• Nom - Jésus le Nazôréen - Volet VII - Fourbe, sournoise, idolâtrie chrétienne

     

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Quand à convoiter sa femme, pourquoi ? Si c’est dans un esprit désirable tu commets déjà l’adultère, et pourquoi guigner sur la compagne de ton prochain, à cause de sa beauté ? Mais ton épouse à tes yeux était belle puisque tu l’as prise pour femme !

    L’épouse de ton semblable est peut être une femme fidèle, mais aussi une grande travailleuse qui se lève tôt le matin pour préparer le petit déjeuner, faire toute les vacations matinales avec les enfants, le ménage, la cuisine. Épouse qui quand il y a des invités parle peu, juste quand il le faut, avec sagesse, de tout cela tu es avide, envieux.

    La convoitise amène l’humain vers divers péchés, en premier par jalousie il fera agir sa langue en mal, de plus il cherchera à commettre l’adultère et si la femme accepte les avances, le résultat risque d’être catastrophique pour les deux couples. Ils jouent à ce jeu de perdant, perdant.

     

    Volet N°VII

    Fourbe, sournoise, l’idolâtrie chrétienne

    Le péché de convoitise est un péché duquel il faut absolument ce défaire, car cette convoitise vous rend insatisfait en tout, car quoiqu’il arrive vous désirâtes toujours ce que votre prochain possède.

    Proverbes XIII : 4

    « Il ne sert à rien pour un paresseux de convoiter quelque chose, mais un homme actif obtient ce qu'il désire. » 

    Proverbes XXI : 25-26

    « La convoitise du paresseux le fera mourir, car ses mains refusent d'agir.

    Toute la journée il est en proie à la convoitise, alors que l'homme juste donne sans rien garder pour lui »

    Sans oublier que cette convoitise est une jalousie malsaine, alors que la « jalousie » est un sentiment divin puisque EL-SHADDAÏ est un Dieu jaloux.

    « Tu ne commettras pas d'adultère. »

    Ci-dessus, dans la convoitise j’écrivais que ce péché entraînait à l’adultère si « Madame » acceptait les propositions de « Monsieur »

    Pourquoi El-Shaddaï a-t-il mis ce commandement ?

    Quand il a créé l’homme, au bout de quelques temps EL-SHADDAÏ c’est aperçu que l’homme s’ennuyait sur la Terre, et que donnant un nom aux animaux de la Terre qui venaient le voir en couple, mâle et femelle, celui-ci ne comprenait pas pourquoi il était seul. Voilà pourquoi El-Shaddaï dit :

    « Il n’est pas bon que l’homme reste seul sur la Terre, faisons lui une compagne ! »

    Ce que je viens d’écrire ci-dessus est un texte de mémoire, alors voyons les « Écritures » bibliques de l’Ancien Testament dans le livre de la Genèse.

    Genèse II : 18-20

    « Yahvé, El-Shaddaï dit : « Il n'est pas bon que l'homme soit seul. Il faut que je lui fasse une aide qui lui soit assortie ».

    Yahvé El-Shaddaï modela encore du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel, et il les amena à l'homme pour voir comment celui-ci les appellerait : chacun devait porter le nom que l'homme lui aurait donné.

    L'homme donna des noms à tous les bestiaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes sauvages, mais, pour un homme, il ne trouva pas l'aide qui lui fût assortie »

    Vous remarquerez que l’auteur de ce livre inverse une chronologie, en effet Adam donna un nom à tous les animaux, oiseaux qui se présentait à lui en couple, ainsi qu’aux animaux aquatiques  en premier et c’est pendant ce temps que l’homme c’est aperçu de sa solitude et qu’El-Shaddaï décida de lui donner une compagne.

    Ce Dieu inventeur plongea l’homme dans un profond sommeil et prit en bas de la cage thoracique la plus petite côte en cartilage et modela une compagne à l’homme. Cette humaine, la première, El-Shaddaï la fit en armature à la ressemblance de l’homme, mais aussi du point de vue fonctionnement moteur et organe et il sculpta en son sein le mystère de la vie comme il l’avait fait avec les animaux. Personne sur la Terre ne connait l’alchimie de la conception de la vie que ce soit mammifère ou ovipare, je dis bien personne dans tout l’Univers ne connait l’ésotérisme de la vie, même pas Jésus le Nazaréen, seul EL-SHADDAÏ connait ce mystère impénétrable du pouvoir physique et alchimique de façonner la vie par la femelle et dans le sein de la femme.

