• Destruction du Temple en l’an 70

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Les années de soixante à soixante-treize furent très dures pour les humains qui formaient la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ». L’enseignement était oral dans les  synagogues ou aux abords de celle-ci. Croire en une chose de spirituelle en écoutant un orateur il fallait que ce dernier ait une grande conviction pour vous toucher le cœur au point de vouloir suivre cette « Mouvance » et faire l’action de se baptiser. La foi devait être grande surtout dans ces années de persécution sporadique. En effet il y avait persécution à Rome et absolument rien dans l’île de Chypre, mais encore persécution à Jérusalem et rien à Antioche de Syrie, et quand la persécution était dans la ville susnommée il n’y avait rien à Jérusalem.

    Souvent je pense à ces hommes et ces femmes avec leurs enfants qui entraient dans l’arène en chantant des louanges à EL-SHADDAÏ sachant que dans un quart d’heure ils allaient servir de nourriture aux fauves, et le plus étonnant c’est que par leur courage devant l’adversité ils faisaient des adeptes à leur « Mouvance » et ce que j’écris fut prouver historiquement. Pour les organisateurs des jeux du cirque, la persécution des « Messianistes » n’attirait pas foule car comme écrit ci-dessus ces humains continuaient à prier à la place de crier ce qui déplaisait fortement au public qui gardait le silence devant tant de courage.

    Aujourd’hui il n’y a plus de cirque, plus d’arène pour les persécutés et persécuteurs, et pourtant la persécution existe toujours, plus sournoise, plus hypocrite.

    En ce XXIème siècle, la religion, la pensé spirituelle s’estompe de plus en plus. Les humains croient de moins en moins en l’Être Suprême, qu’ils ont remplacé par d’autre dieux beaucoup plus terre-à-terre, comme un chanteur, un acteur, un joueur de football, mais en EL-SHADDAÏ, c’est fini ils n’y croient plus, l’idolâtrie sur toutes ses formes, le sexe et l’argent voilà ce qui rend l’humain heureux, ignorant qu’il creuse sa propre fosse, sa propre perte.

     

     

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Marc X : 19

    Tu connais les commandements : « Ne tue pas, ne commets pas d'adultère, ne vole pas, ne porte pas de faux témoignage, ne fait pas de tort, honore ton père et ta mère. »

    Interdiction à l’assassinat, au meurtre, qui correspond à Matthieu XXIII : 34-35,

    « C'est pourquoi, voici que j'envoie vers vous des prophètes, des sages et des scribes : vous en tuerez et mettrez en croix, vous en flagellerez dans vos synagogues et pourchasserez de ville en ville, pour que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang de l'innocent Abel jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez assassiné entre le sanctuaire et l'autel ! »

    Après ces versets Jésus le Nazôréen fait la prophétie à peine voilée de la destruction du Temple qui aura lieu en l’an 70

    Épître aux Romains XIII : 9

    « En effet, le précepte : Tu ne commettras pas d'adultère, tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas, et tous les autres se résument en cette formule : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

    Interdiction au vol, qui correspond à I Corinthiens VI : 9-10,

    Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du Royaume d’EL-SHADDAÏ ? Ne vous y trompez pas ! Ni impudiques, ni idolâtres, ni adultères, ni dépravés, ni gens de mœurs infâmes, ni voleurs, ni cupides, pas plus qu'ivrognes, insulteurs ou rapaces, n'hériteront du Royaume d’EL-SHADDAÏ.

    Luc XVIII : 20

    Tu connais les commandements : « Ne commets pas d'adultère, ne tue pas, ne vole pas, ne porte pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère. »

    Interdiction de manger de la chair arraché à un animal vivant. Cette loi Noachide mal formulée signifie plus exactement s’abstenir des animaux étouffés, c’est-à-dire des viandes non-saignées

    Genèse IX : 4

    Seulement, vous ne mangerez pas la chair avec son âme, c'est-à-dire le sang.

    Selon le judaïsme, tout non hébreu vivant en accord avec ces sept Lois est considéré comme un « Gentil Vertueux » et a, par l’observance de ces Lois sa part au monde à venir.

     

    Chapitre N° 26

    L’an 70, destruction du Temple …,

    l’errance …

    Par cette Loi Noachide que Jacques dicte à la communauté d’Antioche de Syrie il met tous les courants de penser d’accort de l’helléniste au judaïsant laissant à chacun son propre arbitrage sur la circoncision.

    Dans les chapitres précédent je vous ai écrit sur l’authenticité des Lettres ou Épîtres de Saül de Tarse, alors voyons les autres dites « deutéro-pauliniennes »

    En l’an 2000 la question de l’authenticité des épîtres se présente ainsi :

    L’épître aux Colossiens est considérée comme un pseudépigraphe pour 60% des exégètes. Un argument de taille tient à la destruction de la ville par un tremblement de terre sous le règne de Néron. La lettre serait un faux car adressée à une ville inexistante. Il faut noter que cet argument présuppose une date de rédaction tardive.

    L’épître aux Éphésiens est considéré comme pseudépigraphe par 80% es exégètes ? Ce serait une réécriture de l’épître aux Colossiens développant le prolongement de l’action du Messie Sagesse d’EL-SHADDAÏ dans l’Église.

    Pour la deuxième épître aux Thessaloniciens les avis sont partagés de manière égale.

    Ces statistiques évoquées par Régis Burnet, né en 1973, Professeur de Nouveau Testament à l’université catholique de Louvain, sont reconnues par la communauté scientifique dans son ensemble.

    « Les Épîtres dites deutéro-pauliniennes constituent de même un tel infléchissement de la pensée de l’apôtre, que l’on est fondé à y voir des écrits intentionnels de falsification, plutôt que le travail rapide et peu respectueux d’une école paulinienne rangée à l’orthodoxie judéo-Nazôréenne. Maniées avec précaution, les Épîtres deutéro-pauliniennes, autant que les interpolations pratiquées sur les Épîtres authentiques, apportent néanmoins quelques lumières sur les rudes controverses qui opposèrent l’Hérésie paulinienne à l’Église Judéo-Nazôréenne, au moment où celle-ci cherchait à se constituer en modèle d’orthodoxie. »

    La première épître à Timothée et la seconde, plus celle de Tite dites « épitres pastorales » sont des pseudépigraphes des successeurs de Paul.

    Quant à l’épître aux Hébreux, suite aux travaux d’Albert Vanhove, il est admis depuis 1976 que cette épître n’en est pas un, mais un traité qui n’est pas de l’œuvre de Saül de Tarse et pourtant !

    Il est évident que cette lettre s'adresse aux Juifs parlant l'hébreu par contraste avec ceux parlant le grec. Le rédacteur de la lettre aux Hébreux ne se fait pas connaître par son nom. Cet anonymat n’est évidemment pas une raison pour écarter Paul, même si toutes ses autres lettres portent son nom. En effet, la lettre présente de solides éléments intrinsèques attestant que l’apôtre fut l’écrivain et que l’Italie, probablement Rome, fut le lieu de rédaction.

    C’est à Rome que Paul fut emprisonné pour la première fois, sans doute pendant les années 59 à 61 de notre ère. Timothée, dont le nom est cité dans les lettres de l’apôtre aux Philippiens, aux Colossiens et à Philémon écrites depuis Rome pendant son incarcération, était avec lui dans cette ville.

    Épître aux Philippiens II : 19

    J'espère du moins, dans le Seigneur Jésus, vous envoyer bientôt Timothée, afin d'être soulagé moi-même en obtenant de vos nouvelles.

    Épître aux Colossiens I : 1-2

    Paul, apôtre du Messie (Christ) Jésus par la volonté d’EL-SHADDAÏ, et le frère Timothée, aux saints de Colosses, frères fidèles dans le Messie (Christ). A vous grâce et paix de par EL-SHADDAÏ notre Père !

    Dans les versets ci-dessus je tiens à faire cette remarque qui pour moi a beaucoup d’importance puisque si l’on suit l’écriture telle qu’elle est il y a vénérations d’humains. En effet « aux saints de Colosse » le terme « saints » écrits ainsi est bien une vénération. De plus j’ai mis le terme exact c’est-à-dire « Messie » suite aux explications posées dans les chapitres précédents.

    Épître a Philémon I : 1-3

    Paul, prisonnier du Nazôréen Jésus, et le frère Timothée, à Philémon, notre cher collaborateur, avec Apphia notre sœur, Archippe notre frère d'armes, et l'Église qui s'assemble dans ta maison.

    A vous grâce et paix de par EL-SHADDAÏ notre Père et le Seigneur Jésus le Nazôréen !

    La distinction entre Père et Fils est bien faite comme dans l’épître aux Colossiens où il n’y a qu’un seul « Dieu » le Père. Pour mémoire, je réitère, je remplace le nom vulgaire de « Dieu » par « EL-SHADDAÏ », mais je pense que vous l’aviez constaté.

    Eusèbe de Césarée et Constantin le Grand à ce Concile de Nicée en l’an 325 choisir ces évangiles mais aussi ces Lettres et Épîtres de Paul avec un certain préjugé car les Lettres d’Ignace d’Antioche de Syrie dont l’authenticité fut appréciées pourraient bien remplacer quelques Épîtres de Paul.

    Épître aux Romains I : 20-32

    Ce qu'il a d'invisible depuis la création du monde se laisse voir à l'intelligence à travers ses œuvres, son éternelle puissance et sa divinité, en sorte qu'ils sont inexcusables ; puisque, ayant connu EL-SHADDAÏ, ils ne lui ont pas rendu comme à un Dieu gloire ou actions de grâces, mais ils ont perdu le sens dans leurs raisonnements et leur cœur inintelligent s'est enténébré : dans leur prétention à la sagesse, ils sont devenus fous et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible contre une représentation, simple image d'hommes corruptibles, d'oiseaux, de quadrupèdes, de reptiles.

    Aussi EL-SHADDAÏ  les a-t-il livrés selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps ; eux qui ont échangé la vérité d’EL-SHADDAÏ  contre le mensonge, adoré et servi la créature de préférence au Créateur, qui est béni éternellement ! Amen.

    Aussi EL-SHADDAÏ les a-t-il livrés à des passions avilissantes : car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ; pareillement les hommes, délaissant l'usage naturel de la femme, ont brûlé de désir les uns pour les autres, perpétrant l'infamie d'homme à homme et recevant en leurs personnes l'inévitable salaire de leur égarement.

    Et comme ils n'ont pas jugé bon de garder la vraie connaissance d’EL-SHADDAÏ, EL-SHADDAÏ les a livrés à leur esprit sans jugement, pour faire ce qui ne convient pas : remplis de toute injustice, de perversité, de cupidité, de malice ; ne respirant qu'envie, meurtre, dispute, fourberie, malignité ; diffamateurs, détracteurs, ennemis d’EL-SHADDAÏ, insulteurs, orgueilleux, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, insensés, déloyaux, sans cœur, sans pitié ; connaissant bien pourtant le verdict d’EL-SHADDAÏ qui déclare dignes de mort les auteurs de pareilles actions, non seulement ils les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent.

    Dans les Épîtres de Saül de Tarse, nommé Paul, une constatation remarquable et importante, jamais Paul ne fait référence à l’enseignement de Jésus le Nazaréen sur le Royaume d’EL-SHADDAÏ par parabole. A croire qu’il ignorait complètement cet enseignement pourtant primordiale pour les Apôtres.

    Voyons les années difficiles ! Les années soixante sous Néron, né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre de l’an 37, mort le 9 juin de l’an 68 par suicide. Il accède au trône le 13 octobre de l’an 54 à l’âge de 17 ans, à la mort de son grand-oncle et père adoptif Claude, Empereur de Rome. En l’an 68 il est dépossédé de son pouvoir et se suicide assisté de son scribe Épaphrodite. Jacques le Mineur, fils d’Alphée, deuxième Évêque de Jérusalem décède en l’an 62 par décapitation. Suite à l’incendie de Rome, orchestré par l’Empereur lui-même, qui mettra la faute sur les « Messianistes de Jésus le Nazôréen », l’Apôtre Pierre en l’an 64 sera crucifié la tête en bas sur sa demande. Toujours à cause de l’incendie de Rome qui dura six jours en l’an 64, en l’an 67 Saül de Tarse dit Paul sera décapité. De l’an 68 à l’an 69 rien que quatre Empereurs Romains vont se succéder. Vespasien prend le pouvoir le 17 novembre de l’an 69. En septembre de l’an 70 Jérusalem tombe et le second Temple est complètement rasé, la population de Jérusalem sera massacré. Les années 72-73 verront tomber la forteresse de Massada.

    Par des prophètes, les humains de la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » seront avertis de la destruction du Second Temple, et se réfugieront dans la ville de Pella en Cisjordanie. Après la décapitation de Jacques le Juste, Évêque de Jérusalem il semblerait que ce soit Jean qui prit la direction de la communauté de Jérusalem, ceci n’engage que mon raisonnement personnel suite à cette logique, Pierre est à Rome à la décapitation de Jacques et il ne reste que Jean à Jérusalem avec des Disciples de Jésus le Nazaréen.

