•  

    Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes qualités, et mon caractère.

    Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas. Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

    De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Mais aussi :

    « Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

    Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

    -------------------------------------------------------------

    Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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    Dernière phrase du chapitre précédent

    Je vous le jure pécheur, par EL-SHADDAÏ, le Grand -- (Très-Haut) --, chacun de vos méfaits sera découvert dans le ciel, aucun acte inique restera caché. Ne croyez pas en votre âme, ne croyez pas en votre cœur qu’on ne connaît pas vos méfaits, qu’on ne les voit pas, qu’ils ne sont pas observés, ni inscrits devant le Très-Haut. Sachez désormais que tous vos forfaits sont inscrits jour après jour, jusqu’au jour de votre jugement. » [( Bible éthiopienne, livre Hénoch, I Hénoch XCVIII :4-6 )]

    ( Les écrits d’Hénoch étaient connu de Moïse, car il donna l’ordre à Josué de déposer ces écrits dans des jarres afin de les conserver. La légende dit que le patriarche Hénoch avait prescrit à ses enfants de distribuer ses livres à leurs enfants, de génération en génération.)

     

    H.C. -- Chapitre N° 24

     

    Enseignement Volet VI

     

    Misère de l’Homme

     

    « Un sort pénible a été fait à tous les hommes, un joug pesant accable les fils d'Adam, depuis le jour qu'ils sortent du sein maternel jusqu'au jour de leur retour à la mère universelle.

    L'objet de leurs réflexions, la crainte de leur cœur, c'est l'attente anxieuse du jour de leur mort.

    Depuis celui qui siège sur un trône, dans la gloire, jusqu'au miséreux assis sur la terre et la cendre, depuis celui qui porte la pourpre et la couronne jusqu'à celui qui est vêtu d'étoffe grossière, ce n'est que fureur, envie, trouble, inquiétude, crainte de la mort, rivalités et querelles.

    Et à l'heure où, couché, l'on repose, le sommeil de la nuit ne fait que varier les soucis à peine a-t-on trouvé le repos qu'aussitôt, dormant, comme en plein jour, on est agité de cauchemars, comme un fuyard échappé du combat.

    Au moment de la délivrance on s'éveille, tout surpris que sa peur soit vaine.

    Pour toute créature, de l'homme à la bête, mais pour les pécheurs, au septuple, la mort, le sang, la querelle et l'épée, malheurs, famine, tribulation, calamité !

    Tout ce qui vient de la terre retourne à la terre, et ce qui vient de l'eau fait retour à la mer. »

    « N'est-ce pas un temps de service qu'accomplit l'homme sur terre, n'y mène-t-il pas la vie d'un mercenaire ?

    Tel l'esclave soupirant après l'ombre ou l'ouvrier tendu vers son salaire, j'ai en partage des mois d'illusion, à mon compte des nuits de souffrance. »

    « Et l’homme s'effrite comme un bois vermoulu ou comme un vêtement dévoré par la teigne, lui, né de la femme, qui a la vie courte, mais des tourments à satiété.

    Pareil à la fleur, il éclôt puis se fane, il fuit comme l'ombre, sans arrêt.

    Et sur cet être Tu [ EL-SHADDAÏ ] gardes les yeux ouverts, tu l'amènes en jugement devant toi !

    Mais l'homme, s'il meurt, reste inerte; quand un humain expire, où donc est-il ?

    Les eaux de la mer pourront disparaître, les fleuves tarir et se dessécher, mais l'homme une fois couché ne se relèvera pas, les cieux s'useront avant qu'il ne s'éveille, ou ne soit réveillé de son sommeil. »

    « Mieux vaut un nom que l'huile fine, et le jour de la mort que le jour de la naissance. »

    « Et je fais l'éloge de la joie, car il n'y a de bonheur pour l'homme que dans le manger, le boire et le plaisir qu'il prend; c'est cela qui accompagne son travail aux jours de la vie qu’EL-SHADDAÏ Dieu lui donne sous le soleil.

    Après avoir mis tout mon cœur à connaître la sagesse et à observer la tâche qu'on exerce sur la terre - car ni jour ni nuit on ne voit de ses yeux le repos - j'ai observé toute l'œuvre d’EL-SHADDAÏ Dieu : l'homme ne peut découvrir toute l'œuvre qui se fait sous le soleil; quoique l'homme se fatigue à chercher, il ne trouve pas. Et même si un sage dit qu'il sait, il ne peut trouver. »

    « Car que reste-t-il à l'homme de toute sa peine et de tout l'effort pour lequel son cœur a peiné sous le soleil ?

    Oui, tous ses jours sont douloureux et sa tâche est pénible; même la nuit il ne peut se reposer.

    Il n'y a de bonheur pour l'homme que dans le manger et le boire et dans le bonheur qu'il trouve dans son travail, et je vois que cela aussi vient de la main d’EL-SHADDAÏ Dieu, car qui mangera et qui boira si cela ne vient de lui ? »

    Ci-dessous je vais continuer à vous poser quelques lignes de ce livre « Bible » que rarement ceux qui jouent les « Enseignants », chrétiens de tous bords, catholique, orthodoxe, protestant, sectes et autres ne citent.

