• Nom et Enseignements de ... Chap. 28 - Barnabé et l’épître aux Hébreux

    Épître aux Hébreux et Barnabé

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Voilà une vingtaine d’années qu’un certain Galiléen est décédé par la torture romaine de la crucifixion. Cet humain qui vécut quarante ans sur la Terre, puisque né -7 av. J-C et mort en l’an 33 de J-C, eut une vie parfaite sur la Terre, sans commettre le moindre petit péché. Ayant été façonné comme tous les humains dans un ventre féminin, préalablement rendu parfait en exemptant ce corps de la tare adamique, où le spermatozoïde d’EL-SHADDAÏ fut déposé dans l’ovule féminin par ce dernier, et la magie mystérieuse ventriculaire de la femme commença le modelage de Jésus le Nazaréen.

    Dans les Cieux il fut engendré, puisqu’il fut sculpté à l’intérieur d’EL-SHADDAÏ, dans son enveloppe qui contient le mystère de la vie, et comme Melchisédech le fut bien longtemps après quand il sortie des entrailles de Sophonim épouse de Nêr, frère de Noé, Jésus le Nazôréen au temps révolu, sortie des entrailles d’EL-SHADDAÏ comme un enfant.

    Jésus le Nazôréen, Fils unique de ce « Dieu » Très Haut, seul et unique, fut engendré dans les Cieux, puis engendré sur la Terre, Fils unique de ce « Dieu » Très Haut, EL-SHADDAÏ. Jésus le Nazôréen, ce Fils d’Homme et Fils de l’Homme, fut un parangon pour nous sur la Terre,  en nous montrant l’exemple de vie, résistant aux attaques incessantes de Sammaël, et par la prière demandait l’aide nécessaire à son Père géniteur.

    Jésus le Nazôréen, ce grand Guérisseur, de son vivant fit un nombre incalculable de disciples. Il retransmit à ses Apôtres une grande intelligence sur la compréhension des textes bibliques de l’Ancien Testament, et sur ses « Enseignements ». Son Père EL-SHADDAÏ, à la Pentecôte leur ouvrit l’Esprit leur donnant  par un « Souffle », représenté par une colombe, l’Esprit étant invisible et éphémère, une grande Intelligence, les rendant supérieurs aux humains de leur époque.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Quant à l’Épître aux « Hébreux », tous les historiens et exégètes reconnaissent que cet écrit n’est pas de Saül de Tarse, nommé Paul, mais aussi que ce n’est pas une « Épître », se serait plutôt un traité, voir plusieurs traités, et moi je dirai voir surtout de l’encouragement. Cette Missive d’origine juive et adressée pour les hébreux de Palestine, d’après des historiens et exégètes digne de foi, est postérieure à la décapitation de Jacques le Juste, le Mineur, deuxième Évêque de Jérusalem, et antérieure à la chute du Temple et de la ville de Jérusalem en l’an 70 par les romains sous l’Empereur Vespasien.

    L’auteur anonyme, veut montrer aux Judéo-Nazôréens qui traversent une période sombre la supériorité de la voie de Jésus le Nazôréen, si pénible qu’elle puisse sembler, puisque par ce dernier se dessine une « Nouvelle Alliance » qui cette fois-ci ne sera jamais rompue. En effet toutes les autres « Alliances » entre EL-SHADDAÏ et les humains furent par la faute de ce dernier mis à mal excepté l’Alliance de « l’Arc-en-Ciel » car l’humain ne peut pas agir sur celle-là, mais toutes celles où l’humain était en cause personnellement celui-ci n’a jamais respecté ses engagements.

    Avant de revenir sur la « Nouvelle Alliance », l’auteur inconnu de l’Épître aux Hébreux pourrait être le compagnon de Saül de Tarse, je cite Barnabé.

     

    Chapitre N° 28

    Barnabé et l’Épître aux Hébreux

    Originaire de Chypre, Barnabé a pu bénéficier d’une vaste culture alexandrine, car l’on sait, en effet, que l’île de Chypre vivait depuis des siècles dans la sphère culturelle, sinon politique, d’Alexandrie et plus généralement bien avant la construction du port et de la cité, sous protectorat de l’Égypte.