    C’est en l’an 73 que Siméon fils de Clopas, frère de Joseph le père nourricier de Jésus le Nazôréen, choisit par le presbytérium de Jérusalem.

    Eusèbe de Césarée, Histoire Ecclésiastique Livre III, chapitre XI : 1

    « Après le martyre de Jacques et la destruction de Jérusalem qui arriva en ce temps, on raconte que ceux des apôtres et des disciples du Seigneur qui étaient encore en ce monde vinrent de partout et se réunirent en un même lieu. Ils tinrent conseil tous ensemble pour examiner qui serait jugé digne de la succession de Jacques, et ils décidèrent à l'unanimité que Siméon, fils de ce Clopas dont parle l'Évangile, était capable d'occuper le siège de cette église : il était, dit-on, cousin du Sauveur : Hégésippe raconte en effet que Clopas était le frère de Joseph. »

    Autre source complémentaire de ces écrits ci-dessus, toujours par Eusèbe de Césarée dans l’Histoire Ecclésiastique Livre IV, chapitre XXII : 4-6

      Le même Hégésippe expose aussi les débuts des hérésies de son temps, en ces termes :

    « Après Jacques le Juste, qui subit le martyre comme le Seigneur, pour la même doctrine, Siméon, fils de Clopas, oncle du Messie, fut établi second évêque de Jérusalem ; tous le préférèrent parce qu'il était cousin germain de Jésus. L'Église alors était appelée vierge, parce qu'elle n'avait encore été souillée par aucun enseignement erroné. 

    Mais Thébuthis, mécontent de n'avoir pas été évêque, commença dans le peuple, l'œuvre de corruption qui vint des sept sectes juives, dont il faisait lui-même partie. De celles-ci sortirent Simon, le chef des Simoniens ; Cléobius, celui de Cléobiens ; Dosithée, celui des Dosithéens ; Gorthée, celui des Gorathéniens, et les Masbothéens. C'est d'eux que vinrent les Ménandriens, les Marcianistes, les Carpocratiens, les Valentiniens, les Basilidiens, les Saturniliens, qui avaient tous introduit, chacun de son côté, leurs différentes opinions particulières.

     C'est d'eux encore que sont sortis les pseudo-messies, les pseudo-prophètes, les pseudo-apôtres qui divisèrent l'unité de l'Église par des pernicieux discours contre EL-SHADDAÏ et son Messie. »

    Je tenais après lecture par moi-même vous poser les versets 5 et 6 car ils vous prouvent comment tout doucement la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » dû faire face à des attaques internes car sur tout ce qui est cité ci-dessus les sectes des Marcianistes et Valentiniens restèrent quelques décennies

    Après la destruction de leur Temple qui était pour les hébreux le lieu de culte, ils se sentirent perdus, abandonnés  et des années 70 à 74 se fut pour les hébreux l’errance.

    Un homme sage du nom de Yohanan Ben Zakkaï, au siège de Jérusalem demanda à Titus d’ouvrir une école à Yavné, que les Romains nommaient Lamnia, qui serait aussi le siège du Sanhédrin. De cette école est né le « Judaïsme Rabbinique »

    Dix ans après le décès de Saül de Tarse que reste-t-il de ses Épitres ? Ces Épîtres ont du être recopiées une multitude fois et la falsification à fait son œuvre car certains copistes ont retranché, ajouté, transformé les mots, le sens d’une phrase.

    Suite à ce que je viens d’écrire Paul considérait Jésus le Nazaréen comme une divinité :

    Épître aux Colossiens II : 9-10

    Car en lui habite corporellement toute la Plénitude de la Divinité, et vous vous trouvez en lui associés à sa plénitude, lui qui est la Tête de toute Principauté et de toute Puissance.

    Épître aux Colossiens I : 18-20

    Et il est aussi la Tête du Corps, c'est-à-dire de l'Église : Il est le Principe, Premier-né d'entre les morts, il fallait qu'il obtînt en tout la primauté, car EL-SHADDAÏ s'est plu à faire habiter en lui toute la Plénitude et par lui à réconcilier tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix.

    Dans un chapitre précédent, je me souviens vous avoir écrit que Jésus le Nazôréen après avoir passé trois jours et trois nuits dans le tombeau de Joseph d’Arimathie, soit exactement soixante-douze heures, son Père EL-SHADDAÏ le ressuscita d’entre les morts. Jésus le Nazôréen est parti voir sa Mère, Marie, lui interdisant de le toucher car il n’était pas encore monté aux Cieux recevoir son investiture par son Père, en tant que Roi dans les Cieux, et je vous avais même écrit qu’il ne pouvait recevoir son intronisation terrestre car, pour le moment, c’est Sammaël qui est Prince du Royaume terrestre et de ses environs pour un « Temps » défini par l’Être Suprême. Je vous avais même dit que si Jésus le Nazôréen aurait reçu son investiture la Terre n’aurait pas la gestion catastrophique qu’elle a aujourd’hui.

    Ci-dessus je parlais de falsification et bien en voici la preuve avec cet ajout : « en faisant la paix par le sang de sa croix. » qui ne veut absolument rien dire dans cette phrase, constatez par vous-mêmes !

    Autre chose à l’ère ou cette Épître fut écrite, même à une époque tardive soit dans les années soixante-dix, quatre-vingt par un auteur inconnu, une « Église » était le nom donné aux « Assemblées » de la secte Judéo-Nazaréenne nommé aussi « Mouvance de Jésus le Nazôréen », « Messianiste de Jésus le Nazaréen ». Jésus le Nazaréen de son vivant ignorait complètement le développement dans le monde se son message sur le Royaume à venir de son Père sur la Terre. Là aussi l’on s’aperçoit de ce rajout « c’est-à-dire de l’Église » dans le verset 18 du premier chapitre de cette épître aux Colossiens.

    Avant chaque lecture demandez à EL-SHADDAÏ qu’il vous apporte une aide spirituelle, par son « Souffle d’Intelligence » ce qui vous donnera un « Esprit SAIN » pour votre propre réflexion, raisonnement, pensé. C’est ainsi que vous trouverez dans votre cœur ce sentier difficile mais combien agréable qui mène vers ce « Dieu » seul et unique, votre amour pour cet Être Suprême allant grandissant de jour en jour.

    Son fils unique notre Roi, notre assesseur, notre « Paraclet » devant son Père et notre Père, son Dieu et notre Dieu –(Jean XX : 17)- étant le fil conducteur de nos prières, car comme il l’a toujours dit c’est son Père qu’il faut prier et non lui.

    Portez-vous bien et prenez soin de vous !

    Salutations cordiales à tous

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Discussion dans une synagogue

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Ci-dessous, dans ce Chapitre des Enseignements de Jésus le Nazôréen, je vais écrire sur les lois Noachides. Ces Lois Noachides sont les Lois qu’EL-SHADDAÏ donna à Noé et à toute sa famille a la sortie de l’Arche. Comme souvent je l’écris la Bible est un livre phallocrate. En effet il est rare que vous trouviez des écris sur la femme en générale. Ce livre Bible parle des trois fils de Noé, et très peu de leurs épouses, car à cette époque il était normal qu’un homme est plusieurs épouses.

    Noé combien avait-il de filles ? Mystère ! Pensez à la taille de ces hommes et de ces femmes antédiluviens hauteur trois mètres qui est la taille moyenne de ces humains, pesant entre deux cents et deux cent cinquante kilos.

    Entre la sortie des humains de l’Arche et Abraham qui étaient des humains qui avaient notre taille, quoique beaucoup plus carré pour les hommes et légèrement plus grand que nous soit un mètre quatre-vingt à deux mètres maximum il a fallut deux mille ans environ de transformation de l’humain qui est passé de huit cents ans de vie à cent soixante quinze ans pour la durée de vie d’Abraham, et de ce dernier à Moïse, cent vingt ans maximum, soit encore environ mille ans.

    N’oublions pas que la tare adamique, « le péché », se multiplie à la vitesse de reproduction de l’humain. Le sang c’est la vie. L’humain adamique naissait pour ainsi dire parfait. Au fur et à mesure que l'humain se multiplie, le sang se détériore et devient de plus en plus mauvais. En 1910 nous étions un milliard huit cent mille humains, en 2010 nous étions six milliards huit cent mille, en 2014, nous sommes sept milliards d’individus.

    Sans commentaire ! Les « Prophéties Bibliques » sur les dernières générations, ce « Temps de la Fin » sont basées sur le « sang », car un jour, si le Créateur n’intervient pas, l’humanité va droit à son suicide et pas un seul humain ne sortira vivant. Le sang transporte la vie, mais aussi la mort !

    Je vous laisse à votre raisonnement, c’est vous qui décidé si vous voulez aller vers EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, où si vous voulez continuer votre petite vie tranquille avec le Prince de la Terre, SAMMAËL qui vous promet une mort définitive certaine.

     

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    En attendant je reviens à l’ère de ces années de la moitié du premier siècle dans les grandes métropoles comme Éphèse, Antioche de Syrie, Corinthe, Thessalonique, Alexandrie, Byzance, Rome et tant d’autres.

     Les questions de nourriture se posaient, quant à elles, dans le quotidien des villes de l’Antiquité. Il était interdit aux hébreux de consommer de la viande qui n’était pas « casher », c’est-à-dire sacrifiée rituellement et a fortiori de la viande qui avait été sacrifiée à des religions païennes. Que faire lorsque l’on n’était pas dans le voisinage d’une communauté juive occupée à sacrifier rituellement la viande, et surtout, comment échapper à la viande sacrifiée aux idoles ?

    Chaque corps de métiers, chaque quartier, chaque ville avait son dieu protecteur, son génie tutélaire avide des fumées d’holocauste ou du sang frais des immolations. Que l’on soit charpentier, habitant d’Antioche, citoyen de Corinthe, il était impossible, sous peine d’être frappé d’exclusion, d’éviter d’assister au culte et de faire bonne figure au banquet qui s’ensuivait.

     

    Chapitre N° 25

    Les Lois Noachides

    Le problème devient plus aigu si l’on sait qu’il se révélait très difficile de se procurer de la viande non sacrifiée. Les temples païens faisaient grosse consommation de taureaux, bœufs, chèvres, volailles ; dans la majorité des cultes, cette viande n’était pas détruite mais revendue au marché et dans certaines régions, tout le cheptel passait d’abord par les temples avant d’être consommé. Comment éviter de manger de la viande sacrifiée aux idoles quand le boucher est le victimaire ?

    Insensiblement, les premiers Nazôréens furent conduits à la crise. Il est probable qu’elle fut renforcée par l’arrivée des Nazaréens voulant conserver le judaïsme, des « judaïsants », qui brûlaient les étapes depuis Jérusalem où leur parti avait fini par triompher, pour atteindre la « Diaspora » et en particulier Antioche de Syrie, qui, on l’a vu, brillait plutôt pour son « progressisme » en la matière.

    Les Actes des Apôtres XV : 1-2, 4-34  - Tout compte fait je prends mon courage à deux mains et je vous pose tous les versets bibliques des Actes des Apôtres.

    « Cependant certaines gens descendus de Judée enseignaient aux frères :

    « Si vous ne vous faites pas circoncire suivant l'usage qui vient de Moïse, vous ne pouvez être sauvés. »

    Après bien de l'agitation et une discussion assez vive car Saül de Tarse, insistant, disait de demeurer tel que l’on était au moment où l’on avait eu la foi ; -- engagée avec eux par Paul et Barnabé, il fut décidé que Paul, Barnabé et quelques autres des leurs monteraient à Jérusalem auprès des apôtres et des anciens pour traiter de ce litige.

    Arrivés à Jérusalem, ils furent accueillis par l'Église, les apôtres et les anciens, et ils rapportèrent tout ce qu’EL-SHADDAÏ avait fait avec eux.

    Mais certaines gens du parti des Pharisiens qui étaient devenus croyants intervinrent pour déclarer qu'il fallait circoncire les païens et leur enjoindre d'observer la Loi de Moïse.

    Alors les apôtres et les anciens se réunirent pour examiner cette question.

    Après une longue discussion, Pierre se leva et dit :

    « Frères, vous le savez : dès les premiers jours, EL-SHADDAÏ m'a choisi parmi vous pour que les païens entendent de ma bouche la parole de la Bonne Nouvelle et embrassent la foi.

    Et EL-SHADDAÏ, qui connaît les cœurs, a témoigné en leur faveur, en leur donnant l'Esprit Saint tout comme à nous.

    Et il n'a fait aucune distinction entre eux et nous, puisqu'il a purifié leur cœur par la foi.

    Pourquoi donc maintenant tentez-vous EL-SHADDAÏ en voulant imposer aux disciples un joug que ni nos pères ni nous-mêmes n'avons eu la force de porter ?

    D'ailleurs, c'est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés, exactement comme eux. »

    Alors toute l'assemblée fit silence. On écoutait Barnabé et Paul exposer tout ce qu’EL-SHADDAÏ avait accompli par eux de signes et prodiges parmi les païens.