    Beaucoup sur la « Toile » veulent que nous les prenions pour des « Saints » ou des « Maître » en écrivant des prières sans fondement, avec des développements d’un verset biblique du Nouveau Testament autour d’un homme du nom de « Jésus-Christ », qu’il prennent pour un « Dieu » égal à son Père « Dieu ».Très rarement ils vous citeront les versets ci-dessous car cela les mettrait dans une position d’équilibriste.

    Vous, Lectrices et Lecteurs, dont le cœur et l’esprit sont toujours à la recherche de la « réelle Vérité », une fois la lecture faite, vous approuverez, je n’en doute pas, ce que j’ai écris au-dessus qui ne sont que des textes Bibliques.

     

    L’Homme dépravé

     

    « La passion brûlante comme un brasier, ne s'éteindra pas qu'elle ne soit assouvie; l'homme qui convoite sa propre chair il n'aura de cesse que le feu ne le consume; à l'homme impudique toute nourriture est douce, il ne se calmera qu'à sa mort.

    L'homme qui pèche sur sa propre couche et dit en son cœur :

    « «  Qui me voit ? L'ombre m'environne, les murs me protègent, personne ne me voit, que craindrais-je ? Le Très-Haut ne se souviendra pas de mes fautes

    Ce qu'il craint ce sont les yeux des hommes, il ne sait pas que les yeux du Seigneur EL-SHADDAÏ sont dix mille fois plus lumineux que le soleil, qu'ils observent toutes les actions des hommes et pénètrent dans les recoins les plus secrets.

    En pleine ville cet homme sera puni, quand il s'y attend le moins il sera pris. »

    « D'autres sont de ceux qui repoussent la lumière : ils en méconnaissent les chemins, n'en fréquentent pas les sentiers.

    Il fait noir quand l'assassin se lève, pour tuer le pauvre et l'indigent.

    L'œil de l'adultère épie le crépuscule : « Personne ne me verra », dit-il, et il met un voile sur son visage.

    Et dans la nuit marche le voleur, il perfore, dans les ténèbres, les maisons qu’il a repérées le jour.

    Ceux-là font partie des rebelles à la lumière ; ils n’en ont pas connu les chemins et ils ne sont point revenus par ses sentiers.

    Pour eux tous, le matin devient l'ombre de mort, car ils éprouvent les terreurs de l'ombre de mort. »

    Tout ce que je viens d’écrire ne sont que des textes qui sont écrits dans ce livre « BIBLE » que les « Dirigeants » de la chrétienté devraient en premier mettre en pratique et ensuite les conseiller à leurs fidèles dans leurs Temples, Églises, Chapelles, Cathédrales.

    Je vais continuer à vous écrire quelques lignes de différents sujets qui seront très utiles pour tous ceux qui veulent trouver le chemin qui mène vers ce Dieu unique, celui que je nomme EL-SHADDAÏ, « Dieu » pour vous chrétiens. C’est avec des textes comme ci-dessous que nous pouvons nous transformer, s’apercevoir de tous les efforts personnels et intérieur que nous devons pratiquer afin de supprimer définitivement les milliers de petites fautes que nous considérons sans importance, mais qui nous éloignent du chemin menant à EL-SHADDAÏ.

    Comme je vous l’ai déjà écrit ce sentier est long et pénible, car il nous mène vers la perfection, sachant absolument que je décèderais imparfait et que vous aussi vous n’atteindrez jamais la perfection sur cette Terre, telle qu’elle est aujourd’hui. Mais, sur ce « Sentier », que de bons « fruits » à manger pour notre Esprit, nous donnant un avant goût du « Paradis Terrestre ». Terminer ou vivre toutes ses années, ses mois, ses jours, dans le bonheur et la joie de l’Esprit est une chose merveilleuse, magnifique, même si le corps offre à certains d’entre-nous la souffrance.

    EL-SHADDAÏ avait réellement inspiré Salomon quand celui-ci a écrit :

    « L'esprit de l'homme peut endurer la maladie, mais l'esprit abattu, qui le relèvera ? »

    Ce que j’écris ci-dessous, écrit dans ce livre « Bible », est un enseignement simple terre-à-terre. Celui de Jésus le Nazaréen est plus sophistiqué, plus pour une généralité, un ensemble spirituel personnel, un comportement avec autrui, avec ses semblables, son prochain.

     

    Devoirs envers les Parents.

     

    « Car le Seigneur glorifie le père dans ses enfants, il fortifie le droit de la mère sur ses fils.

    Celui qui honore son père expie ses fautes, celui qui glorifie sa mère est comme quelqu'un qui amasse un trésor.

    Celui qui honore son père trouvera de la joie dans ses enfants, au jour de sa prière il sera exaucé.

    Celui qui glorifie son père verra de longs jours, celui qui obéit au Seigneur EL-SHADDAÏ donne satisfaction à sa mère.

    Il sert ses parents comme son Seigneur EL-SHADDAÏ.

    En actes comme en paroles honore ton père afin que la bénédiction te vienne de lui.

    Car la bénédiction d'un père affermit la maison de ses enfants, mais la malédiction d'une mère en détruit les fondations.

    Ne te glorifie pas du déshonneur de ton père il n'y a pour toi aucune gloire au déshonneur de ton père.

    Car c'est la gloire d'un homme que l'honneur de son père et c'est une honte pour les enfants qu'une mère méprisée.

