• Ascension de Marie

     

     

    Petite Interlude

     

    Fêtes de toute la Chrétienté

     

    La chrétienté a un nombre incalculable de fêtes pour ses « Saints » qui change de nom chaque année, car on en arrive à avoir des saints du nom de « Mohamed », « Lydia », « Abdoulh », etc, mais cette chrétienté à aussi un calendrier de fêtes fixes inventées par « Eux » comme celle ci-dessous.

    Fête du 15 Août où les fidèles prient une statue représentant la Vierge Marie.

     

    L’ASSOMPTION

     

    Qu’est-ce que « l’Assomption » ?

    Quelle est son origine ?

    C’est une fête « Chrétienne » !

    De toute la chrétienté, catholique, orthodoxe et protestante !

    Aucun texte biblique ne mentionne « une élévation de Marie » nommée « Assomption » par les « Catholiques », ni une « Dormition » nommée par les « Orthodoxes ».

    Au IVème siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Vème siècle.

    Une tradition d’un manuscrit syriaque rapporte que la mort et l'Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie.

    Le fait est qu’il est à peu près certain que la Mère de Jésus le Nazaréen, Marie est décédé à Éphèse en présence de l’Apôtre Jean et que son corps ne goûta pas l’odeur de la terre et fut enlevé comme beaucoup : exemple Hénoch, Moïse, Élie et tous ceux que j’oublie.

    Reconnaissons que l’Apôtre Jean fait un silence de plomb sur la mort de Marie et de son « Élévation » aux Cieux.

    Au VIème siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la  «  Dormition de la Vierge Marie » chaque année à la date du 15 août.

    En occident, le Concile de Mayence, en 813 instaure à son tour la fête du 15 août sous le nom de fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

    La gué-guerre commence !

    Le terme « Assomption » provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever ».

    L'Assomption de Marie est un dogme de l'Église catholique romaine --- { Dans son sens propre, le mot « dogme » -- [ mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec [dogma], « opinion »] -- appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Il est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.

    Un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation de foi, utilisé lorsque le critère de conformité à celle-ci, devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie.} ---  selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus aurait été « élevée au ciel »

    Pour le moment rien n’est biblique, tout a été décrété par les humains.

    Nous sommes bien dans un contexte d’idolâtrie.

    Continuons pour savoir !

     Le mot dormition -- en grec kimisis -- est usité, dans le vocabulaire chrétien pour désigner la mort des saints et des fidèles pieux, quand ce n'est pas une mort violente.

    Il existe de très nombreux textes de la Dormition ou l’Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, connus sous le titre générique de « Transitus Mariae » relatant des faits après sa mort.

    On connaît, en effet, de multiples recensions de ces écrits en syriaque, grec, copte, arabe, éthiopien, latin, géorgien, arménien et slave.

     Comme rien n’est dit au sujet de la fin de Marie dans le Nouveau Testament, l’influence de ces écrits a été d’autant plus considérable dans les Églises chrétiennes catholiques en Occident et orthodoxe en Orient.

    Les manuscrits les plus connus et les plus anciens sur l’Assomption ou Dormition de Marie viennent d’un Pseudo-Jean écrit en grec et un Pseudo-Jacques écrit en syriaque. Il semblerait que l’écrit grec serait l’original et le plus ancien d’après les spécialistes en étude biblique. { Clavis apocryphorum Novi Testamenti, Bibliothéca hagiographica greca --- Étude historico-doctrinale, Vatican 1944, p.121 }

    Il y a très peu de différence entre le texte grec et syriaque. L’original grec aurait été écrit  dans le courant du Vème siècle.

    Comme je l’ai écrit ci-dessus la « Dormition de Marie » est le plus vieux manuscrit d’un ensemble de textes apocryphes, appelés collectivement le « Transitus Mariae » daté généralement du Vème siècle. Cet ensemble de textes connus explicitement par l’Évêque de Rome ( pape ) Gélase Ier furent, en 495-496, déclarés apocryphes, comme étant « à ne pas retenir » par celui-ci. Ce jugement portait sur la compilation et non sur la croyance qu’elle détenait en elle-même.

    Vous constatez qu’il n’y a toujours rien de biblique !

    Continuons les faits historiques !

    Je n’invente rien !

    En effet, il est bon de connaître un peu d’histoire sur ce christianisme et sur ces fêtes religieuses.

    En 451 à lieu le quatrième Concile œcuménique en la Basilique de Sainte Euphémie à Chalcédoine, aujourd’hui Kadiköy, un quartier chic asiatique d’Istanbul sur la rive occidentale.

    Convoqué par l’empereur byzantin Marcien et son épouse l’impératrice Pulchérie le 8 octobre 451, 343 évêques, un record, dont 4 viennent d’Occident, redéfinissent la notion de personne :

    a) comme le principe de différenciation relationnelle au sein du mystère d’un Dieu à la fois un et trine. (--- c’est-à-dire une Trinité ---)

    b) comme le principe d’unité et d’identité, dans le cas des deux natures, dans la personne unique du Christ.

    Pour la Vierge Marie, ce Concile décrète qu’elle sera désormais appelée « Mère de Dieu » ou « Théotokos ».

    Toujours à ce Concile, l’évêque de Rome, Léon le Grand, refusera d’accepter le vingt-huitième Canon du Concile qui, en attribuant à la ville de Constantinople -- Istanbul -- le titre de « Nouvelle Rome », lui accordait de ce fait la primauté sur les autres patriarcats.

    Par ce Concile nous voyons que la chrétienté se dessine une « Trilogie » c’est-à-dire « Un en Trois ».

    Ce n’est plus du monothéisme !

    Mais aussi le commencement de la séparation de la chrétienté en deux Églises qui se feront la guerre. Même de nos jours ces deux clans chrétiens s’acceptent difficilement.

    Les enseignements de Jésus le Nazaréen, -- votre Jésus-Christ -- de ses Apôtres et Disciples sont bien loin ainsi que ce onzième commandement qui est aux oubliettes.

    Vous remarquerez que ces humains décrètent que Marie sera appelée « Mère de Dieu », alors que la Bible dit bien qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu ».

    Aucune décision prise n’est biblique !

    Se n’est pas fini car il y a encore plus fort ! …

    Le terme « immaculée » signifie pure et sans tache.

    L’Immaculée Conception de Marie est un dogme de l’Église catholique, défini le 8 décembre 1854 par le Pape Pie IX dans sa bulle « Ineffabilis Deus »

    [ -- Une « bulle », que l’on appelle pontificale ou papale, est un document originel scellé par un sceau, par lequel le Pape pose un acte juridique important, une nomination épiscopale, une définition dogmatique, la convocation d’un Concile, une canonisation, etc. Le document relève du gouvernement pastoral de l’Église, et présente un intérêt pour l’ensemble des fidèles.

    A l’origine, le terme désigne le sceau de métal, en plomb ou en or, attaché à un document pour l’authentifier. La chancellerie papale commence au VIème siècle à authentifier ses documents d’un sceau de plomb, -- la bulla -- pour les ordinaires, d’un sceau -- une bulla -- en or ou argent pour les plus importants.

    A partir du XIIIème siècle les documents qui portaient ce sceau furent eux-mêmes nommés bulles. Depuis le XVème siècle le terme est réservé aux lettres apostoliques scellées du sceau de plomb.--]

    Le dogme signifie que Marie, mère de Jésus le Nazaréen, -- Jésus-Christ pour vous chrétien -- fut conçue exempte du « péché originel »

    La bulle déclare :

    « Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout-puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être cru fermement, et constamment par tous les fidèles. »

    Depuis 1477 par décision du Pape Sixte IV, la naissance supposée de Marie se fête un 8 décembre ; c’est l’Immaculée Conception. Cette fête fut confirmée par Clément XI en 1708. Elle est à l’origine de la « Fête des Lumières » célébrée chaque année à Lyon à cette date.

    Voyons la réalité ! Il est impératif que Marie, la femme qui façonnera l’être humain qui sera appelé de son vivant « Jésus le Nazôréen », « Jésus de Nazareth », « Jésus fils du Charpentier » soit parfaite de corps, c’est-à-dire sans la tare génétique d’Adam et Ève.

    Le Protévangile de Jacques qui fut écrit à la fin du règne d’Hérode Antipas en Palestine dans cette période trouble où complot, trahison, était monnaie courante, d’où la destitution de ce dernier avec l’aide de son successeur, Hérode Agrippa Ier, auprès de l’Empereur Romain Caligula, qui pour finir l’exilera en Gaulle.

    Joachim et Anne après vingt ans de vie commune n’avaient toujours pas de postérité et pourtant ils étaient fidèles devant EL-SHADDAÏ. Ils jurèrent devant ce dernier que si, ils avaient une postérité garçon ou fille cet enfant serait dédié à EL-SHADDAÏ.

    Protévangile de Jacques VII : 2-3 à VIII : 1

    « 2. L'enfant eut trois ans. Joachim dit :

    « Appelons les filles des Hébreux, celles qui sont sans tache. Que chacune prenne un flambeau et le tienne allumé : ainsi, Marie ne se retournera pas et son cœur ne sera pas retenu captif hors du temple du Seigneur. »

    L'ordre fut suivi, et elles montèrent au temple d’EL-SHADDAÏ. Et le prêtre accueillit l'enfant et l'ayant embrassée, il la bénit et dit :

    « Le Seigneur Dieu a exalté ton nom parmi toutes les générations. En toi, au dernier des jours, El-Shaddaï manifestera la rédemption aux fils d'Israël. »

    3. Et il la fit asseoir sur le troisième degré de l'autel. Et EL-SHADDAÏ répandit sa grâce sur elle. Et ses pieds esquissèrent une danse et toute la maison d'Israël l'aima.

    8.1. Ses parents descendirent, émerveillés, louant et glorifiant EL-SHADDAÏ souverain qui ne les avait pas dédaignés. Et Marie demeurait dans le temple du Seigneur, telle une colombe, et elle recevait sa nourriture de la main d'un ange. »

    Par la bénédiction d’EL-SHADDAÏ sur les marches de l’autel, Marie était purifiée de la tare adamique et avait maintenant un corps parfait. Voici la suite

    Protévangile de Jacques VIII : 2-3 à IX : 1-3

    « 2. Quand elle eut quatorze ans, les prêtres se consultèrent et dirent :

     « Voici que Marie a quatorze ans, dans le temple d’El-Shaddaï. Que ferons-nous d'elle, pour éviter qu'elle ne rende impur le sanctuaire du Seigneur notre Dieu ? »

    Et ils dirent au grand-prêtre :

    « Toi qui gardes l'autel d’EL-SHADDAÏ, entre et prie au sujet de cette enfant. Ce que le Seigneur te dira, nous le ferons. »

    3. Et le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange d’El-Shaddaï apparut, disant :

    « Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui El-Shaddaï montrera un signe en fera sa femme. »

    Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous.

    9.1. Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre :

    « Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge d’EL-SHADDAÏ. »

    2. Mais Joseph protesta :

    « J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »

    « Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »

    3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :

    « Marie, le temple d’El-Shaddaï t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. EL-SHADDAÏ te gardera. » »

    Dans ce texte nous trouvons un Joseph charpentier comme un homme étant connu et ayant du travail. Ce n’est pas ce miséreux de l’iconographie biblique qui a du mal à nourrir sa famille, dans ce Protévangile de Jacques c’est absolument le contraire et personnellement j’opterai pour cette seconde solution.

    Toujours avec ce Protévangile, Marie ne fut pas couverte par un « Esprit-Saint » quelconque.

    Protévangile de Jacques XI : 3

    « 3. Et voici que l'ange, toujours devant elle, lui répondit :

    « Non, Marie. Car la puissance d’EL-SHADDAÏ te prendra sous son ombre. Aussi l’enfant qui naîtra sera-t-il appelé le fils du Très-Haut. Tu lui donneras le nom de Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. »

    Et Marie dit alors :

    « Me voici devant lui sa servante ! Qu'il m'advienne selon ta parole. » »

    Il est bien question de la puissance d’EL-SHADDAÏ qui posera le spermatozoïde dans l’ovule féminin. Tout est « SAIN », la fécondation, le corps féminin, il ne peut naître qu’un enfant « SAIN » et non comme la chrétienté « Saint », car là tout est propre, pur, cristallin, limpide, sans tache.

