• Le nid d’Aigles – Pétra,  péninsule Arabique

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Je continue mon exposé sur l’apôtre Paul, apôtre dans le sens d’envoyé pas comme les Apôtres de Jésus le Nazôréen. Comme je l’ai déjà écrit, le considère Saül de Tarse comme un grand Disciple de Jésus le Nazôréen, mais qui doit son éloge grâce aux humains, alors qu’il y a eu certainement des Apôtres qui méritaient autant d’attention que ce Disciple Paul. Un fait très étonnant dans l’histoire de ce Disciple ait que, après la mort de Pierre en l’an 64 de l’EC., jusqu’au jour de sa décapitation en l’an 67 environ plus personne n’entendra parler de Saül de Tarse, pourquoi ? L’énigme est là ! Au niveau image je vous poserai celles de Pétra en Arabie ou l’on suppose que Paul séjourna pendant trois ans.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    De ce phénomène naturel entre deux enfants il y a un minimum de trois ans et demi, quatre ans. Quand Jésus à douze ans, Marie sa mère à vingt sept ans et n’est toujours pas enceinte et nous sommes en l’an 5 de l’EC, sachant que Jacques devrait être théoriquement le deuxième enfant de Marie et que la conception ait eu lieu tout de suite après l’histoire de Jérusalem ce qui fait sa naissance en l’an 7 de EC. Quand son frère Jésus est crucifié il a théoriquement 25 ans.

    Imaginons qu’après la naissance de Jacques Marie enfante une fille soit un accouchement en l’an 11 de EC, puis Joseph en l’an 15 de EC, pas de chance encore une fille en l’an 19 de EC, ce qui fait la naissance de Jude en l’an 23 de EC. Au crucifiement de Jésus le Nazaréen Jude aurait dix ans et serait Disciple de son frère … ! … !...

    Si je continue … ! Un peu de sérieux ! Je ne voudrais pas prendre mes semblables pour des imbéciles !

    Comme vous venez de le lire même chez les fous cela ne peut arriver

    Je crois, vous mes semblables qu’il est temps d’arrêter d’écrire sur des « frères et des sœurs » qui n’ont aucune existence en tant que tels, par contre qu’ils soient cousins voilà une vérité plausible et probable.

     

    Chapitre N° 17

    Autobiographie de Saül de Tarse dit Paul

    Je reviens à Saül de Tarse, qui, trois jours après avoir perdu la vue sur la route de Damas en Syrie, reçoit le baptême par le Grand-Prêtre Ananias, selon la tradition de Jean le Baptiste, culte attesté dès le premier siècle, par l’immersion complète dans un bassin d’eau ou en rivière pour le baptisé. C’est au cours de cette cérémonie que le Grand-Prêtre, Ananias, fit recouvrer la vue à Saül de Tarse en faisant tomber les écailles de ses paupières.

    Par contre toutes ces actions doivent obligatoirement avoir une signification. Dans l’Épitre aux Galates il se donne le grade d’Apôtre alors que pour moi, Saül de Tarse dit « Paul » n’est qu’un Disciple de Jésus le Nazaréen, et le fait que « lui » se fait appeler « Apôtre » me déplait énormément car il y a de la vanité. Il se peut aussi que je sois dans l’erreur, car si Jésus le Nazaréen a choisi cet homme là, c’est qu’il connait son cœur, dont-il veut faire un « envoyé » dans les Nations, soit un « apôtre » dans le sens réel du terme.

    Le fait de rester trois jours et trois nuits dans les Ténèbres, où Paul a eu le temps de se remettre en question, car il est peut-être aveugle mais son « Esprit » lui fait voir l’éclat de la « Lumière » qu’il vit sur la route de Damas, puis la couleur de l’Hadès et le temps que resta Jésus le Nazaréen dans celui-ci, soit trois jours et trois nuits qui équivaut à soixante-douze heures.

    Que de similitudes ? De quoi faire réfléchir tout humain qui est à la recherche d’un « DIEU » seul, unique, et de la vérité Biblique, sachant que cette dernière, particulièrement le Nouveau Testament, les humains ont retranché, ajouté, falsifié, transformé des textes authentiques qui leur déplaisaient pour les mettre dans leurs convenances idéologiques et spirituelles du jour.

    Que je suis heureux quand EL-SHADDAÏ m’ouvre « l’Esprit » à la compréhension des textes bibliques, car grâce à son amour pour vous, vous en êtes les heureux bénéficiaires et pour ceux qui hésiteraient, quelles magnifiques preuves.

    Plus haut j’ai écrit « quelle similitude ? », alors regardons ! … Prophétiquement Jonas reste trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson, soit soixante-douze heures, et ces soixante-douze heures représentent le temps que Jésus le Nazaréen passa dans l’Hadès soit trois jours et trois nuits dans les Ténèbres avant que sont Père, EL-SHADDAÏ le ressuscite d’entre les morts, cette dernière, La MORT, venant d’être vaincue ! Grâce à Jésus le Nazaréen  qui prouva que l’on pouvait vivre sur la Terre et rester parfait jusqu’à la « mort », rendant une équivalence à Adam et Ève, comme eux il avait le « Libre-Choix », mais par amour pour l’humain, il accepta, volontairement, la souffrance de la torture qui n’était pas nécessaire, je ne parle pas du crucifiement, je parle de cette torture tout le long du trajet, jet de pierre, crachats, flagellation avec des branches flexibles et épineuses, comme la prunelle noire, l’épine-vinette, l’obier, etc, et tous ces buissons épineux fournissant des baguettes longues et flexibles, qui pullulent dans cette région, oui cette torture gratuite, de vengeance, à cause du « Nom d’El-Shaddaï », « si tu es le fils d’EL-SHADDAÏ, libère-toi » vociféraient-ils, tout cela n’était pas utile !...

    Jésus le Nazaréen est décédé par la torture romaine de la crucifixion en l’an 33 de l’EC., mais il est né en l’an -7, -5 de J-C. la première date serait la plus logique, car Jésus aurait eu quarante ans à sa mort, nombre prophétique dans l’Ancien et Nouveau Testament. En l’an 34-35 de J-C., ou de l’EC., le Disciple helléniste Étienne meurt par lapidation. Á cette lapidation assiste un homme, persécuteur très actif des premiers humains juifs suivant « la Voie de Jésus le Nazôréen » ou la « mouvance de Jésus le Nazôréen », et qui fut sans doute responsable de l’arrestation d’Étienne et de sa lapidation.

    Le nom de cet humain, Saül de Tarse, qui n’a jamais rencontré Jésus le Nazaréen avant sa crucifixion ne faisant pas partie de ses Disciples et encore moins des « Douze ». Saül de Tarse était connu dans toute la Galilée, Judée, Samarie, Syrie comme un pharisien qui persécutait de manière violente ceux qui suivaient la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ». Lui-même sur son autobiographie écrit aux Galates I : 13-14

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Et à sa lettre envoyé aux Philippiens toujours en parlant de lui, III : 4-6

    « J'aurais pourtant, moi aussi, des raisons de placer ma confiance dans les valeurs charnelles. Si quelqu'un pense avoir des raisons de le faire, moi, j'en ai bien davantage. J'ai reçu la circoncision quand j'avais huit jours ; je suis de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu fils d'Hébreux ; pour la Loi, j'étais un pharisien ; pour l'ardeur jalouse, j'étais un persécuteur de l'Église ; pour la justice que donne la Loi, j'étais irréprochable ».

    En l’an 37-38 il obtient des lettres de recommandations pour rechercher et persécuter les adeptes de la « Voie prônée par Jésus le Nazaréen » dans la ville de Damas en Syrie. C’est sur cette route en direction de Damas vers midi que ce produisit le « miracle »

    Actes des Apôtres XXII : 6-11

    « Je faisais route et j'approchais de Damas, quand tout à coup, vers midi, une grande lumière venue du ciel m'enveloppa de son éclat. Je tombai sur le sol et j'entendis une voix qui me disait :

    « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ? ».

    Je répondis : « Qui es-tu, Seigneur ? ».

     Il me dit alors : « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes ».

    Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.

    Je repris : « Que dois-je faire, Seigneur ? ».

    Le Seigneur me dit : « Relève-toi. Va à Damas. Là on te dira tout ce qu'il t'est prescrit de faire ».

    Mais comme je n'y voyais plus à cause de l'éclat de cette lumière, c'est conduit par la main de mes compagnons que j'arrivai à Damas. »

    Je continue l’autobiographie de Saül de Tarse dans une première Épître qu’il écrivit aux Corinthiens XV : 3-9

    « Je vous ai donc transmis en premier lieu ce que j'avais moi-même reçu, à savoir que le Christ est mort pour nos péchés selon les Écritures, qu'il a été mis au tombeau, qu'il est ressuscité le troisième jour selon les Écritures, qu'il est apparu à Céphas, puis aux Douze.

    Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois - la plupart d'entre eux demeurent jusqu'à présent et quelques-uns se sont endormis - ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres.

    Et, en tout dernier lieu, il m'est apparu à moi aussi, comme à l'avorton.

    Car je suis le moindre des apôtres ; je ne mérite pas d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté l'Église d’EL-SHADDAÏ. »

    Autobiographie de Paul écrivant aux Galates I : 11-20

    « Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ.

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Mais quand Celui qui dès le sein maternel m'a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l'annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m'en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours : je n'ai pas vu d'autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur : et quand je vous écris cela, j'atteste devant EL-SHADDAÏ que je ne mens point. »

    Je reviens à ma similitude, Saül de Tarse marche avec ses compagnons sur la route allant à Damas quand un miracle se produit, une lumière enveloppant Saül de Tarse le faisant tomber à terre, le rendant aveugle trois jours et trois nuits, sûrement soixante douze heures du début de sa cécité au moment qu’il reçoit le baptême, chez Ananias, par immersion, comme cela se faisait à cette époque et avec certitude pendant les deux premiers siècles. Les « Anciens » qui baptisaient le faisaient « au Nom d’EL-SHADDAÏ, et grâce au sacrifice de Jésus le Nazaréen » mais jamais au nom de Jésus le Nazôréen et encore moins au nom d’un « Saint-Esprit » qui n’existait pas. De plus Jésus le Nazôréen n’a jamais baptisé personne ! 