    Mon fils, viens en aide à ton père dans sa vieillesse, ne lui fais pas de peine pendant sa vie.

    Même si son esprit faiblit, sois indulgent, ne le méprise pas, toi qui es en pleine force.

    Au jour de ton épreuve -- EL-SHADDAÏ -- Dieu se souviendra de toi, comme glace au soleil, s'évanouiront tes péchés.

    Tel un blasphémateur, celui qui délaisse son père, un maudit du Seigneur EL-SHADDAÏ, celui qui fait de la peine à sa mère. »

    « De tout ton cœur honore ton père et n'oublie jamais ce qu'a souffert ta mère.

    Souviens-toi qu'ils t'ont donné le jour que leur offriras-tu en échange de ce qu'ils ont fait pour toi ? »

    « Couronne des vieillards : les enfants de leurs enfants; fierté des enfants : leur père. »

    « Qui maltraite son père et chasse sa mère est un fils indigne et infâme. »

    « L'œil qui nargue un père et méprise l'obéissance due à une mère, les corbeaux du torrent le crèveront, les aigles le dévoreront. »

    NT

    « En effet, EL-SHADDAÏ Dieu a dit :

    « Honore ton père et ta mère, et Que celui qui maudit son père ou sa mère soit puni de mort. » »

    J’espère que tous ces textes bibliques que je vous pose, ne sont pas pour vous rébarbatif et ennuyeux.

    Si cela était le cas, veuillez me pardonner car il me semble que tous ces petits enseignements terre-à-terre sont bénéfiques pour notre transformation interne « esprit-cœur ». Je pense personnellement, puisque j’ai parcouru ce sentier volontairement, qu’il n’y a que cette solution pour arriver sur le chemin de vérité qui mène vers ce magnifique Dieu EL-SHADDAÏ.

    En attendant prenez soins de vous et portez-vous bien !

    Salutations cordiales.

    Sig: JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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    Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes qualités, et mon caractère.

    Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas. Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

    De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Mais aussi :

    « Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

    Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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    Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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    Dernière phrase du chapitre précédent

    Nous avons mon épouse et moi le respect de tout le monde, et nos enfants, par ricochet, sont appréciés de tous. Pourtant nous sommes de simple gens, sans fortune, avec notre petite retraite, tous savent que je suis un « Voyageur », certains de pays magrébins me surnomment le « Gitan », mais nous devons sans doute dégager quelque chose pour que tous ces semblables soient attentionnés pour nous.


    H.C. -- Chapitre N° 23

    Enseignement Volet V


    Interlude


    Vous qui me lisez depuis plusieurs temps, je reviens sur ce que certains « Chrétiens » sur le Net affirment. Ils écrivent, je les cite :

    « Dieu est miséricorde et pardonne tout »

    Ils citaient ce texte pour défendre l’homosexualité en particulier. Alors, en cherchant pour vous, Lectrices et Lecteurs, des écrits d’enseignements, par hasard mon esprit fut arrêté sur le texte que je vais vous écrire ci-dessous, en me prouvant encore une fois la puissance d’ESPRIT de ce Dieu Unique, mon Maître, EL-SHADDAÏ, qui prouve à ces « braves Chrétiens », que ce Dieu, « DIEU », pour ces « Chrétiens », ne pardonne pas tout.

    Livre Biblique du Siracide ou l’Ecclésiastique chapitre 16 : 4 - 13 plus les versets 17-20

    « Par un seul homme intelligent une ville se peuple, mais la race des pervers sera détruite.

    J'ai vu de mes yeux beaucoup de choses semblables et de mes oreilles j'en ai entendu de plus fortes.

    Dans l'assemblée des pécheurs s'allume le feu, dans la race rebelle s'est enflammée la Colère.

    « EL-SHADDAÏ »  Dieu n'a point pardonné aux géants d'autrefois qui s'étaient révoltés, fiers de leur puissance.

    Il n'a pas épargné la ville où habitait Lot leur orgueil lui faisait horreur.

    Il n'a pas eu pitié de la race de perdition ceux qui se prévalaient de leurs péchés.

    Il traita de même 600.000 hommes de pied, qui s'étaient ligués dans la dureté de leur cœur.

    N'y eût-il qu'un seul homme au cou raide, il serait inouï qu'il restât impuni, car pitié et colère appartiennent au Seigneur puissant dans le pardon, répandant la colère.

    Autant que sa miséricorde, autant est grande sa sévérité, il juge les hommes selon leurs œuvres.

    Il ne laisse pas impuni le pécheur avec ses larcins, il ne fruste pas la patience de l'homme pieux.

    Ne dis pas : « Je me cacherai pour échapper au Seigneur; là-haut qui se souviendra de moi ? Au milieu de la foule je ne serai pas reconnu, que suis-je dans la création immense ? »

    Voici : le ciel, le plus haut des cieux, l'abîme et la terre sont ébranlés lors de sa visite.

    En même temps les montagnes et les fondements de la terre tremblent sous son regard.

    Mais à tout cela on ne réfléchit pas; qui donc s'intéresse à ses voies ? »

    Ces quelques lignes nous prouvent qu’EL-SHADDAÏ ne pardonne pas tout. Ce qu’écrivent ces Chrétiens n’est que leur invention personnelle, car le contre-nature mérite la mort définitive pour EL-SHADDAÏ ainsi que le blasphème.