    En tant que lévite, Barnabé avait dû s’intéresser aux aspects liturgiques, cultuels, du judaïsme, ce qui présente la candidature de Barnabé sous les meilleurs auspices comme auteur de l’Épître aux Hébreux.

    De plus il jouissait d’une haute réputation dans « l’Église » soit « Assemblée » primitive. Il a introduit lui-même Saül de Tarse, qui prit le nom plus connu de Paul, dans le cercle des Apôtres. Ce fut le compagnon de Paul dans les premières missions. Si un différent l’opposa au Disciple Paul, cet incident ne doit pas être exagéré. En effet, Marc l’objet du litige, qui avait en premier suivi son cousin Barnabé, redeviendra disciple de Paul, qui en parle avec les plus grands éloges.

    II Timothée IV : 11

    « Seul Luc est avec moi. Prends Marc et amène-le avec toi, car il m'est précieux pour le ministère. »

    Philémon I : 23-24

    « Tu as les salutations d'Épaphras, mon compagnon de captivité dans le Christ Jésus, ainsi que de Marc, Aristarque, Démas et Luc, mes collaborateurs. »

    Aux Colossiens IV : 10

    « Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, le cousin de Barnabé, au sujet duquel vous avez reçu des instructions : s'il vient chez vous, faites-lui bon accueil. » 

    Marc au sujet duquel vous avez reçu des instructions est une curieuse remarque qui témoigne d’une carrière mouvementée. Jean, surnommé Marc, avait probablement été disciple ou du moins sympathisant, au temps de l’évangile ; il vécut ensuite dans l’ombre de Pierre – Les Actes des Apôtres XII : 12, « Et s'étant reconnu, il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où une assemblée assez nombreuse s'était réunie et priait. » -- jusqu’au jour où son cousin Barnabé l’entraîna dans le sillage de Paul. – Les Actes des Apôtres XII : 25, « Quant à Barnabé et Saul, après avoir accompli leur ministère à Jérusalem, ils revinrent, ramenant avec eux Jean, surnommé Marc. », Les Actes des Apôtres XIII : 5-7, « Arrivés à Salamine, ils se mirent à annoncer la parole d’EL-SHADDAÏ dans les synagogues des Juifs. Ils avaient avec eux Jean comme auxiliaire.

    Ayant traversé toute l'île jusqu'à Paphos, ils trouvèrent là un magicien, faux prophète juif, nommé Bar-Jésus, qui était de l'entourage du proconsul Sergius Paulus, homme avisé. Ce dernier fit appeler Barnabé et Saul, désireux d'entendre la parole d’EL-SHADDAÏ. » -- Dès la première mission, Jean quitta le service de Paul, Saül de Tarse – Les Actes des Apôtres XIII : 13, « De Paphos, où ils s'embarquèrent, Paul et ses compagnons gagnèrent Pergé, en Pamphylie. Mais Jean les quitta pour retourner à Jérusalem. » -- ; ce qui causa une brouille entre Paul et Barnabé. – Les Actes des Apôtres XV : 37-40, « Mais Barnabé voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc ; Paul, lui, n'était pas d'avis d'emmener celui qui les avait abandonnés en Pamphylie et n'avait pas été à l'œuvre avec eux.

    On s'échauffa, et l'on finit par se séparer. Barnabé prit Marc avec lui et s'embarqua pour Chypre.

    De son côté, Paul fit choix de Silas et partit, après avoir été confié par les frères à la grâce d’EL-SHADDAÏ. » --Au moment où Paul écrit aux Colossiens, Marc est de nouveau dans le sillage de Paul, mais d’assez fraîche date, sans doute, puisqu’on vient de « donner des ordres à son sujet », voir l’épître aux Colossiens ci-dessus IV :10. Cette nouvelle alliance durera jusqu’à la deuxième captivité, pendant laquelle Saül de Tarse, du moins, réclamera les services de Marc dans la deuxième Lettre à Timothée IV : 11 ; mais Marc aura peut-être déjà rejoint Pierre, son premier maître, son père spirituel – I Pierre V : 13, « Celle qui est à Babylone, élue comme vous, vous salue, ainsi que Marc, mon fils. » -- à l’ombre de qui il écrira l’évangile.