    Matthieu XXVIII : 18-20Jésus le Nazaréen vient de ressusciter au tout début de la première heure du premier jour de la semaine et il est monté voir son Père pour recevoir son investiture au Ciel dans les Cieux, mais si, il l’a reçu pour la Terre, il ne peut rien faire car la Royauté de la Terre appartient à un autre, qui se nomme Sammaël et cela pour le « Temps Défini » par EL-SHADDAÏ, donc Jésus le Nazôréen ne peut prendre son investiture terrestre. Si cela avait été le cas, pensez-vous que la Terre serait gérée comme elle l’ait aujourd’hui ?

    Paul dans son autobiographie, dans sa première Lettre aux Corinthiens écrit XV : 21-24

    « Car, la mort étant venue par un homme, c'est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.

    De même en effet que tous meurent en Adam, ainsi tous revivront dans le Christ.

    Mais chacun à son rang : comme prémices, le Christ, ensuite ceux qui seront au Christ, lors de son Avènement.

    Puis ce sera la fin, lorsqu'il remettra la royauté à EL-SHADDAÏ le Père, après avoir détruit toute Principauté, Domination et Puissance. »

     Cela vous prouve à vous mes semblables que mes écrits sont véridiques !

    S'avançant, Jésus leur dit ces paroles :

    « Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde. »

    Les copistes qui ont tourné ces versets l’on fait pour accorder le nouveau signe, je dirais plutôt la nouvelle marque aux fers rouges des adeptes de Sammaël, par ce « Signe » de croix disant « Au nom du Père » sur le front, « Au nom du Fils » à l’épaule, « Au nom du Saint-Esprit » à l’autre épaule, avec un « Amen ou Ainsi soit-il » sur l’abdomen. D’autres font le signe de croix sur le front, la bouche, et le cœur. Tous ces gestes sont les marques de l’idolâtrie car ils sont fait à l’entrée du Temple, en sortant du Temple, devant un crucifix, une statue de pierre représentant un « Saint ou Sainte » quelconque.

    « Les baptisant au Nom du Père, en leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. »

    Je suis convaincu que se sont les paroles d’origine !

    Autre fait historique, Paul passe trois ans dans le désert d’Arabie où se poursuit en lui une transformation spirituelle et intellectuelle, recevant l’instruction nécessaire à sa vocation d’apôtre, Disciple de Jésus le Nazaréen, « L’évangile que j’ai annoncé n’est pas à mesure humaine : ce n’est pas non plus d’un homme que je l’ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus-Christ. » (Galates I : 11-12).

     Le terme « Arabie » s’appliquait alors à toute la péninsule arabique, mais le noyau en était le royaume des Nabatéens, avec sa capitale Petra, véritable nid d’aigle dans le désert, qui contrôlait  la route des caravanes. Les ruines gréco-romaines de cette capitale-forteresse sont impressionnantes. L’Arabie comprenait aussi Basra, Homs, Amman, et un très grand territoire allant jusqu’aux fleuves de la Mésopotamie, le Tigre et l’Euphrate. Le cheik des Nabatéens, Arétas IV, 9 av. J-C. à 40 ap. J-C., roi de Damas et d’une grande partie du territoire d’Arabie, était en guerre avec le roi Hérode Antipas, parce que celui-ci avait répudié sa fille pour épouser Hérodiade, la femme de son frère, celle qui avait demandé la tête de Jean le baptiste. En Arabie, Paul se sentait protégé contre les émissaires juifs, et c’est peut-être la raison pour laquelle il s’est rendu dans cette région désertique.

    Paul est à Damas chez Ananias et les juifs viennent d’apprendre que ce persécuteur de la mouvance de Jésus le Nazôréen vient de se faire baptiser faisant partie de ses humains qui suivent la « Voie de Jésus ce Nazôréen »

    Avant toute chose lisons le texte biblique des Actes des Apôtres IX : 17-25 – Saül de Tarse était sur la route de Damas quand il fut frappé par la Vision de Jésus le Nazaréen et qu’il fut atteint de cécité pendant trois jours et trois nuits exactement le même temps que Jésus resta dans le tombeau.

    Alors Ananie partit, entra dans la maison, imposa les mains à Saul et lui dit :

    « Saül, mon frère, celui qui m'envoie, c'est le Seigneur, ce Jésus qui t'est apparu sur le chemin par où tu venais ; et c'est afin que tu recouvres la vue et sois rempli de l'Esprit Saint. »

    Aussitôt il lui tomba des yeux comme des écailles, et il recouvra la vue. Sur-le-champ il fut baptisé ; puis il prit de la nourriture, et les forces lui revinrent. Il passa quelques jours avec les disciples à Damas, et aussitôt il se mit à prêcher Jésus dans les synagogues, proclamant qu'il est le Fils de Dieu.

    Tous ceux qui l'entendaient étaient stupéfaits et disaient : « N'est-ce pas là celui qui, à Jérusalem, s'acharnait sur ceux qui invoquent ce nom, et n'est-il pas venu ici tout exprès pour les amener enchaînés aux grands prêtres ? »

    Mais Saül gagnait toujours en force et confondait les Juifs de Damas en démontrant que Jésus est bien le Christ.

    Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr.

    Mais Saül eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr.

    Alors les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille. »

    Il se trouva des conjurés qui firent la promesse de tuer « l'apostat », dès qu'il circulerait dans le dédale des rues de la ville. Il fut facile d'acheter les dirigeants de Damas. On fit mettre des gardes à toutes les portes pour se saisir de Paul s’il tentait de s’enfuir : « Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr. Mais Saul eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr. Alors .les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille » (Actes 9, 23-24).

    Ceci est la version de Luc qui accuse les Juifs du complot. Paul, de son côté, croit que ce sont les autorités civiles qui en veulent à sa vie : « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas IV faisait garder la ville pour m'arrêter et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j’échappai à ses mains. » (II Corinthiens XI : 32)

    Cette conspiration contre Paul est probablement orchestrée par les deux groupes, c’est à dire par les Juifs avec l’appui des autorités de la ville.

    À partir d’une maison qui appartenait à un Nazôréen, Paul se blottit dans un grand panier et on le laisse descendre le long du mur au moyen de cordes solides. Arrivé en bas, il se dégage et, après avoir traversé les jardins, les canaux d'irrigation et les cours de fermes, il atteint la route qui conduit vers le Sud, vers la « via maris », la route de la mer. Il se rendra alors en Arabie pour trois ans.

    Pour Paul, ce fut la première d’une série de nombreuses escapades qui l’obligeront à fuir de ville en ville pour sauver sa vie.

    Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

    Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connait l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

    A bientôt, je l’espère !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Joachim & Anne

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Je ne vous poserai pas les dernières phrases du chapitre précédent car l’ensemble est un peu long. Avec ce chapitre, je fais une rétroactivité de la naissance de Jésus le Nazaréen, avec ses frères et sœurs inexistants réellement, cousins directs probablement.

     

    Chapitre N° 16

     

    « Frères et Sœurs » de Jésus le Nazaréen ?

     

    Mensonges ! …

     

     

    Douze Apôtres et seulement deux « Évangélistes » avec Pierre, Jacques, et Jude qui ont juste une « Lettre » reconnue comme canonique alors que tous les exégètes savent qu’il y avait plus de deux mille « Lettres et Épîtres » qui circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen à l’ère des Apôtres.

    Deux Disciples Évangélistes Marc et Luc nous prouvant que le choix des « Écrits » dit canoniques ont été choisis arbitrairement par Constantin le Grand au Concile de Nicée en 325 de l’EC., sous les conseils de son ami écrivain et théologien chrétien Eusèbe de Césarée.

    Parmi toutes ces « Lettres » les exégètes et historiens d’aujourd’hui reconnaissent que sept « Lettres ou Épîtres » d’Ignace d’Antioche sont authentiques alors pourquoi la religion chrétienne nous cache-t-elle ces « Écrits » ?...

    Saül de Tarse ne fut pas tout de suite Disciple de Jésus le Nazaréen pour une chose, il ne connaissait rien de la vie de Jésus le Nazaréen, et comme il était connu de la Syrie à la Judée comme persécuteur des humains de la mouvance de Jésus le Nazôréen, il était important qu’il se fasse oublier par tout le monde.

    Il y a toujours dans les dates de cette époque ce phénomène de trois années, exemple la conversion de Saül de Tarse se situe entre 37-40 de l’EC. Tout comme la naissance de Jésus le Nazaréen -7 à -4 av. J-C ou EC., si vous aimez mieux, et sa mort par la torture romaine de la crucifixion aux environs de l’an 30-33 de l’Ère Commune. Si l’on estime que la mort de Jésus le Nazaréen doit être un nombre prophétique l’on dirait naissance en l’an -7 de l’EC., mort en l’an 33 de J-C ce qui ferait que Jésus le Nazaréen à son décès avait quarante ans, le nombre quarante étant un nombre prophétique, Moïse quarante jours et nuits au Mont Sinaï, les israélites restèrent quarante ans dans le désert, Josué avait quarante ans quand Moïse s’adressa à lui pour qu’il conduise le peuple en terre promise, Jésus resta quarante jours dans le désert, etc.

    Saül de Tarse est conduit à Damas par ces hommes d’armes qui l’accompagnait chez un certain Ananias ou Ananie

    Actes des Apôtres IX : 8-19

    « Saul se releva et, bien qu'il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien. Ils le prirent par la main pour le faire entrer à Damas.

    Pendant trois jours, il fut privé de la vue et il resta sans manger ni boire.

    Or il y avait à Damas un disciple nommé Ananie. Dans une vision, le Seigneur l'appela :

     « Ananie ! »

     Il répondit : « Me voici, Seigneur. »

    Le Seigneur reprit : « Lève-toi, va dans la rue Droite, chez Jude : tu demanderas un homme appelé Saul, de Tarse. Il est en prière, et il a eu cette vision : un homme, du nom d'Ananie, entrait et lui imposait les mains pour lui rendre la vue. »

    Ananie répondit : « Seigneur, j'ai beaucoup entendu parler de cet homme, et de tout le mal qu'il a fait à tes fidèles de Jérusalem. S'il est ici, c'est que les chefs des prêtres lui ont donné le pouvoir d'arrêter tous ceux qui invoquent ton Nom. »

    Mais le Seigneur lui dit : « Va ! Cet homme est l'instrument que j'ai choisi pour faire parvenir mon Nom auprès des nations païennes, auprès des rois et des fils d'Israël. Et moi, je lui ferai découvrir tout ce qu'il lui faudra souffrir pour mon Nom. »

    Ananie partit donc et entra dans la maison.