    Il est prouvé que la vie de Marie fut exemplaire et qu’elle fut une grande prophétesse pour son fils unique et qu’elle n’a jamais eu d’autre enfant que celui-là, donc sans beaucoup me tromper elle resta vierge toute sa vie.

    Je ne comprendrai jamais cette hypocrisie littéraire de la part des historiens et exégètes qui connaissent parfaitement les Lois du judaïsme et qui les mettent en premiers pour expliquer la vie religieuse des hébreux et qui la réfutent avec « les frères et sœurs » de Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi. En effet se sont les enfants males d’une famille qui donnent le statut à leur mère. Alors Jésus le Nazôréen étant un « hébreu, juif pour la langue française » qui est venu « non pour abolir la Loi mais pour l’accomplir complètement », je vois mal cet homme là, cloué sur le « Tau » de la torture romaine, confier sa mère au Disciple qu’il aimait le plus, c’est-à-dire Jean, s’il avait eu des « frères selon la chair ». Il est quand même écœurant que personne sur « Wikipédia » n’est soulevé « un lièvre aussi gros ».

    Cela nous donne la certitude que Jésus le Nazôréen n’a jamais, j’écris bien jamais eu de frères et encore moins de sœurs tout au plus des cousins germains et encore, mais sûrement des cousins par alliance ou comme l’on dit en degré.

    L'Immaculée Conception n'est mentionnée dans aucun texte jugé canonique par les Églises chrétiennes.

    Après la naissance revenons à la mort de Marie.

    Ce que j’écris est malheureusement la vérité et l’histoire de cette religion.

    Le 1er novembre 1950 l'Assomption de Marie est établie sous forme de dogme par la constitution apostolique « Munificentissimus Deus » du pape Pie XII.

    « En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité, nous prononçons, déclarons, et définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, la Vierge Marie, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire céleste »

    — Constitution dogmatique Munificentissimus Deus, b. 44.

    Par la suite, la constitution dogmatique « Lumen gentium du Concile Vatican II de 1964 » a énoncé :

    «  Enfin, la Vierge Immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »

    — Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Eglise, b. 59

    Depuis la déclaration d’infaillibilité pontificale par Vatican I en 1870, cette déclaration de Pie XII constitue la seule utilisation de l'infaillibilité papale « ex cathedra »

    Je viens de vous exposer les textes des plus hauts dirigeant de la chrétienté, Évêque ou Pape.

    Comme moi, vous remarquerez qu’il n’existe rien de biblique dans cette fête religieuse de l’Assomption ou Dormition. Toute cette histoire est une invention pure et simple d’êtres humains imparfaits.

    Pour prendre Jésus le Nazaréen à témoin avec Apôtre et Disciple, -- «  En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité … » il faut avoir un certain sens moral mauvais, mais surtout une vanité et un orgueil inimaginable. Le blasphème ne dérange pas ces humains là !

    Aller écrire que Marie est « la Mère de Dieu », connaissant les « Écritures », il faut être un bon « Serviteur de Sammaël », -- Satan -- et  railler l’Ancien Testament avec une certaine insolence.

    Quand je pense, que se sont ces humains qui dirigent cette Religion, que je suis heureux de l’avoir quitté et être considéré par ses fidèles comme un « Païen ».

    Remarquez la fourberie des « Dirigeants » de cette « Église » qui en font une religion hypocrite. Ce n’est pas une insulte de dire et d’écrire une réalité !

    En effet, en déclarant au Concile de Chalcédoine en 451, que Marie est la « Mère de Dieu », puis en 1854 qu’elle est « Immaculée », en suite en 1950 qu’elle est « Immaculée et Mère de Dieu », ces Évêques et Papes, placent Jésus-Christ --- Jésus le Nazaréen pour moi --- comme un « Dieu » égal à son Père.

    Je ne suis pas un imbécile et je sais compter, donc « Dieu le Père » plus « Dieu le Fils » cela fait deux « Dieux », Marie étant la « Mère de Dieu, du Dieu Jésus-Christ ».

    Je suis certain qu’un grand nombre de chrétiens vont réfuter ces écrits, faisant l’autruche, ce qui est une facilité pour ne pas voir volontairement la vérité.

    Je suis bien obligé, par amour pour mes semblables, de leur faire remarquer que cette religion chrétienne est une religion idolâtre, et que, les Enseignements de Jésus le Nazaréen ne font plus recettes dans cette religion.

    Cet interlude terminé, je reprends le cours de mes écrits.

    En attendant portez-vous bien et prenez soin de vous.

    Salutations cordiales.

    Sig: JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Barnabé et Saül de Tarse dit Paul

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Dans ce chapitre ci-dessous où je reconnais, je m’éternise sur la circoncision, il le fallait car ce débat avait eu lieu du vivant de Jésus le Nazôréen. Cette circoncision au départ n’était qu’une « marque au fer rouge » pour reconnaître un peuple d’humains qui priaient un Dieu unique afin de les différencier de tous les humains. Mais en réalité ce qui comptait le plus pour ce Dieu Créateur de l’humain c’était la circoncision de cœur. Aujourd’hui au XXIème siècle ce « Dieu Créateur » de l’humain, pense que ce dernier sera reconnu comme étant ses enfants par cette circoncision de cœur car Lui, le Dieu seul et unique reconnaîtra les humains faisant partie de son « Peuple » par cette marque au fer rouge spirituelle.

    Voilà pourquoi j’insiste sur cette circoncision afin que se Dieu unique, que je nomme EL-SHADDAÏ, vous discernera, vous mes semblables comme faisant partie de ses Enfants, donc de son « Peuple »

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Je peux certifier qu’EL-SHADDAÏ guide mon « Esprit » et mon « Esprit » c’est ma façon de penser, de réfléchir, de raisonner avec intelligence, mais l’intelligence n’est pas une chose répartie égalitairement et je serai à même d’expliquer certaine chose spirituelle et pas d’autres, tandis que vous, vous aurez l’intelligence de compréhension sur ce que moi je ne pourrai définir. Donc ce Dieu seul et unique me guide par un « Esprit SAIN »

    Barnabé et Paul, Saül de Tarse, restèrent ensemble une bonne année, Barnabé étant plus vieux que Paul. Ayant beaucoup plus de connaissance sur la vie de Jésus le Nazaréen et les Apôtres, Barnabé pendant cette année enseigna Paul. Ils firent ensemble et avec Marc l’évangéliste, un premier voyage express passant par l’ile de Chypre, lieu de naissance de Barnabé, évangélisant les ports de Salamine et Paphos, puis ils prirent la direction de la Pamphylie ou ils prêchèrent dans la synagogue de Pergé en premier aux Juifs, puis aux Juifs hellénistes, aux grecs et aux humains des nations. Toujours dans les synagogues et les Juifs, Juifs hellénistes et prosélytes, ils annoncèrent l’évangile dans les villes comme Iconium, Lycaonie, Lystres, Derbé, puis a Antioche de Pisidie ou souvent ils durent partir précipitamment. Marc se sépara d’eux à Perché prenant le bateau pour Jérusalem, Barnabé et Paul retournant à Antioche de Syrie.

    C’est à leur retour qu’ils s’occupèrent à trouver des vivres et à les charger sur un bateau pour approvisionner en nourriture « les frères » de Jérusalem mais aussi en Judée, Galilée, Samarie où une famine commençait et devait durer trois années.

     

    Chapitre N° 21

    Circoncision de chair, Circoncision de cœur !

    La mouvance de Jésus le Nazôréen prenait de plus en plus d’ampleur dans le Bassin Méditerranéen, mais était considéré par les politiciens de l’empire comme une secte juive sans grande importance.

    Pendant ce temps à Jérusalem c’est Jacques le Petit, le Juste, fils d’Alphée qui prit la gouvernance de « la Voie de Jésus de Nazareth » aidé par Pierre et Jean. Jacques était strict avec les enseignements de Jésus le Nazôréen, mais aussi très respectueux de la Loi de Moïse donc il prêchait plus pour les circoncis que pour les incirconcis.

    Barnabé et Paul faisait le contraire à Antioche de Syrie et leurs actions furent répétées à Pierre et à Jacques à Jérusalem. La pierre d’achoppement pour les Apôtres qui étaient juifs fut le sujet de la circoncision.

    Jérusalem dépêche à Antioche de Syrie des gens chargés de rappeler aux Grecs que la révélation est une affaire juive et que sans circoncision point de salut. On décide de porter le débats devant les dirigeants de Jérusalem qui, jusqu’à preuve du contraire, représentent encore l’Autorité.

    Les Apôtres se réuniront dans un Concile qui portera leur « Nom » en l’an 50, mais il est plus véridique de porter cette date à l’an 52. A ce Concile quand nous lisons les commentaires des historiens et exégètes nous nous apercevons que ce groupe était tenu par l’autorité de leur « Maître à Penser » tellement les divergences de compréhension des paroles de Jésus le Nazaréen sont grandes. Leur imperfection, comme tout humain, malgré la puissance d’intelligence, donc de raisonnement qu’EL-SHADDAÏ leur offrit à la Pentecôte, sans compter celle du magnétisme plus la « Force du Verbe » rendant ces « Douze » supérieur à tous autres humains de l’époque, ne les empêcha pas de se vétiller, admonester, voir se quereller sur des choses futiles comme la circoncision.

    J’écris futile, car du vivant de Jésus le Nazôréen ce problème de la circoncision avait été abordée par l’un des Douze.

    Évangile selon Thomas : Logion LIII : 1-2

    « Ses disciples lui dirent : « La circoncision est-elle utile ou non ? »

    Il leur dit :

    « Si elle était utile, leur père les engendrerait circoncis de leur mère ; mais la vraie circoncision dans l’esprit a été d’une utilité totale. » »

    Jésus le Nazaréen reste bien dans la lignée de son Père géniteur en disant bien que la vraie circoncision est celle de cœur et cela va être démontré ci-dessous.

    Bien avant la question de cet Apôtre, toujours au sujet de la circoncision le Père de Jésus le Nazôréen, EL-SHADDAÏ avait dit aux hébreux

    Deutéronome X : 15-17

    « EL-SHADDAÏ pourtant ne s'est attaché qu'à tes pères, par amour pour eux, et après eux il a élu entre toutes les nations leur descendance, vous-mêmes, jusqu'aujourd'hui.

    Circoncisez votre cœur et ne raidissez plus votre nuque, car EL-SHADDAÏ est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, vaillant et redoutable, qui ne fait pas acception de personnes et ne reçoit pas de présents. »

    Deutéronome XXX : 6Cette fois-ci c’est El-Shaddaï qui circoncira les cœurs nous prouvant que pour Lui, le spirituel à plus d’importance que la chair, car la circoncision de chair est comme une marque au fer rouge, une reconnaissance, c’est tout, et cela ne veut pas dire que vous aimez le « Dieu » de votre marque, tandis que le spirituel c’est accepter volontairement ce « Dieu » en suivant par le cœur ses Lois et Préceptes. C’est notre ligne à nous « Enfant » de ce Dieu SHADDAÏ que nous avons choisi volontairement comme notre seul et unique Dieu.

    « EL-SHADDAÏ ton Dieu circoncira ton cœur et le cœur de ta postérité pour que tu aimes Yahvé ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme, afin que tu vives. »

    Lévitique XXVI : 40-42Dans la mise en garde de ce peuple qu’il a choisi

    « Ils confesseront alors leurs fautes et celles de leurs pères, fautes commises par infidélité envers moi, mieux, par opposition contre moi.