    Quand ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole et dit :

    « Frères, écoutez-moi.

    Syméon a exposé comment, dès le début, EL-SHADDAÏ a pris soin de tirer d'entre les païens un peuple réservé à son Nom.

    Ce qui concorde avec les paroles des Prophètes, puisqu'il est écrit :

    « Après cela je reviendrai et je relèverai la tente de David qui était tombée, je relèverai ses ruines et je la redresserai, afin que le reste des hommes cherchent le Seigneur, ainsi que toutes les nations qui ont été consacrées à mon Nom », dit le Seigneur qui fait connaître ces choses depuis des siècles. --- Le Seigneur ici est EL-SHADDAÏ--

    « C'est pourquoi je juge, moi, qu'il ne faut pas tracasser ceux des païens qui se convertissent à EL-SHADDAÏ.

    Qu'on leur mande seulement de s'abstenir de ce qui a été souillé par les idoles, des unions illégitimes, des chairs étouffées et du sang.

    Car depuis les temps anciens Moïse a dans chaque ville ses prédicateurs, qui le lisent dans les synagogues tous les jours de sabbat. »

    Alors les apôtres et les anciens, d'accord avec l'Église tout entière, décidèrent de choisir quelques-uns d'entre eux et de les envoyer à Antioche avec Paul et Barnabé. Ce furent Jude, surnommé Barsabbas, et Silas, hommes considérés parmi les frères.

    Ils leur remirent la lettre suivante :

    « Les apôtres et les anciens, vos frères, aux frères de la gentilité qui sont à Antioche, en Syrie et en Cilicie, salut !

    Ayant appris que, sans mandat de notre part, certaines gens venus de chez nous ont, par leurs propos, jeté le trouble parmi vous et bouleversé vos esprits, nous avons décidé d'un commun accord de choisir des délégués et de vous les envoyer avec nos bien-aimés Barnabé et Paul, ces hommes qui ont voué leur vie au nom de notre Seigneur Jésus Christ.

    Nous vous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous transmettront de vive voix le même message.

    L'Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas vous imposer d'autres charges que celles-ci, qui sont indispensables : vous abstenir des viandes immolées aux idoles, du sang, des chairs étouffées et des unions illégitimes. Vous ferez bien de vous en garder. Adieu. »

    Prenant congé donc, les délégués descendirent à Antioche, où ils réunirent l'assemblée et remirent la lettre.

    Lecture en fut faite, et l'on se réjouit de l'encouragement qu'elle apportait.

    Jude et Silas, qui étaient eux-mêmes prophètes, exhortèrent les frères et les affermirent par un long discours.

    Au bout de quelque temps, les frères les renvoyèrent avec des souhaits de paix vers ceux qui les avaient députés.

    Mais Silas crut bon de demeurer, et Jude partit seul. »

    Les gens du premier verset sont des humains de l’entourage de Jacques le Juste fils d’Alphée et « cousin » de Jésus le Nazaréen et non son frère. Comme aucun historien ne donne la date de naissance de Jacques le Mineur et qu’il est considéré comme étant un fils d’Alphée, donc frère avec Matthieu nommé aussi Lévi, évangéliste.

    « // des Pharisiens qui étaient devenus croyants », façon adroite de désigner des Judéo-Nazôréens de Jacques en détournant notre attention vers la secte des Pharisiens. Là, Luc tient à rester objectif ménageant les personnes. Dans les versets aux Galates, que je vais vous poser ci-dessous, Paul n’aura pas le tact de Luc. Quand Pierre prend la parole indirectement, mais avec délicatesse il donne raison à Paul tout en flattant légèrement Jacques le Juste les acculant ainsi à un compromis qui ne peut que profiter à Paul. Jacques le Juste est l’Évêque de Jérusalem, donc c’est lui qui tranche en appelant Pierre par son nom hébreu de Syméon, faisant remarquer à ce dernier et à Paul qu’ils n’ont rien inventé d’après les « Septante ». Jacques joue quand même au somnambule en esquivant le thème de ce Concile, la circoncision. En gardant ainsi la Loi Noachide, il sauvegarde un minimum de pureté légale et permet aux deux communautés, juive et grecque de se fréquenter sans trop de heurts.

    Selon les interdictions de Jacques pour les « païens », grecs, juifs hellénistes, les « Gentils » avec les Lois Noachides

    S’abstenir des viandes immolées aux idoles, la troisième Loi Noachide : interdiction de l’idolâtrie.

    S’abstenir de l’impudicité, la quatrième Loi Noachide : interdiction des unions illicites, les relations sexuelles hors mariage, fornication, adultère, inceste, contre-nature.

    S’abstenir des animaux étouffés, c’est-à-dire des viandes non-saignées, la septième Loi Noachide, dont la formulation rabbinique ne correspond pas exactement : interdiction d’arracher un membre d’un animal vivant.

    S’abstenir du sang, cinquième Loi Noachide : interdiction de l’assassinat.

    L’Arc-en-Ciel est une résultante de la Loi Noachide.

    Voyons les sept Lois Noachides

    Respect des tribunaux qui correspond à I Corinthiens VI : 1-10

    Quand l'un de vous a un différend avec un autre, ose-t-il bien aller en justice devant les injustes, et non devant les saints ?

    Ou bien ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde ? Et si c'est par vous que le monde doit être jugé, êtes-vous indignes de prononcer sur des riens ?

    Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? A plus forte raison les choses de cette vie !

    Et quand vous avez là-dessus des litiges, vous allez prendre pour juges des gens que l'Église méprise !

    Je le dis à votre honte ; ainsi, il n'y a parmi vous aucun homme sage, qui puisse servir d'arbitre entre ses frères !

    Mais on va en justice frère contre frère, et cela devant des infidèles !

    De toute façon, certes, c'est déjà pour vous une défaite que d'avoir des procès entre vous. Pourquoi ne pas souffrir plutôt l'injustice ? Pourquoi ne pas vous laisser plutôt dépouiller ?

    Mais non, c'est vous qui commettez l'injustice et dépouillez les autres ; et ce sont des frères !

    Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du Royaume d’EL-SHADDAÏ ? Ne vous y trompez pas ! Ni impudiques, ni idolâtres, ni adultères, ni dépravés, ni gens de mœurs infâmes, ni voleurs, ni cupides, pas plus qu'ivrognes, insulteurs ou rapaces, n'hériteront du Royaume d’EL-SHADDAÏ.

    Interdiction de blasphémer qui correspond à l’Épître aux Romains II : 23-24

    Toi qui te glorifies dans la Loi, en transgressant cette Loi, c'est EL-SHADDAÏ que tu déshonores, car le nom d’EL-SHADDAÏ, à cause de vous, est blasphémé parmi les nations, dit l'Écriture. »

    Interdiction de l’idolâtrie qui correspond à l’Épître aux Éphésiens V : 5

    « Car, sachez-le bien, ni le fornicateur, ni le débauché, ni le cupide - qui est un idolâtre - n'ont droit à l'héritage dans le Royaume du Messie et d’EL-SHADDAÏ. »

    Pour rester dans la logique de ce que je vous ai écrit vers la fin du chapitre précédent, j’emploie un synonyme du terme grec « christos, christ en français » signifiant « Messie », et faisant ainsi, je reste dans la pensé de l’auteur, ne déviant aucunement le sens de la phrase. Vous Lectrices et Lecteurs, je vous laisse être mes Juges ! En effet, je ne voudrais pas vous détourner du « Sentier déjà difficile » qui mène à ce DIEU seul et unique, que je nomme « EL-SHADDAÏ, gâchant tous vos efforts, en changeant des « mots justes » par « des injustes », vous déroutant de votre juste voie.

    Ayant une « Conscience » et vous aimant tous, vous mes semblables, je ne ferai rien qui soit à l’encontre des Lois, Préceptes, et Enseignements de mon « Maître et mon Dieu » le seul et unique que je glorifie et vénère, car je peux certifier qu’il n’en existe aucun autre, car il m’a offert une fortune, que le plus gros diamant de la Terre ne pourra acheter, « trop pauvre », alors, si avec vous mes semblables, je me tenais comme un goujat, je ne mériterai pas de vous écrire, et la seule récompense devrait être la mort définitive.

    Dictionnaire : définition du mot :

    « Christ »

    Nom masculin singulier – Religion : Jésus le crucifié, représentation du « Christ », un crucifix

    « Messie »

    Nom masculin singulier – envoyé d’EL-SHADDAÏ, (de Dieu), pour sauver les hommes de leurs péchés et rétablir la justice divine sur la terre.

    Encyclopédie – Christ … christos en grec, christ traduction en français du terme hébreu « MESSIE », signifiant l’Oint (du Seigneur) d’EL-SHADDAÏ, c’est-à-dire personne consacrée par une onction divine.

    Les chrétiens ont attribué ce nom à Jésus de Nazareth, qu’ils désignent par « Jésus-Christ » ou simplement « le Christ »

    Le Messie, -- de l’hébreu (mashia’h), araméen (meshi’ha) --, Le Christ, désignait dans le Judaïsme l’Oint, c’est-à-dire la personne consacrée par le rite de l’onction, réalisée par un prophète d’EL-SHADDAÏ. Dans l’Ancien Testament les rois Saül, puis David sont oints par Samuel. Ce rite est à l’origine de ceux du « Saint-Chrême » et de la « Sainte Ampoule » du sacre des rois de France.

    Dans les « Assemblées » Judéo-Nazaréennes, Judéo-Nazôréennes, Judéo-Messianistes, Messianistes-Nazaréennes, Messianistes-Nazôréennes, du premier et deuxième siècle dont les mélanges humanistes étaient Hébreux et Grecs, les termes Messie et Christ signifiaient exactement la même chose, c’est-à-dire envoyé par l’Être Suprême pour répéter ses paroles, souvent prophétiques en avertissement pour les humains.

    Jésus-Christ, terme apparut à partir de la ville d’Antioche de Syrie dans les années 150, quoiqu’Ignace d’Antioche nomme les nouveaux baptisés, « chrétiens », mais cela lui était une prérogative personnelle en tant qu’Évêque d’Antioche. Jésus-Christ signifiait à son origine Jésus le Messie, puis Jésus-Messie, pour finir par Jésus-Christ. Entre le premier vocable et le dernier un siècle, un siècle et demi les sépare. Le terme « christ » accolé à Jésus au début ne portait pas de majuscule, car il signifiait bien envoyé et de plus en plus « Messie » alors la majuscule au début du nom « Christ » devenait obligatoire car considéré comme un nom « propre ».

    Les années passent et les persécutions contre la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » se font plus rare, mais un autre style de persécution commence, celle de « Nazôréen » contre « Nazôréen », « Judéo-Messianiste » contre « Judéo-Messianiste », etc … Jésus le Nazôréen aux Cieux doit être écœuré de cet humain.

    An 312 Constantin le Grand vient de gagner une magnifique bataille au Pont de Milvius et il observera son serment à la lettre, ce faisant chrétien. De 312 à 325 les expressions « Chrétiens », « Christianisme » rentreront dans le langage courant, en effet le « Christianisme » est devenu religion d’Empire et l’Empereur est le « Pontifex Maximus » de cette religion et non l’Évêque Principal de Rome, car Rome, comme toute les grandes Cités possédait plusieurs « Assemblées ou Églises », mais c’était la seule dans tout l’Empire qui votait pour élire un Évêque responsable de tous les autres de la cité mais aussi de la partie Occidentale de l’Empire. Là, commence le premier mensonge du « Christianisme » avec sa descendance « Papale »

    C’est sous l’ordre du Pontifex Maximus, Constantin le Grand, qu’eut lieu le premier Concile de Nicée en l’an 325. C’est à partir de cette date que le Nouveau testament prit tournure. En effet avec l’aide de son ami Eusèbe de Césarée, Constantin le Grand choisit arbitrairement les livres qui seront dans le Nouveau Testament. Ces livres seront déclarés « Canoniques ». Pour la petite histoire le livre de l’apocalypse de Jean fut rejeté comme étant un livre hérétique. Il faudra attendre le Concile de Constantinople en l’an 381 pour que ce livre « l’Apocalypse » soit incorporé au Nouveau Testament comme livre canonique.

    Depuis ce Concile  de Nicée en l’an 325 le terme Jésus-Christ signifie Jésus-Crux ou mieux « Jésus sur la Croix » Il faudra une quinzaine année pour que les livres soit réunis en un « Codex », puis recopiés pour former le Canon avec l’Ancien Testament. C’est à ce travail de copiste que fut décrété que le mot « Christ » signifiant « Croix » « envoyé par la Croix » devait être accolé à Jésus. C’est aussi à cette époque que fut inventé le signe idolâtre de la Croix, le « Signe de Croix ».

    Comme vous avez dû le constater j’écris Jésus le Nazôréen, Nazaréen, mais jamais Jésus-Christ qui est pour mois le signe idolâtre de toute la chrétienté sans aucune exception.  