    Il imposa les mains à Saul, en disant : « Saul, mon frère, celui qui m'a envoyé, c'est le Seigneur, c'est Jésus, celui qui s'est montré à toi sur le chemin que tu suivais pour venir ici. Ainsi, tu vas retrouver la vue, et tu seras rempli d'Esprit Saint. »

    Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles, et il retrouva la vue. Il se leva et il reçut le baptême.

    Puis il prit de la nourriture et les forces lui revinrent. »

    Toujours le même problème avec l’Esprit Sain, mais il peut exister une confusion de personnage. Nous sommes dans une traduction grecque et YHWH ou « Dieu » est remplacer par « Seigneur » et là, Jésus le Nazaréen est nommé « Seigneur » j’espère que cela est une appellation respectueuse de Jésus le Nazaréen, et que ce n’est pas le titre de « Dieu » qui lui est donné car se serait une grave erreur.

    Toujours dans les remarques Saül de Tarse, maintenant appelé « Paul » depuis son Baptême ne reçoit pas le Souffle d’EL-SHADDAÏ comme les « Douze Apôtres », mais celui de Jésus le Nazaréen qui lui donnera la « Compréhension » des Écritures.

    Paul après son baptême, ayant repris des forces partira trois longues années dans le désert d’Arabie recevoir et apprendre toute la vie de Jésus le Nazaréen. Pousser sans doute par une force extérieur, en premier pour se faire oublier des hébreux car il était connu comme un persécuteur de la mouvance de Jésus le Nazôréen, puis des romains pour la même raison mais dans le sens opposé, et en second pour que sa façon de penser change qui est le « soi » interne et il faut du temps pour faire se changement, puis étudier et apprendre toute la vie de Jésus le Nazaréen depuis sa naissance jusqu’à sa mort et la question se pose qui était son instructeur, un Disciple qui partit avec lui dans le désert, où son instruction l’a-t-il reçu directement de Jésus le Nazaréen ?

    La réponse nous vient de l’Épitre aux Galates et c’est aussi pendant cette période de vie dans le désert d’Arabie qu’il trouve sa transformation spirituelle et intellectuelle.

    Épître aux Galates I : 10-12,

    « En tout cas, maintenant est-ce la faveur des hommes, ou celle d’EL-SHADDAÏ que je veux gagner ? Est-ce que je cherche à plaire à des hommes ? Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ.

    Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ. »

    Le terme de « Christ » qui a son origine grec signifiait « Messie, Oint » fut complètement dénaturé à partir du IVème siècle quand les « Livres » du Nouveau Testament furent choisis et réunis arbitrairement par Constantin le Grand sous les conseils de son ami théologien chrétien Eusèbe de Césarée en un codex canonique au Concile de Nicée en 325 de l’EC. Il faut aussi penser que les traducteurs et copistes ne commencèrent réellement leur travail après le pèlerinage de la mère de Constantin en l’an 326 et qui se termina par la découverte de la « Vraie Croix » en l’an 327 par cette dernière qui se prénommait Hellène.

    Le mouvement de Jésus le Nazôréen n’existait plus remplacé par la chrétienté qui en plus trois cent ans avait bien changé. Les Évêques étaient devenus des « Princes » où leurs idées faisaient force de Loi et chacun avaient son courant comme l’arianisme, donatisme, docétisme, modalisme, subordinatianisme, dithéisme, trinitarisme, etc….

    Constantin le Grand fait du « christianisme » en 312 de l’EC., la religion d’Empire et l’Empereur devient le Pontifex Maximus de cette religion.

    Le terme « Christ » devient le synonyme de « Croix » et sera accolé à Jésus le Nazaréen à partir de 330-350 en devenant dans les Évangiles, Lettres et Épîtres dit canoniques « Jésus-Christ »

    Épître aux Galates I : 15-20

    « Mais quand Celui qui dès le sein maternel m'a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l'annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m'en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours. Je n'ai pas vu d'autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur, et quand je vous écris cela, j'atteste devant EL-SHADDAÏ que je ne mens point. »

    Toujours cette impossibilité que Jésus le Nazaréen ait eu « des frères et sœurs », pourquoi ?

    Toujours dans ma logique, si, il avait eu « des frères et des sœurs », il serait l’ainé. Nous savons qu’à l’âge de douze ans son père nourricier et sa mère le cherchèrent dans toute la ville de Jérusalem et qu’ils le trouvèrent entrain de conversé avec les prêtres sur le Rouleau d’Isaïe, et que Marie à cette époque n’était pas enceinte et que Jésus le Nazaréen n’avait pas de frères, ni de sœurs. Si cela avait été le cas des scribes se serait empresser de l’écrire et aujourd’hui nous aurions eu des traces historiques.

    Protévangile de Jacques XVII : 2

    « Et il sella son âne et la fit asseoir dessus. Son fils tirait la bride et Samuel suivait »

    Par cet écrit nous apprenons que Joseph à au minimum deux fils sans doute d’un premier mariage dont l’un se nomme Samuel.

    Que c’est-il passé avant que Marie ne soit l’épouse de Joseph ? La Bible canonique est muette comme une carpe, pourquoi ?

    Protévangile de Jacques VIII : 3

    « Le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange du Seigneur apparut, disant :

    « Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui le Seigneur montrera un signe en fera sa femme. »

    Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous. »

    Protévangile de Jacques IX : 1-3

    9.1. « Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre dit :

    « Joseph, Joseph, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge du Seigneur. »

    2. Mais Joseph protesta :

    « J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »

    « Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »

    3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :

    « Marie, le temple du Seigneur t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. Le Seigneur te gardera. » »

    En VIII : 3 dans le Protévangile de Jacques, Zacharie convoque les veufs du peuple et que chacun amène une baguette. Au chapitre IX il obtempère et se rend lui aussi chez le grand-prêtre avec sa baguette. Joseph est choisi par El-Shaddaï pour garder Marie avant qu’elle est l’âge requis pour devenir sa femme. Joseph est un vieillard et il a des enfants d’un autre mariage. De plus ont présente Joseph comme un chef d’entreprise ce qui à mon avis personnel est plus proche de la vérité que d’écrit comme un malheureux charpentier ayant peu de travail comme dans les évangiles synoptiques

    Le Pseudo-Matthieu est encore plus explicite VIII : 1, 4

    1. Mais il arriva qu'elle eût quatorze ans, et pour les Pharisiens c'était l'occasion de dire qu'à cause de son état de femme Marie ne pouvait pas demeurer dans le Temple d’EL-SHADDAÏ.

    4. Alors, le peuple tout entier félicita le vieillard en disant:

    « Tu as obtenu le bonheur dans ta vieillesse, de sorte que Dieu t'a désigné comme digne de recevoir Marie. »

     Mais, quand les prêtres lui dirent:

    « Prends-la, car de toute ta tribu toi seul as été élu par EL-SHADDAÏ. »

    Joseph se mit à leur témoigner son respect, et à les supplier, et à dire avec déférence :

    « Je suis un vieillard et j'ai des fils, pourquoi me donnez-vous cette fillette, ma petite-fille d'après son âge, et qui est même plus jeune que mes propres petits-enfants ? »

     Alors, Abiathar, le chef des grands prêtres, dit:

    « Souviens-toi, Joseph, comment Dathan, Coré et Abiram ont péri, pour avoir méprisé la volonté du Seigneur. Tu auras le même sort si tu méprises obstinément ce qu’EL-SHADDAÏ  t'ordonne. »

    La Joseph est vraiment un vieillard car il a des enfants, mais aussi des petits enfants puisque Marie est plus jeune « que ces propres petits-enfants »

    Pour résumé Joseph le père nourricier de Jésus le Nazaréen avait une entreprise de Charpente et du travail du bois en général et il se déplaçait beaucoup pour voir les différents chantiers surtout qu’à l’époque il y avait beaucoup de travaille, port de Césarée sur la Grande Mer, la ville de Tibériade sur la mer de Génézareth sortait de terre, la ville de Séraphoris en grande transformation.

    On pense que Joseph est décédé vers l’an 24-26 de l’Ère Commune et était octogénaire ce qui fait que quand il reçu Marie, Joseph était dans la cinquantaine en âge.

    Par ce fait Jésus le Nazôréen n’a jamais eu de frère. Souvenez-vous, « Son fils tirait la bride et Samuel suivait », donc le premier qui tirait la bride pouvait ce prénommer « Jacques », mais même là, Jacques et Samuel ne peuvent être les demi-frères de Jésus, car Joseph n’est pas le père géniteur de Jésus le Nazaréen, et leur mère n’a pas enfanté Jésus, donc ils sont les demi-frères de Jésus par adoption si l’on veut être gentil.

    Un autre fait historique, que ne ménage pas la Bible, c’est Marie. Marie fille de Joachim et Anne n’ont eu que cet unique enfant, donc Marie n’a pas de sœur, ni de frère. En suivant les textes Bibliques et pour confirmer les écrits apocryphes, Jacques dit le Mineur, en opposition à Jacques fils Zébédée frère de Jean, tout deux surnommés les « Fils du Tonnerre », le Petit, le Juste a comme frère Joset ou Joseph, surnommé Barnabas et Jude, tout trois fils de Marie Jacobée épouse d’Alphée avec Matthieu nommé aussi Lévi, ces quatre là sont frères, c’est une certitude. Marie Salomé est l’épouse Zébédée et a eu deux garçons, Disciples de Jésus le Nazôréen, puis Apôtres de ce dernier qui les surnomma « Fils du Tonnerre », l’ainé Jacques et Jean le Disciple que Jésus aimait le plus puisqu’il lui confia sa mère en étant sur la croix disant « femme voici ton fils ! » et à Jean « Jean voici ta mère ! » Il nous reste Siméon dit le Zélote fils de Clopas, frère de Joseph le Charpentier et de Marie sœur d’Anne femme de Joachim.