    Pour confirmer que Barnabé soit peut-être l’auteur de l’Épître aux Hébreux, fait que sa présence dans la cité de Rome fut signalée par les « Recognitiones » pseudo-clémentines et les « Actus Petri cum Simone ». Ces romans ont pu conserver un souvenir historique.

    On sait que l’Église d’Occident a longtemps hésité avant d’admettre cette épître comme paulinienne. Tertullien au début du IIIème siècle l’attribuait formellement à Barnabé. Le portrait psychologique que l’auteur trace de lui-même dans l’Épître aux Hébreux au treizième chapitre, versets dix-huit à dix-neuf, correspond exactement aux éloges de Barnabé que l’on trouve dans Les Actes des Apôtres, spécialement en XI : 22-26, -- « La nouvelle en vint aux oreilles de l'Église de Jérusalem, et l'on députa Barnabé à Antioche.

    Lorsqu'il arriva et qu'il vit la grâce accordée par EL-SHADDAÏ, il s'en réjouit et les encouragea tous à demeurer, d'un cœur ferme, fidèles au Seigneur ; car c'était un homme de bien, rempli d’un Esprit SAIN  -- de l'Esprit Saint -- et de foi. Une foule considérable s'adjoignit ainsi au Seigneur.

    Barnabé partit alors chercher Saul à Tarse.

    L'ayant trouvé, il l'amena à Antioche. Toute une année durant ils vécurent ensemble dans l'Église et y instruisirent une foule considérable. » -- Déjà il « encourageait » les disciples.

    Parenthèse : Dans les versets ci-dessus je ne vous ai pas mis la fin du verset qui est un ajout du IVème siècle quand le terme « chrétien » était entré dans le langage courant. Il est juste de dire que le vocable « chrétien » fut employé la première fois à Antioche par Ignace vers l’an 110-115, puis par Polycarpe de Smyrne, mais il faudra attendre un siècle avant qu’il ne soit de nouveau employé en premier à Antioche, puis en Asie Mineur et Palestine, pour finir en Italie à Rome.

    En plus au verset vingt-quatre à l’origine il est écrit « rempli de l’Esprit Saint » comme à chaque fois il s’agit de vénération, d’adoration alors que, comme je l’ai écrit « rempli d’un Esprit SAIN et de foi » le sens de la phrase change complètement et cela ce n’est pas la première fois que je vous le fais constater car EL-SHADDAÏ offre un « Esprit, un souffle d’intelligence » propre, pur, limpide, parfait, et la vénération est pour ce Dieu seul et unique, car jamais, oui j’écris bien jamais EL-SHADDAÏ donne un « Esprit Saint » qui est un Esprit d’adoration, de glorification !

    Fermons la Parenthèse et reprenons le cours avec Barnabé

    N’oublions pas que les toutes premières « Assemblées » étaient juives, observant la circoncision ainsi que les « Lois de Moïse », ce qui, entre parenthèse est complètement faux puisque c’était les « Lois » qu’EL-SHADDAÏ avait dictée à Moïse sur le Mont Sinaï après la sortie d’Égypte, les hébreux respectant la Loi Noachides, ou Loi de Jacob pendant les quatre siècles qu’ils vécurent en pays d’Égypte. Les tous premiers adeptes de « la Voie de Jésus le Nazôréen » en prenant le baptême de Jean le Baptiste, s’engageaient à respecter « six cent treize commandements ». Un véritable capharnaüm qu’aucun judaïsant ne pouvait respecter !

    Cette « Assemblée » composé d’hommes, de femmes, d’enfants en bas âge, mais aussi de ceux qui arrivaient à l’âge de raison, de vieillards, tous de milieux différents, mettaient leurs biens personnels au service de la communauté ce qui faisait qu’il n’y avait pas de « pauvres » au sens que nous le comprenions aujourd’hui, mais il n’y avait pas de « riches » non plus.

    L’Épître aux Hébreux aux chapitre treize fait penser à la générosité spontané de Barnabé mise en évidence dans les Actes des Apôtres IV : 36-37, « Joseph, surnommé par les apôtres Barnabé ce qui veut dire « Fils d'Encouragement », lévite originaire de Chypre, possédait un champ ; il le vendit, apporta l'argent et le déposa aux pieds des apôtres. », qui recommande de mettre toutes les ressources en commun – Hébreux XIII : 15-16, « Par lui, offrons à EL-SHADDAÏ un sacrifice de louange en tout temps, c'est-à-dire le fruit des lèvres qui confessent son Nom.