    Moi aussi je m'opposerai à eux et je les mènerai au pays de leurs ennemis. Alors leur cœur incirconcis s'humiliera, alors ils expieront leurs fautes. »

    Mais aussi dans le Livre du prophète Jérémie IV : 4

    « Circoncisez-vous pour EL-SHADDAÏ, ôtez le prépuce de votre cœur, gens de Juda et habitants de Jérusalem, sinon ma colère jaillira comme un feu, elle brûlera sans personne pour éteindre, à cause de la méchanceté de vos actions. »

    Jérémie VI : 9-10

    « Ainsi parle EL-SHADDAÏ Sabaot. « On va grappiller, grappiller comme sur une vigne, ce qui reste d'Israël; repasse la main, comme le vendangeur sur les pampres!

    A qui dois-je parler, devant qui témoigner pour qu'ils écoutent ? Voici : leur oreille est incirconcise, ils ne peuvent pas être attentifs. Voici : la parole d’EL-SHADDAÏ leur est un objet de raillerie, ils n'y ont plus goût. »

    Jérémie IX : 24-26

    « Mais qui veut se glorifier, qu'il trouve sa gloire en ceci avoir de l'intelligence et me connaître, car je suis EL-SHADDAÏ qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre. Oui, c'est en cela que je me complais, oracle d’EL-SHADDAÏ !

     Voici venir des jours oracle d’EL-SHADDAÏ où je visiterai tout circoncis qui ne l'est que dans sa chair  l'Égypte, Juda, Édom, les fils d'Ammon, Moab et tous les hommes aux tempes rasées qui habitent dans le désert. Car toutes ces nations-là, et aussi toute la maison d'Israël, ont le cœur incirconcis ! »

    Je vous ai posé ces quelques versets bibliques pour vous prouver que la circoncision de chair à une faible importance au regard de ce Dieu seul et unique, mais ce qui compte le plus c’est la circoncision de cœur. Nous qui ne sommes pas hébreux, donc pour la majorité incirconcis dans la chair, en choisissant EL-SHADDAÏ pour notre seul et unique Dieu, nous avons pris la circoncision de cœur prouvant par nos actions combien nous l’adorions et le vénérions.

    D’après les Actes des Apôtres, à la suite du retour de Barnabé et de Saül de Tarse dit Paul à Antioche de Syrie, une controverse se pose au sein des tenants de la mouvance de Jésus le Nazôréen sur la possibilité du salut des non-juifs.

    Ce conflit sur la circoncision va quand même durée une dizaine d’année car il y avait une grande méfiance de la part des hébreux circoncis envers les hellénistes et les Grecs qui étaient incirconcis, mais il existait aussi la peur de la venue de ces polythéistes avec leur penchant idolâtre. L’avenir prouvera que leur méfiance était justifiée, et le ver rentrera insidieusement dans le fruit.

    Une réunion d’Apôtres, représentés par Pierre et d’Anciens, symbolisé par Jacques le Juste, fils d’Alphée, s’y tient pour répondre plus précisément à la question de savoir si la circoncision est nécessaire au salut ou si la seule foi en El-Shaddaï et en Jésus le Nazôréen est suffisante.

    Faut-il être Juif en premier pour faire partie de la communauté ?

    La circoncision et la filiation juive sont-elles secondaires au point d’admettre les non-juifs ?

    La question devient plus épineuse sous l’influence des pharisiens messianistes, sur l’observance strict de la Loi, y compris la circoncision, tandis que Pierre expose comment les nations païennes sont devenues croyantes en entendant de sa bouche la parole de l’Évangile.

     La question est donc double et le discours de Pierre répond en fonction du salut tandis que celui de Jacques s'articule en fonction de la Loi.

    Le conflit d'Antioche, ne vient pas à proprement parler de divergences avec ce que l'on peut appeler la théologie de Saül de Tarse dit Paul, qui semble se développer ultérieurement, mais d'un phénomène nouveau, qui est l'apparition d'adeptes du mouvement de Jésus venant directement du paganisme et donc appelés « païens » dans les lettres de Paul et les Actes des Apôtres. Il est facile de comprendre que l'observance de la Torah par ces messianistes d'origine polythéiste et notamment la question de la circoncision, déjà problématique médicalement pour un adulte à l'époque, mais en plus interdite pour un non-juif dans la société romaine, puisque considérée comme une mutilation, soit devenue une question laborieuse.

    Lors de la réunion de Jérusalem, l'observance de la Torah par les messianistes d'origine polythéiste est examinée par ce que l’on pourrait nommer l’instance dirigeante composé d’Apôtres et Disciples de Jésus le Nazaréen de la première heure.

     Selon Simon Claude Mimouni, né à Bône en Algérie en l’année 1949, historien français, spécialisé dans le domaine de l’histoire des religions, notamment du « Christianisme » et du « Judaïsme » dans l’antiquité pose « la question de la circoncision, notamment, celle posée par des pharisiens devenus adeptes de « la Voie de Jésus le Nazôréen ». Elle est étudiée par les apôtres et les anciens, presbytres, en présence de la communauté. Elle est résolue par Pierre qui adopte le principe suivant :

    « EL-SHADDAÏ ayant purifié le cœur des païens par la croyance en la messianité de Jésus, il ne faut plus leur imposer le « joug » de la TorahJacques accepte la proposition de Pierre. » »

    Pour respecter l'obligatoire « pureté » exigée par l'orthopraxie juive, « il ne faut pas que les chrétiens d'origine juive aient à craindre de souillure légale lorsqu'ils fréquentent les chrétiens d'origine polythéiste. Il propose par conséquent sa décision à l'assemblée de la communauté et enjoint de la notifier aux chrétiens d'origine païenne par lettre : il faut que ces derniers observent un minimum de préceptes. »

    « Le conflit d'Antioche et la réunion de Jérusalem, que l'on date des années 50-52, peuvent être considérés comme les deux premiers épisodes connus de la longue saga de l'opposition, qui s'est développée à l'intérieur même du mouvement des disciples de Jésus le Nazôréen, entre deux tendances, l'une maximalisant la portée de l'observance de la Torah, avec Jacques et Pierre comme figures principales, et l'autre la valeur de la croyance au Messie, avec Paul essentiellement, les autres péripéties ont été conservées dans les lettres de Paul aux Philippiens III : 2-3  »

    « Prenez garde aux chiens ! Prenez garde aux mauvais ouvriers ! Prenez garde aux faux circoncis !

    Car c'est nous qui sommes les circoncis, nous qui offrons le culte selon l'Esprit d’EL-SHADDAÏ  et tirons notre gloire du Messie Jésus de Nazareth, au lieu de placer notre confiance dans la chair. »

    Paul conte de façon détaillée, naturellement de son point de vue, cette hostilité et la réunion de Jérusalem dans une lettre écrite aux communautés de Galatie, la ville principale étant Ancyre aujourd’hui Ankara, dans les années 55-56, alors que le « document de Saül de Tarse » qui a servi à rédiger la partie relative à cet épisode dans les Actes des Apôtres daterait d’une trentaine d’années après les faits.

    Le débat peut être ainsi résumé : la foi en Jésus le Nazôréen était-elle suffisante pour être sauvé ou devait-on en plus observer les règles traditionnelles du judaïsme ?

    Jacques apportera les éléments de solutions en faveur de Pierre et donnera tort aux pharisiens en écartant la nécessité de la circoncision avant le baptême en agréant le baptême opéré par Pierre du centurion romain non circoncis Corneille. Jacques définit cependant quatre interdits à conserver pour qu'un païen puisse être reçu dans la communauté avec les membres issus du judaïsme.

    Il faut toutefois mentionner qu'en dehors de Corneille, il n'y a pas trace de païens convertis ni à Jérusalem, ni en Judée à cette époque et que Jacques maintient une séparation entre Juifs et païens.

    La décision de Jacques, connue ultérieurement sous le nom de Lettre Apostolique, se trouve dans les Actes des Apôtres XV : 22-30

    « Alors les apôtres et les anciens, d'accord avec l'Église tout entière, décidèrent de choisir quelques-uns d'entre eux et de les envoyer à Antioche avec Paul et Barnabé. Ce furent Jude, surnommé Barsabbas, et Silas, hommes considérés parmi les frères.

    Ils leur remirent la lettre suivante :

    « Les apôtres et les anciens, vos frères, aux frères de la gentilité qui sont à Antioche, en Syrie et en Cilicie, salut !

    Ayant appris que, sans mandat de notre part, certaines gens venus de chez nous ont, par leurs propos, jeté le trouble parmi vous et bouleversé vos esprits, nous avons décidé d'un commun accord de choisir des délégués et de vous les envoyer avec nos bien-aimés Barnabé et Paul, ces hommes qui ont voué leur vie au nom de notre Seigneur Jésus le Nazôréen.

    Nous vous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous transmettront de vive voix le même message.

    L'Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas vous imposer d'autres charges que celles-ci, qui sont indispensables : vous abstenir des viandes immolées aux idoles, du sang, des chairs étouffées et des unions illégitimes. Vous ferez bien de vous en garder. Adieu. »

    Prenant congé donc, les délégués descendirent à Antioche, où ils réunirent l'assemblée et remirent la lettre.

    Lecture en fut faite, et l'on se réjouit de l'encouragement qu'elle apportait. »

    En revenant à ces interdits, aujourd’hui au XXIème siècle certains interdits sont toujours de rigueur.

    La viande immolé pour les idoles je ne pense pas que cela existe. Devant l’Autel de l’idole les humains sacrifiaient un animal, les Prêtres faisant leurs incantations pendant tout le temps de la cuisson, et après, était donné un morceau de viande aux fidèles qui la mangeaient en récitant des prières.

    Tu ne mangeras pas un animal avec son sang,  car ce sont des bêtes que l’on a étouffé

    Tu ne mangeras pas le sang d’un animal quel qu’il soit

    Tu ne commettras pas la fornication, l’adultère, le contre-nature

    Voilà trois commandements que nous devons respecter, même aujourd’hui dans notre modernisme. Je pense qu’il n’y a rien de dur à respecter ces commandements, mais je dois reconnaître qu’à une certaine époque je mangeais du boudin noir, car il faut l’avouer, j’aimais ce plat et depuis que j’ai lu cette injonction, le temps de faire le rapprochement avec le sang, nous avons dans notre maisonnée supprimé ce met de notre assiette pour être en accord avec cette ordonnance d’EL-SHADDAÏ.

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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  • Barnabé et Saül de Tarse dit Paul

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Pendant plus d’un an Barnabé dit le Juste, et Saül de Tarse qui avait pris le surnom grec de « Paul » travaillèrent ensemble. En effet Barnabé était l’instructeur de Paul ce dernier voulant apprendre jour et nuit toutes les actions de Jésus le Nazaréen avec les Apôtres, ainsi que toute l’enfance de Jésus, car n’oublions pas, que même en étant enfant celui-ci vécut parfaitement, ne commettant aucun péché, afin que l’équivalence soit toujours de rigueur jusqu’à sa résurrection, mais en plus Paul devait aussi connaître les faits et actions des Douze Apôtres le temps qu’ils vécurent avec Jésus le Nazôréen. De cela, entre ces deux humains, il ne pouvait naître qu’une amitié profonde et sincère.

    Comprendre ces humains qui se faisaient baptiser car ils recevaient la foi par ce qu’ils entendaient des Disciples et Apôtres de Jésus le Nazôréen. Le Nouveau Testament n’existait pas et les copies de la « Septante » Ancien Testament n’existaient pas encore où sinon très peu, réservé à des humains lettrés possédants une bourse bien remplie. Seul sort au début du IIIème siècle, soit l’an 200, le Canon de Muratori. Puis vient Constantin le Grand qui suite à un signe vue dans le ciel par des nuages de haute altitude formant un « X » avec un « P » incorporé dans le « X » qui est l’emblème de certains « Chrétien », jure que s’il remporte le bataille au « Pont de Milvius », pont qui enjambe le Tibre sur la Via Flaminia, qui garde l’entrée de Rome, à un contre dix, l’issu de la Bataille faisant aucun doute à Maxence, qui se voit déjà « César ». Nous sommes en l’an 312 !