    En lisant les encyclopédies au sujet des « Frères » de Jésus le Nazaréen, j’ai un sourire car elles trouvent le moyen de se «  mélanger les pinceaux ». Ce qui prouve le capharnaüm qui existe sur les « Frères et Sœurs » de Jésus le Nazôréen, il fallait bien que je pense aux « sœurs » si non vous auriez pensé avec juste raison que je ne faisais pas mon travail correctement.

    Pour en finir avec les « frères et sœurs » de Jésus le Nazaréen qui n’existent pas voici une logique indémontable

    Évangile du Pseudo Matthieu IV

    « Or après neuf mois accomplis, Anne mit au monde une fille et l'appela du nom de Marie. Et lorsqu'elle l'eut sevrée la troisième année, Joachim et sa femme Anne s'en allèrent ensemble au temple du Seigneur, et, tout en offrant des victimes au Seigneur, ils présentèrent leur petite fille Marie pour qu'elle habitât avec les vierges qui passaient le jour et la nuit à louer EL-SHADDAÏ. » 

    Donc à cette époque les femmes nourrissaient aux seins leur enfant jusqu’à l’âge de trois ans. Pendant ce temps d’allaitement, si tout fonctionne normalement c’est une contraception naturelle et la femme ne peut être enceinte. De ce phénomène naturel entre deux enfants il y a un minimum de trois ans et demi, quatre ans. Quand Jésus à douze ans, Marie sa mère à vingt sept ans et n’est toujours pas enceinte et nous sommes en l’an 5 de l’EC, sachant que Jacques devrait être théoriquement le deuxième enfant de Marie et que la conception ait eu lieu tout de suite après l’histoire de Jérusalem ce qui fait sa naissance en l’an 7 de EC. Quand son frère Jésus est crucifié il a théoriquement 25 ans.

    Imaginons qu’après la naissance de Jacques, Marie enfante une fille, soit un accouchement en l’an 11 de EC, puis Joseph en l’an 15 de EC, pas de chance encore une fille en l’an 19 de EC, ce qui fait la naissance de Jude en l’an 23 de EC. Au crucifiement de Jésus le Nazaréen, Jude aurait dix ans et serait Disciple de son frère … ! … !...

    Si je continue … ! Un peu de sérieux ! Je ne voudrais pas prendre mes semblables pour des imbéciles !

    Comme vous venez de le lire même chez les fous cela ne peut arriver

    Je crois, vous mes semblables qu’il est temps d’arrêter d’écrire sur des « frères et des sœurs » qui n’ont aucune existence en tant que tels, par contre qu’ils soient cousins voilà une vérité plausible et probable.

    EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !

    Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.

    Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !

    Salutations cordiales

    Sig : JP.G dit « Grandeloupo »


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  • Les « Douze »

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

     

     

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

     

    Après la construction de ce second Temple les premières décennies les humains formant le peuple d’EL-SHADDAÏ respectèrent le contrat qui existait entre eux et leur Dieu. Mais les mauvais démons revinrent vite au galop, en particulier l’idolâtrie, alors EL-SHADDAÏ abandonna son peuple comme celui-ci l’avais abandonné. Le Pays, la Palestine fut tour à tour  sous le joug de la Perse, puis de la Grèce, puis de l’Égypte et enfin de Rome.

    Je viens de vous conter rapidement l’histoire du « Peuple » d’El-Shaddaï jusqu’à l’arrivé du dernier conquérant, celui au pied d’argile, dans la vision de Daniel.

    Nous sommes au IV, IIIème siècle antérieur à Jésus le Nazôréen. Très vite après la fondation de la ville portuaire d’Alexandrie en 331 av. l’EC., par Alexandre le Grand, la diaspora juive s’y développe fortement, en particulier autour du Palais Royal à un point tel que deux des cinq quartiers  de la cité sont déjà pris par les descendants d’Abraham, ce qui n’est pas exacte, mais qui n’est pas faut non plus si l’on considèrent que tout le peuple hébreu vient de la descendance de Jacob.

     

     

    Chapitre N° 15

     

    La Septante, les Douze

     

    Démétrios de Phalère philosophe grec, expatrié à Alexandrie en 307 av. l’EC est le fondateur de la Grande Bibliothèque., de la dite cité, péripatéticien et écrivain il fut l’élève d’Aristote et de Théophraste ainsi qu’ami de Ménandre.

    Sous Ptolémée Ier, à l’instigation de Démétrios de Phalère, la Grande Bibliothèque d’Alexandrie vue le jour en 288 av. J-C., abritant une Université et une Académie. La Bibliothèque fut finie et ne commençât à fonctionner que sous le règne de Ptolémée II Philadelphe, qui, selon Épiphane, aurait demandé « aux rois et aux grands de ce monde » qu'ils envoient les œuvres de toutes les catégories d'auteurs et aurait fixé un objectif de cinq cent mille volumes et rouleaux.

    En réalité, quelques années après la fin de sa construction, la Grande Bibliothèque possédait déjà quelques trois cent mille livres et rouleaux originaux de toute l’histoire antique des pays du Bassin Méditerranéen et autres. Les livres et rouleaux étaient copiés par des érudits qui métrisaient parfaitement la langue du pays et le grec, les originaux étaient conservés à la Grande Bibliothèque et la copie restituée au pays d’origine.

    En 281 av. l’EC., toujours sous le règne de Ptolémée II, la Grande Bibliothèque possédait déjà un nombre important de rouleaux, codex, contant l’histoire Antique de tous les Empires passés, mais ne détenait aucun écrit de l’histoire des hébreux qui vivaient dans un tiers de la ville d’Alexandrie et près du Palais Royal.

    Démétrios de Phalère suggéra au Pharaon Ptolémée II d’ordonner la traduction en grec de tous les Livres Sacrés et narrations profanes des israélites. Ce ne fut pas chose facile car les Rouleaux Sacrés se trouvaient au Temple de Jérusalem sous la garde des Prêtres. L’histoire conte qu’il fallut plusieurs aller retour Alexandrie, Jérusalem avant que les humains de part et d’autres se mettent d’accord.

    Le Grand Prêtre, souverain sacrificateur du Temple de Jérusalem, Éléazar, accède à la demande de Ptolémée II à la condition que ce dernier affranchisse les Juifs de Judée que son père Ptolémée Ier à fait prisonniers et réduits à l’esclavage en Égypte.

    Il paraîtrait que pendant toutes ces discussions certains voulurent faire plaisir à Pharaon, mais :

    « On raconte que cinq anciens traduisirent la Torah en grec pour le roi Ptolémée, et ce jour fut aussi grave pour Israël que le jour du Veau d’or, car la Torah ne put être traduite convenablement. »

    Les hébreux habitant près du Palais Royal continuent à parler leur langue maternelle et l’araméen et à étudier les textes de l’Ancien Testament. Déjà intéressé par le sort de ses sujets israélites, le souverain hellénistique le plus cultivé de son temps apparaît également soucieux de connaître les règles des divers peuples qui lui sont assujettis dans le cadre d’une réorganisation de son royaume.

    Toutes ces négociations durèrent un certain temps et en l’an 270 av. J-C., les deux parties se mirent enfin d’accord.

    Éléazar réunit six érudits parlant parfaitement l’hébreu, l’araméen et le grec de chaque tribus du pays d’Israël ce qui fit un total de soixante douze lettrés qui arrivèrent à Alexandrie avec les rouleaux originaux du Temple.

    Pharaon les reçoit et par sept fois se prosterne devant les Rouleaux de la Loi. Il s’ensuit un banquet qui dura sept jours au cours duquel le Roi interrogea chacun des soixante-douze traducteurs.

    Ptolémée les emmena sur l’ile de Pharos où la construction du phare du port d’Alexandrie se terminait. Ces soixante-douze élites hébraïques furent, par groupe de six, installés dans des petites maisons éloignées les unes des autres  de sorte que le contact entre les maisonnettes étaient assez difficile.

    Ce que j’écris n’est pas de mon invention mais d’une lettre écrit par Aristée au IIème siècle avant J-C., à Philocrate.

    Les traducteurs hébreux par groupe de six traduisirent les Rouleaux de la Loi en grec pendant soixante-douze jours et nuits sans jamais pouvoir se contacter entre groupes. Quand le travail fut terminé par les soixante-douze éclairés, lecture en fut faite devant la Cour de Ptolémée II et l’assemblée des Juifs alexandrins. L’étonnement de l’assemblée fut grand quand ils constatèrent que les douze groupes avaient traduit la même chose mot pour mot, ponctuation pour ponctuation. Pharaon et Démétrios s’exclamant même que ce ne pouvait être que la main de leur « DIEU ».

    En souvenir de tous ces élites Juifs, Ptolémée nomma cette traduction la « Septante Douze » et l’histoire n’a retenu que la « Septante ».

    Toujours dans l’histoire, le Sanhédrin existe réellement depuis le second Temple, et chose étonnante, pour vous prouvez qu’il n’était pas approuvé par EL-SHADDAÏ, il n’est composé que de soixante-et-onze membres.

    Étrange ce nombre impaire ? Alors que l’on pense que le Sanhédrin fut créé par Moïse et comportait soixante-douze membres, six par tribus.

    Je vous ai écrit tout cela pour vous prouver que le nombre « soixante-douze » a un sens prophétique et Jésus le Nazaréen n’a pas choisi au hasard ce nombre de soixante-douze Disciples qui rappelle indirectement le nombre d’érudits qui ont traduit la Bible en Grec.