    Cet interlude étant terminé je reprends le cours des enseignements que nous offre ce Livre BIBLE.

    L’HOMME

    L’homme dans la Création

    « Lorsque au commencement Dieu créa ses œuvres, sitôt faites, il leur attribua une place.

    Il ordonna ses œuvres pour l'éternité, depuis leurs origines jusqu'à leurs générations lointaines. Elles ne souffrent la faim ni la fatigue et n'abandonnent jamais leur tâche.

    Aucune n'a jamais heurté l'autre et jamais elles ne désobéissent à sa parole.

    Ensuite le Seigneur jeta les yeux sur la terre et la remplit de ses biens.

    De toute espèce d'animaux il en couvrit la face et ils retourneront à la terre.

    Le Seigneur a tiré l'homme de la terre pour l'y renvoyer ensuite.

    Il a assigné aux hommes un nombre précis de jours et un temps déterminé, il a remis en leur pouvoir ce qui est sur terre.

    Il les a revêtus de force, comme lui-même, à son image il les a créés.

    A toute chair il a inspiré la terreur de l'homme, pour qu'il domine bêtes sauvages et oiseau.

    Ils reçurent l’usage des cinq pouvoirs du Seigneur « EL-SHADDAÏ », comme sixième, il leur donna l’intelligence en partage, comme septième, la raison interprète de ses opérations.

    Il leur forma une langue, des yeux, des oreilles, il leur donna un cœur pour penser.

    Il les remplit de science et d'intelligence et leur fit connaître le bien et le mal.

    Il mit sa lumière dans leur cœur pour leur montrer la grandeur de ses œuvres.

    Il leur accorda encore la connaissance, il les gratifia de la loi de la vie, il a conclu avec eux une alliance éternelle et leur a fait connaître ses jugements ; leurs yeux contemplèrent la grandeur de sa majesté, leurs oreilles entendirent la magnificence de sa voix. »

    Il leur dit : «Gardez-vous de tout mal», il leur donna des commandements chacun à l'égard de son prochain.

    Leur conduite est toujours devant lui, jamais cachée à ses regards.

    Les hommes, conseils :

    « N'abandonne pas un vieil ami, le nouveau venu ne le vaudra pas. Vin nouveau, ami nouveau, laisse-le vieillir, tu le boiras avec délices.

    N'envie pas le succès du pécheur, tu ne sais comment cela finira.

    Ne te félicite pas de la réussite des impies, souviens-toi qu'ici-bas ils ne resteront pas impunis.

    Tiens-toi éloigné de l'homme qui est capable de tuer et tu n'auras aucune crainte de la mort. Si tu l'approches surveille-le bien, il pourrait t'ôter la vie. Sache bien que tu es entouré de pièges et que tu marches sur les remparts.

    Autant que tu le peux fréquente ton prochain et prends conseil des sages.

    Pour ta conversation recherche les hommes intelligents et que tous tes entretiens portent sur la loi du Très-Haut.

    Que les justes soient tes commensaux ( personnes qui mangent régulièrement à la même table ) et que ta fierté soit dans la crainte du Seigneur EL-SHADDAÏ.

    Un ouvrage fait de main d'ouvrier mérite louange, mais le chef du peuple, lui, doit être habile dans le discours.

    Le beau parleur est redouté dans la ville et le bavard est détesté. »

    La suite ressemble étrangement à certaines lectures que je fais sur le « Net » par des Chrétiens, et des humains qui se croient meilleurs que leurs semblables.

    Toujours écrit dans ce Livre Bible :

    le « conseiller » et le « sage »

    « Tout conseiller donne des conseils, mais il en est qui cherchent leur intérêt.

    Méfie-toi du donneur de conseils, demande-toi d'abord de quoi il a besoin car il donne ses conseils dans son propre intérêt de crainte qu'il ne jette son dévolu sur toi, qu'il ne te dise :

    «Tu es sur la bonne voie», et ne reste à distance pour voir ce qui t'arrivera.

    Ne consulte pas quelqu'un qui te regarde en dessous et à ceux qui t'envient, cache tes desseins.

    Ne consulte pas non plus une femme sur sa rivale, ni un poltron sur la guerre, ni un négociant sur le commerce, ni un acheteur sur une vente, ni un envieux sur la reconnaissance, ni un égoïste sur la bienfaisance, ni un paresseux sur un travail quelconque, ni un mercenaire saisonnier sur l'achèvement d'une tâche, ni un domestique nonchalant sur un grand travail; ne t'appuie sur ces gens pour aucun conseil.

    Mais adresse-toi toujours à un homme pieux, que tu connais pour observer les commandements, dont l'âme est comme la tienne, et qui, si tu échoues, sera compatissant.

    Ensuite, tiens-toi au conseil de ton cœur, car nul ne peut t'être plus fidèle.

    Car l'âme de l'homme l'avertit souvent mieux que sept veilleurs en faction sur une hauteur.

    Et par-dessus tout cela, supplie le Très-Haut, qu'il dirige tes pas dans la vérité.

