• Nom et Enseignements de ... Chap.17 - Autobiographie de Saül de Tarse dit Paul

    Le nid d’Aigles – Pétra,  péninsule Arabique

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Je continue mon exposé sur l’apôtre Paul, apôtre dans le sens d’envoyé pas comme les Apôtres de Jésus le Nazôréen. Comme je l’ai déjà écrit, le considère Saül de Tarse comme un grand Disciple de Jésus le Nazôréen, mais qui doit son éloge grâce aux humains, alors qu’il y a eu certainement des Apôtres qui méritaient autant d’attention que ce Disciple Paul. Un fait très étonnant dans l’histoire de ce Disciple ait que, après la mort de Pierre en l’an 64 de l’EC., jusqu’au jour de sa décapitation en l’an 67 environ plus personne n’entendra parler de Saül de Tarse, pourquoi ? L’énigme est là ! Au niveau image je vous poserai celles de Pétra en Arabie ou l’on suppose que Paul séjourna pendant trois ans.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    De ce phénomène naturel entre deux enfants il y a un minimum de trois ans et demi, quatre ans. Quand Jésus à douze ans, Marie sa mère à vingt sept ans et n’est toujours pas enceinte et nous sommes en l’an 5 de l’EC, sachant que Jacques devrait être théoriquement le deuxième enfant de Marie et que la conception ait eu lieu tout de suite après l’histoire de Jérusalem ce qui fait sa naissance en l’an 7 de EC. Quand son frère Jésus est crucifié il a théoriquement 25 ans.

    Imaginons qu’après la naissance de Jacques Marie enfante une fille soit un accouchement en l’an 11 de EC, puis Joseph en l’an 15 de EC, pas de chance encore une fille en l’an 19 de EC, ce qui fait la naissance de Jude en l’an 23 de EC. Au crucifiement de Jésus le Nazaréen Jude aurait dix ans et serait Disciple de son frère … ! … !...

    Si je continue … ! Un peu de sérieux ! Je ne voudrais pas prendre mes semblables pour des imbéciles !

    Comme vous venez de le lire même chez les fous cela ne peut arriver

    Je crois, vous mes semblables qu’il est temps d’arrêter d’écrire sur des « frères et des sœurs » qui n’ont aucune existence en tant que tels, par contre qu’ils soient cousins voilà une vérité plausible et probable.

     

    Chapitre N° 17

    Autobiographie de Saül de Tarse dit Paul

    Je reviens à Saül de Tarse, qui, trois jours après avoir perdu la vue sur la route de Damas en Syrie, reçoit le baptême par le Grand-Prêtre Ananias, selon la tradition de Jean le Baptiste, culte attesté dès le premier siècle, par l’immersion complète dans un bassin d’eau ou en rivière pour le baptisé. C’est au cours de cette cérémonie que le Grand-Prêtre, Ananias, fit recouvrer la vue à Saül de Tarse en faisant tomber les écailles de ses paupières.

    Par contre toutes ces actions doivent obligatoirement avoir une signification. Dans l’Épitre aux Galates il se donne le grade d’Apôtre alors que pour moi, Saül de Tarse dit « Paul » n’est qu’un Disciple de Jésus le Nazaréen, et le fait que « lui » se fait appeler « Apôtre » me déplait énormément car il y a de la vanité. Il se peut aussi que je sois dans l’erreur, car si Jésus le Nazaréen a choisi cet homme là, c’est qu’il connait son cœur, dont-il veut faire un « envoyé » dans les Nations, soit un « apôtre » dans le sens réel du terme.

    Le fait de rester trois jours et trois nuits dans les Ténèbres, où Paul a eu le temps de se remettre en question, car il est peut-être aveugle mais son « Esprit » lui fait voir l’éclat de la « Lumière » qu’il vit sur la route de Damas, puis la couleur de l’Hadès et le temps que resta Jésus le Nazaréen dans celui-ci, soit trois jours et trois nuits qui équivaut à soixante-douze heures.

    Que de similitudes ? De quoi faire réfléchir tout humain qui est à la recherche d’un « DIEU » seul, unique, et de la vérité Biblique, sachant que cette dernière, particulièrement le Nouveau Testament, les humains ont retranché, ajouté, falsifié, transformé des textes authentiques qui leur déplaisaient pour les mettre dans leurs convenances idéologiques et spirituelles du jour.