    EL-SHADDAÏ avec les deux premiers humains institua le mariage puisqu’il leur dit l’homme et la femme vous ne ferez « qu’UN » et il ajouta : « Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère afin qu’il trouvât une femme pour ne faire « qu’UN » »

    L’humain sur la Terre et sans doute dans tout l’univers est le seul à avoir des rapports sexuels volontairement, quand d’un commun accord l’homme et la femme se mélangent et ne font plus qu’une seule chair.

    Cet acte sexuel à l’origine était un acte d’amour, qui procurait un immense plaisir aux deux participants, d’où le terme de jouissance. L’humain comme toujours a détourné cet acte d’amour en un acte de plaisir uniquement le détournant en pratique « contre-nature » et en orgie.

    Voilà pourquoi El-Shaddaï a en horreur les pratiques adultérines, car seul le plaisir compte, tout comme la fornication, l’amour a disparue.

    Proverbe XXX : 20

    « Telle est la conduite de la femme adultère : elle mange, puis s'essuie la bouche en disant : « Je n'ai rien fait de mal ! » »

    Sagesse de Salomon XIV : 23-26

    « Avec leurs rites infanticides, leurs mystères occultes, ou leurs orgies furieuses aux coutumes extravagantes, ils ne gardent plus aucune pureté ni dans la vie ni dans le mariage, l'un supprime l'autre insidieusement ou l'afflige par l'adultère.

    Partout, pêle-mêle, sang et meurtre, vol et fourberie, corruption, déloyauté, trouble, parjure, confusion des gens de bien, oubli des bienfaits, souillure des âmes, crimes contre nature, désordres dans le mariage, adultère et débauche. »

    Siracide ou ecclésiastique de Jésus Ben Sira XXIII : 23  --- Sur la femme infidèle

    « Tout d'abord elle a désobéi à la loi du Très-Haut, ensuite elle est coupable envers son mari; en troisième lieu elle s'est souillée par l'adultère et a conçu des enfants d'un étranger. »

    Marc VII : 20-23

    « Il disait :

    « Ce qui sort de l'homme, voilà ce qui souille l'homme.

    Car c'est du dedans, du cœur des hommes, que sortent les desseins pervers : débauches, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, ruse, impudicité, envie, diffamation, orgueil, déraison.

    Toutes ces mauvaises choses sortent du dedans et souillent l'homme. » »

    En lisant ces versets bibliques, sans être misogyne, nous constatons que c’est la femme qui est en générale responsable d’adultère, pourquoi ? Parce que l’homme propose, mais c’est la femme qui dispose ! En effet si celle-ci se refuse à l’homme, celui-ci ne va pas la violée ! Et par son refus elle reste fidèle à son époux, donc il est vrai que l’homme par sa proposition commet déjà l’adultère, mais il laisse le libre choix à la femme, voilà pourquoi bibliquement c’est elle qui porte la plus grande responsabilité de l’adultère.

    « Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.

    Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ (Yahvé), ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements.

    Tu ne prononceras pas le nom d’EL-SHADDAÏ  (de Yahvé) ton Dieu à faux, car EL-SHADDAÏ (Yahvé) ne laisse pas impuni celui qui prononce son nom en vain. »

    Je vais terminer par ces trois commandements qui sont pour moi indissociables, et qui vont, encore une fois, poser quelques problèmes de conscience à mes semblables chrétiens, mais la vérité est malheureusement là !

    EL-SHADDAÏ réitère souvent l’unicité de sa personne et il tient beaucoup à être le seul et unique Dieu, comme il le dit il n’en existait pas avant lui et il n’en existera pas après lui

    Deutéronome IV : 39

    « Sache-le donc aujourd'hui et médite-le dans ton cœur : c'est EL-SHADDAÏ {Yahvé} qui est Dieu, là-haut dans les Cieux comme ici-bas sur la terre, lui et nul autre. »

    XXXII : 39

    « Voyez maintenant que moi, moi je suis EL-SHADDAÏ et que nul autre à côté de moi n'est Dieu ! C'est moi qui fais mourir et qui fais vivre ; quand j'ai frappé, c'est moi qui guéris et personne ne délivre de ma main. »

    Isaïe LXIII : 10-11

    « --- ; afin que vous le sachiez, que vous croyiez en moi et que vous compreniez que c'est moi EL-SHADDAÏ : avant moi aucun Dieu n'a été formé et après moi il n'y en aura pas.