    Tel homme est habile pour enseigner les autres qui, pour lui-même, n'est bon à rien; tel homme, beau parleur, est détesté, il finira par mourir de faim, car le Seigneur « EL-SHADDAÏ » ne lui accorde pas sa faveur il est dépourvu de toute sagesse. »

    « Ne blâme pas avant d'avoir examiné, réfléchis d'abord, puis exprime tes reproches.

    Ne réponds pas avant d'avoir écouté, n'interviens pas au milieu du discours.

    Ne t'échauffe pas pour une affaire qui ne te regarde pas et ne te mêle pas des querelles des pécheurs. »


    Néant et responsabilité de l’Homme -- { l’Humain } --


    « Qu'est-ce que l'homme ? A quoi sert-il ? Quel est son bien et quel est son mal ?

    La durée de sa vie : cent ans tout au plus.

    Une goutte d'eau tirée de la mer, un grain de sable, telles sont ces quelques années auprès de l'éternité.

    C'est pourquoi le Seigneur -- EL-SHADDAÏ -- use avec eux de patience et répand sur eux sa miséricorde.

    Il voit, il sait combien leur fin est misérable, c'est pourquoi il a multiplié son pardon.

    La pitié de l'homme est pour son prochain, mais la pitié du Seigneur -- EL-SHADDAÏ -- est pour toute chair il reprend, il corrige, il enseigne, il ramène, tel le berger, son troupeau.

    Il a pitié de ceux qui trouvent la discipline et qui cherchent avec zèle ses jugements.

    Par ta colère, nous sommes consumés, par ta fureur, épouvantés.

    Tu as mis nos torts devant toi, nos secrets sous l'éclat de ta face.

    Sous ton courroux tous nos jours déclinent, nous consommons nos années comme un soupir.

    Le temps de nos années, quelque 70 ans, 80, si la vigueur y est; mais leur grand nombre n'est que peine et mécompte, car elles passent vite, et nous nous envolons. »

    III ème Bible, Livre d’Hénoch :

    « De même qu’un Mont n’est jamais devenu et ne deviendra jamais un serviteur, ni une Colline une servante, de même le péché n’a pas été envoyé d’EL-SHADDAÏ --(d’en haut) -- sur la Terre, mais ce sont les hommes qui l’ont établi d’eux-mêmes, et ceux qui le font sont voués à une grande malédiction.

    La stérilité n’a été donnée également à une femme que par l’œuvre de ses mains. Il n’a pas été déterminé qu’une esclave devait être esclave ; cela ne vient pas d’EL-SHADDAÏ --(d’en haut) --, mais résulte d’une oppression. De même le péché n’a pas été donné d’EL-SHADDAÏ --(d’en haut) --, mais résulte d’une transgression.

    De même une femme n’a pas été créée stérile, c’est pour des fautes personnelles qu’elle a été punie de stérilité et mourra sans enfant.

    Je vous le jure pécheur, par EL-SHADDAÏ, le Grand -- (Très-Haut) --, chacun de vos méfaits sera découvert dans le ciel, aucun acte inique restera caché. Ne croyez pas en votre âme, ne croyez pas en votre cœur qu’on ne connaît pas vos méfaits, qu’on ne les voit pas, qu’ils ne sont pas observés, ni inscrits devant le Très-Haut. Sachez désormais que tous vos forfaits sont inscrits jour après jour, jusqu’au jour de votre jugement. » [( Bible éthiopienne, livre Hénoch, I Hénoch XCVIII :4-6 )]

    ( Les écrits d’Hénoch étaient connu de Moïse, car il donna l’ordre à Josué de déposer ces écrits dans des jarres afin de les conserver. La légende dit que le patriarche Hénoch avait prescrit à ses enfants de distribuer ses livres à leurs enfants, de génération en génération.)

    A bientôt pour la suite

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes  qualités, et mon caractère.

    Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas.  Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

    De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Mais aussi :

    « Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

    Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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    Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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    Dernière phrase du chapitre précédent

    En lisant l’histoire de l’Antiquité, nous  pouvons certifier sans nous tromper, qu’il était plus facile de se séparer entre époux, si la preuve formelle de la défaillance d’un des époux était faite, que de nos jours.

    Voyons maintenant le second,

    Je n’écris que des textes Bibliques, c’est-à-dire ce qui est écrit dans ce livre chrétien «  la BIBLE. »

     

    H.C. -- Chapitre N° 22

     

    Enseignement Volet IV

     

     

    LA FEMME

     

    Vous constaterez de vous-même en lisant les versets bibliques écrits ci-dessous, la véracité et l’immense « sagesse » que dégagent ces écrits bibliques. Vous aurez du mal à contredire ces quelques lignes tellement elles respirent la réalité.

    Il nous suffit de constater ! …

    « Il en est de même de la femme infidèle à son mari qui lui apporte un héritier conçu d'un étranger.

    Tout d'abord elle a désobéi à la loi du Très-Haut, ensuite elle est coupable envers son mari; en troisième lieu elle s'est souillée par l'adultère et a conçu des enfants d'un étranger.

     Telle est la conduite de la femme adultère : elle mange, puis s'essuie la bouche en disant :

     « Je n'ai rien fait de mal ! »

    Peut-on porter du feu dans son sein sans enflammer ses vêtements ?

    Peut-on marcher sur des charbons ardents sans se brûler les pieds ?