    Interdiction des unions illicites, fornication, adultère, inceste contre-nature qui correspond à I Corinthiens V : 1-2, 9-11

    « On n'entend parler que d'inconduite parmi vous, et d'une inconduite telle qu'il n'en existe pas même chez les païens ; c'est à ce point que l'un de vous vit avec la femme de son père !

    Et vous êtes gonflés d'orgueil ! Et vous n'avez pas plutôt pris le deuil, pour qu'on enlevât du milieu de vous celui qui a commis cet acte ! »

    « En vous écrivant, dans ma lettre, de n'avoir pas de relations avec des débauchés, je n'entendais nullement les débauchés de ce monde, ou bien les cupides et les rapaces, ou les idolâtres ; car il vous faudrait alors sortir du monde.

    Non, je vous ai écrit de n'avoir pas de rapport avec celui qui, tout en portant le nom de frère, serait débauché, cupide, idolâtre, insulteur, ivrogne ou rapace, et même, avec un tel homme, de ne point prendre de repas. »

    Marc X : 19

    Tu connais les commandements : « Ne tue pas, ne commets pas d'adultère, ne vole pas, ne porte pas de faux témoignage, ne fait pas de tort, honore ton père et ta mère. »

    Interdiction à l’assassinat, au meurtre, qui correspond à Matthieu XXIII : 34-35,

    « C'est pourquoi, voici que j'envoie vers vous des prophètes, des sages et des scribes : vous en tuerez et mettrez en croix, vous en flagellerez dans vos synagogues et pourchasserez de ville en ville, pour que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang de l'innocent Abel jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez assassiné entre le sanctuaire et l'autel ! »

    Après ces versets Jésus le Nazôréen fait la prophétie à peine voilée de la destruction du Temple qui aura lieu en l’an 70

    Épître aux Romains XIII : 9

    « En effet, le précepte : Tu ne commettras pas d'adultère, tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas, et tous les autres se résument en cette formule : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

    Interdiction au vol, qui correspond à I Corinthiens VI : 9-10,

    Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du Royaume d’EL-SHADDAÏ ? Ne vous y trompez pas ! Ni impudiques, ni idolâtres, ni adultères, ni dépravés, ni gens de mœurs infâmes, ni voleurs, ni cupides, pas plus qu'ivrognes, insulteurs ou rapaces, n'hériteront du Royaume d’EL-SHADDAÏ.

    Luc XVIII : 20

    Tu connais les commandements : « Ne commets pas d'adultère, ne tue pas, ne vole pas, ne porte pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère. »

    Interdiction de manger de la chair arraché à un animal vivant. Cette loi Noachide mal formulée signifie plus exactement s’abstenir des animaux étouffés, c’est-à-dire des viandes non-saignées

    Genèse IX : 4

    Seulement, vous ne mangerez pas la chair avec son âme, c'est-à-dire le sang.

    Selon le judaïsme, tout non hébreu vivant en accord avec ces sept Lois est considéré comme un « Gentil Vertueux » et a, par l’observance de ces Lois sa part au monde à venir.

    Ces Lois donné à Noé par EL-SHADDAÏ sont valables pour nous en ce XXIème siècle, car ces Lois sont immuables tout comme la généralité des Dix Commandements, ajouté à cela ce onzième commandement de Jésus le Nazaréen, qu’il faut absolument mettre en pratique, sachant très bien que c’est plus facile à dire qu’à faire et pourtant …

    Faites cela et un grand pas vers la perfection est accompli !

    Toujours vous et votre conscience !

    Portez-vous bien et prenez soin de vous !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Lectrices, Lecteurs, je vous conte par l’intermédiaire de Saül de Tarse, le début de ces  premiers humains qui le jour de sabbat en allant à la synagogue écoutaient à l’intérieur de celle-ci les orateurs péripatéticiens qui les enseignaient sur le Royaume d’EL-SHADDAÏ, leur promettant une résurrection dans la « Nouvelle Jérusalem » grâce au sacrifice du fils de ce dernier, le Messie Jésus le Nazôréen, qu’il a ressuscité d’entre les morts. Ces prédicateurs, oralement instruisaient leur semblable, des « Enseignements » de Jésus le Nazôréen. Certains de ces humains eurent foi en la parole des ces rhéteurs et se firent baptiser à la manière de Jean le Baptiste, mais en plus ils devaient suivre la « Loi Noachides » et je ne parle pas du problème de la circoncision qui était considéré par les romains et autres comme une mutilation.

    Nous, humains d’aujourd’hui, nous n’avons pas ce dilemme de la circoncision, quoique la circoncision de cœur et d’esprit à de l’importance, mais cela est spirituelle, par contre nous avons d’autres difficultés aussi sérieuses qu’à l’ère de ce premier siècle.

    Moi, le Quidam, le « Personne », le « Grandeloupo » j’essaie de vous montrer le sentier qui mène à ce Dieu seul et unique, celui que je nomme EL-SHADDAÏ, afin que vous ayez foi en lui et en son Fils Jésus le Nazôréen qui n’est pas un Dieu, mais un Roi déjà dans les Cieux par la volonté de son Père géniteur et qui sera notre Roi le jour de notre résurrection sur cette Terre.   

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Nous sommes dans une incohérence totale des Écrits d’ « Inspiration Divine »

    Plus fort encore ;

    si Marie n’a pas forniqué avec Alphée comment Jacques peut-être à la fois né de la femme d’Alphée et de Marie la mère de Jésus-Christ ? …

    { je cite Marc 15 : 40 « Marie la mère de Jacques et…. » }

    Je sais bien lire ? …

    Vous les lecteurs de toutes les confessions chrétiennes, j’ai bien l’impression que vos « Pasteurs, Pape, Pope, etc … » vous prennent pour des imbéciles ! …

      Quand on veut vraiment chercher la véritable voie, celle de la « réelle vérité », on trouve ! ...

    Par cette magouille, les « Protestants » certifient que Marie a eu d’autres enfants après Jésus-Christ.

    Maintenant voyons Simon, qui, étrangement, lui aussi, est le frère de Jésus-Christ

    Simplement que Siméon ou Simon est le fils de Clopas, dont l’épouse se prénomme aussi Marie, frère de Joseph le Charpentier, père nourricier de Jésus le Nazaréen.

    Alors comment Marie, mère de Jésus-Christ, pouvait-elle, elle aussi, mère de Simon ? …

    Et comment ce Simon pouvait-il être le frère de Jésus-Christ, Jacques, Jude et Joseph sans compter Matthieu oublié bizarrement de Marc et de Matthieu ? »

    Ceci est une partie des textes que j’ai écrit pour vous afin de dévoilée la vérité. Et aujourd’hui si vous voulez encore approfondir avec l’encyclopédie « Wikipédia » c’est encore pire !

     

    Chapitre N° 24

    Paul, sept Épîtres authentiques ; tachygraphie ; « Assemblée »

    Eusèbe de Césarée : Histoire ecclésiastique Livre III chap. XI : 1

    « Après le martyre de Jacques et la destruction de Jérusalem qui arriva en ce temps, on raconte que ceux des apôtres et des disciples du Seigneur qui étaient encore en ce monde vinrent de partout et se réunirent en un même lieu. Ils tinrent conseil tous ensemble pour examiner qui serait jugé digne de la succession de Jacques, et ils décidèrent à l'unanimité que Siméon, fils de ce Clopas dont parle l'Évangile, était capable d'occuper le siège de cette église : il était, dit-on, cousin du Sauveur : Hégésippe raconte en effet que Clopas était le frère de Joseph (père nourricier de Jésus le Nazôréen) »

    Simon fils de Clopas frère de Joseph le Charpentier est une certitude et c’est lui qui fut l’Évêque de Jérusalem de l’an 73 à l’an 115-117, quoique certains historiens penseraient à l’an 107-108. Il paraîtrait que des prophètes prédirent la destruction du Temple comme Jésus le Nazôréen  l’avait annoncé disant « qu’il ne resterait pas pierre sur pierre du Temple » pour l’an 70. A partir de l’an 68 les humains de la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » se réfugièrent dans la ville de Pella en Transjordanie.

    Personnellement je pense que la destruction du second Temple doit correspondre à une date prophétique biblique. Je reconnais là, mon manque d’intelligence et de connaissance sur ce sujet.

    La destruction du second Temple en l’an 70 mettait définitivement le pouvoir de la « Prêtrise » au bûcher comme Jésus le Nazôréen l’avais annoncé. Cette destruction mis le judaïsme à mal car les fidèles, sans leur Temple, ne savait plus vers quoi se tourner. Ce fut pour eux la dispersion et l’errance. N’oublions pas que Siméon fils de Clopas ne prit ses fonction d’Évêque de Jérusalem quand l’an 73. Des douze Apôtres il n’en restait peu de vivant tout comme des soixante Disciples de Jésus le Nazaréen.

    Dans le chapitre précédent il a été question de Jacques le Mineur, dit le Juste, le Petit et appelé par Paul, Saül de Tarse, « frère du Seigneur », avec Joseph, Jude et Simon.

    Comme écrit dans ce chapitre que de fadaises ! Balivernes !

    La femme juive d’où tenait-elle son statut au sein de la famille à l’ère de Jésus le Nazôréen ? De part son mari et de par ses fils !

    Quand Jésus le Nazôréen commence son ministère de prédication son père nourricier Joseph est décédé depuis l’an 25-26 d’après les historiens. Une chose est sûre après l’histoire de Jérusalem quand Jésus avait douze ans, la Bible ne parle plus de Joseph père nourricier de Jésus le Nazaréen, peut-être quelques lignes dans des écrits apocryphes, mais une chose est certaine quand Jésus entame sa prédication Joseph n’est plus de ce monde.

    Donc pour Marie, mère de Jésus le Nazôréen, si elle ne veut pas être une mendiante c’est « ses fils ? », qui lui donnent son « statut ». Jésus n’est pas encore mort et d’après les textes bibliques elle suit son fils premier-né dans ses pérégrinations.

    Ce dernier vient d’être condamné à la torture romaine de la crucifixion. Une fois élevé sur la croix Jésus le Nazôréen avant de mourir :

    Jean XIX : 26-27

    « Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »

    Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. »

    La preuve, la réponse biblique sur l’inexistence des frères de Jésus le Nazôréen est écrite ci-dessus.

    En effet si Jésus le Nazôréen avait eu des frères, comme tous les historiens, exégètes, même Saül de Tarse, veulent nous faire croire, pourquoi juste avant de rendre son dernier soupir confit-il sa « Mère Marie » au disciple qu’il aimait le plus, c’est-à-dire Jean, afin qu’elle garde son statut sociale selon la Loi hébraïque ? Je ne parle pas des sœurs qui sont inexistantes ! Pourquoi personne ne parle de ces versets bibliques dans leurs commentaires ?

    Comme vous le voyez, vous mes semblables, il est important de dévoiler la vérité, afin d’éviter d’être trompé.

    Dans le Nouveau Testament treize Épîtres sont attribués à Paul. Le quatorzième l’Épîtres aux Hébreux, maintenant c’est officiel, n’a jamais été écrit par Saül de Tarse, mais par une source anonyme.

    « Les épîtres de Paul. – Au sein des épîtres pauliniennes, les exégètes ont pris coutume de distinguer entre les épîtres authentiques, qui sont de la main de Paul et les épîtres deutéro- pauliniennes, mot à mot « du deuxième Paul », qui ont ses disciples pour auteur. Les épîtres pastorales, « Première et Seconde Épître à Timothée, à Tite, » ainsi que certaines épîtres « de la captivité », en particulier les épîtres aux Éphésiens et aux Colossiens, sont en effet depuis longtemps entrées en procès. Leur style est plus lourd, leur vocabulaire un peu différent des autres épîtres, on y trouve une théorie des anges étrangère au paulinisme ainsi que des projets de voyages qui ne cadrent pas avec ce que l’on sait par ailleurs des itinéraires pauliniens. Aussi accordera- t-on la préférence aux épîtres authentiques. Selon la majorité des exégètes actuels, on en compte sept. Selon un ordre chronologique probable :

    1- la Première Épître aux Thessaloniciens vers l’an 51

    2- L’Épître aux Galates vers l’an 54

    3- la Première Épître aux Corinthiens vers les années 54-55

    4- l’Épître aux Philippiens vers l’an 55

    5- l’Épître à Philémon vers l’an 55

    6- la Seconde Épître aux Corinthiens vers les années 54-56

    7- l’Épître aux Romains vers les années 56-57

    Ces documents n’en sont pas moins suspects de manipulations particulières, d’interpolations tardives et d’arrangements intéressés

    Or, les critiques sérieuses partent généralement de présupposés théologiques, qui ne leur laissent pas la liberté d’aller au bout de l’explication des concepts pauliniens afin d’en vérifier la cohérence et d’en tirer les conséquences philosophiques aussi bien que théologiques.

    La cohérence des idées constitue, en effet, une part essentielle de la critique ; nous ne pouvons raisonnablement accepter l’argument que, dans le laps de temps de son action, Paul ait pu dire ou faire une chose et son contraire, sous le prétexte d’une évolution de sa pensée.