    Moi, c'est moi EL-SHADDAÏ {Yahvé}, et en dehors de moi il n'y a pas de Sauveur. »

    Isaïe XIVL : 6-7, 24

    Ainsi parle EL-SHADDAÏ, je suis le premier et je suis le dernier, à part moi, il n'y a pas de dieu.

    Qui est comme moi ? qu'il crie, qu'il le proclame et me l'expose !

    « Ainsi parle EL-SHADDAÏ {Yahvé}, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, EL-SHADDAÏ {Yahvé}, qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi ! »

    Amos IV : 2 -- Sur les Dames de Samarie

    « Eh bien, le Seigneur Dieu l'a juré

    « Aussi vrai que je suis l'unique vrai Dieu, voici venir le jour où l'on vous traînera, jusqu’à la dernière, comme des poissons pris à l'hameçon. » »

    Pour assoir cette autorité de l’unique, du seul Dieu, El-Shaddaï interdit à l’humain de modeler, façonner, sculpter un objet qui serait ressemblant à ce qui vit dans les eaux et sur celles-ci, de tout ce qui vit et se meut dans le ciel, de tout ce qui vit à l’intérieur de la terre et sur la terre et d’en faire des sujets de dévotion.

    Donc les statues dans les Églises, Chapelles, Cathédrales, ainsi que les crucifix représentants un humain nommé « Jésus-Christ, Saint ou Sainte » sont des objets interdits par El-Shaddaï puisque ces images représentent des humains sur la Terre.

    En premier un texte biblique qui donne l’explication du début de l’idolâtrie.

    Sagesse de Salomon XIV : 5-20

    « Tu ne veux pas que les œuvres de ta Sagesse soient stériles; c'est pourquoi les hommes confient leur vie même à un bois minuscule, traversent les vagues sur un radeau et demeurent sains et saufs.

    Et de fait, aux origines, tandis que périssaient les géants orgueilleux, l'espoir du monde se réfugia sur un radeau et, piloté par ta main, laissa aux siècles futurs le germe d'une génération nouvelle.

    Car il est béni, le bois par lequel advient la justice, mais maudite l'idole fabriquée, elle et celui qui l'a faite, lui, pour y avoir travaillé, et elle parce que, corruptible, elle a été appelée dieu.

    Car EL-SHADDAÏ déteste également l'impie et son impiété, et l'œuvre sera châtiée avec l'ouvrier.

    Aussi y aura-t-il une visite même pour les idoles des nations, parce que, dans la création d’EL-SHADDAÏ, elles sont devenues une abomination, un scandale pour les âmes des hommes, un piège pour les pieds des insensés.

    L'idée de faire des idoles a été l'origine de la fornication, leur découverte a corrompu la vie.

    Car elles n'existaient pas à l'origine, et elles n'existeront pas toujours.

    C’est par la vanité des hommes qu'elles ont fait leur entrée dans le monde, aussi bien une prompte fin leur a-t-elle été réservée.

    Un père que consumait un deuil prématuré a fait faire une image de son enfant si tôt ravi, et celui qui hier encore n'était qu'un homme mort, il l'honore maintenant comme un dieu et il transmet aux siens des mystères et des rites, puis avec le temps la coutume se fortifie et on l'observe comme loi. C'est encore sur l'ordre des souverains que les images sculptées recevaient un culte des hommes qui ne pouvaient les honorer en personne, parce qu'ils habitaient à distance, représentèrent leur lointaine figure et firent une image visible du roi qu'ils honoraient; ainsi, grâce à ce zèle, on flatterait l'absent comme s'il était présent.

    Ceux-là mêmes qui ne le connaissaient pas furent amenés par l'ambition de l'artiste à étendre son culte; car, désireux sans doute de plaire au maître, il força son art à faire plus beau que nature, et la foule, attirée par le charme de l'œuvre, considéra désormais comme un objet d'adoration celui que naguère on honorait comme un homme. »

    Vous venez de lire ces quelques versets bibliques qui expliquent comment l’humain en est venu à adorer une image. Maintenant revenons au christianisme primitif ! Les symboles chrétiens de la croix, puis du crucifix, ensuite des statues représentant des humains que les dirigeants nomment « Saint ou Sainte », ont commencé à apparaître après le décès des derniers Disciples de la deuxième génération, quand les humains commencèrent à rechercher les reliques mortuaires des Apôtres et Disciples de la première génération et de les garder comme des objets de dévotion.