    Que je suis heureux quand EL-SHADDAÏ m’ouvre « l’Esprit » à la compréhension des textes bibliques, car grâce à son amour pour vous, vous en êtes les heureux bénéficiaires et pour ceux qui hésiteraient, quelles magnifiques preuves.

    Plus haut j’ai écrit « quelle similitude ? », alors regardons ! … Prophétiquement Jonas reste trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson, soit soixante-douze heures, et ces soixante-douze heures représentent le temps que Jésus le Nazaréen passa dans l’Hadès soit trois jours et trois nuits dans les Ténèbres avant que sont Père, EL-SHADDAÏ le ressuscite d’entre les morts, cette dernière, La MORT, venant d’être vaincue ! Grâce à Jésus le Nazaréen  qui prouva que l’on pouvait vivre sur la Terre et rester parfait jusqu’à la « mort », rendant une équivalence à Adam et Ève, comme eux il avait le « Libre-Choix », mais par amour pour l’humain, il accepta, volontairement, la souffrance de la torture qui n’était pas nécessaire, je ne parle pas du crucifiement, je parle de cette torture tout le long du trajet, jet de pierre, crachats, flagellation avec des branches flexibles et épineuses, comme la prunelle noire, l’épine-vinette, l’obier, etc, et tous ces buissons épineux fournissant des baguettes longues et flexibles, qui pullulent dans cette région, oui cette torture gratuite, de vengeance, à cause du « Nom d’El-Shaddaï », « si tu es le fils d’EL-SHADDAÏ, libère-toi » vociféraient-ils, tout cela n’était pas utile !...

    Jésus le Nazaréen est décédé par la torture romaine de la crucifixion en l’an 33 de l’EC., mais il est né en l’an -7, -5 de J-C. la première date serait la plus logique, car Jésus aurait eu quarante ans à sa mort, nombre prophétique dans l’Ancien et Nouveau Testament. En l’an 34-35 de J-C., ou de l’EC., le Disciple helléniste Étienne meurt par lapidation. Á cette lapidation assiste un homme, persécuteur très actif des premiers humains juifs suivant « la Voie de Jésus le Nazôréen » ou la « mouvance de Jésus le Nazôréen », et qui fut sans doute responsable de l’arrestation d’Étienne et de sa lapidation.

    Le nom de cet humain, Saül de Tarse, qui n’a jamais rencontré Jésus le Nazaréen avant sa crucifixion ne faisant pas partie de ses Disciples et encore moins des « Douze ». Saül de Tarse était connu dans toute la Galilée, Judée, Samarie, Syrie comme un pharisien qui persécutait de manière violente ceux qui suivaient la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ». Lui-même sur son autobiographie écrit aux Galates I : 13-14

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Et à sa lettre envoyé aux Philippiens toujours en parlant de lui, III : 4-6

    « J'aurais pourtant, moi aussi, des raisons de placer ma confiance dans les valeurs charnelles. Si quelqu'un pense avoir des raisons de le faire, moi, j'en ai bien davantage. J'ai reçu la circoncision quand j'avais huit jours ; je suis de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu fils d'Hébreux ; pour la Loi, j'étais un pharisien ; pour l'ardeur jalouse, j'étais un persécuteur de l'Église ; pour la justice que donne la Loi, j'étais irréprochable ».

    En l’an 37-38 il obtient des lettres de recommandations pour rechercher et persécuter les adeptes de la « Voie prônée par Jésus le Nazaréen » dans la ville de Damas en Syrie. C’est sur cette route en direction de Damas vers midi que ce produisit le « miracle »

    Actes des Apôtres XXII : 6-11

    « Je faisais route et j'approchais de Damas, quand tout à coup, vers midi, une grande lumière venue du ciel m'enveloppa de son éclat. Je tombai sur le sol et j'entendis une voix qui me disait :

    « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ? ».

    Je répondis : « Qui es-tu, Seigneur ? ».

     Il me dit alors : « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes ».

    Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.

    Je repris : « Que dois-je faire, Seigneur ? ».

    Le Seigneur me dit : « Relève-toi. Va à Damas. Là on te dira tout ce qu'il t'est prescrit de faire ».