    Quant à la bienfaisance et à la mise en commun des ressources, ne les oubliez pas, car c'est à de tels sacrifices qu’EL-SHADDAÏ prend plaisir. » Toute l’Épître aux Hébreux se présente comme un « discours d’encouragement » et renferme d’innombrables exhortations.

    Épitre aux hébreux XIII : 22

    « Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles d'exhortation : aussi bien vous ai-je écrit brièvement. »

    Une chose est presque certaine, cette « Épitre » fut écrite ou envoyée d’Italie et s’adresse à la communauté d’Antioche de Syrie, particulièrement aux hébreux hellénistes que Barnabé s’apprêtait à rejoindre. Il faut dire que dans cette cité, comme dans l’île de Chypre, cet « apôtre », disons plutôt ce « Disciple de Jésus le Nazaréen » jouissait d’un immense prestige, sans pour autant avoir une autorité proprement dite car il se recommandait des Évêques, Presbytres, Anciens des différentes « Assemblées » et « Communautés. »

    Par contre dans cette Épître aux Hébreux il y a ce conseil à la fin, qui sera repris par les Pères Apostoliques, comme Ignace d’Antioche de Syrie ou Polycarpe de Smyrne, qui stipule en XIII : 17, « Obéissez à vos chefs et soyez-leur dociles, car ils veillent sur vos âmes, comme devant en rendre compte ; afin qu'ils le fassent avec joie et non en gémissant, ce qui vous serait dommageable », que les « chefs » des « Assemblées » étaient à cette époque des « Serviteurs » dans le sens réel du terme qui portaient le nom d’Évêque, Presbytre, Ancien, voire vers la fin du premier, début du deuxième siècle, Diacre, Prophétesse même, responsables qui étaient au service de leurs semblables.

    Un petit rappel, comme souvent je l’écris, je remplace ce nom vulgaire de « Dieu » par le nom qu’Abraham lui avait donné et qui est écrit sept fois dans le Livre de la « Genèse » de l’Ancien Testament, soit le seul nom authentique et véritable qu’il nous reste, soit le nom « d’EL-SHADDAÏ ». Pour le nom de son Fils unique engendré, Emmanuel dans les cieux, que les humains nomment « Jésus-Christ », je le nomme comme il est dit dans les Écritures de l’Ancien Testament en :

    Matthieu II : 22-23,

    « Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplisse l'oracle des prophètes :

    Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

    Donc, je le nomme « Jésus le Nazôréen, Jésus le Nazaréen », et, comme je vous l’ai écrit antérieurement le terme grec « christos » qui signifie « Envoyé, Messie, Oint », fut détourné de son origine par la langue latine qui imposa une majuscule au mot « christos faussé en « Christ » » et qui avait la définition de « Crux, Croix en langue française ». Voilà pourquoi au premier et deuxième siècle le vocable « Christ » n’était pas employé, ce qui fait, que pour rester dans la vérité j’emploie le nom de « Jésus le Nazôréen, Nazaréen » en remplacement de « Jésus-Christ », tout comme l’expression « Christ » sera pour demeurer dans un contexte de vérité remplacé par les mots « Messie, Oint, Nazôréen, Nazaréen. » Mes explications étant terminés continuons, pour moi l’écriture, pour vous la lecture sur la qualité des premiers enseignants dans les « Assemblées nommées aussi Églises ».

    Autres choses encore, quand dans certaines Épîtres pauliniennes et les Lettres canoniques des Apôtres et Disciples ainsi que les Lettres des premiers « Pères Apostoliques » la traduction grecque veut que le terme hébreux « YHWH », ainsi que le Nom « YAHVÉ » soit remplacé par le vocable « Seigneur », ce qui bien entendu met le trouble aux lectrices et lecteurs respectueux des « Écrits » car Jésus le Nazôréen est lui aussi appelé « Seigneur », pour éviter cette confusion, je remplace le mot « Seigneur » quand il signifie « Dieu » pour les Chrétiens, et YHWH ainsi que Yahvé pour les Hébreux, Juifs en français, par EL-SHADDAÏ.

