• Nom et Enseignements de ... Chap. 29 - Mercredi jour de crucifixion de Jésus le Nazôréen

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dans ce chapitre ci-dessous il est question de la mort de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens. Tous les écrits veulent faire coïncider cette crucifixion un vendredi, alors que les évangiles démontre le contraire. Une chose est sûre, il est difficile de tricher avec les dates bibliques surtout les temps prophétiques. Le samedi soir après le coucher du soleil commence le premier jour de la semaine soit « Dimanche ».

    Maintenant je vous laisse faire les calculs sachant que Jésus le Nazôréen est resté comme Jonas dans le ventre du gros poisson, trois jours et trois nuits, soit soixante-douze heures.

    Je vous laisse le soin de me lire et vous jugerez par vous-mêmes de ma déduction.

    Rechercher la vérité, la vraie, est une chose difficile, mais à chaque pas fait en direction de ce Dieu seul et unique est une joie intérieure qui nous pousse à nous améliorer et à faire attention aux pièges multiples de Sammaël qui n’apprécie pas que des humains l’abandonnent pour prier et suivre les Lois de son Créateur, EL-SHADDAÏ.

    Que ce Dieu seul et unique éclaire votre esprit par son « Souffle d’Intelligence » !  

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Et maintenant la « Lettre » de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens V : 1-2, VI : 1-2.

    V, 1. Sachant donc que « l'on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ » Galates VI : 7-8, « Ne vous y trompez pas ; on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ. Car ce que l'on sème, on le récolte : qui sème dans sa chair, récoltera de la chair la corruption ; qui sème dans l'esprit, récoltera de l'esprit la vie éternelle. », nous devons marcher d'une façon digne de ses commandements et de sa gloire.

    2. De même, que les diacres soient sans reproche devant sa justice: ils sont les serviteurs d’EL-SHADDAÏ et du Messie, et non des hommes : ni calomnie, ni duplicité, ni amour de l'argent ; qu'ils soient chastes en toutes choses, compatissants, zélés, marchant selon la vérité du Seigneur qui s'est fait le serviteur de tous. Si nous lui sommes agréables en ce temps présent, il nous donnera en échange le temps à venir, puisqu'il nous a promis de nous ressusciter d'entre les morts, et que, si notre conduite est digne de lui, « nous régnerons nous aussi avec lui » 2 Timothée II : 12, « Si nous tenons ferme, avec lui nous régnerons. Si nous le renions, lui aussi nous reniera », si du moins nous avons la foi.

    1. Les presbytres, eux aussi, doivent être compatissants, miséricordieux envers tous ; qu’ils ramènent les égarés, qu’ils visitent tous les malades, sans négliger la veuve, l’orphelin, le pauvre ; mais qu’ils ne croient pas trop vite du mal de quelqu’un et qu’ils ne soient pas raides dans leurs jugements, sachant que nous sommes tous débiteurs du péché.

     2. Si donc nous prions EL-SHADDAÏ de nous pardonner, nous devons nous aussi pardonner. 

    Vous venez de lire le style de « Lettre » des « Disciples » des Apôtres, qui seront nommés « Pères Apostoliques ». Je vous fais constater que dans leurs Écrits ils mettent le Père géniteur de Jésus le Nazôréen en premier le considérant comme le seul et unique « Dieu », puisqu’ils conseillent que les évêques et les diacres soient par leur comportement des parangons tout comme Jésus le Nazaréen là été sur la Terre, et en plus qu’ils soient soumis aux enseignements de Jésus le Nazôréen, comme ce dernier fut soumis à son Père EL-SHADDAÏ.

     

    Chapitre N° 29

    Mercredi jour de Crucifixion de Jésus

    Toujours avec cette Épîtres aux Hébreux où la lecture est vraiment intéressante, mais comme certains « Textes » apocryphes, il faut être très prudent à la compréhension de la lecture qui, si vous n’avez pas la sagesse de la prudence, inexorablement le texte vous entraine vers l’idolâtrie. L’Épître aux Hébreux n’est pas de Saül de Tarse, surnommé Paul et pourtant la fin de cette missive me laisse un peu perplexe.