    Au Concile de Nicée en l’an 325, Constantin le Grand tenant sa promesse fait on Pont de Milvius, déclarera le « Christianisme » comme religion de l’Empire Romain.

    S’il n’avait pas été l’instrument d’EL-SHADDAÏ, jamais, je dis bien, jamais, le christianisme n’existerait aujourd’hui comme première religion idolâtre.

    Voilà l’enseignement que recevaient oralement les fidèles dans les Assemblées par les « Évêques » ou les « Anciens » nommé « Presbytres »

    Pères Apostoliques, les deux voies

    Il y a deux voies, l'une de la vie, l'autre de la mort; mais la différence est grande entre ces deux voies.

     Or la voie de la vie est la suivante: « D'abord, tu aimeras EL-SHADDAÏ qui t'a fait ; en second lieu, ton prochain comme toi-même, et tout ce que tu ne voudrais pas qu'il t'advienne, toi non plus, ne le fais pas à autrui »    

    Matthieu XXII : 37-40,

    « Jésus lui dit :

    « Tu aimeras le EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit : voilà le plus grand et le premier commandement.

    Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

    A ces deux commandements se rattache toute la Loi, ainsi que les Prophètes. » » (cf..Dt. VI : 5)

    Matthieu VII : 12

    « Ainsi, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous mêmes pour eux : voilà la Loi et les Prophètes. »

    La doctrine exprimée par ces mots est la suivante : « Bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour vos ennemis et jeûnez » pour ceux qui vous persécutent ; car si vous aimez ceux qui vous aiment, quel gré vous en saura-t-on ?

     Même les païens n'en font-ils pas autant ?

    Mais vous, « aimez ceux qui vous haïssent » , et vous n'aurez pas d'ennemi

    Matthieu V : 39-41

    « Eh bien ! moi je vous dis de ne pas tenir tête au méchant : au contraire, quelqu'un te donne-t-il un soufflet sur la joue droite, tends-lui encore l'autre ; veut-il te faire un procès et prendre ta tunique, laisse-lui même ton manteau ; te requiert-il pour une course d'un mille, fais-en deux avec lui ».

    Matthieu V : 44-47

    « Eh bien ! Moi je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour vos persécuteurs, afin de devenir fils de votre Père qui est aux cieux, car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes

    Car si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense aurez-vous ? Les publicains eux-mêmes n'en font-il pas autant ?

    Et si vous réservez vos saluts à vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n'en font-ils pas autant ? » (cf. Luc VI : 27-35)

    « Si quelqu'un te donne un soufflet sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre et tu seras parfait »

    « Abstiens-toi des désirs charnels  et corporels. »

    1 Pierre  II : 11

    « Très chers, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs, à vous abstenir des désirs charnels, qui font la guerre à l'âme. »

     Si quelqu'un te requiert pour une course d'un mille, fais-en deux avec lui et si quelqu'un t'enlève ton manteau, donne-lui même ta tunique, si quelqu'un t'a pris ton bien, ne le réclame pas car tu ne le peux pas. « A quiconque te demande, donne et ne redemande rien » »

    Le Père veut qu'il soit fait part à tous de ses propres largesses.

    Bienheureux celui qui donne selon le commandement, car il est irréprochable.

    Mais malheur à celui qui reçoit ; certes si quelqu'un se trouve dans le besoin et reçoit, il est irréprochable ; mais celui qui n'est pas dans le besoin devra rendre compte du motif et du but pour lesquels il a pris ; il sera mis en prison, interrogé sur sa conduite, et « il ne sortira pas de là, qu'il n'ait payé le dernier sou »

    Mais il a encore été dit à ce sujet : « Que ton aumône se mouille de la sueur de tes mains, jusqu'à ce que tu saches à qui tu donnes. »

    Ce que vous venez de lire était l’enseignement oral que recevaient les ouailles, les fidèles de la nouvelle « Mouvance de Jésus le Nazôréen » Contrairement à l’enseignement du XXIème siècle où le « Nom » du Dieu seul et unique est partie remplacé par « Jésus-Christ » considéré comme un Dieu, avec le Père et l’Esprit-Saint ou Saint-Esprit, au début « de la Voie de Jésus le Nazôréen », le Père Créateur, notre Père, le Père géniteur de Jésus le Nazôréen son fils, dont le Père notre Père est son Dieu, Notre Dieu seul et unique que nous nommons de ce Saint Nom, EL-SHADDAÏ, qui possède un Esprit SAIN, et par cet esprit SAIN, il peut nous envoyé un « Souffle d’Intelligence » ce qui nous donnera un Esprit Sain selon ce que nous avons besoin.  


    Dernières phrases du chapitre précédent

     

    Jésus le Nazaréen avait choisi parmi les hébreux soixante-douze Disciples et dans ce groupe d’humains il en avait choisi douze qui seraient ses « Apôtres ».  Dans ce groupe de soixante il y avait des humains qui étaient venu vers Jésus le Nazaréen et ses Apôtres avec une grande conviction  au point de vendre leur champ et de déposer cette somme aux pieds de ceux-ci tel que Joseph, lévite d’origine cypriote que les Apôtres surnommèrent Barnabé qui signifie « fils de consolation ou fils d’encouragement ». – Actes des Apôtres IV : 36

    D’après les Actes des Apôtres XIV : 14 Barnabé serait le treizième « Apôtres » et Paul le quatorzième. Ce que j’ai écrit pour l’un est valable pour l’autre, à la seul différence c’est que c’est Luc qui donne le titre « d’apôtre » à Barnabé, tandis que c’est Saül de Tarse lui-même qui ce donne le titre « d’apôtre », mais le terme « apôtre » est à prendre dans le sens « d’envoyé », rien à voir avec le nom « d’Apôtre » des Douze, car il n’y aura que douze « Apôtres » de Jésus le Nazôréen pour toujours, pas un en moins, pas un en plus !

    Dans le vocabulaire familier, « apôtre » désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées. Saül de Tarse a donc propagé activement les enseignements, faits et gestes de son « Maître à Penser » qu’était Jésus le Nazôréen.

     

    Chapitre N° 20

    Barnabé et Saül de Tarse un tandem efficace

    Comme vous le savez je fais mon possible pour être le plus près possible de la vérité. Quand Paul est renvoyé dans  « ses foyers » par les Apôtres Pierre, Jacques d’Alphée et les Juifs de Jérusalem nous sommes en l’an 41-42 puisque Paul vient de sortir de sa retraite arabique et que c’est en l’an 37-38 qu’il fut pris de cécité sur la route de Damas.

    Là, maintenant, je me retrouve avec un sacré problème de chronologie suite aux écrits de Barnabé et de Paul. En effet, d’après les Actes des Apôtres, Barnabé ira chercher Paul, Saül de Tarse huit ans plus tard.

    Les Actes des Apôtres XI : 22-26   --- Les actions qui se passèrent avant : les hébreux qui étaient en Judée apprirent que les nations aussi accueillirent la parole d’El-Shaddaï et quand Pierre arriva à Jérusalem il fut pris à partie par ceux de la circoncision.

    Autre écrits : «  Pierre donc, après assez longtemps, voulut aller à Jérusalem et, après avoir parlé aux frères et les avoir affermis, il s’en alla, faisant beaucoup de discours dans les campagnes, instruisant les gens. Quand il arriva et qu’il annonça la grâce d’El-Shaddaï, ceux de la circoncision le prirent à partie. »

    Pierre fit un exposé expliquant qu’il avait eu une vision où, étant dans la ville de Joppé, une nappe descendit du ciel, avec toutes sortes d’animaux, quadrupèdes, fauves, reptiles, oiseaux du ciel, et une voix me disait « Pierre immole et mange ! » Je me rebellais car jamais je n’ai fait entrer dans ma bouche des aliments impurs, mais trois fois de suite la voix me dit la même chose ajoutant « Ne déclare pas profane ce qu’El-Shaddaï a déclaré pur ! »

    Puis tout fut retiré du ciel et voilà que trois humains venus de Césarée se présentent devant la maison ou nous étions. Par l’Esprit je fus conseillé de suivre ces hommes et nous entrâmes dans la maison avec six frères. L’homme de la maison nous conta comment un Ange lui conseilla de venir me chercher. Je commençais à disserter quand l’Esprit, le souffle d’Intelligence tomba sur eux comme nous à la Pentecôte et là, je me souvins des paroles de Jésus le Nazaréen :

    « Jean vous baptisera dans l’eau, mais mon Père vous baptisera dans l’immersion de son Esprit sain en  recevant le « Souffle d’Intelligence » » -- (Actes des Apôtres XI : 1-16)

    Les Actes des Apôtres XI : 17

    « Si donc EL-SHADDAÏ leur a accordé le même don qu'à nous, pour avoir cru au Seigneur Jésus Christ, qui étais-je, moi, pour faire obstacle à EL-SHADDAÏ ».

    Après la lapidation d’Étienne beaucoup d’hellénistes furent dispersés dans le Bassin Méditerranéen, Phénicie, partie de terre en Palestine qui longe la mer, Chypre, Antioche troisième grande ville de l’empire Romain après Rome et Alexandrie et ils ne parlaient à personne du Royaume d’EL-SHADDAÏ, si ce n’est qu’aux hébreux.

    Les Actes des Apôtres XI : 20

    « Il y avait toutefois parmi eux quelques Chypriotes et Cyrénéens qui, venus à Antioche, s'adressaient aussi aux Grecs, leur annonçant la Bonne Nouvelle du Seigneur Jésus. » 

    Saül de Tarse est toujours isolé dans sa ville natale en Cilicie

    Les Actes des Apôtres XI : 22-26   

    La nouvelle en vint aux oreilles de l'Église de Jérusalem, et l’on envoya Barnabé à Antioche.

    Lorsqu'il arriva et qu'il vit la grâce accordée par El-Shaddaï, il s'en réjouit et les encouragea tous à demeurer, d'un cœur ferme, fidèles au Seigneur ; car c'était un homme de bien, rempli de l'Esprit Saint et de foi. Une foule considérable s'adjoignit ainsi au Seigneur.

    Barnabé partit alors chercher Saul à Tarse.

    L'ayant trouvé, il l'amena à Antioche. Toute une année durant ils vécurent ensemble dans l'Église et y instruisirent une foule considérable. C'est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de  « chrétiens ».

    Dans ces versets il existe plusieurs anomalies, pour diriger l’esprit de la Lectrice, du Lecteur, vers de fausses informations. Je ne reviens pas sur « l’Esprit-Saint » que le Nouveau Testament met à toutes les sauces. Je réitère quand même sur « l’Esprit » : le terme « Esprit » est en premier ce que l’humain nomme « Intelligence » qui n’est pas répartie égalitairement, mais c’est aussi l’amalgame réflexion, raisonnement, pensé, sentiments, cœur, pensés de penser, oui tout cela ensemble représente « l’Esprit », chose éphémère qui se tient grâce à notre cerveau mais qui s’envole à la première « bise », au premier coup de vent.

    En deuxième le vocable « chrétien » est un mensonge du christianisme ; en effet, nous savons que les Actes des Apôtres furent écrit par Luc après la destruction du « Second Temple »

    Le premier à avoir employé ce mot « chrétien » est Polycarpe de Smyrne avec le proconsul romain Statius Quadratus : Martyre de Polycarpe IX : 3 à X : 2

    3. Le proconsul Statius Quadratus, sous Marc Aurel empereur romain insistait et disait :

    « Jure, et je te laisse aller, maudis le Christ ! »

    Polycarpe répondit :

     « Il y a quatre-vingt six ans que je le sers, et il ne m'a fait aucun mal ; comment pourrais-je blasphémer mon roi qui m'a sauvé ? »

    X : 1. Et comme il insistait encore et disait :

     « Jure par la fortune de César ! »

     Polycarpe répondit :

    « Si tu t'imagines que je vais jurer par la fortune de César, comme tu dis, et si tu fais semblant de ne pas savoir qui je suis, écoute je te le dis franchement : Je suis chrétien. Et si tu veux apprendre de moi la doctrine du christianisme, donne-moi un jour, et écoute-moi. »

    2. Le proconsul répondit :

     « Persuade cela au peuple ! »

    Nous sommes en l’an 155 de l’EC., quand Polycarpe est emmené à Rome pour être dévoré par les fauves dans l’arène. La première fois que le terme « chrétien » fut employé est à cette date d’où cette impossibilité biblique qu’il y a dans les Actes des Apôtres dans le chapitre XI, à la fin du verset 26.