    Comme déjà écrit, parmi ces soixante-douze disciples il en choisit douze qui seront ses « Apôtres » et qui formeront un cercle restreint. Après son décès sur le tau objet de la torture romaine, puis sa résurrection et les quarante jours qu’il resta sur la terre avant son élévation, seront vraiment appelé « Apôtre » ceux qui furent témoin qu’il quitta la Terre montant dans le ciel accompagné d’une multitude d’Anges. D’autres écrits disent que seul les témoins de la résurrection de Jésus le Nazaréen sont « Apôtres », simplement que là, dans ce contexte aucun humain ne fut témoin de sa résurrection. Ils constatèrent ce fait quand ils virent Jésus le Nazaréen trois jours après qu’il décéda par la torture romaine de la crucifixion. Par cette réflexion et ce raisonnement il faut reconnaître que l’on peut honnêtement dire que les « Apôtres » sont les humains qui étaient présent lors de son « élévation » car une chose est certaine comme Hénoch, Moïse, Esaïe, Élie personne n’a retrouvé son corps, comme celui de sa mère Marie. Cela restera toujours un mystère, soulevant beaucoup de questions avec peu de réponse, seule la foi peut alors guider notre cœur et notre esprit.

    Mais il y a encore une question à « l’Élévation » de Jésus le Nazaréen les Apôtres étaient au nombre de onze, et non douze puisque le douzième Apôtre est choisi après l’Ascension de Jésus le Nazôréen et avant qu’ils ne reçoivent le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ le Père géniteur de Jésus.

    Actes des Apôtres I : 4-11, 23-26

    « Alors, au cours d'un repas qu'il partageait avec eux, il leur enjoignit de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'y attendre « ce que le Père avait promis, » ce que, dit-il, vous avez entendu de ma bouche :

    « Jean, lui, a baptisé avec de l'eau, mais vous, c'est dans l'Esprit Sain que vous serez baptisés sous peu de jours. »

    Étant donc réunis, ils l'interrogeaient ainsi : « Seigneur, est-ce maintenant, le temps où tu vas restaurer la royauté en Israël ? »

    Il leur répondit : « Il ne vous appartient pas de connaître les temps et moments que le Père a fixés de sa seule autorité.

    Mais vous allez recevoir une force, celle de l'Esprit Sain qui descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. »

    A ces mots, sous leurs regards, il s'éleva, et une nuée le déroba à leurs yeux.

    Et comme ils étaient là, les yeux fixés au ciel pendant qu'il s'en allait, voici que deux hommes vêtus de blanc se trouvèrent à leurs côtés ; ils leur dirent :

    « Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Celui qui vous a été enlevé, ce même Jésus, viendra comme cela, de la même manière dont vous l'avez vu s'en aller vers le ciel. » »

    « On en présenta deux, Joseph dit Barsabbas, surnommé Justus, et Matthias.

    Alors ils firent cette prière :

    « Toi, Seigneur, qui connais le cœur de tous les hommes, montre-nous lequel de ces deux tu as choisi pour occuper, dans le ministère de l'apostolat, la place qu'a délaissée Judas pour s'en aller à sa place à lui. »

    Alors on tira au sort et le sort tomba sur Matthias, qui fut mis au nombre des douze apôtres. »

    Volontairement j’ai supprimé le « t » de saint car ce n’est pas une sanctification que reçurent les Apôtres, mais un « Souffle » qui est « Sain » c’est-à-dire propre, sans tache, pur qui leur a donné une grande intelligence comme une certaine force intellectuelle.

    Les Douze sont institués par Jésus le Nazaréen pour être un signe particulier pour Israël. Ils représentent le peuple nouveau tel qu'il sera rassemblé par EL-SHADDAÏ à la fin des temps, le nombre douze évoquant les douze tribus d'Israël, mais aussi la totalité et l'intégrité du peuple. Il renvoie donc au fait que Jésus a reçu pour mission de rassembler la totalité du peuple et de le mener à son accomplissement.

    Matthieu XIX : 28-29

    « Jésus leur dit :

     « En vérité je vous le dis, à vous qui m'avez suivi : dans la régénération, quand le Fils de l'homme siégera sur son trône de gloire, vous siégerez vous aussi sur douze trônes, pour juger les douze tribus d'Israël.

    Et quiconque aura laissé maisons, frères, sœurs, père, mère, enfants ou champs, à cause de mon nom, recevra bien davantage et aura en héritage la vie éternelle. » »

    Aujourd’hui le pays d’Israël existe depuis 1948, mais que reste-t-il des douze tribus de l’Israël antique ?

    Une certitude, après la mort de Jean se sera la fin des « Douze ». Ce que nous connaissons c’est que les premiers Apôtres firent des « Disciples » auquel ils ont retransmis certains pouvoirs mais à la deuxième génération, ces pouvoirs n’existaient plus sauf un rituel d’imposition des mains au dessus de la tête pour devenir un Évêque.

    Certains « Écrits » donnent Saül de Tarse dit « Paul » comme un treizième Apôtre, mais avant Paul qui se nomme lui-même « Apôtre », il y a Barnabé qui fut pendant un an l’éducateur de Paul, et lui, devrait être le treizième « Apôtre » et Paul le quatorzième.

    Heureusement Jésus le Nazôréen choisit douze « Apôtres » et pas un de plus car les « Douze » représentent les douze tribus qui formèrent le pays d’Israël.

    Suivons un peu l’histoire de Saül de Tarse qui jusqu’à l’an 37-38 fut un persécuteur du mouvement des Nazôréens.

    Il y a douze Apôtres et celui qui a le plus de notoriété dans le Nouveau Testament est un humain hébreu de par sa naissance, il le dit lui-même, grand persécuteur du début du « Mouvement des Nazôréens » particulièrement à Jérusalem, en Galilée et Judée. Il est responsable de l’arrestation du Disciple Diacre Étienne et de sa lapidation, sentence où il était témoin, les écrits historiques ne disent pas si, il a participé à cette lapidation.

    Épître aux Philippiens III : 4-6

    J'aurais pourtant sujet, moi, d'avoir confiance même dans la chair ;// circoncis dès le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu fils d'Hébreux ; quant à la Loi, un Pharisien ; quant au zèle, un persécuteur de l'Église ; quant à la justice que peut donner la Loi, une homme irréprochable.

    Actes des Apôtres XXI : 39

    « Moi, reprit Paul, je suis Juif, de Tarse en Cilicie, citoyen d'une ville qui n'est pas sans renom. Je t'en prie, permets-moi de parler au peuple. »

    Actes des Apôtres XXII : 2-15

    Quand ils entendirent qu'il s'adressait à eux en langue hébraïque, leur silence se fit plus profond. Il poursuivit :

    « Je suis Juif. Né à Tarse en Cilicie, j'ai cependant été élevé ici dans cette ville, et c'est aux pieds de Gamaliel que j'ai été formé à l'exacte observance de la Loi de nos pères, et j'étais rempli du zèle de Dieu, comme vous l'êtes tous aujourd'hui.

    J'ai persécuté à mort cette Voie, chargeant de chaînes et jetant en prison hommes et femmes, comme le grand prêtre m'en est témoin, ainsi que tout le collège des anciens. J'avais même reçu d'eux des lettres pour les frères de Damas, et je m'y rendais en vue d'amener ceux de là-bas enchaînés à Jérusalem pour y être châtiés.

     Je faisais route et j'approchais de Damas, quand tout à coup, vers midi, une grande lumière venue du ciel m'enveloppa de son éclat.

    Je tombai sur le sol et j'entendis une voix qui me disait :

    « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ?

    Je répondis :

    « Qui es-tu, Seigneur ? »

     Il me dit alors :

     « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes. »

    Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.

    Je repris :

    « Que dois-je faire, Seigneur ? »

    Le Seigneur me dit :

    « Relève-toi. Va à Damas. Là on te dira tout ce qu'il t'est prescrit de faire. »

    Mais comme je n'y voyais plus à cause de l'éclat de cette lumière, c'est conduit par la main de mes compagnons que j'arrivai à Damas.

    Il y avait là un certain Ananie, homme dévot selon la Loi et jouissant du bon témoignage de tous les Juifs de la ville ; il vint me trouver et, une fois près de moi, me dit :

     « Saül, mon frère, recouvre la vue. »

    Et moi, au même instant, je pus le voir. Il dit alors :

    « Le Dieu de nos pères t'a prédestiné à connaître sa volonté, à voir le Juste et à entendre la voix sortie de sa bouche ; car pour lui tu dois être témoin devant tous les hommes de ce que tu as vu et entendu. »

    Il est incontestable que Jésus le Nazôréen ait choisi cet humain pour qu’il soit le Disciple des Nations donc des « Gentils »

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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  • Pays d’Israël à la séparation

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Ces derniers chapitres, je le conçois, sont loin du titre général ci-dessus, mais je pense que pour avoir la croyance, la foi en quelque chose, il faut une bonne fondation, donc il est important de connaître l’historique de l’humain avec le Dieu seul et unique, mais aussi avec les autres dieux pour que nous ne commettions pas la même erreur que nos ancêtres.

    L’important pour nous humains c’est de mettre en pratique les Lois et Enseignements de notre seul Dieu SHADDAÏ et de son fils Jésus le Nazaréen, je sais que ce n’est pas facile, mais penser à Lui et le remercier indirectement de tous ses bienfaits c’est déjà une prière.

     

    Dernières phrase du chapitre précédent

     

    En faisant une religion « Trinitaire » la chrétienté dans son ensemble en fait une religion idolâtre, même pour le protestantisme qui a pour « Sceau », dans leur « Temple », juste une croix de bois, prétextant que Jésus-Christ n’avait plus lieu d’être sur la croix puisque son corps le jour de l’Ascension était partie rejoindre son Père, mais devant ces morceaux de bois en formant une croix, les fidèles prient la  matière espérant que celle-ci… !

     Devant El-Shaddaï il n’y a pas de « grands idolâtres » ou « petits idolâtres », mais des « idolâtres » simplement. De plus cette religion accepte ce fameux « Esprit-Saint ou Saint-Esprit » qui n’a aucune existence réelle, sauf dans l’esprit inventif des humains, qui se servent de ce mythe pour rendre leurs semblables en servitude à leur intention.

