• Nom - Jésus le Nazôréen - Volet VIII - Seul et unique Dieu, EL-SHADDAÏ

    Procession, marque typique de l’idolâtrie chrétienne

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Et le déchet qui en reste et qui n'est bon à rien, un bois tordu et poussé tout en nœuds il le prend et le sculpte avec l'application des heures de loisir, il le façonne, avec le savoir-faire des instants de détente. Il lui donne une figure humaine, ou bien il le fait semblable à quelque vil animal, le recouvre de vermillon, en rougit la surface à la sanguine, recouvre d'un enduit toutes ses taches.

    Puis il lui fait une habitation convenable, le place dans un mur et l'assure avec du fer.

    Ainsi veille-t-il à ce qu'il ne tombe pas, sachant bien qu'il est incapable de s'aider lui-même, car ce n'est qu'une image, et il a besoin d'aide !

    Pourtant, s'il veut prier pour ses biens, son mariage, ses enfants, il ne rougit pas d'adresser la parole à cet objet sans vie; pour la santé, il invoque ce qui est faible, pour la vie, il implore ce qui est mort, pour un secours, il supplie ce qui a le moins d'expérience, pour un voyage, ce qui ne peut même pas se servir de ses pieds, pour un gain, une entreprise, le succès du travail de ses mains, il demande de la vigueur à ce qui n'a pas la moindre vigueur dans les mains ! »

    Comme la vérité explose ici !

    En effet, pour vous chrétiens quand vous allez visiter une ville, comme Reims, Lisieux, Paris, Cologne peu importe la ville, où la cathédrale imposante au-milieux de la ville, vestige de l’ère du Moyen-Âge, conte involontairement des siècles d’histoire, en souvenir, vous achetez chez les marchands du Temple une statuette fluorescente représentant un «  Saint ou une Sainte » que vous posez sur la table de nuit ou sur une étagère, vers laquelle dans les moments difficiles vous vous tournez, et devant cette effigie de matière vous vous signez, certains s’agenouillant même, faites une prière pour demander ce qui vous manque à cet objet qui ne peut rien pour vous car il ne parle pas, n’entend pas, ne voit pas, incapable de se mouvoir et qui de sa hauteur tombe à terre, se fracasse, et vous la jetez sans vergogne à la poubelle.

    Volet N° VIII

    Seul et unique Dieu, EL-SHADDAÏ

    Pour être un peu plus complet un autre texte de cet Ancien Testament que vous chrétiens vous ne pouvez démentir puisqu’il fait partie du « Canon Biblique ».

    Isaïe XIVL : 9-11, 13-20

     « Néant, tous ceux qui modèlent des idoles, leurs meilleures œuvres ne servent à rien! Elles sont leurs témoins, qui ne voient ni ne savent rien, en sorte qu'ils seront couverts de honte.

    Qui a façonné un dieu et fondu une idole qui ne peuvent servir à rien ?

    Voici que tous ses fidèles seront couverts de honte, ainsi que ses artisans qui ne sont que des hommes. Qu'ils se rassemblent tous, qu'ils comparaissent; qu'ils soient remplis à la fois d'épouvante et de honte !

    Le sculpteur sur bois tend le cordeau, trace l'image à la craie, l'exécute au ciseau et la dessine au compas, il l'exécute à l'image de l'homme, selon la beauté humaine, pour qu'elle habite une maison.

    Il a coupé des cèdres, il a choisi un chêne et un térébinthe qu'il a laissés croître pour lui parmi les arbres de la forêt. Il a planté un pin que la pluie a fait grandir.

    Les hommes le destinent au feu : il en a pris pour se chauffer, il l'a allumé et a cuit du pain. Mais aussi il a fait un dieu pour l'adorer, il a fabriqué une idole pour se prosterner devant elle.

    Il en avait brûlé la moitié au feu, sur cette moitié il fait rôtir de la viande, la mange et se rassasie; en même temps il se chauffe et dit :

    « Ah ! Je me suis bien chauffé et j'ai vu la flamme. »

    Avec le reste il fait un dieu, son idole, et il se prosterne devant lui, l'adore et le prie et dit : « Sauve-moi, car tu es mon dieu. »

    Ils ne savent pas, ils ne comprennent pas, car leurs yeux sont incapables de voir, et leur cœur de réfléchir.

    Pas un ne rentre en lui-même, pas un n'a la connaissance et l'intelligence de se dire :

    « J'en ai brûlé la moitié au feu et j'ai cuit du pain sur ses braises, je rôtis de la viande et je la mange; avec le reste je ferais une chose abominable, me prosterner devant un bout de bois ! »

    Il est attaché à de la cendre, son cœur abusé l'a égaré, il ne sauvera pas sa vie, il ne dira pas :

    « Ce que j'ai dans la main, n'est-ce pas un leurre ? » »

    Avez-vous pensé seulement que le bois qui forme une croix dans l’Église était le même que celui que vous achetez à la scierie et qui sert pour façonner les meubles  et se chauffer. !