    Les écrits apocryphes. – Actes de Paul et correspondance de Paul avec Sénèque, par exemple, ne sauraient être utilisés sans grand danger. »

    Depuis plusieurs chapitres j’écris sur les Lettres et Épîtres de Paul, mais existe-t-il beaucoup de différence entre les deux. Par exemple la « Lettre Ouverte » d’Émile Zola « J’accuse » à la Présidence sur l’affaire Dreyfus est plutôt une « Épître » qu’une « Lettre ».

    Une « Lettre » est théoriquement un texte cours contrairement à « l’Épître » qui est un rédigé long et explicatif dans un sens, dans l’autre.

    Alors comment écrivait-on à l’époque de Saül de Tarse ?

    Il ne faut pas imaginer l’auteur de l’Épître aux Romains avec sa plume ou son crayon. Un bon épistolier dans l’Antiquité commence par poncer son « papier », en l’occurrence du papyrus ou du parchemin, avec un morceau de coquillage ou un éclat d’ivoire. Le parchemin, réalisé sur de la peau de bête, était coûteux. Paul utilisait le papyrus, issu du roseau du Nil. Il prend le plus grand soin à cette occupation : trop rugueuse, la surface entraverait la précision du trait, trop polie, elle empêcherait l’encre de sécher ; comme dans les écoles modernes, le mauvais scribe fait des « bavures ». Ensuite, il trace les lignes avec une rondelle de plomb afin d’écrire bien droit. Enfin, il taille avec délicatesse un morceau de roseau auquel il donne une forme biseautée. Il trempe son instrument tout neuf dans de l’encre d’origine animale, encre de seiche, ou végétale, charbon.

    La description de ces tâches ne doit pas donner d’idées fausses, même s’il lui arrivait de préparer ainsi ses outils, Paul avait rarement le pouce taché d’encre ou la manche lustrée par le contact de la table ; il utilisait un secrétaire. En Romain XVI : 22, ce dernier prend même la parole : « Je vous donne le bonjour dans le Seigneur, moi Tertius, qui ai écrit cette lettre », signe qu’il entretenait une certaine familiarité avec l’apôtre, à l’instar de son confrère Tiron qui travaillait chez Cicéron et que l’on voit quelquefois utiliser les lettres de son maître comme messagerie.

    Comment se servir du secrétaire ? Le plus simple était de dicter « syllabatim », syllabe après syllabe, selon l’antique méthode. Cela prenait beaucoup de temps. Au début du siècle dernier, le XXème, de savants exégètes ont calculé que la dictée de l’Épître aux Romains aurait pris plusieurs semaines. Pour rassurer les impatients, on avait donc inventé très tôt un système de sténographie, « la tachygraphie », ce qui veut dire « écriture rapide », qui permettait de prendre en note les discours des orateurs et dont on a découvert de nombreux témoignages. Paul n’avait donc qu’à parler et à laisser le scribe faire son travail.

    Il est également possible que Paul ait des collaborateurs « coauteurs » à qui il donnait un canevas général. Ceux-ci avaient à charge de rédiger le détail de la lettre, que Saül de Tarse pouvait, ou non, réviser. Contrairement à ce que l’on croit, se corriger n’était pas difficile. Les Anciens ne gravaient pas tout dans la pierre et connaissaient le brouillon ; une tablette de cire meuble sur laquelle on écrivait avec un stylet et qu’il suffisait de lisser pour réutiliser. Ils connaissaient également l’effaceur ; une bonne éponge diluait l’encre quand elle n’était pas sèche, tandis qu’une pierre ponce astucieusement utilisée permettait de gratter les erreurs pour les faire disparaître.

    Vraisemblablement Paul laissait à ses assistants le soin de rédiger certains passages. Il les associait à la rédaction générale comme la majorité des adresses le prouvent, qui présentent les lettres comme des ouvrages collectifs. Après tout, l’un ou l’autre de ses assistants connaissait la situation de la communauté mieux que l’apôtre lui-même, soit qu’il en fût issu, soit qu’il l’ait visitée de manière plus récente.

    Une fois la lettre rédigée, il fallait l’envoyer. Un Juif obscur comme Saül de Tarse ne pouvait profiter de la poste impériale, le cursus publicus, mise en place par Auguste, elle était réservée au courrier officiel. Paul n’était pas assez riche pour avoir des « tabelarii », des esclaves coursiers. Il s’arrangeait avec des voyageurs en partance, commerçants empruntant une route maritime, passagers divers, amis ou relations.

    Lorsque ses communautés eurent pris de l’ampleur, il pouvait utiliser ses propres troupes pour porter le courrier : Tite, Timothée, Tychique furent à leur tour commissionnés. La lettre joue alors un rôle tout à fait différent : elle ne sert pas à pallier l’absence puisque le commissionnaire a tout loisir d’en expliquer le contenu de vive voix et même de rajouter les dernières nouvelles du quartier général de l’apôtre. Elle fonctionne plutôt comme un substitut de l’être absent, une voix de papyrus que l’on fait résonner dans la lecture.

    Je reviens sur ce courrier de Pierre confirmé par Jacques le Juste, Évêque de Jérusalem envoyé à Barnabé et à Saül de Tarse à Antioche pour les « Païens » et les « Juifs hellénistes. » Dans les Actes des Apôtres XV : 1-34 est conté l’histoire du débat de Jérusalem sur le conflit qu’il y eut à Antioche entre le Disciple Paul, Saül de Tarse, les « juifs », les juifs hellénistes, les « Païens » et les « Judaïsants », sujet le respect strict de la Loi, le respect de la Loi avec la foi, la circoncision. – Épître aux Galates II : 1-10

    « J'y montai à la suite d'une révélation ; et je leur exposai l'Évangile que je prêche parmi les païens - mais séparément aux notables, de peur de courir ou d'avoir couru pour rien.

    Eh bien ! de Tite lui-même, mon compagnon qui était grec, on n'exigea pas qu'il se fît circoncire.

    Mais à cause des intrus, ces faux frères qui se sont glissés pour espionner la liberté que nous avons dans le Messie Jésus, afin de nous réduire en servitude, gens auxquels nous refusâmes de céder, fût-ce un moment, par déférence, afin de sauvegarder pour vous la vérité de l'Évangile...

    Et de la part de ceux qu'on tenait pour des notables - peu m'importe ce qu'alors ils pouvaient être ; EL-SHADDAÏ ne fait point acception des personnes -, à mon Évangile, en tout cas, les notables n'ont rien ajouté.

    Au contraire, voyant que l'évangélisation des incirconcis m'était confiée comme à Pierre celle des circoncis - car Celui qui avait agi en Pierre pour faire de lui un apôtre des circoncis, avait pareillement agi en moi en faveur des païens - et reconnaissant la grâce qui m'avait été départie, Jacques, Céphas et Jean, ces notables, ces colonnes, nous tendirent la main, à Barnabé et à moi en signe de communion : nous irions, nous aux païens, eux à la Circoncision ; nous devions seulement songer aux pauvres, ce que précisément j'ai eu à cœur de faire. »

    Tite jeune grec, Judéo-Nazôréen, puisque le terme « chrétien » n’existait pas à l’époque, fut un compagnon de voyage de Paul et était incirconcis. Je réitère encore une fois, dans la moitié du premier siècle, jusqu’à la fin du deuxième, début du troisième siècle le terme grec de « Christos, soit « Christ » » n’était pas encore employé, donc encore moins accolé au nom de Jésus. N’oublions pas non plus, que les « Lettres ou Épitres » de Paul, Jacques ou Pierre que telle « Assemblée » d’Antioche, Jérusalem, Corinthe recevait de la part de Disciples ou Apôtres, étaient recopiées pour être envoyées par coursier à une autre Assemblée distante d’une dizaine voir une quinzaine de kilomètres.

    Le Nouveau Testament n’existe pas non plus. Rome est un simple Évêché où il existe plusieurs « Assemblées » dans Rome ayant chacune son Évêque ou Presbytre. Ce sont de petites « Églises » de vingt, trente, quarante personnes qui sont un jour chez l’un, un jour chez l’autre dont les maisons sont assez spacieuse pour recevoir tous ces humains, et le pauvre au sens propre du mot était assez rare car l’on mettait tout en communauté et chacun allait au labeur pour faire vivre cette confrérie correctement. En général ceux qui recevaient, faisaient partie de la « petite bourgeoisie » de la cité.

    A savoir aussi que dans ces prémices de la « Voie, la Mouvance de Jésus le Nazôréen », c’était Jérusalem « l’Église-Mère » dont Jacques fils d’Alphée était l’Évêque, et que l’on évangélisait en premier les hébreux par un enseignement oral les jours de « Sabbat » à la synagogue.

    Je réfléchis si je vous pose tous ces versets bibliques ou si je vous laisse chercher dans votre Bible, alors que ci-dessus je vous ai déjà posé les versets du chapitre deux aux Galates. Donc il serait logique et surtout polit que je vous pose les versets 1-34 du chapitre quinze « des Actes des Apôtres ». En attendant je reviens à l’ère de ces années de la moitié du premier siècle dans les grandes métropoles comme Éphèse, Antioche de Syrie, Corinthe, Thessalonique, Alexandrie, Byzance, Rome et tant d’autres.

     Les questions de nourriture se posaient, quant à elles, dans le quotidien des villes de l’Antiquité. Il était interdit aux hébreux de consommer de la viande qui n’était pas « casher », c’est-à-dire sacrifiée rituellement et a fortiori de la viande qui avait été sacrifiée à des religions païennes. Que faire lorsque l’on n’était pas dans le voisinage d’une communauté juive occupée à sacrifier rituellement la viande, et surtout, comment échapper à la viande sacrifiée aux idoles ?

    Chaque corps de métiers, chaque quartier, chaque ville avait son dieu protecteur, son génie tutélaire avide des fumées d’holocauste ou du sang frais des immolations. Que l’on soit charpentier, habitant d’Antioche, citoyen de Corinthe, il était impossible, sous peine d’être frappé d’exclusion, d’éviter d’assister au culte et de faire bonne figure au banquet qui s’ensuivait.

    Ces textes que je vous écris c’est pour vous faire comprendre comment l’humain à détourné quelque chose de pure, sincère au départ avec une immense foi et une grande espérance. Au départ Jésus le Nazaréen n’est pas pris pour un Dieu, seul EL-SHADDAÏ est « Dieu ».

    Raisonnez, réfléchissez, mais aussi prenez soins de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Jacques le Juste, Mineur, Petit

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Nous avançons dans l’évangélisation du monde que les hébreux nomment « Païen », tout comme la chrétienté catholique le fera avec ceux qui ne sont pas baptisés dans leur religion. Moi, Grandeloupo, je suis un païen car j’ai renié mon baptême chrétien, donc je suis devenu un « PAÏEN », mais fière de l’être, puisque de moi-même j’ai fait la circoncision de cœur pour ce Dieu seul et unique, celui que je nomme EL-SHADDAÏ. Dans ces jours où la « Colère d’EL-SHADDAÏ approche je me demande si nous ne sommes pas comme à l’ère de la « Mouvance de Jésus le Nazôréen », avec une plus grande difficulté car nous devons nous battre individuellement, notre famille ne voulant pas croire ce que noue prédisons  ainsi que nos conviction dans l’enseignement de Jésus le Nazôréen, mais aussi dans les Lois et Préceptes de son Père son Dieu et Notre Dieu, Jean XX : 17 « Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » » Jésus parlant de ses frères parle ici de ses Apôtres et Disciples. Le terme « frère » est pris au sens figuré comme cela ce disait beaucoup à cette époque. En effet nous sommes entourés par l’idolâtrie païenne comme religieuse aussi bien chrétienne que musulmane cette dernière étant encore plus hypocrite que la première car c’est l’adoration d’une « Pierre Noire », une météorite enchâssée dans un quadrilatère situé à la Mecque. Mais cela les musulmans le font puisqu’ils tournent sept fois autour de ce quadrilatère tout comme Abu-Kasim Muhammad en signe de crainte et d’allégeance au « Grand Dieu Al-Ilah » représenté par ce Météorite.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Antioche est le laboratoire d’un nouveau mode de vie en commun, au contact des « païens » : les Grecs, les Scythes et toutes les nations qui composent la ville. De nouveaux modes d’évangélisation sont tentés, comme cette intensive pratique du voyage missionnaire au sein des terres peuplées de Gentils, habitude qui demande un abandon au moins partiel des lois de pureté du judaïsme. Fonder des communautés pagano-Nazaréennes sont nécessaire à l’essor du « mouvement Nazôréen » car le salut passe aussi par les païens : telle est la conviction des messianistes issus de cette ville mélangée. Dans un premier siècle qui n’était pas accoutumé au prosélytisme des Juifs, la « mouvance de Jésus le Nazôréen » apparaît à Antioche comme une étrange forme du judaïsme, une secte missionnaire.

