d’Antioche.

    Comme
    tous ces humains sont en majorités juif,
    le sionisme existait déjà, leurs écrits furent rejetés, au moment
    du choix des livres, Lettres et Épîtres pour former le premier
    « Canon » officiel. Pourtant ces Lettres et Épîtres,
    pour certaines faisaient parties intégrantes du Codex Sinaïticus.

    L’enseignement
    de ces Disciples
    était le rappel des paroles de Jésus
    le Nazaréen
    telles qu’elles furent répétées par les
    Apôtres. Lettres et Épîtres furent déclarées apocryphes,
    pourtant ayant une véritable authenticité historique, par des
    humains imparfaits, qui pour moi ont autant de valeur, voire plus,
    surtout que l’on sait aujourd’hui que seulement la moitié des
    Lettres et Épîtres de Paul sont authentiques.

    Il
    existe aussi ce Codex du VIème siècle

    Le
    Codex Claromontanus, dénommé ainsi par
    Théodore
    de Bèze
    qui
    l'acheta dans un monastère à
    Clermont-en-Beauvaisis
    dans l'Oise, est un manuscrit du
    VIe siècle,
    bilingue, grec et latin, contenant les
    épîtres
    de Paul
    . On
    y trouve également un catalogue stichométrique
    []
    de l'Ancien et du
    Nouveau
    Testament
    .

    Il
    serait la reproduction d'une liste de Livres Saints datant du
    IIIe siècle.

    Ce
    sont les six ouvrages repris à la fin de la liste qui en font son
    originalité
    :
    l'
    Épître
    de Barnabé
    ,
    l'
    Apocalypse
    de Jean, les
    Actes
    des Apôtres
    ,
    le
    Pasteur
    d’Hermas
    ,
    les Actes de Paul, l'Apocalypse de Pierre

    Inclure
    des livres apocryphes tels que les Actes de Paul, le Pasteur d’Hermas
    ou encore l’Épître de Barnabé démontre que ces œuvres
    jouissaient d’une grande notoriété.

    Voici
    la preuve irréfutable de ce que j’écris.

    Les
    Épitres ou Lettres de Saül de Tarse dit Paul considérées comme
    étant écrit par lui.

    Première
    épître aux Thessaloniciens, épître aux Galates, à Philémon, aux
    Philippiens, aux Romains, première et seconde épître aux
    Corinthiens.

    Épitre
    aux Colossiens, la ville n’existait plus au moment de sa rédaction.

    Épitre
    aux Éphésiens est une réécriture de l’épitre aux Colossiens.

    Deuxième
    épitre aux Thessaloniciens le doute plane à cinquante pourcent.

    Pour
    les trois autres Lettres, deux à Timothée et l’autre à Tite,
    elles furent écrites par les successeurs de Paul, voilà pourquoi
    elles portent le nom de « Pastorales.»

    Tout
    ce que je viens d’écrire est, aujourd’hui, certifié
    authentique.

    En
    attendant les prochains « Écrits » ou « Textes »,
    vous laissant à votre réflexion, raisonnement, jugement personnel,
    portez-vous bien !

    Prenez
    soins de vous et de votre maisonnée !

    Salutations
    cordiales !

    Sig :
    JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


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