    Psaume 115

    « Que les païens ne disent : « Où est EL-SHADDAÏ ? »  

    Notre Dieu, il est dans les cieux, tout ce qui lui plaît, il le fait.

    Leurs idoles, or et argent, une œuvre de main d'homme !

    Elles ont une bouche et ne parlent pas, elles ont des yeux et ne voient pas, elles ont des oreilles et n'entendent pas, elles ont un nez et ne sentent pas.

    Leurs mains, mais elles ne touchent point, leurs pieds, mais ils ne marchent point, de leur gosier, pas un murmure !

    Comme elles, seront ceux qui les firent, quiconque met en elles sa foi »

    Des textes bibliques sur l’idolâtrie il y en a encore. Il serait intéressant de connaître ce qu’écrit l’ancien testament sur les responsables de l’idolâtrie et ou cela mène. Scrutons cette religion chrétienne ! Je sais qu’il y en a parmi vous qui vont me reprocher ces écrits en disant que je ne sais faire qu’une chose, critiquer la religion chrétienne. La plus grande partie de vous, Lectrices et Lecteurs, est de confession chrétienne.

    Sagesse de Salomon XIV : 21-31

    « Et voilà qui devint un piège pour la vie que des hommes, asservis au malheur ou au pouvoir, eussent conféré à des pierres et à des morceaux de bois le Nom incommunicable.

    En outre il ne leur a pas suffi d'errer au sujet de la connaissance d’EL-SHADDAÏ ; mais alors que l'ignorance les fait vivre dans une grande guerre, ils donnent à de tels maux le nom de paix !

    Avec leurs rites infanticides, leurs mystères occultes, ou leurs orgies furieuses aux coutumes extravagantes, ils ne gardent plus aucune pureté ni dans la vie ni dans le mariage, l'un supprime l'autre insidieusement ou l'afflige par l'adultère.

    Partout, pêle-mêle, sang et meurtre, vol et fourberie, corruption, déloyauté, trouble, parjure, confusion des gens de bien, oubli des bienfaits, souillure des âmes, crimes contre nature, désordres dans le mariage, adultère et débauche.

    Car le culte des idoles sans nom est le commencement, la cause et le terme de tout mal.

    Ou bien en effet ils poussent leurs réjouissances jusqu'au délire, ou bien ils prophétisent le mensonge, ou ils vivent dans l'injustice, ou ils ont tôt fait de se parjurer comme ils mettent leur confiance en des idoles sans vie, ils n'attendent aucun préjudice de leurs faux serments.

    Mais de justes arrêts les frapperont pour ce double crime parce qu'ils ont mal pensé d’EL-SHADDAÏ en s'attachant à des idoles, parce qu'ils ont juré frauduleusement contre la justice, au mépris de la sainteté.

    Car ce n'est pas la puissance de ceux par qui l'on jure, mais le châtiment réservé aux pécheurs qui poursuit toujours la transgression des injustes. »

    Moi le « Païen », je ne voudrai pas être désobligeant mais il me semble que le texte ci-dessus ressemble étrangement à la chrétienté. En effet je vous convie à écouter les ouailles sortant de la « Grand-Messe » à onze heures trente ou à douze heures selon les régions, vous serez étonné des conversations. Ils viennent de prier leurs Dieux, Dieu le Père, Dieu le fils, Dieu le Saint-Esprit, et sur ce perron de l’Église vous entendez médisance sur votre droite, calomnie sur votre gauche, grossièreté derrière vous, un rendez-vous galant à droite, etc, et tous ces semblables viennent d’écouter le sermon de Monsieur le Curé en chair.

    De plus combien de fidèles sortent de cette Église et sont fornicateurs, adultérins, pour certains homosexuels ?

    Je suis obligé, non, nous sommes obligés de reconnaître que ces écrits de l’Ancien Testament sont  d’une actualité réelle, car l’idolâtrie est bien le plus grand mal pour l’humain. En effet, sincèrement, quand on est un jeune chrétien et que l’on se signe devant deux morceaux de bois formant une croix, nous n’avons pas l’impression de faire un geste idolâtre. La réalité est tout autre, donc nous sommes trahis par nos « Dirigeants » Curé, Abbé, Prêtre, Cardinal, Évêque, Pape, Pope et même les Pasteurs, Révérends de confession Protestante.