    Ainsi celui qui court après la femme de son prochain : qui s'y essaie ne s'en tirera pas indemne.

    Mais l'adultère est privé de sens, qui veut sa propre perte agit ainsi!

    Car la jalousie excite la rage du mari, au jour de la vengeance il sera sans pitié, il n'aura égard à aucune compensation, il ne consentira à rien, même si tu multiplies les présents.

    Toute blessure, sauf une blessure du cœur !

    Toute méchanceté, sauf une méchanceté de femme !

    J'aimerais mieux habiter avec un lion ou un dragon qu'habiter avec une femme méchante.

     Mieux vaut habiter en un pays désert qu'avec une femme querelleuse et chagrine.

    La méchanceté d'une femme change son visage, elle fait grise mine, on dirait un ours.

    Cœur abattu, visage triste, blessure secrète, voilà l'œuvre d'une femme méchante. Mains inertes et genoux sans force, telle est la femme qui fait le malheur de son mari.

    Ne donne pas à l'eau un passage, ni à la femme méchante la liberté de parler.

    Une femme méchante, c'est un joug à bœufs mal attaché; prétendre la maîtriser, c'est saisir un scorpion.

    Son mari s'attable parmi ses voisins et, malgré lui, il gémit amèrement.

    Toute malice n'est rien près d'une malice de femme que le sort des pécheurs lui advienne !

    Une montée sablonneuse sous les pas d'un vieillard, telle est une femme bavarde pour un homme tranquille.

    Ne te laisse pas prendre à la beauté d'une femme, ne t'éprends jamais d'une femme.

    Détourne ton regard d'une jolie femme et ne l'arrête pas sur une beauté étrangère. Beaucoup ont été égarés par la beauté d'une femme et l'amour s'y enflamme comme un feu.

     Un anneau d'or au groin d'un pourceau : une femme belle mais dépourvue de sens.

     Ne convoite pas dans ton cœur sa beauté, ne te laisse pas prendre à ses œillades, car à la prostituée suffit un quignon de pain, mais la femme mariée en veut à une vie précieuse.

    C'est un objet de colère, de reproche et de honte qu'une femme qui entretient son mari.

    Ne te livre pas entre les mains d'une femme, de peur qu'elle ne prenne de l'ascendant sur toi

    Ne va pas au-devant d'une prostituée tu pourrais tomber dans ses pièges.

     Ne te livre pas aux mains des prostituées tu y perdrais ton patrimoine.

    N'arrête pas ton regard sur une jeune fille, de crainte d'être puni avec elle

    C'est une calamité pour son père qu'un fils insensé, une gargouille qui ne cesse de couler que les querelles d'une femme.

    Près d'une femme mariée garde-toi bien de t'asseoir et de t'attabler pour des beuveries, de crainte que ton cœur ne succombe à ses charmes et que dans ta passion tu ne glisses à ta perte.

    C'est par la femme que le péché a commencé et c'est à cause d'elle que tous nous mourons

    Une femme qui boit, c'est un sujet de grande colère, elle ne peut cacher son déshonneur.

    L'inconduite d'une femme se lit dans la vivacité de son regard et se reconnaît à ses œillades.

    Méfie-toi bien d'une fille hardie de peur que, se sentant les coudées franches, elle n'en profite.

    Garde-toi bien des regards effrontés et ne t'étonne pas s'ils t'entraînent au mal.

    Comme un voyageur altéré elle ouvre la bouche, elle boit de toutes les eaux qu'elle rencontre, elle va au-devant de toute fornication et offre son corps à l'impureté.

    Devant qui que ce soit ne t'arrête pas à la beauté et ne t'assieds pas avec les femmes.

    Car du vêtement sort la teigne et de la femme une malice de femme.

    C’est crève-cœur et douleur qu'une femme jalouse d'une autre, et tout cela, c'est le fléau de la langue.

    Mieux vaut la malice d'un homme que la bonté d'une femme, une femme cause la honte et les reproches. 

    Une femme impie est donnée en partage au pécheur, une femme éhontée ne se plait que dans le déshonneur.

    Une femme hardie n’est pas plus respectée qu’un chien.

    Une femme criarde et bavarde est une trompette qui sonne la déroute ; tout homme, dans ces conditions, passe sa vie dans les fracas de la guerre. »

    Je n’ai posé que le quart de ce qui est écrit sur la femme, mais après tous ces conseils de garde que personne n’enseigne dans la religion chrétienne, même ces « grands professeurs de théologie du Net », car soi-disant se serait du masochisme, alors que ce n’est que réalité et vérité, il ne suffit que de regarder et écouter, je vais écrire avec ce livre Bible la joie et le bonheur d’un mari qui a une « Femme », une vraie, à ses cotés.

    Mais avant je ne peux résister à écrire ce merveilleux texte qui même aujourd’hui est d’une réalité étonnante.

    Je réitère ceci est écrit dans votre livre Bible.

    A vous de comprendre le sens

    « J'ai vu, parmi de jeunes niais, j'ai remarqué parmi des enfants un garçon privé de sens.

    Passant par la venelle, près du coin où elle est, il gagne le chemin de sa maison, à la brune, au tomber du jour au cœur de la nuit et de l'ombre.

    Et voici qu'une femme vient à sa rencontre, vêtue comme une prostituée, la fausseté au cœur.