    Pour le moment nous ignorons le temps passé entre le retour de Paul à Tarse et le jour où Barnabé vient à Tarse pour emmener Saül à Antioche. Alors continuons la lecture de la Bible !

    Les Actes des Apôtres XI : 27-30

    « En ces jours-là, des prophètes descendirent de Jérusalem à Antioche.
    L'un d'eux, nommé Agabus, se leva et, sous l'action de l'Esprit, se mit à annoncer qu'il y aurait une grande famine dans tout l'univers. C'est celle qui se produisit sous Claude.

    Les disciples décidèrent alors d'envoyer, chacun selon ses moyens, des secours aux frères de Judée ; ce qu'ils firent, en les envoyant aux anciens par l'entremise de Barnabé et de Saül. »

    Saül de Tarse affirme n’être monté à Jérusalem que quatorze ans après la première visite qu’il avait faite après sa retraite désertique en Arabie chez les Nabatéens soit pour mémoire en l’an 41-42. L’empereur romain Claude commença son règne en l’an 41 de l’EC et décéda en l’an 54 de J-C. C’est sous son règne qu’il y eut une famine en Palestine de 46 à 48

    Donc sa première visite à Jérusalem fut en l’an 41-42 et il reviendra dans cette ville qu’en l’an 56 ce qui devient impossible si l’on se réfère aux Actes des Apôtres, tout comme sa première rencontre avec Barnabé qui ce situerait vers l’an 50. Cette impossibilité est confirmé par la famine qui eut lieu en Judée, Galilée, Samarie, Damas en l’an 46 à 48, où les Écrits de Luc prouve que Barnabé et Saül de Tarse se connaissait déjà.

    Je vais essayer de trouver des dates historiques logiques puisque nous avons une date de référence qui se trouve être la famine de 46-48 en Palestine sous l’Empereur Romain Claude.

    Les Actes des Apôtres XI : 20-22

    « Il y avait toutefois parmi eux quelques Chypriotes et Cyrénéens qui, venus à Antioche, s'adressaient aussi aux Grecs, leur annonçant la Bonne Nouvelle du Seigneur Jésus.

    La main du Seigneur les secondait, et grand fut le nombre de ceux qui embrassèrent la foi et se convertirent au Seigneur.

    La nouvelle en vint aux oreilles de l'Église de Jérusalem, et l'on envoya Barnabé à Antioche. »

    De Jérusalem les Apôtres envoyèrent Barnabé à Antioche pour une inspection. Nous sommes en l’an 44. Dans le courant de la même année Hérode Agrippa Ier entreprit de malmener « l’Assemblée des Nazôréens » de Jérusalem, faisant décapiter le fils ainé des Zébédée, Jacques dit le Majeur, frère de l’Apôtre Jean, et voyant que cela plaisait aux Juifs, c’est le Sanhédrin, il fit arrêter Pierre le jour des « Azymes » pour qu’il soit juger après la Pâque. C’est cette année là que Pierre fut délivré miraculeusement par un Ange d’EL-SHADDAÏ. Actes des Apôtres XII : 6-10

    « Or la nuit même avant le jour où Hérode devait le faire comparaître, Pierre était endormi entre deux soldats ; deux chaînes le liaient et, devant la porte, des sentinelles gardaient la prison.

    Soudain, l'ange du Seigneur survint, et le cachot fut inondé de lumière. L'ange frappa Pierre au côté et le fit lever :

    « Debout ! Vite ! » dit-il. Et les chaînes lui tombèrent des mains.

    L'ange lui dit alors :

     « Mets ta ceinture et chausse tes sandales ! » 

    Ce qu'il fit. Il lui dit encore :

    « Jette ton manteau sur tes épaules et suis-moi ! »

    Pierre sortit, et il le suivait ; il ne se rendait pas compte que c'était vrai, ce qui se faisait par l'ange, mais il se figurait avoir une vision.

    Ils franchirent ainsi un premier poste de garde, puis un second, et parvinrent à la porte de fer qui donne sur la ville. D'elle-même, elle s'ouvrit devant eux. Ils sortirent, allèrent jusqu'au bout d'une rue, puis brusquement l'ange le quitta.

    Alors Pierre, revenant à lui, dit :

    « Maintenant je sais réellement que le Seigneur a envoyé son ange et m'a arraché aux mains d'Hérode et à tout ce qu'attendait le peuple des Juifs. » »

    Hérode Agrippa Ier successeur d’Hérode Antipas, devait sa royauté de la Palestine en l’an 41, aux faveurs de l’Empereur Romain Claude dont le règne fut de l’an 41 à l’an 54. Revenant à l’an 44 c’est dans cette année, que ce prenant pour un « Dieu », Hérode Agrippa mourut rongé par les vers.

    Toujours cette même année 44, Barnabé ayant entendu parler de Saül de Tarse décida d’aller l’arracher à son isolement, le présentant  aux trois piliers de l’Assemblée des Nazôréens de Jérusalem, Pierre, Jacques le Juste et Jean Zébédée celui que Jésus aimait le plus au point de lui confier sa Mère, Marie quand il respirait encore sur la croix, sous un autre jour.

    Barnabé jouera un très grand rôle dans la vie de Paul. C'est grâce à lui que « l’apôtre, l’envoyé » des Nations entrera dans le cercle des disciples et qu’il devint un pilier de la mouvance de Jésus le Nazôréen que l’on nommera deux siècles plus tard « le christianisme ». A la suite de cette rencontre, se développera entre Barnabé et Paul l’une des amitiés les plus fécondes de l'histoire de l'Église.

    Barnabé et Saül de Tarse évangélisent à Antioche de Syrie les hébreux en premier, ceux de la « Diaspora », avec ceux que l’on surnomme les hellénistes, mais aussi les grecs et tous ceux de toutes les Nations qui sont prêt à écouter la Bonne Nouvelle de la résurrection et du royaume d’EL-SHADDAÏ.

    Voici le début de l’an 45, Barnabé, avec Jean surnommé Marc, cousin de ce dernier et Saül de Tarse font les préparatifs pour embarquer à Séleucie port qui est à vingt-cinq kilomètres d’Antioche.

    Quand je vous écris qu’il faut être prudent avec les textes du Nouveau Testament dans ce chapitre XIII : 1-3 vous en avez une preuve flagrante. Exemple le verset 2 avec un Esprit-Saint qui est comme une personne, parlant et œuvrant, donc cela devient un spectre, et ce spectre à quelle image ?... Je vous laisse le soin d’ouvrir une Bible et de lire au chapitre treize les versets un à trois, dans les Actes de Apôtres, et pourquoi pas les suivant !

    Sachant que l’Esprit est éphémère, invisible, translucide, comme le vent, exemple ma réflexion, mon raisonnement que je couche sur le papier pour que vous, Lectrices, Lecteurs, vous en preniez connaissance, car si je ne fais pas cette action comment connaitriez-vous mon « Esprit » ?

    Là, je peux même écrire : « par mon Esprit Sain, j’essaie de vous guider sur le chemin d’El-Shaddaï. »

    Je peux certifier qu’EL-SHADDAÏ guide mon « Esprit » et mon « Esprit » c’est ma façon de penser, de réfléchir, de raisonner avec intelligence, mais l’intelligence n’est pas une chose répartie égalitairement et je serai à même d’expliquer certaine chose spirituelle et pas d’autres, tandis que vous, vous aurez l’intelligence de compréhension sur ce que moi je ne pourrai définir. Donc ce Dieu seul et unique me guide par un « Esprit SAIN »

    Barnabé et Paul, Saül de Tarse, restèrent ensemble une bonne année, voir plus, Barnabé étant plus vieux que Paul. Ayant beaucoup plus de connaissance sur la vie de Jésus le Nazaréen et des Apôtres, Barnabé pendant cette année enseigna Paul. Ils firent ensemble et avec Marc l’évangéliste, un premier voyage express passant par l’ile de Chypre, lieu de naissance de Barnabé, évangélisant les ports de Salamine et Paphos, puis ils prirent la direction de la Pamphylie ou ils prêchèrent dans la synagogue de Pergé en premier aux Juifs, puis aux Juifs hellénistes, aux grecs et aux humains des nations. Toujours dans les synagogues et les Juifs, Juifs hellénistes et prosélytes, ils annoncèrent l’évangile dans les villes comme Iconium, Lycaonie, Lystres, Derbé, puis a Antioche de Pisidie ou souvent ils durent partir précipitamment. Marc se sépara d’eux à Perché prenant le bateau pour Jérusalem, Barnabé et Paul retournant à Antioche de Syrie.

    C’est à leur retour qu’ils s’occupèrent à trouver des vivres et à les charger sur un bateau pour approvisionner en nourriture « les frères » de Jérusalem mais aussi en Judée, Galilée, Samarie où une famine commençait et devait durer trois années.

    La lecture est finie, alors je souhaite que ce texte vous soit bénéfique, et que l’Esprit Sain d’EL-SHADDAÏ remplisse votre « Esprit » dans votre boite crânienne et votre cœur, pour que vous deveniez ses « Enfants » afin que le jour fatidique vous soyez prêt à le passer sachant que maintenant la vie éternelle tellement promise est enfin là, et que si par accident vous deviez mourir la résurrection sera au rendez-vous dans l’heure suivante.

     Portez-vous bien ! Prenez soin de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig JP.G. dit « GRANDELOUPO »

     


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  • Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Avant de commencer votre lecture,  par votre « Esprit », transportez-vous à l’époque de ces humains qu’étaient les Apôtres et Disciples de Jésus le Nazôréen. Les Apôtres vivent dans un pays occupé par une force étrangère importante. Les Douze Apôtres commencent par prêcher dans les synagogues de Jérusalem, Judée, Galilée, Samarie faisant des « Disciples » de « la Voie de Jésus le Nazôréen » parmi les hébreux, je n’aime pas trop le terme « juif » sauf quand je parle du Sanhédrin qui fait la guerre à cette « mouvance ». En effet, les Juifs essayèrent d’éradiquer la jeune « Assemblée de messianistes » en les pourchassant afin de leur donner la mort. Malheureusement en agissant ainsi, involontairement ces Prêtres font de la publicité sur cette mouvance de Jésus le Nazôréen.

    Saül de Tarse était un pharisien zélé qui pourchassait sans vergogne femmes, enfants, vieillards pour qu’ils fussent lapidés à la sortie de la ville comme le fut Étienne à Jérusalem.

    Il ne faut pas oublier, que l’humain était beaucoup plus intelligent à cette époque qu’à notre ère du XXIème siècle.

    Pourquoi ? 

    Le sang !  

    Le sang c’est la vie, mais aussi la génétique !

    L’humain quand il fut chassé du Territoire d’Éden était parfait. La tare de la mort donc le changement génétique s’accroissait au fur et à mesure que l’humain se reproduisait. Il y a deux mille ans, à l’ère de Jésus le Nazôréen, si un frère et une sœur commettait l’inceste et que de cette union venait une progéniture, cet enfant n’était pas trisomique comme il le serait aujourd’hui. En terme vulgaire, le sang de l’humain sur toute la Terre était beaucoup plus propre il y a deux mille ans qu’il ne l’ait de nos jours et cela s’aggrave à une vitesse folle puisque en un siècle nous sommes passés de un milliard huit en 1914, à sept milliards d’humains en 2014.