    Mais comme je n'y voyais plus à cause de l'éclat de cette lumière, c'est conduit par la main de mes compagnons que j'arrivai à Damas. »

    Je continue l’autobiographie de Saül de Tarse dans une première Épître qu’il écrivit aux Corinthiens XV : 3-9

    « Je vous ai donc transmis en premier lieu ce que j'avais moi-même reçu, à savoir que le Christ est mort pour nos péchés selon les Écritures, qu'il a été mis au tombeau, qu'il est ressuscité le troisième jour selon les Écritures, qu'il est apparu à Céphas, puis aux Douze.

    Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois - la plupart d'entre eux demeurent jusqu'à présent et quelques-uns se sont endormis - ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres.

    Et, en tout dernier lieu, il m'est apparu à moi aussi, comme à l'avorton.

    Car je suis le moindre des apôtres ; je ne mérite pas d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté l'Église d’EL-SHADDAÏ. »

    Autobiographie de Paul écrivant aux Galates I : 11-20

    « Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ.

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Mais quand Celui qui dès le sein maternel m'a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l'annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m'en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours : je n'ai pas vu d'autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur : et quand je vous écris cela, j'atteste devant EL-SHADDAÏ que je ne mens point. »

    Je reviens à ma similitude, Saül de Tarse marche avec ses compagnons sur la route allant à Damas quand un miracle se produit, une lumière enveloppant Saül de Tarse le faisant tomber à terre, le rendant aveugle trois jours et trois nuits, sûrement soixante douze heures du début de sa cécité au moment qu’il reçoit le baptême, chez Ananias, par immersion, comme cela se faisait à cette époque et avec certitude pendant les deux premiers siècles. Les « Anciens » qui baptisaient le faisaient « au Nom d’EL-SHADDAÏ, et grâce au sacrifice de Jésus le Nazaréen » mais jamais au nom de Jésus le Nazôréen et encore moins au nom d’un « Saint-Esprit » qui n’existait pas. De plus Jésus le Nazôréen n’a jamais baptisé personne ! 

    Matthieu XXVIII : 18-20Jésus le Nazaréen vient de ressusciter au tout début de la première heure du premier jour de la semaine et il est monté voir son Père pour recevoir son investiture au Ciel dans les Cieux, mais si, il l’a reçu pour la Terre, il ne peut rien faire car la Royauté de la Terre appartient à un autre, qui se nomme Sammaël et cela pour le « Temps Défini » par EL-SHADDAÏ, donc Jésus le Nazôréen ne peut prendre son investiture terrestre. Si cela avait été le cas, pensez-vous que la Terre serait gérée comme elle l’ait aujourd’hui ?

    Paul dans son autobiographie, dans sa première Lettre aux Corinthiens écrit XV : 21-24

    « Car, la mort étant venue par un homme, c'est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.

    De même en effet que tous meurent en Adam, ainsi tous revivront dans le Christ.

    Mais chacun à son rang : comme prémices, le Christ, ensuite ceux qui seront au Christ, lors de son Avènement.

    Puis ce sera la fin, lorsqu'il remettra la royauté à EL-SHADDAÏ le Père, après avoir détruit toute Principauté, Domination et Puissance. »

     Cela vous prouve à vous mes semblables que mes écrits sont véridiques !

    S'avançant, Jésus leur dit ces paroles :

    « Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde. »

    Les copistes qui ont tourné ces versets l’on fait pour accorder le nouveau signe, je dirais plutôt la nouvelle marque aux fers rouges des adeptes de Sammaël, par ce « Signe » de croix disant « Au nom du Père » sur le front, « Au nom du Fils » à l’épaule, « Au nom du Saint-Esprit » à l’autre épaule, avec un « Amen ou Ainsi soit-il » sur l’abdomen. D’autres font le signe de croix sur le front, la bouche, et le cœur. Tous ces gestes sont les marques de l’idolâtrie car ils sont fait à l’entrée du Temple, en sortant du Temple, devant un crucifix, une statue de pierre représentant un « Saint ou Sainte » quelconque.

    « Les baptisant au Nom du Père, en leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. »

    Je suis convaincu que se sont les paroles d’origine !

    Autre fait historique, Paul passe trois ans dans le désert d’Arabie où se poursuit en lui une transformation spirituelle et intellectuelle, recevant l’instruction nécessaire à sa vocation d’apôtre, Disciple de Jésus le Nazaréen, « L’évangile que j’ai annoncé n’est pas à mesure humaine : ce n’est pas non plus d’un homme que je l’ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus-Christ. » (Galates I : 11-12).