    Elle est hardie et insolente; ses pieds ne peuvent tenir à la maison.

    Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, à tous les coins elle se tient aux aguets.

    Elle le saisit et l'embrasse et d'un air effronté lui dit :

    « J'avais à offrir un sacrifice de communion, j'ai accompli mes vœux aujourd'hui, voilà pourquoi je suis sortie à ta rencontre pour te chercher, et je t'ai trouvé.

    J'ai recouvert mon divan de couvertures, de tissus brodés, d'étoffe d'Égypte, j'ai aspergé ma couche de myrrhe, d'aloès et de cinnamome.

    Viens! Enivrons-nous d'amour jusqu'au matin !

    Jouissons dans la volupté !

    Car il n'y a point de mari à la maison : il est parti pour un lointain voyage, il a emporté le sac aux écus, à la pleine lune il reviendra chez lui. »

    A force de persuasion elle le séduit, par le charme doucereux de ses lèvres elle l'entraîne.

    Aussitôt il la suit, tel un bœuf qui va à l'abattoir, tel un fou marchant au supplice des entraves, jusqu'à ce qu'un trait lui perce le foie, tel l'oiseau qui se précipite dans le filet sans savoir qu'il y va de sa vie. »

    L’ÉLOGE de la FEMME

    « Une maîtresse femme est la couronne de son mari, mais une femme indigne est comme une carie dans ses os.

    Une femme gracieuse acquiert de l'honneur, les violents acquièrent la richesse.

    Heureux l'époux dont la femme est excellente, le nombre de ses jours sera doublé.

    Une femme parfaite est la joie de son mari, il passera dans la paix toutes les années de sa vie.

    Une femme excellente est une part de choix, attribuée à ceux qui craignent le Seigneur, riches ou pauvres, leur cœur est en liesse, ils montrent toujours un visage joyeux.

    La grâce d'une épouse fait la joie de son mari et sa science est pour lui une force.

    Une femme silencieuse est un don du Seigneur, celle qui est bien élevée est sans prix.

    Une femme pudique est une double grâce, celle qui est chaste est d'une valeur inestimable.

    Comme le soleil levant sur les montagnes du Seigneur, ainsi le charme d'une jolie femme dans une maison bien tenue.

    Une lumière brillant sur un lampadaire sacré, ainsi la beauté d'un visage sur un corps bien planté.

    Des colonnes d'or sur une base d'argent, ainsi de belles jambes sur des talons solides.

    Une femme de louage ne vaut pas un crachat, une épouse légitime est une citadelle qui tue ceux qui l’entreprennent.

    Une femme pudique est délicate même avec son mari.

    Une femme qui honore son époux passe pour sage aux yeux de tous, heureux le mari d’une femme excellente, car le nombre de ses jours sera doublé.

    La beauté d'une femme réjouit le regard, c'est le plus grand de tous les désirs de l'homme.

    Si la bonté et la douceur sont sur ses lèvres, son mari est le plus heureux des hommes.

    Celui qui acquiert une femme a le principe de la fortune, une aide semblable à lui, une colonne d'appui.

    Faute de clôture le domaine est livré au pillage, sans une femme l'homme gémit et va à la dérive.

    Comment se fier à un voleur de grand chemin qui court de ville en ville ?

     De même à l'homme qui n'a pas de nid, qui s'arrête là où la nuit le surprend.

    Une maîtresse femme, qui la trouvera ? Elle a bien plus de prix que les perles!

    En elle se confie le cœur de son mari, il ne manque pas d'en tirer profit.

    Elle fait son bonheur et non son malheur, tous les jours de sa vie.

    Elle cherche laine et lin et travaille d'une main allègre.

    Il fait encore nuit qu'elle se lève, distribuant à sa maisonnée la pitance, et des ordres à ses servantes.

    A-t-elle en vue un champ, elle l'acquiert; du produit de ses mains, elle plante une vigne.

    Elle ceint vigoureusement ses reins et déploie la force de ses bras.

    Elle sait que ses affaires vont bien, de la nuit, sa lampe ne s'éteint.

    Elle met la main à la quenouille, ses doigts prennent le fuseau.

    Elle étend les mains vers le pauvre, elle tend les bras aux malheureux.

    Elle ne redoute pas la neige pour sa maison, car toute sa maisonnée porte double vêtement.

    Elle se fait des couvertures, de lin et de pourpre est son vêtement.

    Aux portes de la ville, son mari est connu, il siège parmi les anciens du pays.

    Elle tisse des étoffes et les vend, au marchand elle livre une ceinture.

    Force et dignité forment son vêtement, elle rit au jour à venir.

    Avec sagesse elle ouvre la bouche, sur sa langue : une doctrine de piété.

    De sa maisonnée, elle surveille le va-et-vient, elle ne mange pas le pain de l'oisiveté.

    Ses fils se lèvent pour la proclamer bienheureuse, son mari, pour faire son éloge :

    « Nombre de femmes ont accompli des exploits, mais toi, tu les surpasses toutes! »

    Je peux vous certifier la véracité des versets écrits ci-dessus, ayant cet immense bonheur au sein de notre demeure.