    Ce que je viens d’écrire est malheureusement une réalité ! Donc l’humain inexorablement va vers son anéantissement,  et je vois difficilement EL-SHADDAÏ laisser sa création se suicider !

    Là, je vous laisse réfléchir sur ce que je viens d’écrire, qui, je réitère, est une réalité !

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Pierre et Jacques d’Alphée enseignèrent Saül de Tarse sur la communauté de la mouvance de Jésus le Nazaréen que l’on nommait « Assemblée » ou « Église » en grecque qui était guidée par des « Presbytres ou Anciens » et c’est les Anciens qui au moment du repas Pascal, c’est-à-dire une fois par an au moment de la Pâque, rendaient grâce en rompant le pain, et en servant le vin répétant les paroles de Jésus le Nazaréen. Ils ne faisaient pas cela tous les jours comme la chrétienté le fait.

    Le début de cette mouvance pour le royaume d’EL-SHADDAÏ, était frais, enthousiaste, gauche, insouciant, fonctionnant avec une grande sincérité et une foi solide comme le roc et cela se faisait sentir par les adeptes croissants à Jérusalem, mais aussi dans les contrées et villes avoisinantes et cela déplaisait énormément au groupe sacerdotale Juif, le Sanhédrin qui cherchait un moyen pour éradiquer cette nouvelle mouvance avec des hommes de conviction comme Saül de Tarse qui arrêtaient et emprisonnaient hommes, femmes, enfants, vieillards de la mouvance de Jésus le Nazôréen, les jetant hors de la ville et les lapidaient.

     

    Chapitre N° 19

    Mouvance de Jésus le Nazaréen

    Mais rien n’arrête l’essor de la « Parole », car à cette époque les humains se réunissaient dans des maisons de quartier pour prier et pour mettre tout en commun car c’est le cœur qui parle et l’on improvise beaucoup pour que tout le monde mange à sa faim et qu’il n’y ait pas de pauvre.

    Les Actes des Apôtres IV : 32

     En ce temps-là « la multitude des croyants n’avait qu’un cœur et qu’une âme, nul ne disait sien ce qui lui appartenait, mais entre eux tout était commun. »

    C’est aussi à la naissance de ce mouvement partant de Jérusalem sous l’autorité de Jacques d’Alphée dit « le Juste, le Petit, cousin du Seigneur » que quelques mois après la crucifixion de Jésus le Nazôréen la jalousie et le mécontentement s’installât entre les hébreux de Palestine et les juifs hellénisants qui estimaient être moins bien servis dans les distributions de soupe. Les Apôtres choisirent parmi les mécontents sept hommes pour assurer le « Service des Tables »

    Les Actes des Apôtres VI : 1-5

    « En ces jours-là, comme le nombre des disciples augmentait, il y eut des murmures chez les Hellénistes contre les Hébreux. Dans le service quotidien, disaient-ils, on négligeait leurs veuves.

    Les Douze convoquèrent alors l'assemblée des disciples et leur dirent :

    « Il ne sied pas que nous délaissions la parole d’EL-SHADDAÏ pour servir aux tables. Cherchez plutôt parmi vous, frères, sept hommes de bonne réputation, remplis de l'Esprit et de sagesse, et nous les préposerons à cet office ; quant à nous, nous resterons assidus à la prière et au service de la parole. »

    La proposition plut à toute l'assemblée, et l'on choisit Étienne, homme rempli de foi et de l'Esprit Saint, Philippe, Prochore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas, prosélyte d'Antioche. »

    Les Hellénistes ou Hellénisants étaient des Juifs qui, vivant au contact du monde grec, en avaient plus où moins adopté la langue, la culture et les modes de vie. Ils avaient leurs synagogues et le droit d’y lire la Bible en grec. Les Hébreux étaient des Juifs de la stricte observance dans le service journalier et particulièrement le « Service des Tables. »

    Comme souvent dans les textes du Nouveau Testament les ajouts de copiste sont évident la preuve ci-dessus à la dernière phrase « La proposition plut à toute l'assemblée, et l'on choisit Étienne, homme rempli de foi et de l'Esprit Saint, //… » L’Esprit est un « Esprit » de sanctification et non d’Intelligence, donc il n’est pas pur. En premier considérons que nous gardions l’ensemble de mots « Esprit Saint », nous devrions l’écrire ainsi « Esprit SAIN », et là étrangement l’Esprit est une « Intelligence » car propre, pur, sans tache, cristallin. Il y a aussi cette écriture « La proposition plut à toute l'assemblée, et l'on choisit Étienne, homme de foi, Philippe, Prochore … » Là, la lecture est claire, limpide !

    «//rempli et de l’Esprit Saint » sont des mots ajoutés par des copistes sans doute zélés, mais qui changent complètement le sens de la phrase, je viens de vous le prouver et l’Esprit SAIN d’EL-SHADDAÏ me sert de témoin indémontable.

    Comment était rendu au commencement de « La Voie de Jésus le Nazôréen » ce que la chrétienté nomme « Eucharistie » ? Comme déjà expliqué, les humains qui suivaient spirituellement les enseignements de Jésus le Nazôréen et qui bien entendu étaient baptisés mettaient tout en commun et prenaient les repas ensemble.

    Voici les explications décrites dans la Didaché ou l’Enseignement des Douze Apôtres IX : 1-5

    1. - Quant à l'eucharistie, faites ainsi vos actions de grâce. D'abord pour la coupe :
    2. – «  Nous Te rendons grâce, notre Père, pour la sainte vigne de David Ton serviteur que Tu nous a fait connaître par Jésus Ton Enfant.

    A Toi la gloire pour les siècles. »

    3. - Pour la fraction du pain :

     « Nous Te rendons grâces, notre Père, pour la vie et la connaissance que Tu nous a révélés par Jésus Ton Enfant.

    A Toi la gloire pour les siècles. »

    4. - De même que ce pain rompu était dispersé sur les collines et que, rassemblé, il est devenu un tout, qu'ainsi soit rassemblée ton Église des extrémités de la terre dans Ton Royaume.

    Car à Toi sont la gloire et la puissance par Jésus-Christ pour les siècles. »

    5. - Que personne ne mange ni ne boive de votre eucharistie sinon ceux qui ont été baptisés au nom du Seigneur, car c'est à ce sujet que le Seigneur a dit : « Ne donnez pas ce qui est sain aux chiens. »

    Je tiens à vous prévenir, vous mes semblables, Lectrices et Lecteurs, que volontairement j’ai supprimé le « t » de « saint » afin que la phrase ait vraiment le sens, qui lui soit propre, sachant que « sain-t » avec un « t » signifie sanctifier, vénérer, adorer, glorifier.

    Enseignement des Douze Apôtres X : 1-2

    1. Après vous être rassasiés, rendez grâces ainsi :

    « Nous te rendons grâces, Père saint, pour ton saint Nom que tu as fait habiter dans nos cœurs et pour la connaissance et la foi et l'immortalité que tu nous as révélées par Jésus Ton Enfant.

    A Toi la gloire pour les siècles. »
    2. - C'est Toi, Maître tout puissant, qui a créé toutes choses à cause de Ton Nom, qui as donné la nourriture et le breuvage aux hommes pour qu'ils en jouissent, afin qu'ils te rendent grâces.

    Mais à nous tu as daigné accorder une nourriture et un breuvage spirituels et la vie éternelle par Ton Enfant.

    Avant toutes choses nous Te rendons grâces parce que Tu es puissant, à Toi la gloire pour les siècles.

    Par ces écrits de la Didaché que constatez-vous ?

    Les premiers humains de la « mouvance de Jésus le Nazôréen » priaient le Père EL-SHADDAÏ en premier et rendaient « grâce à Lui », notre Père. Ces écrits confirment qu’il n’y a qu’un « Dieu » le Père et qu’ils devaient connaître son « Nom » puisqu’il est écrit « ton saint nom », et en plus ces textes prouvent que son « Nom » est glorifier par son Enfant Jésus le Nazôréen. L’enseignement était pur, la « Trinité » n’existait pas encore, donc pas de Dieu Père, Fils, Saint-Esprit.

    Je reviendrai sur l’enseignement de la Didaché !

    Arrivé à Jérusalem, Paul se retrouve cependant dans une situation difficile, aussi bien avec les Juifs orthodoxes qu’avec les Nazôréens. Tous se méfient de lui et l’évitent le plus possible. Actes des Apôtres IX : 26

    « Arrivé à Jérusalem, il essayait de se joindre aux disciples, mais tous en avaient peur, ne croyant pas qu'il fût vraiment disciple. »

    Saül de Tarse ne resta pas quinze jours à Jérusalem toujours avec Pierre et Jacques car il était de caractère combatif et expansif, il fallait qu’il bouge. Il voulait rendre témoignage des enseignements de Jésus le Nazôréen, de ses faits et gestes, alors il allait à la synagogue et avec des juifs de la diaspora hébreux et hellénistes il entamait des débats extrêmement violent et orageux qu’il s’en fallut de peu qu’il ne soit mis à mort par lapidation, comme Étienne

    Le groupe des disciples du Messie tremblait pour sa vie, mais également pour la leur. Ils avaient évité jusque-là tout conflit avec les pharisiens, dont un nombre assez important était venu les rejoindre

    Les temps étaient troublés et la petite « Assemblée » de Jérusalem que l’on nommait aussi « Église » et plus généralement « mouvance de Jésus le Nazôréen » était menacée. Tout différend, tout désaccord se réglait avec le couteau et le poignard. Paul était un danger pour cette communauté fragile et craintive. Son caractère inégal et provocateur risquait de déclencher une persécution générale

    Les Actes des Apôtres IX : 28-30

     « Dès lors il allait et venait avec eux dans Jérusalem, prêchant avec assurance au nom du Seigneur. Il s’adressait aussi aux Hellénistes et discutait avec eux; mais ceux-ci machinaient sa perte. L’ayant su, les frères le ramenèrent à Césarée, d’où ils le firent partir pour Tarse. »  

    Son action se termina donc par un échec plus cuisant encore que celui de Damas. On l’obligea à quitter la ville et le texte ajoute qu’après le départ de Paul, la communauté chrétienne a joui d’une période de tranquillité.

    Les Actes des Apôtres IX : 31

    « Cependant les Églises jouissaient de la paix dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie; elles s’édifiaient et vivaient dans la crainte du Seigneur, et elles étaient comblées de la consolation du Saint Esprit. »

    Se sont des petits versets comme celui-ci, que moi le « Païen » je considère mutilés, qui sournoisement vous font croire à un « Saint-Esprit » qui ressemblerait à un humain. Pour changer cela il suffit de supprimer le « t » de « saint ». Je réitère « saint » écrit ainsi a le sens de sanctification, mais avec « Sain Esprit » écrit ainsi les « Assemblées » étaient comblées par la consolation d’un esprit qui n’est plus, sous-entendu, une personne, mais « une intelligence » car « l’Esprit » est propre, sans tache, pur, transparent.

    Reconnaissez, vous mes semblables, que je suis dans une logique pure, car en plus ici le terme « Seigneur » remplace EL-SHADDAÏ, Dieu pour les chrétiens.

    Cette remarque et constatation étant faite je continue !

    Il fut interdit à Saül de Tarse dit « Paul » de s’arrêter pour visiter les communautés de la côte comme Césarée. Il embarqua à Tyr ou à Sidon pour se rendre en Séleucie près d’Antioche de Syrie, puis à Tarse sa ville natale en Cilicie.

    Ensuite je suis allé en Syrie et en Cilicie, mais j'étais personnellement inconnu des Églises de Judée, Samarie qui sont dans la Voie de Jésus le Nazaréen. On y entendait seulement dire que le persécuteur de naguère annonçait maintenant la foi qu'alors il voulait détruire. -- Et elles glorifiaient El-Shaddaï à mon sujet.--  (Épître aux Galates I : 21-24)

    Là aussi, il y a ce rajout de copiste qui ne veut absolument rien dire : « Et elles glorifiaient El-Shaddaï à mon sujet. » et pourquoi ces Assemblées ou Églises vénèreraient El-Shaddaï au sujet d’un humain que ces « mouvances de Jésus le Nazôréen » ne connaissent pas ? … Bizarre ! … !