    Alors à la place de grands discours, je pose la « pierre d’achoppement » !

    Épîtres aux Hébreux XIII : 20-21, 22-25

    « Que le Dieu de paix qui a ramené d’entre les morts par le sang de l’alliance éternelle, le grand Pasteur des brebis, notre Seigneur Jésus le Nazôréen, vous rendent aptes à faire tout le bien qu’il veut. Et qu’il fasse en nous ce qui lui est agréable par Jésus le Nazaréen à qui revient la gloire dans les âges des âges. Amen ! »

    Théoriquement cette Épître devrait ce terminer là, alors sans trop me tromper il me semble que les quatre versets qui suivent vingt-deux à vingt-cinq sont un ajout de copiste qui aurait pris pour exemple les terminaisons de II Corinthiens XIII : 12 et aux Philippiens IV : 21-22, que je vous poserai à la suite des versets aux Hébreux

    « Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles d’exhortations, car ma lettre est brève.

    Apprenez que votre frère Timothée a été libéré. S’il arrive assez tôt, c’est avec lui que j’irai vous voir.

    Saluez tous vos chefs et tous les saints. Ceux d’Italie vous saluent.

    La grâce soit avec vous tous ! »

    Pour la première terminaison rien à redire puisqu’elle fait l’éloge d’EL-SHADDAÏ, nous donnant la preuve que Jésus le Nazôréen fut ressuscité d’entre les morts par la volonté de son Père géniteur, ce Père le glorifiant comme le « Pasteur » de ses « Brebis », Ézéchiel XXXIV.

    Pour la deuxième terminaison celle que je considère comme un ajout de copiste, à prendre avec beaucoup de prudence, particulièrement le verset vingt-quatre, « Saluez tous vos chefs et tous les saints. », car il fait supposer que les humains étant avec leurs chefs sont « saints » c’est-à-dire sanctifiés, donc ils se vénèrent, se glorifient, s’adorent, entre eux. Épître aux Philippiens IV : 21-22 « Saluez chacun des saints dans le Christ Jésus. Les frères qui sont avec moi vous saluent. Tous les saints vous saluent, surtout ceux de la Maison de César. » Voyons maintenant la deuxième Épître écrite aux Corinthiens XIII : 12 « Saluez-vous mutuellement d'un saint baiser. Tous les saints vous saluent » Je vous pose le dernier verset de cette Épître, car pour moi c’est un ajout primaire de copiste, mais vous allez tout de suite le constater par vous-mêmes, verset 13 ou 14 selon les versions de traduction, « La grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour d’EL-SHADDAÏ et la communion du Saint Esprit soient avec vous tous ! » Reconnaissez qu’une telle terminaison vous entraîne directement vers « la Sainte Trinité » qui n’existe pas encore à cette époque. Comme pour l’Épître aux hébreux, l’Épître aux Philippiens possède deux terminaisons, vérifiez par vous-mêmes. Par cette toute petite phrase, « Saluez tous les Saints », Paul, Saül de Tarse a fait entré un ver dans « la Mouvance de Jésus le Nazaréen ». En effet cet apôtre, où plutôt « Disciple » considérait comme « Saint » un humain qui avait pris le baptême, ce qui est une grossière erreur.