    La prière devant une statue représentant une vierge quelconque est bien un signe d’idolâtrie, puisque nous prions un morceau de pierre sculptée, et dans ces Églises, Cathédrales, Chapelles, il y a toujours cinq ou six statues représentant des Saints ou des Saintes nous invitant à les prier. Reconnaissez que le principe est plutôt sournois, fourbe, car l’on vous enseigne de vous signer à l’entrée du Temple en trempant votre main dans un bénitier, puis de vous signer de nouveau en passant devant l’autel ou il y a un crucifix d’une certaine ampleur et de vous signer encore avant et après votre prière. Ce simple geste est la marque certaine que vous êtes dans l’idolâtrie.

    Souvenez-vous de ce commandement d’EL-SHADDAÏ :

    « Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ (Yahvé), ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements. »

    Je crois que j’ai été complet sur le développement de l’idolâtrie chrétienne. Maintenant, vous mes semblables chrétiens, ne vous mettez pas la tête dans un sac pour ne pas entendre, la réalité est là, flagrante, et n’oubliez jamais que vous êtes responsable de vous, nier cette vérité c’est prendre le chemin de la mort définitive, de retourner d’où vous venez, du néant, car sans vos géniteurs vous n’existeriez pas, ce sont eux qui vous ont fait sortir du néant.

    Ne faites pas l’autruche, reconnaissez ce fait évident et rechercher plutôt le chemin qui mène à EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique. Je reconnais que prier un Dieu qui n’a aucune représentation est difficile, mais cela est faux puisque le semblable que vous croisez dans la rue est à l’image d’EL-SHADDAÏ, donc vous croisez son reflet, son image, pourquoi alors s’en créer d’autres de matière sans vie ?

    Je vous laisse à votre réflexion !

    Je réitère, vous seul êtes responsable individuellement de vous, de vos actes et de vos pensées, car au jour du Jugement vous serez seul sur le fauteuil pour être juger.

    De mémoire,

    EL-SHADDAÏ a dit : «  qui crache à la face de l’homme, crache sur ma face ! »

    Ceci vient confirmer ce que je vous aie écrit quelques lignes avant !

    Nous venons de voir quelques Lois ou « commandements » d’El-Shaddaï afin que l’humain ait une voie de conduite qui, s’il les respecte, sa vie soit agréable et heureuse, dans la joie et le bonheur. Si tous les humains respectaient juste les quelques commandements écrit ci-dessus, beaucoup de ses malheurs disparaîtraient et exceptionnellement je ne vais pas parler de l’idolâtrie, mais simplement prendre l’exemple de la convoitise. Si vous ne convoitez pas ce que possède votre prochain beaucoup de péchés s’évanouissent, s’envolent comme la jalousie exécrable. En effet le sentiment de « jalousie » est un sentiment divin, puisqu’EL-SHADDAÏ lui-même est un Dieu jaloux.

    Exode XX : 5-6

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements.

    Exode XXXIV : 14

    Tu ne te prosterneras pas devant un autre dieu, car EL-SHADDAÏ a pour nom Jaloux : c'est un Dieu jaloux.

    Deutéronome IV : 23-24

    « Gardez-vous d'oublier l'alliance que SHADDAÏ votre Dieu a conclue avec vous et de vous fabriquer une image sculptée de quoi que ce soit, malgré la défense de SHADDAÏ ton Dieu ; car EL-SHADDAÏ est un feu dévorant, un Dieu jaloux. »

    Ce sentiment de jalousie est un sentiment d’amour, car l’être humain étant l’image, le reflet de ce Dieu unique, est jaloux de ce qu’il aime tout comme EL-SHADDAÏ.

    Si je prends mon exemple, par la parole je dis et disais à mes semblables que je ne suis, que je n’étais pas jaloux, mais si l’un deux commençait à être un peu trop entreprenant envers mon épouse, même si je lui faisais confiance, je n’appréciais pas, surtout, si pour s’amuser, elle répondait légèrement aux avances, afin de me rendre jaloux. Donc cette jalousie est vraiment un sentiment d’amour, car nous tenons à ce que nous aimons !

    Il se fait qu’en cherchant un texte biblique pour confirmer mes écritures, j’ai trouvé cette épitre de Paul, Saül de Tarse, aux Galates. La Galatie territoire au milieu de l’Anatolie, aujourd’hui la Turquie, doit son nom à des Celtes Gaulois qui s’installèrent dans cette région en 300-280 avant J-C.

    Dans quelques jours je terminerai cette écriture, qui, je le souhaite, vous aura été bénéfique en cœur et en esprit afin que vous empruntiez le sentier qui mène vers ce Dieu unique EL-SHADDAÏ dont la récompense de toutes vos actions sera la résurrection sur cette Terre transformée.

    Pour le réel portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G.  Surnommé « GRANDELOUPO »


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