    Pour Paul, Saül de Tarse échec à Damas, échec à Jérusalem, échec à Césarée, ce n’est pas très reluisant, et ce n’est que le début.

    L’Apôtre Jacques d’Alphée que les écrits du Nouveau Testament déclarent sournoisement « Frère de Jésus le Nazaréen » alors que tous les écrivains théologiens, historiens, exégètes, savent impertinemment que cela est faux, reçut Paul à Jérusalem une première fois, quand ce dernier était hébergé par l’Apôtre Pierre après sa retraite en Arabie et son arrêt à Damas et cela se passe dans les années 41-42 de l’EC.

     Jacques appelé aussi le Juste, le Petit et bien sûr le Mineur était un cousin germain de Jésus le Nazôréen et son influence sur la petite communauté de la « mouvance de Jésus le Nazôréen » à Jérusalem sera considérable, surtout quand Pierre s’éloignera de cette ville pour devenir Évêque d’Antioche, pour remplacer Évode, puis de Rome. Jacques fidèle aux rituels de son peuple, aux Lois de Moïse et surtout à l’enseignement de Jésus le Nazaréen, rendra la mission de Paul difficile car le jour viendra où ce dernier trouvera Jacques et ses Disciples sur sa route, acharnés à anéantir les effets de sa prédication.

    Voilà une quinzaine d’année que Jésus le Nazaréen est décédé par la torture romaine de la crucifixion et « la Voie de Jésus le Nazaréen » fait de plus en plus de croyant en Palestine, puis en Syrie, spécialement à Antioche et de l’autre coté à Alexandrie ou une communauté importante de Juifs hellénistes vivent. Les Apôtres ne sont pas parfaits et quand ils se réunissent les discussions sont houleuses car chacun comprend l’enseignement de Jésus le Nazaréen différemment.

    Viens se greffer à cela un homme persécuteur de la secte de « la Voie de Jésus le Nazôréen », ou de la « mouvance de Jésus le Nazôréen ou Nazaréen » qui après un « miracle » sur la route de Damas où il est aveugle pendant trois jours et trois nuits, quand il recouvrira la vue, il se fera baptiser, puis partira en retraite trois ans dans le désert arabique où par l’Esprit il recevra un enseignement de toute la vie de Jésus le Nazôréen et deviendra un « apôtre » dans le terme « envoyé », et sera sans doute le plus grand « Disciple » de Jésus le Nazôréen.

    Méfiant, craintif envers cet homme Saül de Tarse, les Apôtres qui commencent par évangéliser ceux de leur race en Palestine et les pays limitrophes l’expédient dans sa ville natale de Tarse.

    Paul se sent rejeté de tous, surtout des Disciples de Jésus le Nazôréen, de ceux qui ont réellement connus et côtoyés ce dernier.

    Jésus le Nazaréen avait choisi parmi les hébreux soixante-douze Disciples et dans ce groupe d’humains il en avait choisi douze qui seraient ses « Apôtres ».  Dans ce groupe de soixante il y avait des humains qui étaient venu vers Jésus le Nazaréen et ses Apôtres avec une grande conviction  au point de vendre leur champ et de déposer cette somme aux pieds de ceux-ci tel que Joseph, lévite d’origine cypriote que les Apôtres surnommèrent Barnabé qui signifie « fils de consolation ou fils d’encouragement ». – Actes des Apôtres IV : 36

    D’après les Actes des Apôtres XIV : 14 Barnabé serait le treizième « Apôtres » et Paul le quatorzième. Ce que j’ai écrit pour l’un est valable pour l’autre, à la seul différence c’est que c’est Luc qui donne le titre « d’apôtre » à Barnabé, tandis que c’est Saül de Tarse lui-même qui ce donne le titre « d’apôtre », mais le terme « apôtre » est à prendre dans le sens « d’envoyé », rien à voir avec le nom « d’Apôtre » des Douze, car il n’y aura que douze « Apôtres » de Jésus le Nazôréen pour toujours, pas un en moins, pas un en plus !

    Dans le vocabulaire familier, « apôtre » désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées. Saül de Tarse a donc propagé activement les enseignements, faits et gestes de son « Maître à Penser » qu’était Jésus le Nazôréen.

    Le temps de chercher, le temps d’écrire, et je suis à vous dans quelques jours. En attendant portez-vous bien et prenez soins de vous !

    Salutations cordiales !

    Sig: JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


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  • Crucifix objet d’adoration par les Humains !

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Le crucifix objet de dévotion, inconnu à l’ère de Paul, car les premiers humains de la mouvance de Jésus le Nazôréen faisait attention à tout ce qui pourrait devenir idolâtre. Pendant un siècle et demi, soit cent cinquante ans ce mouvement de Jésus le Nazôréen essaya de rester pur et les humains qui avaient des responsabilités due à la force de leur foi et de leur connaissance restaient humble, c’est l’ère des « Pères Apostoliques ».

    Comme ces premiers humains qui suivent l’enseignement de Jésus le Nazôréen, par mes écrits je tente de vous guider vers ce Dieu seul et unique, Père de Jésus le Nazaréen au sens propre du mot, puisque, Jésus fut engendré, tandis que nous « Humain », nous fûmes créé, sortie « tout droit d’un cerveau », donc inventé, mais quelle invention cette machine « Humaine », il n’y a pas plus beau et plus complexe dans tout l’Univers !...

    N’oublions jamais, nous sommes façonnés à l’image, au reflet, à la ressemblance de notre Créateur et de son enfant dans les Cieux, voilà pourquoi EL-SHADDAÏ dit « faisons », mais son fils engendré n’est pas là, tout comme le premier incorporel façonné, mais des chefs des Anges sont là, comme témoin tel que Michel, Gabriel, Ouriel, Vevriel, Raphael, etc, voilà pourquoi nous possédons un cerveau ordinateur magnifique qui commande toutes les actions de vie automatisé comme les poumons, cœur, foie, éjection des excréments, comme les animaux, bêtes et bestioles, mais en plus pour nous différencier, comme notre créateur nous possédons un « Esprit » qui loge dans le cerveau et qui fonctionne avec le cœur, car notre « Créateur » lui aussi possède un cœur siège des sentiments.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Ceci est la version de Luc qui accuse les Juifs du complot. Paul, de son côté, croit que ce sont les autorités civiles qui en veulent à sa vie : « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas IV faisait garder la ville pour m'arrêter et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j’échappai à ses mains. » (II Corinthiens XI : 32)

    Cette conspiration contre Paul est probablement orchestrée par les deux groupes, c’est à dire par les Juifs avec l’appui des autorités de la ville.

    À partir d’une maison qui appartenait à un Nazôréen, Paul se blottit dans un grand panier et on le laisse descendre le long du mur au moyen de cordes solides. Arrivé en bas, il se dégage et, après avoir traversé les jardins, les canaux d'irrigation et les cours de fermes, il atteint la route qui conduit vers le Sud, vers la « via maris », la route de la mer.

    Il se rendra alors en Arabie pour trois ans.

    Pour Paul, ce fut la première d’une série de nombreuses escapades qui l’obligeront à fuir de ville en ville pour sauver sa vie.

     

    Chapitre N° 18

    Pierre enseigne Saül

     

    Après son séjour de trois ans en Arabie, Paul éprouvait le besoin de rencontrer les disciples de Jésus. Il devait apprendre à connaître tout ce que celui-ci avait dit sur les routes de Palestine, lors de ses apparitions après sa résurrection, ainsi que le miracle de la Pentecôte pour les « Douze ». Il avait tout à apprendre des faits et gestes de Jésus.

    De plus il devait s’informer sur la pratique du culte dans la communauté de la mouvance de Jésus le Nazôréen à Jérusalem et se familiariser avec ce qui devenait une tradition pour l’enseignement, le baptême, et la Loi de Moïse.

    Un rappel, les Apôtres étaient tous juifs et surtout suivait la confession des hébreux c’est-à-dire les « Livres de la Loi » dictée par EL-SHADDAÏ à Moïse, ajouté à ses Livres ceux des Prophètes comme Ézéchiel, Jérémie, et particulièrement Isaïe. Les Apôtres annoncèrent la « Bonne Nouvelle » en premier à la communauté hébraïque de Jérusalem, puis de Galilée, Judée, Samarie, ensuite Syrie, Moyen-Orient, Grèce, Italie avec Rome.

    La cécité de « Paul » à lieu en l’an 38 de l’EC., et quand il revient à Jérusalem nous sommes en l’an 41- 42 de J-C. En effet le Roi des Nabatéens Arétas IV est décédé en l’an 40 de l’EC., et c’est son fils Malichos II qui lui succède.

    Le terme « Chrétien » n’existe pas encore, il faudra attendre un siècle avant que le vocable soit employé pour la première fois et plus de deux siècles et demie avant que l’expression « Chrétien » ne soit dans le langage courant.

    Je vous écris une partie de la vie de Saül de Tarse dit Paul car par ces Lettres et Épitres il représente à lui seul un tiers des écrits du Nouveau Testament, et beaucoup de ses « écrits » furent falsifiés par les copistes, par des ajouts, retranchements, changement des tournures de phrases, etc. Donc par des références historiques je vais essayer, avec l’aide d’El-Shaddaï, par son « Souffle d’Intelligence », si vous préférés « l’Intelligence », donc « l’Esprit » qu’il va m’apporter dans mon « Esprit », me guidant pour que je sois le plus près de la vérité par mes recherches et mon raisonnement.

    Saül de Tarse connaissait l’araméen et l’hébreu. Sa langue natale était le grec de la « koiné », et c’était dans la traduction des « Septante » qu’il lisait la Bible. Il ajoute à son nom hébraïque Saül, le cognomen, le surnom de « Paulus ». Des études récentes font apparaître une maîtrise de la diatribe grecque, qui suppose une éducation sérieuse à Tarse, donc d’une famille aisée, possédant le droit de citer romain, pratique courante dans les familles juives de l’époque surtout chez les rabbins, qui leur permettait d’apprendre un métier manuel et Paul devait être selon les Actes des Apôtres tisserand, voir sellier, car il était à la fabrication des tentes.

    Actes des Apôtres XVIII : 2-3

    « Il y trouva un Juif nommé Aquilas, originaire du Pont, qui venait d'arriver d'Italie avec Priscille, sa femme, à la suite d'un édit de Claude qui ordonnait à tous les Juifs de s'éloigner de Rome. Il se lia avec eux, et, comme ils étaient du même métier, il demeura chez eux et y travailla. Ils étaient de leur état fabricants de tentes. »

    La conception que Paul a de Jésus le Nazôréen n’est pas le produit d’une spéculation religieuse, mais d’une révélation de 1’Esprit. En Arabie, sa nouvelle théologie a trouvé ses bases.

    Pendant son séjour, à partir des Écritures qu’il connaît bien, Paul développe une nouvelle conception de Jésus et de la foi. Il comprend alors que le plan universel d’El-Shaddaï est adressé non seulement aux Juifs mais à toutes les nations. Paul, à proprement parlé, n’écrit pas un évangile comme Matthieu, Luc, Marc ou Jean, mais sa « Bonne Nouvelle » annoncée dans ses Lettres et Épîtres sera accessible aux juifs, aux grecs, comme aux païens des nations, qui viendront grossir le mouvement de la secte des Nazôréens.

    Il découvre aussi le mystère de l’amour infini d’El-Shaddaï pour nous à travers le rejet de son peuple et l’immolation de son Fils engendré, non créé comme l’humain, par la torture romaine de la crucifixion, afin que ce dernier, trois jours après son décès, son Père, notre Père, le ressuscite d’entre les morts,  car par amour pour l’humain, la « Mort » première, due à la transgression volontaire des deux premiers humains, fut vaincu par un humain qui ayant résisté à toutes les attaques du Prince de la Terre, ayant vécu parfaitement sur cette Planète Bleue, donnant la réplique parfaite à Adam et Ève, pour que cet humain puisse lui aussi ressusciter, pour vivre éternellement sur une Nouvelle Terre, sous de Nouveaux Cieux.