     

    Chapitre N° 14

     

    Résultante d’un Peuple ingrat

     

    Je reviendrai certainement sur cet embryon de la chrétienté Occidentale, nommée plus communément catholique, dont le Siège sera Rome, mais seulement après le Xème siècle, quand la scission entre l’Orient et l’Occident deviendra inévitable ayant comme divergence le « filioque », c’est-à-dire la consubstantialité entre la nature du « Père » et celle du « Fils », l’Orient prenant pour siège Constantinople, devenant la chrétienté « Orthodoxe ». Entre ces deux mouvements chrétiens venant de la même origine se sera une guerre continuelle, par les armes au « Nom de Jésus-Christ » comme par les dogmes religieux. Quand à « l’embryon » qui n’est ni plus, ni moins qu’une révolution interne au christianisme catholique de l’époque, il portera le nom de « Protestant » et non le nom de son chef religieux catholique Martin Luther écœuré du comportement des Dignitaires Religieux se vautrant dans la luxure ainsi que les richesses, opprimant les classes agraires et autres par des impôts élevés.

    Pour une richesse instructive sur la religion je cite :

    « C’est en Allemagne, en 1529, qu’on parle pour la première fois de « Protestants ». Ce quolibet, qui à son origine voulait dire « proclamer, attester, faire profession de foi » est dans un premier temps, utilisé par les adversaires de la « Réforme » pour désigner les adeptes de cette dernière.

    A cette époque vers 1517, un moine allemand, théologien, Martin Luther commence à repenser l’Église et à lui proposer des changements profonds en publiant quatre-vingt-quinze « Thèses » dénonçant les travers de l’Église catholique romaine comme la vente des « Indulgences », et affirme que la Bible doit être la seule autorité sur laquelle repose la foi et doit pouvoir être lu par tout le monde. Il est soutenu dans sa « Réforme » par des théologiens tels que Jean Calvin, Ulrich Zwingli, Pierre Valdo, et des princes électeurs allemands et autres comme John Wyclif, Jan Hus, Lefèvre d’Étaples ainsi que l’empereur Charles Quint pourtant fervent catholique nommé aussi Charles de Habsbourg. Après avoir toléré pendant trois ans le mouvement de la Réforme, pour des raisons pécuniaires il convoque une assemblée politique où il ordonne le ralliement inconditionnel à l’Église catholique romaine.

    Les Princes s’y refusent, ils « protestent devant Dieu // ainsi que devant tous les hommes » de leur refus d’admettre un décret qu’ils jugent contraire « à Dieu, à sa sainte Parole, à leur conscience et au salut de leur âme », d’où ce titre de « Princes Protestants ». Plus d’un siècle après tous ces évènements les adeptes de la Réforme tentent de provoquer des changements au sein de l’Église catholique romaine sans y parvenir. La rupture est inévitable, c’est le début officiel du Protestantisme.

    Aujourd’hui au sein de la seule fédération protestante de France, on dénombre vingt-six unions d’Églises telles que les Luthériens, Baptistes, Calvinistes et la plus importantes Évangéliques, tandis que sur le plan international, ce sont environs trois cent vingt Églises issues du protestantisme qui participent au « Conseil Œcuménique des Églises », aux côtés d’une trentaine d’Églises orthodoxes et des Églises vieilles-catholiques. »

    Après ce petit cours d’histoire théologique je reviens à la naissance pure du mouvement des Nazôréens et au choix des Apôtres.

    Jésus le Nazaréen est de naissance hébraïque-araméenne, donc en français c’est un « Juif ». Avant toute chose Jésus choisit soixante-douze Disciples qui sont hébreux dont une minorité est hellénisée c’est-à-dire de culture grecque. C’est parmi ces soixante-douze Disciples que Jésus choisira ses Apôtres, tous de culture religieuse hébraïque.

    Pourquoi Jésus le Nazaréen choisit-il soixante-douze Disciples en premier et que parmi ce nombre il choisit de nouveau douze Disciples tellement différent mais ayant, quand même pour certains des liens familiaux très proches, qu’il nommera « Apôtres » ?...

    Voyons ces « Disciples » qui porteront le nom « d’Apôtre » et qui recevront le pouvoir de guérir les maladies, mais le plus important est celui de l’exorcisme, avoir la force et le pouvoir de dominer sur les « Serviteurs de Sammaël représentants du mal », en les chassant, les expulsant du corps, de l’esprit, de leurs semblables.

    Matthieu X : 3 et +, Marc III : 13-19, puis Luc VI : 12-16, voici donc ces douze « Apôtres » que l’on nommera vulgairement « les Douze »

    « Deux frères qui sont pécheurs sur la mer de Génézareth Syméon nommé Simon-Pierre surnommé « Képhas », (Jean I : 42), le « Rocher » en français et qui gardera le prénom de Pierre et son frère André, puis Jésus prend deux autres frères Jacques et Jean dit l’Évangéliste, mais nommé par leur Maître, « Boanergès », qui signifient « fils du Tonnerre », fils Zébédée, tous deux pécheurs sur la Mer de Galilée, qui est la même que cité ci-dessus, puis Philippe, Barthélemy nommé aussi Nathanaël, Didyme Jude Thomas, sa ressemblance avec Jésus le Nazaréen était telle qu’il fut surnommé « Didyme », qui signifie « Jumeau » et son véritable prénom était Judas, mais à cause d’Iscariote il fut nommé « Jude », ensuite il y a les frères d’Alphée appelé souvent « Frères de Jésus-Christ » ce qui ait une absurdité notoire. Matthieu dénommé Lévi, « le publicain, collecteur d’impôts ou douanier », fils d’Alphée, ses frères Jacques dit le Mineur, le Petit et Jude fils d’Alphée interpelé « Thaddée » dans certains « Évangiles » et dit fils de Jacques le Mineur dans d’autres « Évangiles » pour ajouter un peu plus de confusion. Personnellement je pense qu’il est le petit frère de Jacques fils d’Alphée. Nous avons pour terminer Syméon susnommé le Cananite ou le Zélote, désigné aussi comme Simon le Zélote fils de Clopas et de Marie Jacobée, et le dernier Apôtres Judas d’Iscariote qui trahit Jésus le Nazaréen, pour trente sicles d’argent. »

    Simon apostrophé de Zélote, fils de Clopas fut choisit à la succession de Jacques le Majeur, ou Jacques Zébédée frère de Jean après la destruction du Temple de Jérusalem en 70 de l’EC.

    Ce que je vous écris en ce moment est très important pour la connaissance historique, bien sûr, et pour notre propre foi.

    Toute cette partie territoriale du delta du Tigre et de l’Euphrate en remontant vers leur source, puis rejoignant la Grande Mer, qui est la Mer Méditerranée, suivant les côtes vers le pays de Canaan, allant jusqu’au grand delta du Nil remontant ce fleuve vers la Nubie, ou continuant le long des côtes « jusqu’à l’immensité d’eau qui avale le soleil » sont des routes de passage des troupeaux de nomades, mais aussi de convoitises guerrières car toute cette partie de terre est fertile.

    En effet nous sommes dans les années 1700, 1500 avant l’EC., ou J-C., (EC = Ère Commune, J-C. = Jésus-Christ) et se sont les Hyksôs qui gouverne la Basse et Moyenne Égypte. Ces Hyksôs ont une puissance militaire incontestable pour l’époque, arc en composite, char de guerre, cote de maille, casque de fer pour protéger la tête, bouclier d’une efficacité reconnue, juste ce qu’il faut pour faire réfléchir plus d’un roi.

    D’après les historiens ils forment la XV et XVIème dynastie égyptienne.

    Ils se sont installés en Basse et Moyenne Égypte sans combats. Ils laissent les différents vassaux en place leur exigeant un tribut. Les souverains Hyksôs au contact de la civilisation égyptienne, beaucoup plus avancé que la leur, adoptent le protocole et les titres de la cour royale. Dans le gouvernement de l’Égypte, ils conservent l’organisation administrative existante. Pour ce faire, ils utilisent un personnel de fonctionnaires égyptiens. Ils installent des petits royaumes contrôlés par des Égyptiens collaborateurs en Moyenne-Égypte. Tous ces vassaux forment la XVIème Dynastie.

     Ces gens, les « Hyksôs », n’avaient pas besoin de faire la guerre, tellement la supériorité militaire était importante.

    C’est dans ce contexte historique que Joseph arrive en Égypte, et qu’il devient la seconde personnalité la plus importante après le Roi qui serait « Méry-ouser-Rê soit Yaqoub-Her »

    Le nom sémitique « Jacob » puisse apparaître sous la forme de « Yaqoub-Her » des rois Hyksôs, demande une certaine prudence avant d’affirmé que c’est bien le Jacob biblique.

    L’Égypte n’est pas encore la grande dynastie pharaonique de l’ère de Moïse.

    Avec l’aide de son fils Joseph, Grand Intendant du pays d’Égypte, Jacob vient s’installer dans ce pays où il leur fut donné le pays de Goshen à la limite orientale du Delta du Nil.

    Quand Jacob fut enterré en Palestine tous reviennent vivre en Égypte, ils sont avec les douze fils de Jacob soixante-dix. Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Issacar, Zabulon, Dan, Nephthali, Gad, Asher, Joseph qui formeront deux tribus celle de Manassé et d’Éphraïm, Benjamin, seront les douze tribus qui formeront le Pays d’Israël. Tous auront un territoire en Israël sauf la tribu de Lévi qui sera responsable de la Prêtrise.

    Comme je l’ai déjà écrit le « Peuple » d’Israël c’est formé en terre étrangère, c’est-à-dire en Égypte. De soixante-dix humains sous le règne des Hyksôs qui gouvernaient l’Égypte, la descendance de Jacob était de trois à quatre cent mille hommes en quatre cent ans environ puisqu’à l’ère de Moïse nous sommes sous le Pharaon Ramsès II, qui fit construire son palais non loin d’Avaris ancienne cité royal des Hyksôs, qu’il nomma « Pi-Ramsès ».

    Les Lois religieuses qu’observaient la descendance d’Abraham, puis des fils de Jacob en terre étrangère étaient la circoncision, le respect du sabbat, et la croyance en un Dieu seul et unique qu’ils nommaient « EL-SHADDAÏ » qui signifiait « Dieu au-dessus des Montagnes ».