    Le but de leurs voyages : l’Asie Mineure, l’actuelle Turquie. Une vaste région riche et ambiguë aux côtes opulentes et civilisées mais sauvage et inculte à l’intérieure des terres. Toutes les peuplades se rencontrent, Phrygiens, Bithyniens, Pamphyliens, Cariens, Ioniens, Galates, Lydiens, tous les cultes se mélangent. Les seules constantes de ce capharnaüm de races et de pays sont l’état déplorable des routes et l’extrême religiosité des habitants. L’Asie est mystique : à Thyane, à Nazianze, à Éphèse, en Cappadoce, les villes sont des sanctuaires tandis que fleurissent les religions et les courants philosophiques, les cataphryges et les montaniens, les sophistes et les stoïciens.

    Ce premier voyage missionnaire est composé comme une sorte de marche forcée jusqu’aux frontières du monde, au pays des barbares. Le terme du périple est en effet les rudes régions de la Lycaonie et de la Pisidie, contrées sombres où l’on parle des dialectes barbares, où les routes sont infestées de brigands isauriens, où Cicéron, qui campait près de Derbé se croyait tout à fait parvenu parmi les sauvages.

     

     

    Chapitre N° 23

    Jacques le Juste fils d’Alphée

     

    Barnabé et Saül de Tarse, les deux missionnaires se voient régulièrement confrontés à la même situation. Après avoir prêché aux Juifs, ils font des conversions qui inquiètent les autorités et sont chassés par leurs coreligionnaires. Ils se tournent alors vers les païens. Intrigues municipales, émeutes, molestations, lapidations, ils sont bannis une fois sur deux de la ville, et s’enfoncent toujours plus profondément dans les terres étrangères. Partant d’Antioche, le lecteur des Actes les voit gagner l’ile de Chypre, empruntant les ports de Salamine puis de Paphos. Ils débarquent en Pamphylie, sur le site de l’actuelle Antalaya, ville touristique de la Turquie moderne, montent sur Pergé et de là atteignent la Pisidie et visitent Antioche de Pisidie aujourd’hui Yalvaç, Iconium qui est Konya, Derbé se nommant Kilbasan et Lystres aujourd’hui Kadin Serai. Lystres est le terme du voyage : les deux apôtres font bientôt marche arrière pour retourner à Antioche. »

    « La population d’Antioche était des plus mélangée et Ernest Renan écrivain, historien français, 28-02-1823—02-11-1892 à Paris, philologue et philosophe en fait un tableau très vif, sans doute assez inexact mais très suggestif, parfaitement dans le goût des peintures du XIXème siècle.

    « C’était un amas inouï de bateleurs, de charlatans, de mimes, de magiciens, de thaumaturges, de sorciers, de prêtres imposteurs ; une ville de courses, de jeux, de danses, de processions, de fêtes, de bacchanales ; un luxe effréné, toutes les folies de l’Orient, les superstitions les plus malsaines, le fanatisme de l’orgie. Tour à tour serviles et ingrats, lâches et insolents, les Antiochéens étaient le modèle accompli de ces foules vouées au césarisme, sans patrie, sans nationalité, sans honneur de famille, sans nom à garder. Le grand corso qui traversait la ville était comme un théâtre où roulait tout le jour les flots d’une population futile, légère, changeante, émeutière, parfois spirituelle, occupée de chansons, de parodies, de plaisanteries, d’impertinences de toutes espèces. […] C’était comme un enivrement, un songe de Sardanapale où se déroulaient pêle-mêle toutes les voluptés, toutes les débauches, n’excluant pas certaines délicatesses. » »

    Les événements d'Antioche et de Jérusalem représentent les premières traces connues d'un débat sur l'interprétation de la Torah en fonction de la reconnaissance du Messie – débat qui ne va cesser de se développer, de manière parfois très vive, durant plus d'une décennie entre Paul et ses opposants.

    Ce conflit d’Antioche de Syrie, nommé Concile de Jérusalem se terminera définitivement en l’an 58 par la dislocation des Douze qui se sépareront deux par deux pour aller évangéliser la Terre, Thomas et Jacques d’Alphée en Inde et Barthélémy en Arménie, Matthias et Jude en Éthiopie, Pierre à Antioche de Syrie, puis à Rome, Matthieu à Parthes, et le Disciple Saül de Tarse toute l’Asie Mineur, la Grèce et Rome.

    Depuis ce Concile rien ne va plus parmi les Apôtres et Saül de Tarse dit Paul  n’est pas complètement étranger à se renversement ayant mal expliqué les paroles de Jésus le Nazaréen, sur la circoncision, ainsi que la Loi et la pensée de son Père sur ce sujet.

    EL-SHADDAÏ, entre autre explique bien ce qui est le plus important pour Lui, et lisant les Actes des Apôtres et certaines Épitres de Saül de Tarse, j’ai l’impression qu’à l’époque les Apôtres tout comme ce Disciple Paul, ont failli sur l’Esprit de leur Dieu seul et unique

    Deutéronome X : 15-17

    « EL-SHADDAÏ pourtant ne s'est attaché qu'à tes pères, par amour pour eux, et après eux il a élu entre toutes les nations leur descendance, vous-mêmes, jusqu'aujourd'hui.

    Circoncisez votre cœur et ne raidissez plus votre nuque, car EL-SHADDAÏ est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, vaillant et redoutable, qui ne fait pas acception de personnes et ne reçoit pas de présents. »

    Il n’existe pas d’équivoque ! Pour EL-SHADDAÏ le cœur et l’Esprit compte plus que la chair. Voici une autre preuve avec ses prophètes :

    Jérémie IX : 24-26

    « Mais qui veut se glorifier, qu'il trouve sa gloire en ceci avoir de l'intelligence et me connaître, car je suis EL-SHADDAÏ qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre. Oui, c'est en cela que je me complais, oracle d’EL-SHADDAÏ !

     Voici venir des jours oracle d’EL-SHADDAÏ où je visiterai tout circoncis qui ne l'est que dans sa chair  l'Égypte, Juda, Édom, les fils d'Ammon, Moab et tous les hommes aux tempes rasées qui habitent dans le désert. Car toutes ces nations-là, et aussi toute la maison d'Israël, ont le cœur incirconcis ! »

    Que dire avec de tels Écrits ? Ce conflit d’Antioche de Syrie n’aurait jamais dû subsister !

    Jésus avec ses Apôtres avait déjà débattu de ce fait et il me semble que dans un chapitre précédent, pas le dernier, mais les antérieurs proches :

    Évangile selon Thomas : Logion LIII : 1-2

    « Ses disciples lui dirent : « La circoncision est-elle utile ou non ? »

    Il leur dit :

    « Si elle était utile, leur père les engendrerait circoncis de leur mère ; mais la vraie circoncision dans l’esprit a été d’une utilité totale. » »

    Ce que nous pouvons retenir de ces versets bibliques et de l’Esprit qui en ressort, nous « Enfants » de ce Dieu seul et unique, devons pratiquer la circoncision de cœur et d’Esprit, respectant les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen fils Bien-Aimé de notre Dieu SHADDAÏ, ainsi que les Lois et Préceptes de ce dernier, le glorifiant, vénérant comme notre « seul et unique » Dieu, afin que dans notre cœur chacun garde sa place, son fils restant pour l’éternité notre assesseur, notre Roi et nous devons le prier comme tel, son Père géniteur étant notre Père Créateur et son Dieu qui est son Père, est aussi notre Dieu, comme il est écrit dans l’Évangile de Jean XX : 17.

    Il se fait aussi que Jésus le Nazôréen est notre « Paraclet » ce qui signifie que devant son Père géniteur, c’est notre « avocat », c’est lui qui prend notre « défense »

    Matthieu V : 16-18  -- Jésus le Nazaréen est venu sur cette Terre pour confirmer la Loi de Moïse, mais aussi pour la faire comprendre aux humains puisqu’il est venu « accomplir » ! Et non démolir !

    « Ainsi votre lumière doit-elle briller devant les hommes afin qu'ils voient vos bonnes œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux.

    « N'allez pas croire que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.

    Car je vous le dis, en vérité : avant que ne passent le ciel et la terre, pas un i, pas un point sur l'i, ne passera de la Loi, que tout ne soit réalisé. » »

    Pendant les quarante années de sa vie sur Terre, oui !, vous avez bien lu, je suis convaincu que Jésus le Nazôréen est né certainement en l’an -7 de l’EC et qu’il décéda en l’an 33 de notre ère par la torture romaine de la crucifixion, ce qui lui fait quarante ans, nombre prophétique biblique, et comme de bien entendu, cela n’engage que moi, et que, pendant tout ce laps de temps, il vécut parfaitement sur cette Terre, sans commettre le moindre péché. Par cette vie sans reproche, il fut à sa mort l’équivalence parfaite, nécessaire d’Adam et Ève, eux qui furent posés sur la Terre parfait en corps et en Esprit, pour que tous les Écrits sur son compte fussent accomplis jusqu’au dernier, et que le troisième jour, son Père géniteur EL-SHADDAÏ le ressuscita d’entre les morts, afin que nous humains, poussière devant ce DIEU seul et unique, nous aussi, par sa volonté, nous ressuscitions pour vivre éternellement sur une magnifique Terre.

    Un fait important que nous ignorons, celui qui c’est passé entre le moment où EL-SHADDAÏ déposa l’Homme sur la Terre, puis le temps où il l’endormi dans un profond sommeil afin de lui façonner une compagne avec l’une de ces côtes, et maintenant le temps qu’Adam et Ève restèrent à vivre parfaitement sur la Terre, jusqu’au jour ou Ève, puis Adam péchèrent, prenant volontairement ce fruit défendu, la seule et unique interdiction de ce Dieu seul et unique. Nous savons avec certitude que l’humanité sur la Terre est jeune, étant inférieure à dix mille ans.

    Nous sommes maintenant dans les années 60-70. Pierre est l’Évêque d’Antioche de Syrie, et quand il devra partir pour Rome c’est Évode, l’un des soixante-douze Disciples de Jésus le Nazôréen, qui le remplacera jusqu’en l’an 69, année de sa mort, son successeur sera Ignace d’Antioche. Pierre restera sept ans comme Évêque d’Antioche puis ira à Rome fin le l’an 60, début de l’an 61 et en l’an 64 sera crucifié la tête en bas.

    Pour Saül de Tarse, dit Paul, les historiens pensent que dans ces années 60 il aurait été emprisonné, puis relâché sous surveillance, avant d’être complètement libre. Paul écrivit beaucoup où plus vraisemblablement, il avait des scribes auquel il dictait ces Lettres ou Épitres.

    Au premier siècle de notre ère le christianisme n’existait absolument pas. Les humains qui se faisaient baptiser à la méthode de « Jean le Baptiste » devenaient des « Messianistes » ou des adeptes de, « La voie de Jésus le Nazôréen », « Mouvance de Jésus le Nazôréen » considéré comme une secte du judaïsme dont les communautés les plus importantes à la moitié du premier siècle sont Jérusalem, Antioche de Syrie, Alexandrie en Égypte, les deux dernières villes citées ayant une population juive helléniste importante.

    Dans cette moitié du premier siècle c’est à Jérusalem, où siège un nombre important d’Apôtres et de Disciples de Jésus le Nazôréen, que tout se décide. C’est Jacques le Mineur, le Juste, le Petit, fils d’Alphée qui est l’Évêque de Jérusalem et de toute la communauté de « la mouvance de Jésus le Nazôréen ».

    Sur ce Jacques avec la Bible il y a beaucoup de question. Alors comment trouver la vérité dans ce capharnaüm d’écrits contradictoire des historiens et exégètes ?

    Il me semblerait, si j’ai bonne souvenance, d’avoir écrit sur ce thème dans « Les Couleuvres avalées par les chrétiens chapitre N° 1 & 2 » dont voici ci-dessous un rappel

    En premier les douze Apôtres, choisit par Jésus le Nazôréen

    « Heureusement dans la troisième Bible, ainsi que dans le second évangile de Matthieu rédigé par le Diacre Philippe, Matthieu n’ayant jamais consigné une seule ligne dans cet ouvrage canonique, la description des douze Apôtres est beaucoup plus claire.

     « Voici les noms des douze, nommé « apôtre », choisi par Jésus le Nazaréen parmi ses Disciples :

    Simon Bar-Jona  ( Simon-Pierre ) appelé en araméen par Jésus, Képhas, { Jean I : 42 } le « Rocher » ( transformé en Pierre) et son frère André, tous les deux pêcheurs sur le lac de Tibériade, Jacques et Jean fils de Zébédée, Philippe, Barthélemy nommé aussi Nathanaël, Didyme Jude Thomas la ressemblance à Jésus comme un jumeau, Matthieu nommé aussi Lévi, le publicain ( collecteur d’impôts ou douanier ), fils d’Alphée, Jacques et Jude Thaddée fils d’Alphée, Siméon ( Simon) le Zélote ( ou le Cananite), et Judas Iscariote le traite qui livra Jésus par un baiser.