     Le terme « Arabie » s’appliquait alors à toute la péninsule arabique, mais le noyau en était le royaume des Nabatéens, avec sa capitale Petra, véritable nid d’aigle dans le désert, qui contrôlait  la route des caravanes. Les ruines gréco-romaines de cette capitale-forteresse sont impressionnantes. L’Arabie comprenait aussi Basra, Homs, Amman, et un très grand territoire allant jusqu’aux fleuves de la Mésopotamie, le Tigre et l’Euphrate. Le cheik des Nabatéens, Arétas IV, 9 av. J-C. à 40 ap. J-C., roi de Damas et d’une grande partie du territoire d’Arabie, était en guerre avec le roi Hérode Antipas, parce que celui-ci avait répudié sa fille pour épouser Hérodiade, la femme de son frère, celle qui avait demandé la tête de Jean le baptiste. En Arabie, Paul se sentait protégé contre les émissaires juifs, et c’est peut-être la raison pour laquelle il s’est rendu dans cette région désertique.

    Paul est à Damas chez Ananias et les juifs viennent d’apprendre que ce persécuteur de la mouvance de Jésus le Nazôréen vient de se faire baptiser faisant partie de ses humains qui suivent la « Voie de Jésus ce Nazôréen »

    Avant toute chose lisons le texte biblique des Actes des Apôtres IX : 17-25 – Saül de Tarse était sur la route de Damas quand il fut frappé par la Vision de Jésus le Nazaréen et qu’il fut atteint de cécité pendant trois jours et trois nuits exactement le même temps que Jésus resta dans le tombeau.

    Alors Ananie partit, entra dans la maison, imposa les mains à Saul et lui dit :

    « Saül, mon frère, celui qui m'envoie, c'est le Seigneur, ce Jésus qui t'est apparu sur le chemin par où tu venais ; et c'est afin que tu recouvres la vue et sois rempli de l'Esprit Saint. »

    Aussitôt il lui tomba des yeux comme des écailles, et il recouvra la vue. Sur-le-champ il fut baptisé ; puis il prit de la nourriture, et les forces lui revinrent. Il passa quelques jours avec les disciples à Damas, et aussitôt il se mit à prêcher Jésus dans les synagogues, proclamant qu'il est le Fils de Dieu.

    Tous ceux qui l'entendaient étaient stupéfaits et disaient : « N'est-ce pas là celui qui, à Jérusalem, s'acharnait sur ceux qui invoquent ce nom, et n'est-il pas venu ici tout exprès pour les amener enchaînés aux grands prêtres ? »

    Mais Saül gagnait toujours en force et confondait les Juifs de Damas en démontrant que Jésus est bien le Christ.

    Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr.

    Mais Saül eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr.

    Alors les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille. »

    Il se trouva des conjurés qui firent la promesse de tuer « l'apostat », dès qu'il circulerait dans le dédale des rues de la ville. Il fut facile d'acheter les dirigeants de Damas. On fit mettre des gardes à toutes les portes pour se saisir de Paul s’il tentait de s’enfuir : « Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr. Mais Saul eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr. Alors .les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille » (Actes 9, 23-24).

    Ceci est la version de Luc qui accuse les Juifs du complot. Paul, de son côté, croit que ce sont les autorités civiles qui en veulent à sa vie : « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas IV faisait garder la ville pour m'arrêter et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j’échappai à ses mains. » (II Corinthiens XI : 32)

    Cette conspiration contre Paul est probablement orchestrée par les deux groupes, c’est à dire par les Juifs avec l’appui des autorités de la ville.

    À partir d’une maison qui appartenait à un Nazôréen, Paul se blottit dans un grand panier et on le laisse descendre le long du mur au moyen de cordes solides. Arrivé en bas, il se dégage et, après avoir traversé les jardins, les canaux d'irrigation et les cours de fermes, il atteint la route qui conduit vers le Sud, vers la « via maris », la route de la mer. Il se rendra alors en Arabie pour trois ans.

    Pour Paul, ce fut la première d’une série de nombreuses escapades qui l’obligeront à fuir de ville en ville pour sauver sa vie.

    Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

    Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connait l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

    A bientôt, je l’espère !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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