    « Saint » écrit tel quel signifie une sanctification et non une perfection comme le « Nom » d’EL-SHADDAÏ, mais là encore, ce n’est pas le « Nom » que nous sanctifions, c’est l’Être qui porte le « Nom », car en vérité c’est bien EL-SHADDAÏ que nous glorifions dans nos prières, c’est bien l’Être que son « Nom » représente, Isaïe XLII : 8  « Je suis EL-SHADDAÏ, tel est mon nom ! Ma gloire, je ne la donnerai pas à un autre, ni mon honneur aux idoles. » que nous vénérons, adorons, donc sanctifions, voilà pourquoi nous prononçons son « Nom » avec respect, avec amour, mais EL-SHADDAÏ n’est pas que « Saint » il est aussi « SAIN », pur, propre, lumineux, limpide, cristallin, inaltéré, parfait.

    Vous allez me demander, et Jésus le Nazôréen comment est-il ?

    En premier ce n’est pas un « Dieu », seul son Père est « Dieu », il est l’unique Dieu de tout l’Univers, pas un seul « Dieu » avant Lui, aucun « Dieu » après Lui, Isaïe XLIV : 24 « Ainsi parle EL-SHADDAÏ, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, EL-SHADDAÏ qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi ! » alors pour Jésus le Nazôréen il n’y a pas d’adoration, de vénération, par contre il y a glorification en tant que Roi des Cieux et de la Terre mais il n’a reçu qu’une investiture, il y a environ deux mille ans, celle des Cieux, il faut attendre « le Jour de la Colère d’EL-SHADDAÏ » sur laquelle je reviendrai dans une série de chapitres car il s’agit de la « Fin des Temps, les Dernières générations » pour que Jésus le Nazôréen reçoive son « Héritage » et qu’il soit investit comme « Roi de la Terre ».

    Alors pour moi il y a une grande différence entre le Père qui est « Dieu » universel et perpétuel, I chroniques 17 : 20  « EL-SHADDAÏ, il n'y a personne comme toi et il n'y a pas d'autre Dieu que toi seul, comme l'ont appris nos oreilles »,  et son « Fils Emmanuel » engendré. En effet comme le « Nom » du Père, celui du fils peut être sanctifié, mais uniquement en glorification, jamais en adoration, vénération, ces actions étant réservées pour son Père, car Jésus le Nazaréen est comme notre « Maître Enseignant », notre « Maître à Penser » en premier, puis comme notre « Roi », avec tout le respect et l’allégeance que nous lui devons en tant que tel. NT - I Timothée 2 : 5 « Car EL-SHADDAÏ  est unique, unique aussi le médiateur entre EL-SHADDAÏ  et les hommes, le Messie Jésus le Nazôréen »

    Ne jamais oublier que Jésus le Nazaréen fit sur la Terre la volonté de son Père, et que ce dernier a tellement aimé son image façonnée de ses mains, je parle bien entendu de l’Homme, Sagesse de Salomon II : 23 « Oui, Dieu a créé l'homme pour l'incorruptibilité, il en a fait une image de sa propre nature » , qu’il offrit en sacrifice aux humains son unique Fils engendré, pour donner une équivalence parfaite au geste de la transgression volontaire des deux premiers humains qui connaissaient la sentence, la mort, tare génétique universelle de l’humain, faisant entrer sur la Terre le « péché », la perfection humaine disparaissant à la vitesse de sa reproduction, pour preuve son sang rivière génétique de sa vie se détériorant, s’altérant.