      Ignace d’Antioche aux Éphésiens I : 3, II : 1, III : 2, IV : 1 –

    3. C'est donc bien toute votre communauté que j'ai reçue au nom d’EL-SHADDAÏ, en Onésime, homme d'une indicible charité, votre évêque selon la chair. Je souhaite que vous l'aimiez en Jésus-Christ, et que tous vous lui soyez semblables. Béni soit celui qui vous a fait la grâce, à vous qui en étiez dignes, d'avoir un tel évêque.

    Il, 1. Pour Burrhus, mon compagnon de service, votre diacre selon EL-SHADDAÏ, béni en toutes choses, je souhaite qu'il reste près de moi pour faire honneur à vous et à votre évêque. Quant à Crocus, digne d’EL-SHADDAÏ et de vous, que j'ai reçu comme un exemplaire de votre charité, il a été pour moi un réconfort en toutes choses : puisse le Père de Jésus le Nazôréen le réconforter lui aussi avec Onésime, et Burrhus, et Euplous et Fronton ; en eux c'est vous tous que j'ai vus selon la charité.

    2. Mais puisque la charité ne me permet pas de me taire à votre sujet, c'est pour cela que j'ai pris les devants pour vous exhorter à marcher d'accord avec la pensée d’EL-SHADDAÏ. Car Jésus le Nazôréen, notre vie inséparable, est la pensée du Père, comme aussi les évêques, établis jusqu'aux extrémités de la terre, sont dans la pensée de Jésus le Nazaréen.

    IV, 1. Aussi convient-il de marcher d'accord avec la pensée de votre évêque, ce que d'ailleurs vous faites. Votre presbyterium justement réputé, digne d’EL-SHADDAÏ, est accordé à l'évêque comme les cordes à la cithare.

    Et maintenant la « Lettre » de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens V : 1-2, VI : 1-2.

    V, 1. Sachant donc que « l'on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ » Galates VI : 7-8, « Ne vous y trompez pas ; on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ. Car ce que l'on sème, on le récolte : qui sème dans sa chair, récoltera de la chair la corruption ; qui sème dans l'esprit, récoltera de l'esprit la vie éternelle. », nous devons marcher d'une façon digne de ses commandements et de sa gloire.

    2. De même, que les diacres soient sans reproche devant sa justice: ils sont les serviteurs d’EL-SHADDAÏ et du Messie, et non des hommes : ni calomnie, ni duplicité, ni amour de l'argent ; qu'ils soient chastes en toutes choses, compatissants, zélés, marchant selon la vérité du Seigneur qui s'est fait le serviteur de tous. Si nous lui sommes agréables en ce temps présent, il nous donnera en échange le temps à venir, puisqu'il nous a promis de nous ressusciter d'entre les morts, et que, si notre conduite est digne de lui, « nous régnerons nous aussi avec lui » 2 Timothée II : 12, « Si nous tenons ferme, avec lui nous régnerons. Si nous le renions, lui aussi nous reniera », si du moins nous avons la foi.

    1. Les presbytres, eux aussi, doivent être compatissants, miséricordieux envers tous ; qu’ils ramènent les égarés, qu’ils visitent tous les malades, sans négliger la veuve, l’orphelin, le pauvre ; mais qu’ils ne croient pas trop vite du mal de quelqu’un et qu’ils ne soient pas raides dans leurs jugements, sachant que nous sommes tous débiteurs du péché.

     2. Si donc nous prions EL-SHADDAÏ de nous pardonner, nous devons nous aussi pardonner. 

    Vous venez de lire le style de « Lettre » des « Disciples » des Apôtres, qui seront nommés « Pères Apostoliques ». Je vous fais constater que dans leurs Écrits ils mettent le Père géniteur de Jésus le Nazôréen en premier le considérant comme le seul et unique « Dieu », puisqu’ils conseillent que les évêques et les diacres soient par leur comportement des parangons tout comme Jésus le Nazaréen là été sur la Terre, et en plus qu’ils soient soumis aux enseignements de Jésus le Nazôréen, comme ce dernier fut soumis à son Père EL-SHADDAÏ.

    Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

    Portez-vous bien !

    Cordiales salutations à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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