    Ils devaient aussi respecter ce que l’on appelle les Lois Noachides c’est-à-dire les Lois et Préceptes qu’EL-SHADDAÏ donna à Noé lors de l’Alliance qu’il fit avec la race humaine en posant l’Arc-en-Ciel dans les nuées. Il répéta et ordonna ces mêmes Lois et Préceptes à Abraham et sa descendance, que l’humain nommera les « Sept Lois Noachides »

    Les voici :

    « Tu adoreras un seul et unique Dieu, celui qui créa le Ciel, la Terre, tous ce qui respire et tu ne blasphémeras pas.

    Tu n’adoreras pas d’image taillée représentant ce qui vit au Ciel, sur la Terre, sous la terre, dans les eaux.

    Tu n’auras pas des unions illicites

    Tu ne voleras pas

    Tu ne tueras pas comme un assassin

    Tu ne mangeras pas un animal vivant, avec son sang, étouffé

    Tu respecteras les tribunaux. »

    Le peuple hébraïque venant plus important que les indigènes, ceux-ci les mirent en esclavages afin de faire diminuer les naissances. Le faite que le peuple hébreux était plus prospère en naissance venait de leurs lois hygiéniques qui rendaient la mortalité infantile moindre.

    Le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ était reconnu par la circoncision.

    Ce Dieu libéra son « Peuple » du joug de l’esclavage et lui donna la Terre Promise. Les douze tribus formant le pays d’Israël étaient, si l’on peut dire, des états fédérés sous la tutelle d’un Roi. Pendant environ quatre siècles, jusqu’à la mort de Salomon, le pays respecta l’Alliance qui existait avec leur Dieu. En l’an 931 le pays d’Israël se scinda en deux, dix tribus qui continuèrent à être le Pays d’Israël, et les deux autres tribus, la grande Juda avec la petite Benjamin qui gardèrent Jérusalem comme capitale avec son Temple réserver à leur Dieu unique celui de Jacob et de Moïse. Les autres tribus adorèrent d’autre Dieux qu’ils posèrent tout le long de la frontière comme un défit et prirent comme capitale Samarie.

     Les dix tribus seront déportées par les assyriens dans tout l’Empire en 722 av l’EC., se sera la Diaspora. Quand au pays de Juda les élites seront déportées à Babylone, la capitale Jérusalem et le Temple réduit en cendre par les Babyloniens en l’an 587 av J-C. Si l’on connaît les prophéties sept semaines d’année après la destruction du Temple celui-ci sera reconstruit. Babylone se trouve sous domination Perse et Darius en 539 av l’EC., autorise les hébreux captifs à rentrer chez eux et on l’autorisation de reconstruire le Temple en 538 av J-C. Jusqu’en l’an 70 ap. J-C., où Jérusalem et le Temple seront complètement détruit, cette époque sera appelée, ère du Second Temple.

    Après la construction de ce second Temple les premières décennies les humains formant le peuple d’EL-SHADDAÏ respectèrent le contrat qui existait entre eux et leur Dieu. Mais les mauvais démons revinrent vite au galop, en particulier l’idolâtrie, alors EL-SHADDAÏ abandonna son peuple comme celui-ci l’avais abandonné. Le Pays, la Palestine fut tour à tour  sous le joug de la Perse, puis de la Grèce, puis de l’Égypte et enfin de Rome.

    Je viens de vous conter rapidement l’histoire du « Peuple » d’El-Shaddaï jusqu’à l’arrivé du dernier conquérant, celui au pied d’argile, dans la vision de Daniel.

    Nous sommes au IV, IIIème siècle antérieur à Jésus le Nazôréen. Très vite après la fondation de la ville portuaire d’Alexandrie en 331 av. l’EC., par Alexandre le Grand, la diaspora juive s’y développe fortement, en particulier autour du Palais Royal à un point tel que deux des cinq quartiers  de la cité sont déjà pris par les descendants d’Abraham, ce qui n’est pas exacte, mais qui n’est pas faux non plus si l’on considèrent que tout le peuple hébreu vient de la descendance de Jacob.

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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  • Devin

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Rappel, des dernières phrases du dernier chapitre N° 12

     

    L’écriture sur Hénoch dans l’Ancien Testament est tout ce qu’il y a, heureusement la Bible Éthiopienne considère les « Livres d’Hénoch » comme canonique et personnellement c’est une chose merveilleuse pour nous et avec force je vous encourage à rechercher les « Livres d’Hénoch » et que ces « Écrits » soient marqués dans votre mémoire et votre cœur. Comme je ne veux pas être égoïste voici pour vous : «  Édition Gallimard, Bibliothèque des Plaiades. La Bible tome III Écrits Intertestamentaires – Prix 60€ environ »

    Si vous n’êtes pas bien riche vous pouvez télécharger la version intégrale

    « Livre d’Hénoch » en ligne – Mais elle ne correspond pas à la version Éthiopienne dommage, mais utile quand même.

    Ne vous faites pas trop de soucis je vais bientôt revenir sur Saül de Tarse dit Paul, mais comme je suis sur le tout début de l’histoire humaine je continue car c’est ce qui me fortifie dans ma foi envers ce Dieu unique, alors ce qui est bon pour moi doit obligatoirement être encore plus pour vous comme cela vous avez une preuve que je cherche toujours à être le plus près possible de la vérité.

     

     

    Chapitre N° 13

    Les Humains déposés sur la Terre

    Les humains, ceux qui sortaient du « néant » grâce aux relations amoureuses de leurs parents, malgré, leur degré d’intelligence, comme déjà expliqué ci-dessus avaient d’énormes problèmes à résoudre. Voilà pourquoi EL-SHADDAÏ dans sa bonté envoya des « Veilleurs », ce sont des Anges qui sont fidèles à ce Dieu seul et unique El-Shaddaï, pour apprendre aux humains les plantes qui sont cultivables pour leur nourriture, comme le blé, le blé noir nommé communément « sarazin », l’orge, l’avoine, pour les différentes farines afin de confectionner du pain, des galettes, etc., mais aussi pour l’habillement en cultivant la jute, le lin qui avec la tige donne un fil fin, pour remplacer les pagnes en peau de bêtes domestiquées et sauvages. Ces « Veilleurs » apprirent aux humains les fruits pour manger, ainsi que les plantes et racines, mais aussi ceux pour teindre le tissu, et l’humain se servit de ces connaissances pour faire de la peinture.

    Je me répète souvent car cela est nécessaire, pour fortifier les anciens, vous Lectrices et Lecteurs, et pour que les nouveaux venus à cette lecture comprennent que ce que j’écris, je le fait avec honnêteté, essayant d’être le plus près possible de la vérité historique et spirituelle.

     El-Shaddaï n’a pas créé le « mal », mais celui-ci est venu par un être de sa création qui par vanité, orgueil, convoitise, voulut sans doute remplacer le « Maître Créateur », tout du moins venir son égal. El-Shaddaï, par justice, en façonnant ses « Serviteurs », voulut qu’ils soient comme Lui, posséder une « Intelligence », c’est-à-dire « l’Esprit » pour qu’ils détiennent des sentiments, la réflexion, le raisonnement, la pensé, enfin tout l’amalgame que forme « l’Esprit » la mémoire comprise, tout à sa ressemblance, de telle façon que tous ces êtres réaliser soient entièrement libre, mais ne pouvant pas se procréer. Ces « Serviteurs », ces êtres cosmiques, invisible à l’œil humain, seront nommé « Anges », par ce dernier qu’ils soient pour El-Shaddaï leur Créateur et le notre, ce qui désigne le bien ou pour Sammaël lui l’investigateur du péché, donc du mal.

    Ce fut grâce à cette liberté que le premier de ses « Serviteurs » conçut, du nom de Sammaël, ce rebella contre son « Créateur », celui qui l’avait façonné, voulant être son égal.

    Sammaël se révolta suite à un différent sur la plus belle création de ce Dieu unique, que je nomme « Dieu au dessus des Montagnes » soit « EL-SHADDAÏ », sa ressemblance en tout, son image, son reflet, où la majorité du monde Céleste de cette époque, voyant « l’Image » de leur Créateur dans sa main, se prosternât devant El-Shaddaï tenant son reflet dans le creux de sa main, une création magnifique façonnée avec la terre de la planète Terre et de l’eau de cette même planète, voilà pourquoi le premier « Serviteur », Sammaël, à être créé, refusa de se prosterner devant El-Shaddaï avec son image, son reflet, sa ressemblance en tout dans la main grande ouverte, car la matière de fabrication était considéré comme vulgaire par ce premier vivant céleste, eux modelés avec les matières du Cosmos et le Feu.

    El-Shaddaï s’irrita et plongea Sammaël et tous ceux qui le suivirent dans un profond sommeil, puis déposa son image sur la Terre. Quelques temps s’écoulèrent et El-Shaddaï prit son image et lui insuffla un « Souffle de Vie » -- autres écrits : une « haleine de vie »  ou « un Vent de Vie » -- et le reflet devint un être vivant et El-Shaddaï le nomma « Homme » soit « Adam ».

    L’homme était seul sur la Terre et il donnait un nom aux couples d’animaux, aux plantes, aux bêtes et bestioles, mais lui … « Il n’est pas bon que l’homme reste seul sur la Terre, faisons lui une compagne à son image » telles furent les paroles d’El-Shaddaï. Il endormit l’homme profondément, lui pris la plus petite côte, et façonna une compagne à l’homme. Il réveilla l’homme et lui présenta sa compagne. Ce dernier la voyant s’exclama : « Tu es chair de ma chair et os de mes os, tu es mienne ! »

    Tous deux continuèrent le travail d’entretient du « Territoire d’Éden » donnant un nom à toutes les nouvelles plantes qu’ils découvraient, ainsi qu’aux animaux bêtes et bestioles.

    EL-SHADDAÏ réveilla Sammaël et les siens, et les jeta hors des Cieux leur donnant pour vivre tout le Territoire de la Terre et de ses environs, et depuis ce « Temps » Sammaël est le Roi de la Terre, et gouverne ses environs, donc son territoire de promenade, si je puis m’exprimer ainsi comprend la Galaxie de la Terre et des environs de cette Galaxie. Nous sommes dans « l’Espace » cela ne l’oublions pas alors comment délimité les environs d’un territoire comme une Galaxie ?