    Je ne voulais pas, mais après avoir bien lu ce chapitre treize de la Sagesse de Salomon je vais le poser comme cela je serai sûr que vous l’aurez lu.

    Sagesse de Salomon XIII : 1-19

    « Oui, vains par nature tous les hommes en qui se trouvait l'ignorance d’EL-SHADDAÏ, qui, en partant des biens visibles, n'ont pas été capables de connaître Celui-qui-est, et qui, en considérant les œuvres, n'ont pas reconnu l'Artisan.

    Mais c'est le feu, ou le vent, ou l'air rapide, ou la voûte étoilée, ou l'eau impétueuse, ou les luminaires du ciel, qu'ils ont considérés comme des dieux, gouverneurs du monde !

    Que si, charmés de leur beauté, ils les ont pris pour des dieux, qu'ils sachent combien leur Maître est supérieur, car c'est la source même de la beauté qui les a créés.

    Et si c'est leur puissance et leur activité qui les ont frappés, qu'ils en déduisent combien plus puissant est Celui qui les a formés, car la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, contempler leur Auteur.

    Ceux-ci toutefois ne méritent qu'un blâme léger; peut-être en effet ne s'égarent-ils qu'en cherchant EL-SHADDAÏ et en voulant le trouver versés dans ses œuvres, ils les explorent et se laissent prendre aux apparences, tant ce qu'on voit est beauté !

    Et pourtant eux non plus ne sont point pardonnables s'ils ont été capables d'acquérir assez de science pour pouvoir scruter le monde, comment n'en ont-ils pas plus tôt découvert le Maître !

    Mais malheureux sont-ils, avec leurs espoirs mis en des choses mortes, ceux qui ont appelé dieux des ouvrages de mains d'hommes, or, argent, traités avec art, figures d'animaux, ou pierre inutile, ouvrage d'une main antique.

    Et voici encore un bûcheron : il scie un arbre facile à manier, il en racle soigneusement toute l'écorce, il le travaille avec adresse, il en forme un objet propre aux usages de la vie.

    Quant aux déchets de son travail, il les emploie à préparer sa nourriture et il se rassasie.

    Et le déchet qui en reste et qui n'est bon à rien, un bois tordu et poussé tout en nœuds il le prend et le sculpte avec l'application des heures de loisir, il le façonne, avec le savoir-faire des instants de détente. Il lui donne une figure humaine, ou bien il le fait semblable à quelque vil animal, le recouvre de vermillon, en rougit la surface à la sanguine, recouvre d'un enduit toutes ses taches.

    Puis il lui fait une habitation convenable, le place dans un mur et l'assure avec du fer.

    Ainsi veille-t-il à ce qu'il ne tombe pas, sachant bien qu'il est incapable de s'aider lui-même, car ce n'est qu'une image, et il a besoin d'aide !

    Pourtant, s'il veut prier pour ses biens, son mariage, ses enfants, il ne rougit pas d'adresser la parole à cet objet sans vie; pour la santé, il invoque ce qui est faible, pour la vie, il implore ce qui est mort, pour un secours, il supplie ce qui a le moins d'expérience, pour un voyage, ce qui ne peut même pas se servir de ses pieds, pour un gain, une entreprise, le succès du travail de ses mains, il demande de la vigueur à ce qui n'a pas la moindre vigueur dans les mains ! »

    Comme la vérité explose ici !

    En effet, pour vous chrétiens quand vous allez visiter une ville, comme Reims, Lisieux, Paris, Cologne peu importe la ville, où la cathédrale imposante au-milieux de la ville, vestige de l’ère du Moyen-Âge, conte involontairement des siècles d’histoire, en souvenir, vous achetez chez les marchands du Temple une statuette fluorescente représentant un «  Saint ou une Sainte » que vous posez sur la table de nuit ou sur une étagère, vers laquelle dans les moments difficiles vous vous tournez, et devant cette effigie de matière vous vous signez, certains s’agenouillant même, faites une prière pour demander ce qui vous manque à cet objet qui ne peut rien pour vous car il ne parle pas, n’entend pas, ne voit pas, incapable de se mouvoir et qui de sa hauteur tombe à terre, se fracasse, et vous la jetez sans vergogne à la poubelle.

    Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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