    Jésus le Nazaréen est le « Grand Guerrier » qui vainquît la Mort, avec l’Hadès et ses Ténèbres et qui, trois jours après son décès sur la croix, fut ressuscité par son Père et son Dieu, qui est notre Père et notre Dieu, (Jean XX : 17) monta aux Cieux et reçut par son Père, EL-SHADDAÏ son investiture comme Roi des Cieux avec les pleins pouvoirs pour gérer cette charge.

    Paul prenait ainsi conscience de la volonté de Jésus de faire disparaître la barrière et le mur qui séparaient le judaïsme des autres nations.

    L’idée fondamentale qui lui est révélée à Damas, est celle d’une intervention puissante d’El-Shaddaï  dans l’histoire, en la personne de Jésus venu sauver les hommes et non les condamner. Jésus est l’envoyé du Père, le messager de la bonne nouvelle, le Messie-Sauveur. L’amour que le Seigneur a pour Paul, le persécuteur, est offert à tous. Jésus est intervenu avec miséricorde dans sa vie et a rendu efficace le salut offert à l’humanité tout entière.

    Paul est aussi profondément touché par l’abnégation, le dévouement, le sacrifice de Jésus, et la façon avec laquelle il remplit sa mission d’holocauste :

     Épître aux Philippiens II : 6-10

    « Lui, de condition divine, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à EL-SHADDAÏ. Mais il s’anéantit lui-même, prenant la condition d’esclave, et devenant semblable aux hommes. S’étant comporté comme un homme, il s’humilia encore, obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix. »

    Voilà le style de versets bibliques que je considère comme tronqués. Parlant de Jésus le Nazôréen, Saül de Tarse le pose comme étant de condition divine, ce qui n’est pas faux, par contre lui donner le même rang que son Père, EL-SHADDAÏ, là, la pensé est complètement caduque avec un manque complet de raisonnement sain de la part de Paul, car considérant Jésus le Nazaréen comme un Dieu cela supprime l’unicité de son Père qui déclare tout le long de la Bible qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu », Lui ! Et pas un autre !

    La dernière phrase ne veut rien dire de la manière qu’elle est écrite. Paul dit que Jésus le Nazôréen s’humilia par obéissance jusqu’à la mort – et à la mort de la croix ? qu’est-ce-que cela veut dire ? Personnellement je pense qu’il y a faute de syntaxe et que la fin du verset devrait être écrit comme ceci : « et à la mort sur la croix ! »

    Épître aux Philippiens II : 9-11  

    « Aussi EL-SHADDAÏ l'a-t-il exalté et lui a-t-il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, pour que tout, au nom de Jésus, s'agenouille, au plus haut des cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue proclame, de Jésus le Nazôréen, qu'il est Seigneur, à la gloire d’EL-SHADDAÏ le Père. »

    Le « Nom » qu’El-Shaddaï a glorifié pour Jésus le Nazôréen ne peut-être que le plus beau c’est-à-dire « Fils », car ce Dieu a engendré Jésus le Nazôréen aux Cieux et il n’existe pas plus beau « nom » pour un père que de déclarer « Fils de » qui signifie bien engendré, et surtout pas ce « nom » de « Fils de Dieu », prôné par le christianisme, car de quel « Dieu » ? Par contre en dehors du Père il n’existe pas de plus beau « Nom » dans les Cieux, « Fils d’EL-SHADDAÏ », de la descendance d’EL-SHADDAÏ, le seul et unique Dieu de tout l’Univers. Et pour confirmer l’essai, comme le dit le jargon populaire, EL-SHADDAÏ engendra une seconde fois son Fils, mais cette fois-ci en tant qu’humain, passant par le spermatozoïde et l’ovule féminin,  avec le mystère de physique et chimie interne à la femelle, où des milliers de mains invisibles façonnent, sculptent, l’humain.

    Pendant ces trois années de réflexion interne, au plus profond de son être Paul a pu mesurer le fardeau que Jésus portait, « ce chef-d’œuvre de l’amour d’EL-SHADDAÏ ». Certains commentateurs bibliques chrétiens en profiteront pour faire croire à leurs lecteurs que Saül de Tarse peindra la « Croix de Jésus-Christ » aux Galates, et la prêchera aux Corinthiens.

    I Corinthiens II : 1-5

    « Pour moi, quand je suis venu chez vous, frères, je ne suis pas venu vous annoncer le mystère d’EL-SHADDAÏ avec le prestige de la parole ou de la sagesse.

    Non, je n'ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié.

    Moi-même, je me suis présenté à vous faible, craintif et tout tremblant, et ma parole et mon message n'avaient rien des discours persuasifs de la sagesse ; c'était une démonstration d'Esprit et de puissance, pour que votre foi reposât, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance d’EL-SHADDAÏ. »

    Je me suis permis de poser les versets de « 1 à 5 » pour une meilleur compréhension de l’idée que se faisait le Disciple Paul. Pour moi, je ne vois rien qui pourrait dépeindre une « croix » en dehors de « Jésus-Christ crucifié ». En lisant juste cette phrase, nous pourrions penser qu’il y a deux Jésus-Christ, un normal et un autre crucifié.

    Je tiens à réitérer que le mot « Christ » ne fut accolé à Jésus qu’à partir du IVème siècle après le Concile de Nicée en 325 de l’EC, avant sur les « Écrits » c’était Jésus de Nazareth, mais le plus souvent « Jésus le Nazôréen » comme ce dernier ce faisait nommer dans les « Évangiles » ou encore « Jésus le Nazaréen, Nazarénien »

    Matthieu II : 22-23

    « Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il craignit de s'y rendre ; averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth ; pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

    Il sera appelé Nazôréen. »

    Voyons voir maintenant avec l’Épître aux Galates III : 1

    « O Galates sans intelligence, qui vous a ensorcelés ? A vos yeux pourtant ont été dépeints les traits de Jésus Christ en croix. »

    En lisant bien ce verset comme celui qui est dans la première Lettre aux Corinthiens, je ne vois pas qu’il y ait une adoration de la Croix comme la chrétienté par ses textes en fait référence pour que les ouailles se signent devant cette dernière.

    Après trois ans, Paul retourna à Damas et se présenta à la synagogue. Au grand étonnement des Juifs, il demanda la parole pour démontrer, en s’appuyant sur les textes des Prophètes, que Jésus était le Messie tant attendu et qu'il était vivant. Chez les Juifs orthodoxes, la colère se mit à gronder et Paul fut menacé de mort.

    La Bible relate cet épisode en « Actes des Apôtres IX : 23-25 et en II Corinthiens XI : 32-33 ». Un peu d’histoire chronologique : Saul sort de sa retraite après trois années passées dans le désert d’Arabie en pays Nabatéen ou le Roi Arétas IV meurt en l’an 40 et son fils Malichos II lui succède.

    Paul conte :

    « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas faisait garder la ville des Damascéniens pour m'appréhender, et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j'échappai à ses mains. »

    Là, il y a une petite erreur de la part de Paul puisque le Roi Nabatéen Arétas IV est décédé comme écrit  avant les versets de la deuxième Épître aux Corinthiens.

    Jacques le Juste, Apôtre et cousin, mais sûrement pas « frère de Jésus le Nazaréen », fils d’Alphée, nommé aussi « le Mineur, le Petit » en contraste avec Jacques fils Zébédée frère ainé de Jean, tous deux Apôtres, qui sera décapité par le glaive sous le gouvernement d’Hérode Agrippa Ier en l’an 44 de l’EC., et à cette même époque Pierre sera emprisonné et délivré miraculeusement par les Anges d’EL-SHADDAÏ, sera le premier chef de la mouvance de Jésus le Nazaréen à Jérusalem.

     Suite à cet incident à Damas, nous sommes en l’an 41-42 de l’EC., Saül de Tarse alla alors à Jérusalem chez Pierre, homme d'une grande simplicité, toujours affable et accueillant, invitant Paul à partager son logis dans la maison hospitalière de Marie, la mère de Marc l’évangéliste, dont Joseph surnommé Barnabé qui signifie « fils d’encouragement » était l’oncle.

    Paul restera une quinzaine de jours chez Pierre. Épître aux Galates I : 18-19

    « Après trois ans, je suis monté à Jérusalem pour rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours; je n’ai pas vu d’autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur. »

    Comme écrit plus avant, Jacques d’Alphée que la Bible faussement nomme « frère du Seigneur » est simplement cousin de ce dernier !...

    Soyons objectifs et logique, si Jésus le Nazaréen avait réellement eu des frères et aussi des sœurs, pourquoi aurait-il confié sur la croix sa mère, Marie, à Jean fils Zébédée ? …

    Il faut aussi penser que le père nourricier de Jésus le Nazaréen est décédé vers l’an 24-26 de l’EC., et qu’il était avancé en âge. Donc obligatoirement il y aurait eu adultère, voir fornication, fini la perfection et Jésus-Christ devient un charlatan et tout ce que nous conte le christianisme n’est que fadaise et faribole.

    L’humain devient une espèce maudite sur la Terre !

    Pourquoi écrire tout ce que j’écris s’il n’existe aucun espoir ? …

    Heureusement que les « Frères et Sœurs de Jésus le Nazaréen » ne sont que mensonges inventé par les humains, faisant perdre la virginité perpétuelle à Marie ainsi que sa « Perfection » de corps !

    Qu’est-ce-que la jalousie fait faire ! …

    Avec Pierre, l’enseignement des faits et gestes de Jésus le Nazôréen continua pour Saül de Tarse, en particulier ce que le christianisme nomme « l’Eucharistie ». En réalité Pierre apprend à Paul comment la communauté de la mouvance de Jésus le Nazôréen fonctionne. Cette « Assemblée » au départ est pure suivant les Enseignements de Jésus, mais aussi en respectant les Lois et Préceptes de son Père EL-SHADDAÏ, car n’oublions pas qu’il fallait évangéliser en premier les hébreux de Jérusalem, Galilée, Judée, Samarie, ainsi que toutes les communautés cosmopolites qui vivaient dans les grandes villes comme Jérusalem, Césarée, Tibériade, Samarie, Damas, et il y avait ces hébreux d’Égypte vivant à Alexandrie qui lisaient la Bible en grecque dans leur synagogue, les hellénisants comme ils étaient nommés à l’époque.

    Les hébreux ou juifs suivaient les enseignements des livres de Moïse et des prophètes comme Daniel, Ézéchiel, Isaïe, Jérémie.

    Simon-Pierre et Jacques d’Alphée enseignèrent Saül de Tarse sur la communauté de la mouvance de Jésus le Nazaréen que l’on nommait « Assemblée » ou « Église » en grecque qui était guidée par des « Presbytres ou Anciens » et c’est les Anciens qui au moment du repas Pascal, c’est-à-dire une fois par an au moment de la Pâque, rendaient grâce en rompant le pain, et en servant le vin répétant les paroles de Jésus le Nazaréen. Ils ne faisaient pas cela tous les jours comme la chrétienté le fait.

    Le début de cette mouvance pour le royaume d’EL-SHADDAÏ, était frais, enthousiaste, gauche, insouciant, fonctionnant avec une grande sincérité et une foi solide comme le roc et cela se faisait sentir par les adeptes croissants à Jérusalem, mais aussi dans les contrées et villes avoisinantes et cela déplaisait énormément au groupe sacerdotale Juif, le Sanhédrin qui cherchait un moyen pour éradiquer cette nouvelle mouvance avec des hommes de conviction comme Saül de Tarse qui arrêtaient et emprisonnaient hommes, femmes, enfants, vieillards de la mouvance de Jésus le Nazôréen, les jetant hors de la ville et les lapidaient.

    Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

    Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connaît l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

    A bientôt, je l’espère !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

     

     




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