    Ce douzième Apôtre après son suicide fut remplacé par Matthias… »

    « Les autres sans référence

    ------« « En passant il vit Lévi, ---{ Matthieu : Mt IX :9 }--- le fils d'Alphée, assis au bureau de la douane, et il lui dit :

     « Suis-moi. »

     Et, se levant, il le suivit.

    Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie se mirent aussi à table avec lui et avec ses disciples; car ils étaient nombreux, et l'avaient suivi…---LSG Marc 2 : 14-15 » »-----

    Je suis certain, comme moi, que vous avez constaté ce fait :

     « …Matthieu, Jacques, Jude sont tous les trois fils d’Alphée, donc inévitablement ils sont frères … »

    Jésus-Christ, fils de Dieu a cinq frères si je sais encore compter ;

     Matthieu { nommé aussi Lévi -- Matthieu 9 : 9 --- Bible des Pléiades, de Jérusalem, Darby, LSG, BDS, etc …  } qui est frère avec Jacques {nommé aussi Jacques le Juste, le Mineur, le Jeune, le Petit --- Marc 15 : 40 LSG, BDS, Darby, les Pléiades, Jérusalem, etc } et Jude { nommé aussi Thaddée Marc 3 : 13-19 } , Joseph qui serait le frère de Jacques le Jeune, Juste, Petit …etc { Marc 15 : 40 } et Simon { nommé aussi Siméon --- Matthieu 13 : 55 ---Marc 6 : 3 }

    Je récapitule : première hypothèse ….

    Matthieu, Jacques, Jude, fils d’Alphée

    Oui, mais …,si nous lisons bien Marc 15 : 40,  Marie est la mère de Jacques et de Joseph.

    Pardonnez ma vulgarité, mais j’ai l’impression d’être dans la famille « Tuyau de Poêle ».

    Pour des « Livres Sacrés »  d’ « Inspiration Divine »  il y a de la fornication, de l’adultère car je suis peut-être un  « Païen », mais si Jacques et Joseph son frère, avec qui Marie --- la mère de Jésus-Christ --- a-t-elle couchée ?

    Si elle a forniqué avec Alphée, Matthieu et Jude sont les demi-frères de Jacques et Joseph, mais en plus, ceux-ci à la mort du Christ, aurait au maximum quinze ans pour l’aîné.

    Maintenant vous vous apercevez des erreurs de ces soi-disant  « Livre d’Inspiration Divine »

    Ce n’est pas fini ! ……

    Simon est aussi le frère de Jésus-Christ : je cite

     « …n’est-il pas le fils de Marie et le frère de Jacques, de Joseph, de Jude, de Simon ? … Toutes ses sœurs …. »

    Et les sœurs ? … Qui était leur père ? …

    Veuillez me pardonner, mais en plus d’être « Tuyau de Poêle » c’est aussi Marie « lapine », car je continue mes calculs en plus de Jésus-Christ et ses cinq frères ---Matthieu, Jacques, Joseph, Jude, Simon il y a les sœurs ……, quatre, cinq, six, sept peut-être …

    Jésus-Christ étant le premier-né, avec la fuite en Égypte, il faut bien compter cinq à six ans avant que Marie ait le « deuxième » enfant !

    Nous sommes dans une incohérence totale des Écrits d’ « Inspiration Divine »

    Plus fort encore ;

    si Marie n’a pas forniqué avec Alphée comment Jacques peut-être à la fois né de la femme d’Alphée et de Marie la mère de Jésus-Christ ? …

    { je cite Marc 15 : 40 « Marie la mère de Jacques et…. » }

    Je sais bien lire ? …

    Vous les lecteurs de toutes les confessions chrétiennes, j’ai bien l’impression que vos « Pasteurs, Pape, Pope, etc … » vous prennent pour des imbéciles ! …

      Quand on veut vraiment chercher la véritable voie, celle de la « réelle vérité », on trouve ! ...

    Par cette magouille, les « Protestants » certifient que Marie a eu d’autres enfants après Jésus-Christ.

    Maintenant voyons Simon, qui, étrangement, lui aussi, est le frère de Jésus-Christ

    Simplement que Siméon ou Simon est le fils de Clopas, dont l’épouse se prénomme aussi Marie, frère de Joseph le Charpentier, père nourricier de Jésus le Nazaréen.

    Alors comment Marie, mère de Jésus-Christ, pouvait-elle, elle aussi, mère de Simon ? …

    Et comment ce Simon pouvait-il être le frère de Jésus-Christ, Jacques, Jude et Joseph sans compter Matthieu oublié bizarrement de Marc et de Matthieu ? »

    Ceci est une partie des textes que j’ai écrit pour vous afin de dévoilée la vérité. Et aujourd’hui si vous voulez encore approfondir avec l’encyclopédie « Wikipédia » c’est encore pire !

    Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Premier voyage maritime

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    L’Assomption ayant eu lieu vendredi 15 Août je reprends le cour de mes « Écrits » !

    Les débuts de l’évangélisation de l’Asie Mineur par Barnabé et Saül de Tarse qui se fait appelé Paul, n’est pas d’une facilité évidente. Le terme « chrétiens » n’existe pas puisque nous somme dans la moitié du premier siècle. Barnabé et Paul sont hébreux et ils doivent évangéliser les hébreux en premier voila pourquoi ils vont prêcher dans les synagogues. Simplement qu’à Antioche de Syrie les hébreux sont hellénistes c’est-à-dire hébreux de culture grecque. Cette ville en plus est cosmopolite et chaque communauté à ces Prêtres avec leur culte idolâtre. Pas simple pour un humain d’avoir la foi en écoutant les discours de deux hommes qui parlent du Royaume d’EL-SHADDAÏ. Dans le chapitre ci-dessous c’est l’histoire du début d’une « Mouvance » qui, malgré les difficultés, prendra de l’ampleur.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    En revenant à ces interdits, aujourd’hui au XXIème siècle certains interdits sont toujours de rigueur.

    La viande immolé pour les idoles je ne pense pas que cela existe. Devant l’Autel de l’idole les humains sacrifiaient un animal, les Prêtres faisant leurs incantations pendant tout le temps de la cuisson, et après, était donné un morceau de viande aux fidèles qui la mangeaient en récitant des prières.

    Tu ne mangeras pas un animal avec son sang,  car ce sont des bêtes que l’on a étouffé

    Tu ne mangeras pas le sang d’un animal quel qu’il soit

    Tu ne commettras pas la fornication, l’adultère, le contre-nature

    Voilà trois commandements que nous devons respecter, même aujourd’hui dans notre modernisme. Je pense qu’il n’y a rien de dur à respecter ces commandements, mais je dois reconnaître qu’à une certaine époque je mangeais du boudin noir, car il faut l’avouer, j’aimais ce plat et depuis que j’ai lu cette injonction, le temps de faire le rapprochement avec le sang, nous avons dans notre maisonnée supprimé ce met de notre assiette pour être en accord avec cette ordonnance d’EL-SHADDAÏ.

     

    Chapitre N° 22

    Paul évangéliste des Païens

     

    Le premier exemple de texte apostolique est sans doute la lettre apostolique envoyée à l'Église d'Antioche à la suite des discours de Pierre, Actes des Apôtres XV : 6-12, et Jacques, Actes des Apôtres XV : 13-21, sur la décision du concile de Jérusalem sur l'observance des règles traditionnelles du judaïsme, notamment la circoncision

    Les Actes des Apôtres XV : 7-21

    « Après une longue discussion, Pierre se leva et dit : « Frères, vous le savez : dès les premiers jours, El-Shaddaï m'a choisi parmi vous pour que les païens entendent de ma bouche la parole de la Bonne Nouvelle et embrassent la foi.

    Et EL-SHADDAÏ, qui connaît les cœurs, a témoigné en leur faveur, en leur donnant l'Esprit Saint tout comme à nous.

    Et il n'a fait aucune distinction entre eux et nous, puisqu'il a purifié leur cœur par la foi.

    Pourquoi donc maintenant tentez-vous EL-SHADDAÏ en voulant imposer aux disciples un joug que ni nos pères ni nous-mêmes n'avons eu la force de porter ?

    D'ailleurs, c'est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés, exactement comme eux. »

    Alors toute l'assemblée fit silence. On écoutait Barnabé et Paul exposer tout ce qu’El-Shaddaï avait accompli par eux de signes et prodiges parmi les païens. »

    Pierre, ici, fait un très bon réquisitoire puisqu’il avoue avoir  évangélisé des païens poussé en « Esprit » par EL-SHADDAÏ qui, sondant les cœurs, leur avait ouvert l’Esprit c’est-à-dire l’intelligence à la réception de la Bonne Nouvelle. L’Apôtre Pierre pousse même le raisonnement, la réflexion très loin mettant en comparaison les circoncis, les « païens », mais aussi les Apôtres et Disciples présents devant le fait que pour EL-SHADDAÏ tous sont égalitaires et seul compte la circoncision de cœur comme il l’a toujours prôné, les versets bibliques que vous avez lu plus avant en étant la preuve.

    Selon Luc, au Concile de Jérusalem, Paul réussit à convaincre les autres chefs des premières communautés messianiques que l'on pouvait être baptisé sans avoir été au préalable circoncis développant ainsi l'adresse universelle du message du Messie. Les tensions persistèrent avec le courant mené par Jacques.

    Jacques reste pourtant méfiant évitant de parler du véritable problème qu’est pour un hébreu la circoncision.

    « Quand ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole et dit :

    « Frères, écoutez-moi !

    Syméon a exposé comment, dès le début, EL-SHADDAÏ a pris soin de tirer d'entre les païens un peuple réservé à son Nom.

    Ce qui concorde avec les paroles des Prophètes, puisqu'il est écrit :

    « Après cela je reviendrai et je relèverai la tente de David qui était tombée, je relèverai ses ruines et je la redresserai, afin que le reste des hommes cherchent le Seigneur, ainsi que toutes les nations qui ont été consacrées à mon Nom, dit EL-SHADDAÏ qui fait connaître ces choses depuis des siècles. »

    C'est pourquoi je juge, moi, qu'il ne faut pas tracasser ceux des païens qui se convertissent à EL-SHADDAÏ.

    Qu'on leur mande seulement de s'abstenir de ce qui a été souillé par les idoles, des unions illégitimes, des chairs étouffées et du sang.

    Car depuis les temps anciens Moïse a dans chaque ville ses prédicateurs, qui le lisent dans les synagogues tous les jours de sabbat. » »

    Jacques le Juste, dans les versets ci-dessus fait allusion indirectement au « Nouveau Peuple d’EL-SHADDAÏ » qui sortira de chez les « Païens », car il faut se replacer dans le contexte de l’époque, aux prémices de « la Voie de Jésus le Nazôréen » tout de suite après la crucifixion de ce dernier, qui deviendra dix à quinze années plus tard la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » ou « les Messianistes de Jésus le Nazaréen », pour deux siècles et demi plus tard se nommer sur le bout des lèvres, le « Christianisme », mais à cette époque en Palestine au niveau religieux il y avait les hébreux qui était circoncis comme la Loi de Moïse l’exigeait et toutes les autres religions des « Gentils » dont l’on nommait les fidèles des « Païens ».

    Ce vocable sera repris par le christianisme, particulièrement chez les catholiques pour désigner tous ceux qui ne font pas partie de leur religion.

    Les « actions » des « Écrits » que je viens de poser se déroule théoriquement pendant la période que l’on nomme « Concile de Jérusalem » mais aussi « Concile des Apôtres » ou bien encore « Conflit d’Antioche-Jérusalem » entre l’an 48 à 52 de l’EC.

    Comme écrit ci-dessus, il est important de penser au contexte de l’époque. La Palestine, région occupée par les Romains, dont l’Empereur est Claude, vient tout juste de sortir d’une famine importante, les années 46-48 et les effets extérieurs se font toujours ressentir. Les Apôtres prêchent dans ce climat difficile, donc malgré l’aide spirituelle qu’ils reçoivent d’EL-SHADDAÏ, ils sont craintifs, inquiets, soupçonneux, Jacques, Pierre, Jean ainsi que d’autres Disciples n’échappent pas à la conjoncture, à cette atmosphère néfaste, amplifiée par les Juifs de Jérusalem qui leur font la chasse.

    Nous avons l’exemple avec Pierre lors  de son déplacement à Antioche de Syrie, sans doute vers l’an 49-50 après la grande famine de Palestine, où Barnabé et Paul avaient fait une collecte en tout pour aider les « assemblées des frères de la mouvance de Jésus le Nazôréen » de Jérusalem, Judée, Galilée, Samarie qui étaient dans un grand besoin en nourriture.

    Épître aux Galates II : 11-16

    « Mais quand Céphas vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu'il s'était donné tort.                                         

    En effet, avant l'arrivée de certaines gens de l'entourage de Jacques, il prenait ses repas avec les païens ; mais quand ces gens arrivèrent, on le vit se dérober et se tenir à l'écart, par peur des circoncis.

    Et les autres Juifs l'imitèrent dans sa dissimulation, au point d'entraîner Barnabé lui-même à dissimuler avec eux.