    C’est cet humain, ingrat envers Celui qui le fit sortir du « Néant », le créant, lui « l’humain », et en remerciement, ce dernier  fit périr le Fils, de ce seul et unique « Dieu » Créateur de toutes choses, engendré dans les Cieux et sur la Terre, Jésus le Nazaréen, par la torture romaine de la crucifixion. Jean XIX : 24, « Ils se dirent donc entre eux : « Ne la déchirons pas, mais tirons au sort qui l'aura » ; afin que l'Écriture fût accomplie : Ils se sont partagé mes habits, et mon vêtement, ils l'ont tiré au sort. Voilà ce que firent les soldats. » Jean XIX : 26-30, « Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. Un vase était là, rempli de vinaigre. On mit autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « C'est achevé » et, inclinant la tête, il remit l'esprit. »  Toujours par amour pour cet « Humain », sa plus belle création de tout l’Univers, il fallait bien avoir un amour incommensurable pour cet humain qui venait de trucider son Fils unique, El-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazaréen, le ressuscite d’entre les morts après trois jours et trois nuits, soit soixante douze heures passé dans le tombeau, pour respecter les « Écritures prophétiques ». Luc XXIII : 50-53.  « Et voici un homme nommé Joseph, membre du Conseil, homme droit et juste. Celui-là n'avait pas donné son assentiment au dessein ni à l'acte des autres. Il était d'Arimathie, ville juive, et il attendait le Royaume de Dieu. Il alla trouver Pilate et réclama le corps de Jésus. Il le descendit, le roula dans un linceul et le mit dans une tombe taillée dans le roc, où personne encore n'avait été placé. » Jean XIX : 36-42 « Car cela est arrivé afin que l'Écriture fût accomplie : Pas un os ne lui sera brisé. Et une autre Écriture dit encore : Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé. Après ces événements, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par peur des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Pilate le permit. Ils vinrent donc et enlevèrent son corps. Nicodème - celui qui précédemment était venu, de nuit, trouver Jésus - vint aussi, apportant un mélange de myrrhe et d'aloès, d'environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de linges, avec les aromates, selon le mode de sépulture en usage chez les Juifs. Or il y avait un jardin au lieu où il avait été crucifié, et, dans ce jardin, un tombeau neuf, dans lequel personne n'avait encore été mis. A cause de la Préparation des Juifs, comme le tombeau était proche, c'est là qu'ils déposèrent Jésus. » Son Fils devenait ainsi le « Grand Guerrier », vainqueur des « Ténèbres », permettant ainsi à l’humain de recouvrer la vie éternelle comme cela était prévu à l’origine par EL-SHADDAÏ.

    Comme souvent je l’écris, essayez de vous plonger par l’esprit à l’époque de Jésus le Nazaréen, dans un pays occupé par les romains, qui amenèrent avec eux une multitude de dieux, en plus dans votre propre religion, il existe plusieurs courants de pensés, Esséniens, Sadducéens, Pharisiens. Ceux qui forment le Sanhédrin font partie exclusivement des sadducéens en minorité et des pharisiens, mais les deux sont corrompus avec les romains. Je viens de vous écrire l’ambiance qui existait à l’ère de Jésus.

    Dans les évangiles il est écrit « le jour des Préparations ». Le jour des Préparations est le jour de veille juste avant le jour du Sabbat. C’est ce jour où tout était préparé pour le lendemain car il était interdit de faire la cuisine, le ménage, où autres vacations féminines, comme il était interdit aux hommes de travailler. Ce jour était réservé pour la prière, la méditation, pour EL-SHADDAÏ, car EL-SHADDAÏ avait travaillé six jours pour créé l’Univers et l’humain et le septième jour il s’était reposé.

    Voilà pourquoi tout le labeur d’embaumement dura un certain temps et qu’ils déposèrent Jésus le Nazôréen dans ce tombeau neuf juste avant le début du « Sabbat », il était le Mercredi à minuit, soit zéro heure. Dans la semaine où Jésus le Nazôréen fut crucifié il y eu deux « Sabbat » ; le premier le Jeudi fut le « Sabbat » du jour de la Pâque fête juive très importante puisque commençait la semaine des pains « Azymes ».

    N’oublions pas que le jour commence, pour les hébreux, du coucher de soleil au coucher de soleil le jour suivant, et qu’à l’époque les humains considéraient le coucher de soleil à la vue, donc selon l’endroit où l’humain vivait l’heure du coucher de soleil n’était pas la même. L’horlogerie n’était pas encore inventée !