    Sammaël et les siens enseignèrent eux aussi les humains et il arriva parfois que les plantes du mal grâce à l’intelligence de l’humain firent du bien, mais le contraire exista aussi. Ils apprirent aux humains l’art de la divination avec toutes sortes de choses, en passant par les cartes, les entrailles de poissons, les os de poulet, mais aussi les astres, l’envoutement, les dévotions aux Dieux par les images taillées, et les grandes fêtes ou l’iniquité de l’humain était poussée à son maximum par de grandes débauches, où le sexe était Roi par l’adoration au Dieu Priape.

    Aujourd’hui, XXIème siècle, la royauté de Sammaël sur la Terre n’est plus à démontrer, car il a su se déguiser en « Ange de Lumière » avec toutes ses « Saintes » sorties dans tous les Continents de la Terre, dans toutes les religions où l’idolâtrie va vers son maximum, et en même temps la perte de spiritualité par les humains, avec un nombre croissant de jour en jour disant que « Dieu », c’est-à-dire EL-SHADDAÏ n’existe pas et n’a jamais existé.

    Avec l’aide de l’humain et grâce à l’humain, Sammaël ne serait-il pas entrain de gagner son « Défit » ?

    Mais il y a toujours, depuis Noé, un petit nombre d’humains sur la Terre qui reste fidèle à El-Shaddaï et à cause de ce petit nombre, Sammaël est en grande colère car il ne sait pas comment les combattre car ils sont libres, comme lui l’ai et l’a été, et à cause de cette liberté inattaquable, car chacun, individuellement, est libre de son choix, il ne peut pas les anéantir.

    Dans les dernières décennies, quand l’humain sera arrivé au paroxysme de son iniquité, que le frère tuera son propre frère, puis sa sœur, que le père ira dans le lit de sa fille, la mère dans le lit de son fils, que la majorité des humains pratiqueront le contre-nature car l’humanité entière sera pire que les villes de Sodome et Gomorrhe, que la nature ne donnera plus son fruit en son temps, les saisons n’étant plus des saisons, quand la pluie tombera en abondance dans des endroits où elle ne devrait pas tomber, comme les déserts et qu’elle ne surviendra plus dans les terres de cultures et de forêts, quand tout cela arrivera sur la Terre, alors vous, le fidèle petit groupe d’humains sur la Terre, vous saurez que votre libération est proche, mais Sammaël et ses Serviteurs aussi savent que la fin de leur emprise sur l’humain, sur toute la terre de la Terre vient à son terme, alors ils vous chercheront et seront aveugle, car c’est ce petit groupe d’humains éparpillé sur toute la Terre qui contrarie ses plans, surtout que Sammaël a toujours dit que si, il n’arrivait pas à ses fins, il détruirait la Terre en trois jours.

     Je vous le dis quand tous ces « Signes » viendront dans la même décennie, alors vous « Fidèles des Fidèles », vous les « Serviteurs, les Justes d’EL-SHADDAÏ » vous saurez que c’est le jour de la colère de votre « Dieu SHADDAÏ », que Sammaël et les Siens seront en rage contre vous, vous cherchant par toute la Terre sans en trouver aucun, pour vous donner la mort définitive.  Si par mégarde un de ces fidèles venait à être tués, il serait ressuscité sur le champ.

    Après cette période de chaos, de massacre, de haine où le sang des humains fera des rivières et des fleuves, l’humain commencera à ressusciter.

    Longtemps après les premiers ressuscités, El-Shaddaï soumettra les humains à la dernière épreuve afin de connaître leur fidélité en libérant Sammaël et les Siens. Comme aujourd’hui, pas de torture, pas de menace, sachant qu’ils leur restent un court moment, ils se serviront de tous les artifices qui sont dans leurs mains.

    En parlant de l’humain EL-SHADDAÏ a fait écrire :

    « Je les épurerai comme le fondeur épure l’or précieux, ils seront mon Peuple car le péché n’existera plus, ils paîtront dans l’herbe grasse ayant comme Pasteur mon Fils, leur Roi, et éternellement, perpétuellement, ils vivront en harmonie avec tous les animaux de la Terre ceux-ci faisant allégeances à l’homme. »

    Tout ce qui vient d’être écrit se réalisera, mais j’écris encore ceci, dans cette dernière épreuve où le péché n’existe plus sur la Terre, car par son sacrifice, remplaçant le « petit bétail », Jésus le Nazaréen mourut sur la croix objet de la torture romaine, la crucifixion, et trois jours après, par la volonté de son Père EL-SHADDAÏ, qui le ressuscita, devenant ainsi le vainqueur des Ténèbres et de même rachetait la transgression des deux premiers humains responsables de la mort suite à leur désobéissance.

    Pendant cette période très courte où Sammaël et les Siens sachant qu’ils vont à la mort définitive, vont s’acharner sur l’humain pour en entraîner le maximum dans la mort définitive avec eux, et, beaucoup de fidèles d’EL-SHADDAÏ de la première heure tomberont, car Sammaël les attaquera sur leurs points faibles et eux, comme les premiers humains, connaissant la sentence, choisiront quand même les voies de Sammaël, à cause de la vanité, de l’orgueil choisissant honneur, richesses, luxure, oubliant les bienfaits d’EL-SHADDAÏ, ces Lois et Préceptes ainsi que tous les Enseignements de son Fils Bien-Aimé, Jésus le Nazôréen.

    Pourtant là, à cette seconde mort, il n’y aura pas de ressuscité, car c’est une mort définitive, sans pardon, car l’être humain n’aura pas d’excuse puisqu’il sera parfait comme Jésus le Nazaréen, comme Adam et Ève, avant leur transgression, c’est lui volontairement qui choisira sa destiné ! …

    Je viens de vous écrire des lignes avec les « Signes » Apocalyptiques, mais aussi des lignes de joie, de bonheur où la terre de la planète Terre donnera du fruit afin que la famine ne soit plus sur cette Terre, tout comme la maladie, celle-ci découlant de l’autre.

    Alors il est juste de mettre l’Humain à l’épreuve une dernière fois, car ceux qui resteront, seront fidèle pour l’éternité, puisqu’ils ont su résister aux faveurs mirobolantes de Sammaël et des Siens, qu’ils ont su résister dans l’adversité. Sammaël et les Siens seront jetés dans le néant pour que plus jamais, éternellement le péché, le mal, ne soit sur la magnifique Terre créé pour l’humain.

    Je sais que tout ce que je viens d’écrire le fut sur la Terre dans des codex, Lettres, Épîtres, Évangiles, par le premier des « Scribe » humain, je cite Hénoch, mais aussi par Moïse, les Prophètes, les Apôtres de Jésus le Nazaréen, ce dernier n’ayant jamais écrit une ligne à part le nom de son Père dans le sable, et les tous premiers Disciples qui en donnèrent confirmation.

    Je certifie l’exactitude de ce que je viens d’écrire, car je le possède dans mon cœur et mon esprit, et par celui-ci je rédige pour votre connaissance, mais je vous promets que je reviendrai certainement sur ces lignes apocalyptiques avec des références, car pourquoi vous mentir, pourquoi affabuler, jouer les hâbleurs, qu’est-ce-que je gagnerai, rien !, puisque vous me connaissez que par le pseudonyme de « Grandeloupo », et ma conscience !, comment aurai-je le courage de vous écrire sur ce Dieu unique EL-SHADDAÏ, et pensez-vous sincèrement qu’il me laisserait consigner des fadaises ? Impossible ! Comme à mon habitude, vous mes semblables je vous laisse juge, car je pense sincèrement que ce Dieu Shaddaï que je vénère et adore me jugera sûrement plus sévèrement que vous et que pour moi le mensonge signifie la « Mort » certaine et définitive, c’est l’autoroute pour le « Néant » !...

    Je reviens donc aux écrits de Saül de Tarse, Disciple de Jésus le Nazaréen, apôtre, et non Apôtre, car il fut un grand messager pour notre Roi, à son époque.

    Notre enseignement pour trouver le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique, sont les Évangiles mais aussi les Lettres et Épitres des Apôtres et Disciples diffusées dans les premières décennies de la mort de Jésus le Nazaréen.

     Je le répète souvent, « seul et unique Dieu », car « Il » est incrusté dans les dogmes de la chrétienté, cette « Trinité » voulant dire « un », alors que pour moi une trinité c’est « trois » et pas un, et le dogme chrétien fait avaler à ses ouailles cette impossibilité évidente, ainsi le Père « Dieu », avec le Fils « Dieu », plus le Saint-Esprit ou Esprit-Saint « Dieu » ne font qu’un « Dieu », mais vous constaterez que le Dieu « Dieu »  devient « DIEU » pour lui-même, ce qui est une aberration dans l’illogisme.

    La religion hindou a au moins cette honnêteté de faire une « Trimurti » avec les dieux Brahmâ, Vishnou, Shiva, qui donne le Dieu seul, le « Brahman » dans l’ensemble nommé le « Shivaïsme. ».

    Par cette remarque, je voulais écrire « nous », mais je tiens à vous laisser la liberté de conscience donc je vais dire « je » car cela n’engage que ma liberté de conscience, vous laissant libre de votre raisonnement donc, je constate que la chrétienté a comme fondation le mensonge, refusant d’admettre la trilogie de leur « Dieu », dieu Père, dieu Fils, dieu Esprit-Saint.

    En faisant une religion « Trinitaire » la chrétienté dans son ensemble en fait une religion idolâtre, même pour le protestantisme qui a pour « Sceau », dans leur « Temple », juste une croix de bois, prétextant que Jésus-Christ n’avait plus lieu d’être sur la croix puisque son corps le jour de l’Ascension était partie rejoindre son Père, mais devant ces morceaux de bois enformant une croix, les fidèles prient la  matière espérant que celle-ci… !

     Devant El-Shaddaï il n’y a pas de « grands idolâtres » ou « petits idolâtres », mais des « idolâtres » simplement. De plus cette religion accepte ce fameux « Esprit-Saint ou Saint-Esprit » qui n’a aucune existence réelle, sauf dans l’esprit inventif des humains, qui se servent de ce mythe pour rendre leurs semblables en servitude à leur intention.

    Je continuerai ces écrits bibliques dans le prochain chapitre.

    En attendant je vous laisse à vos vérifications et remarques

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


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