    Mais quand je vis qu'ils ne marchaient pas droit selon la vérité de l'Évangile, je dis à Céphas devant tout le monde : « Si toi qui es Juif, tu vis comme les païens, et non à la juive, comment peux-tu contraindre les païens à judaïser ?

    « Nous sommes, nous, des Juifs de naissance et non de ces pécheurs de païens ; et cependant, sachant que l'homme n'est pas justifié par la pratique de la Loi, mais seulement par la foi en Jésus le Nazôréen, nous avons cru, nous aussi, en Jésus, afin d'obtenir la justification par la foi au Messie et non par la pratique de la Loi, puisque par la pratique de la Loi personne ne sera justifié. »

    Ce texte biblique confirme ce que j’ai écrit avant, même Pierre qui a un fort caractère dans la foi est craintif. Paul se met en colère alors qu’il ne devrait pas, surtout qu’il fait une différence énorme entre un hébreu et un humain d’une autre nation, ce croyant supérieur à elle. L’humilité est vraiment loin !

     « Nous sommes, nous, des Juifs de naissance et non de ces pécheurs de païens »

    Comme-ci être hébreu exemptait d’être pêcheur comme les humains des nations !

    Sûrement pas !

    Raisonnement personnel, si nous avons la foi en quelque chose nous observerons ses Lois comme exemple, vous Lectrices et Lecteurs vous avez foi en EL-SHADDAÏ et en son fils engendré, donc vous observez ses Lois et Préceptes ainsi que les enseignements de Jésus le Nazôréen, mais par votre foi en ce Dieu seul et unique, vous le priez l’adorez, glorifiez toujours en premier car seul « Lui » est « Dieu », et vous priez son fils comme notre médiateur assesseur de nos prières et de nos actes, mais aussi comme notre « Roi » et non comme un « Dieu » ce qui fait que dans notre cœur nous gardons l’unicité de notre « Dieu ».

    Toute sa vie Jésus le Nazôréen à fait la volonté de son Père géniteur et non la sienne, car si il avait fait la sienne je ne pense pas qu’il aurait accepté de jouer les agneaux, voilà pourquoi à la tombé de la nuit souvent, il se retirait pour être seul et converser avec son Père. Pour parler à ce dernier pas besoin qu’un son sorte de la bouche, par l’Esprit il pouvait « prier » et être en relation avec son Père. Je peux dire, nous pouvons dire que dans ce moment là deux « Esprit « SAIN » » sont en connexion. Vous constatez que l’ensemble « Esprit Sain » à une toute autre signification que ce qui est écrit sur un Livre qui théoriquement est « Inspiré Divinement », je cite la Bible Nouveau et Ancien Testament confondu.

    Je réitère le terme « Chrétien » n’existe pas donc je suis dans la difficulté d’écrire comme ci les débuts de ce « Christianisme », ce mot là non plus n’existe pas encore, n’est qu’une secte du Judaïsme. En effet, selon l’endroit géographique le nom des adeptes de Jésus le Nazôréen et qui se font baptiser, c’est le cœur qui parle en premier, porteront le nom de « La Voie de Jésus de Nazareth », « La Voie prônée par Jésus le Nazaréen », « La Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazarénien, Nazaréen, Nazareth », « Messianiste de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, Nazareth ». C’est ce terme de « messianiste » qui sera employé sous Néron après l’incendie de Rome.

    Paul, Saül de Tarse, dans ses Lettres ou Épîtres ne peut pas employer le terme « Chrétien », alors comment ce nommaient-ils ? Quelle était le terme populaire ? Le problème commence là ! Car historiens comme exégètes ont pris la facilité en employant le vocable « chrétien et ses dérivés » Donc je peux écrire pour vous des « judéo-messianistes », « judéo-Nazôréens », « pagano-Nazaréens » en remplacement du terme « chrétien » et ses découlés qui, pendant les deux premiers siècles, n’existent pas.

    J’écris pour vous, l’Histoire du Nom de Jésus le Nazôréen et de ses enseignements me servant de l’histoire de ce Grand Disciple, Saül de Tarse qui fut l’envoyé de Jésus le Nazôréen pour les « Païens » dans tout le Bassin Méditerranéen. Je réitère toutes les « Écriture » ci-dessus sont pour vous conter l’histoire de ce « Christianisme » qui les deux et trois premiers siècles, particulièrement les cent cinquante premières années furent pures.

    Les humains de cette époque choisissaient cette « Mouvance de Jésus le Nazôréen » par le cœur et l’esprit, sans hypocrisie avec sincérité, la seule pierre d’achoppement fut ce débat complètement hors sujet puisque de son vivant Jésus le Nazôréen avait donné la réponse à ses Apôtres sur cette « circoncision ».

    Alors pourquoi avoir fait un débat qui dura une dizaine d’années ?

    La mémoire des Apôtres était-elle volatile à ce point ?

    Le Père Lui-même qui est aussi notre Père à nous humains a dit ce qu’il pensait de la circoncision dans la chair. Du jour ou son propre Fils est venu en tant que matière sur la terre, la circoncision n’avait plus lieu d’être, si ce n’est par hygiène, car le peuple d’EL-SHADDAÏ n’existait plus, puisque les humains l’avaient rejeté comme leur Dieu, Lui, le laissa à l’abandon, à la dislocation définitive de ce qui était son « Peuple ». Amertume, déception, tristesse du cœur envers cet humain ingrat, indécrottable, qui malgré toutes les preuves de la puissance de leur « Dieu », ainsi que la miséricorde, mansuétude, bonté, amour que ce dernier eut pour et envers eux, il fut dans l’obligation d’abandonner ces humains à leur propre sort.

     Avec l’avènement de son propre fils sur la Terre, EL-SHADDAÏ savait qu’un « Nouveau Peuple » se lèverait de la Terre et là ce n’est pas Lui, qui choisirait, mais ce sont les humains qui le choisiront, Lui, EL-SHADDAÏ pour leur seul et unique Dieu. La circoncision de chair ne veut plus rien dire pour ce Dieu seul et unique, exemple les musulmans qui eut aussi pratique la circoncision, tout comme le baptême qui ne signifie plus rien de nos jours si ce n’est la marque au fer rouge de Sammaël par le signe de croix sur le front, ce qui compte c’est le cœur et l’Esprit avec sincérité, voilà la circoncision, le baptême, qu’El-Shaddaï demande à son « Nouveau Peuple ».

    Paul, grand voyageur, a fondé et soutenu des Églises dans tout l'est du bassin méditerranéen, plus particulièrement en Asie Mineure. Quand il ne leur rendait pas visite personnellement, il communiquait avec eux par « Lettres », Antioche de Syrie étant son point d’attache.

    « Antioche sur l’Oronte, la moderne Antakya, pour la distinguer d’Antioche de Pisidie, actuellement Yalvaç, que Paul visitera également – était alors une ville florissante, capitale de la province romaine de Syrie. Il faut se représenter une ville fastueuse, célèbre pour sa large avenue à trois voies, une pour les piétons, une pour les chars et la troisième pour les véhiculés lourds, bordée de colonnades qui conduisait à une monumentale statue de Jupiter. Cette avenue était coupée à angle droit par une autre rue, toute de marbre revêtue, qui faisait l’orgueil de la ville par ses statues et ses colonnes. Vers le nord, le fleuve Oronte formait une île sur laquelle était bâti l’ancien palais des Séleucides, une luxueuse résidence parée d’un portique grandiose, le Tétrapylon, où aboutissaient toutes les colonnades de la ville. C’était une ville qui connaissait une profusion d’eau, une métropole de plus de 500 000 âmes, la troisième du monde romain. »

    Paul est dans une ville cosmopolite où toutes les religions et sectes de toute sorte se côtoient.

    En arrivant à Antioche, Paul dû s’intégrer aux équipes missionnaires de la communauté messianiste. Il n’a pas d’emblée eut le premier rôle. Il agit sous les ordres d’un meneur de mission, Joseph Barnabé. Ce Juif issu de lévites semble être né à Chypre et avoir été converti dès les premiers temps à « la Voie de Jésus le Nazôréen ».Il serait ensuite allé à Antioche comme émissaire de l’Église de Jérusalem ; est-ce pour surveiller l’orthodoxie de cette bouillante communauté ? Il prend bien vite Paul comme son second et réalise une série de missions à ses côtés.

    « Les Juifs constituaient une très importante et puissante minorité de la population. Parmi eux, les Judéo-Nazôréens formaient un groupe très actif. Leur dynamisme joua un rôle capital dans la formation de Paul comme apôtre des Gentils

    1. Hellénique désigne ce qui est propre à la Grèce, pays des Hellènes.

    2. Hellénistique s’applique à la culture et aux institutions de l’empire d’Alexandre le Grand et de ses successeurs, Séleucides en Syrie, Lagides en Égypte…

    3. Les Hellénistes sont plus particulièrement les Juifs de culture grecque.

    Antioche est le laboratoire d’un nouveau mode de vie en commun, au contact des « païens » : les Grecs, les Scythes et toutes les nations qui composent la ville. De nouveaux modes d’évangélisation sont tentés, comme cette intensive pratique du voyage missionnaire au sein des terres peuplées de Gentils, habitude qui demande un abandon au moins partiel des lois de pureté du judaïsme. Fonder des communautés pagano-Nazaréennes sont nécessaire à l’essor du « mouvement Nazôréen » car le salut passe aussi par les païens : telle est la conviction des messianistes issus de cette ville mélangée. Dans un premier siècle qui n’était pas accoutumé au prosélytisme des Juifs, la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » apparaît à Antioche comme une étrange forme du judaïsme, une secte missionnaire.

    Le but de leurs voyages : l’Asie Mineure, l’actuelle Turquie. Une vaste région riche et ambiguë aux côtes opulentes et civilisées mais sauvage et inculte à l’intérieure des terres. Toutes les peuplades se rencontrent, Phrygiens, Bithyniens, Pamphyliens, Cariens, Ioniens, Galates, Lydiens, tous les cultes se mélangent. Les seules constantes de ce capharnaüm de races et de pays sont l’état déplorable des routes et l’extrême religiosité des habitants. L’Asie est mystique : à Thyane, à Nazianze, à Éphèse, en Cappadoce, les villes sont des sanctuaires tandis que fleurissent les religions et les courants philosophiques, les cataphryges et les montaniens, les sophistes et les stoïciens.

    Ce premier voyage missionnaire est composé comme une sorte de marche forcée jusqu’aux frontières du monde, au pays des barbares. Le terme du périple est en effet les rudes régions de la Lycaonie et de la Pisidie, contrées sombres où l’on parle des dialectes barbares, où les routes sont infestées de brigands isauriens, où Cicéron, qui campait près de Derbé se croyait tout à fait parvenu parmi les sauvages. Antioche est le laboratoire d’un nouveau mode de vie en commun, au contact des « païens » : les Grecs, les Scythes et toutes les nations qui composent la ville. De nouveaux modes d’évangélisation sont tentés, comme cette intensive pratique du voyage missionnaire au sein des terres peuplées de Gentils, habitude qui demande un abandon au moins partiel des lois de pureté du judaïsme. Fonder des communautés pagano-Nazaréennes sont nécessaire à l’essor du « mouvement Nazôréen » car le salut passe aussi par les païens : telle est la conviction des messianistes issus de cette ville mélangée. Dans un premier siècle qui n’était pas accoutumé au prosélytisme des Juifs, la « mouvance de Jésus le Nazôréen » apparaît à Antioche comme une étrange forme du judaïsme, une secte missionnaire.

    Le but de leurs voyages : l’Asie Mineure, l’actuelle Turquie. Une vaste région riche et ambiguë aux côtes opulentes et civilisées mais sauvage et inculte à l’intérieure des terres. Toutes les peuplades se rencontrent, Phrygiens, Bithyniens, Pamphyliens, Cariens, Ioniens, Galates, Lydiens, tous les cultes se mélangent. Les seules constantes de ce capharnaüm de races et de pays sont l’état déplorable des routes et l’extrême religiosité des habitants. L’Asie est mystique : à Thyane, à Nazianze, à Éphèse, en Cappadoce, les villes sont des sanctuaires tandis que fleurissent les religions et les courants philosophiques, les cataphryges et les montaniens, les sophistes et les stoïciens.

    Ce premier voyage missionnaire est composé comme une sorte de marche forcée jusqu’aux frontières du monde, au pays des barbares. Le terme du périple est en effet les rudes régions de la Lycaonie et de la Pisidie, contrées sombres où l’on parle des dialectes barbares, où les routes sont infestées de brigands isauriens, où Cicéron, qui campait près de Derbé se croyait tout à fait parvenu parmi les sauvages.

    Pensant sincèrement que cette lecture tout doucement vous fortifie intérieurement pour avoir comme ces premiers humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » une foi inébranlable en EL-SHADDAÏ notre Père et notre seul « Dieu » ainsi qu’en notre Roi, notre médiateur, assesseur, mais aussi enseignant, je nomme son Fils Jésus le Nazôréen.

    Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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