    Voulant être honnête avec vous, car comme moi, je sais qu’il y a des humains qui cherchent ne prenant pas pour argent comptant ce que j’écris, ce qui est tout à fait logique, je suis dans une impasse de chronologie. Jésus le Nazôréen est ressuscité le premier jour de la semaine, soit un Dimanche, sachant que le jour normal du « Sabbat » est un Samedi, Jean XX : 1, « Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala vient de bonne heure au tombeau, comme il faisait encore sombre, et elle aperçoit la pierre enlevée du tombeau. », Luc XXIV : 1-3 « Le premier jour de la semaine, à la pointe de l'aurore, elles allèrent à la tombe, portant les aromates qu'elles avaient préparés. Elles trouvèrent la pierre roulée de devant le tombeau, mais, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. »,  et que Jésus le Nazôréen est resté soixante douze heure dans le tombeau, soit trois jours et trois nuits. Donc il fut crucifié le mercredi, jour des « Préparations » puisque le jeudi était un grand « Sabbat », Jean XIX : 31 « Comme c'était la Préparation, les Juifs, pour éviter que les corps restent sur la croix durant le sabbat -- car ce sabbat était un grand jour -- demandèrent à Pilate qu'on leur brisât les jambes et qu'on les enlevât. » , alors si ce jour était un jour important, quel était-il ?

     La Pâque ?

    Le premier jour des « Pains sans Levain », les « Pains Azymes » ?

    La veille, c’est-à-dire le début du mercredi, la fin du mardi, entre les deux soirs Jésus le Nazôréen fête le Pâque en famille avec ses Apôtres et Disciples et leur famille. Si jeudi est le jour de Pâque alors Jésus le Nazaréen aurait du fêter le repas de la Pâque le mercredi entre les deux soirs, impossible puisqu’il ne faisait plus partie de ce monde.

    Alors, volontairement a-t-il avancé la Pâque d’un jour ?

    La bible nous dit que ce jour était un jour de « Préparations » Jean XIX : 14, « Or c'était la Préparation de la Pâque ; c'était vers la sixième heure. Il dit aux Juifs : « Voici votre roi. » » Luc XXIII : 54 « C'était le jour de la Préparation, et le sabbat commençait à poindre. » Une seule certitude le lendemain de la crucifixion était un jour de « Sabbat » ! Jean nous dit que ce « Sabbat » est celui de la Pâque. Autre certitude, le premier jour de la semaine hébraïque, le Dimanche où le jour commençait tout juste à apparaître, le tombeau était vide, ce qui nous donne la certitude de la crucifixion, soit le mercredi et pas un autre jour.

    Le temps passé dans le tombeau ?

    Là non plus il n’y a pas d’erreur puisque c’est le temps prophétique que Jonas passa dans le ventre d’un gros poisson, soit trois jours et trois nuits. Jonas II : 1, 11 « EL-SHADDAÏ  fit qu'il y eut un grand poisson pour engloutir Jonas. Jonas demeura dans les entrailles du poisson trois jours et trois nuits. EL-SHADDAÏ commanda au poisson, qui vomit Jonas sur le rivage. » Entre ces deux versets il y a toute une prière implorant El-SHADDAÏ, mais il faut reconnaître que Jonas resta dans le ventre de ce gros poisson comme dans l’abîme de l’Hadès. Si parmi vous, Lectrices et Lecteurs il y a quelqu’un qui peut me donner une réponse à ce problème je serai ravi de le lire et de vous en faire bénéficier si la réponse s’avère correcte historiquement et bien sûr que cette réponse soit en accord avec la vie de Jésus le Nazaréen ainsi que dans l’Esprit d’EL-SHADDAÏ.

    Jésus le Nazôréen est aussi « SAIN », car sur la Terre il a été un parangon et en quarante ans sur la Terre pas un seul péché n’est venu entacher sa saine vie, car il vécut parfait. L’équivalence avec Adam et Ève qui furent déposé sur la Terre parfait, était accompli par Jésus le Nazôréen par sa perfection pendant quarante ans sur la Terre.

    Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

    Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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