    Comme je vous l’ai déjà écrit, étant atteint de ces « maladies nosocomiales » que les hôpitaux vous offrent gracieusement, je suis de mobilité réduite, sans compter le reste qui se détériore tout doucement sachant que personne ne peut vous guérir, car ce « microbe » qui vous mange, ils ne le connaissent pas. Vous partez plus rapidement que prévu vers le « Grand Sommeil » avec, en prime, la souffrance du corps, ce qui n’est rien comparé à la torture d’Esprit de beaucoup de mes semblables.

    Donc quand je me déplace en ville quel plaisir pour moi de voir ces gens de toutes races et couleurs se déplacer volontairement pour serrer la main de votre épouse ou lui faire une bise affectueuse, avec ces paroles taquines :

     « Alors Mamou ou Jacqueline, tu sors le « Vieux », tu fais prendre l’air à ton « Gros » ! ».

     Et ils sont contents de me voir, toujours un petit mot gentil, toujours ce sentiment d’affection sans hypocrisie, que du bonheur ! …

    De plus ils sont musulmans, chrétiens, protestants, certains TJ, d’autres Evangélistes, bouddhiste, etc … Maire, adjoint, patron d’entreprise, ivrogne, mendiant, « tout fou », viennent vous saluer et quérir de vos nouvelles.

    Nous avons mon épouse et moi le respect de tout le monde, et nos enfants, par ricochet, sont appréciés de tous. Pourtant nous sommes de simple gens, sans fortune, avec notre petite retraite, tous savent que je suis un « Voyageur », certains de pays magrébins me surnomment le « Gitan », mais nous devons sans doute dégager quelque chose pour que tous ces semblables soient attentionnés pour nous.

    La suite de ces écrits bibliques dans quelques jours, mais là, il sera question de l’Homme.

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


    votre commentaire
  • Lectrices et Lecteurs.

    Vu les chaleurs dans notre région, j'ai beaucoup de mal à faire ce que je devrai dû à ma santé comme vous le savez déjà. Alors je compte sur votre indulgence. Merci à vous ! Grandeloupo

    Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes  qualités, et mon caractère.

    Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas.  Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

    De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Mais aussi :

    « Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

    Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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    Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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    Dernière phrase du chapitre précédent

    La « Sagesse » veut que je vous laisse à votre réflexion personnelle, que vous vous aperceviez de la réalité de vos actes, de la véracité des textes ci-dessus, afin que par votre conscience, avec ce « Libre-choix », vous preniez vos responsabilités devant le Dieu unique EL-SHADDAÏ.

    Ceci étant écrit, je vais reprendre le cours des textes bibliques que vos « Haut-Personnages » devraient vous inculquer.

     

    H.C. -- Chapitre N° 21

    Enseignement Volet III

     

    Le DIVORCE -- La FEMME

     

    Souvenez-vous des paragraphes sur le vin et la liberté humaine, alors je vais continuer sur une réelle hypocrisie chrétienne comme le divorce et la femme.

    Commençons par le premier qui est le « Divorce » !

    L’église chrétienne condamne le « divorce ».

    Est-ce une loi biblique ?

    NON ! … !

    C’est une Loi décrétée par des hommes imparfaits fornicateurs et adultérins qui dirigeaient et dirigent toute la chrétienté sans exception.

    Voilà le genre de textes bibliques que pas un seul des internautes soi-disant chrétien ne citent, et je les comprends, car ils se prendraient « les pieds dans le tapis. »

    Je réitère, je ne vais me servir que du livre « Bible » pour toute explication vous laissant chercher, et le seul indice sera quand le texte viendra du Nouveau Testament je mettrai NT.

    « C'est pourquoi l'homme quitte son père et sa mère et s'attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair. »

    « Si elle ne marche pas selon ta main sépare-la de ta chair. »

    Autre version

    « Si elle n'obéit pas au doigt et à l'œil, sépare-toi d'elle. »

    « Soit un homme qui a pris une femme et consommé son mariage ; mais cette femme n'a pas trouvé grâce à ses yeux, et il a découvert une tare à lui imputer ; il a donc rédigé pour elle un acte de répudiation et le lui a remis, puis il l'a renvoyée de chez lui ; elle a quitté sa maison, s'en est allée et a appartenu à un autre homme.

     Si alors cet autre homme la prend en aversion, rédige pour elle un acte de répudiation, le lui remet et la renvoie de chez lui ou si vient à mourir cet autre homme qui l'a prise pour femme, son premier mari qui l'a répudiée ne pourra la reprendre pour femme, après qu'elle s'est ainsi rendue impure. »

    NT - « Voici donc que l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux ne feront qu'une seule chair. »

    Ci-dessous je pose un texte biblique qui a été remanié par les copistes, en accord avec la Haute Autorité religieuse du IV ou Vème siècle car il posait dilemme. Alors je vous pose ces versets bibliques et exceptionnellement je vais les commenter pour vous prouver le mauvais rajout de ce texte approuvé officiellement

    NT -Des Pharisiens s'approchèrent de lui -- Jésus le Nazaréen -- et lui dirent, pour le mettre à l'épreuve :

     « Est-il permis de répudier sa femme pour n'importe quel motif ? »

    Il répondit :

    « N'avez-vous pas lu que le Créateur, dès l'origine, les fit homme et femme, et qu'il a dit : Ainsi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux ne feront qu'une seule chair ?

    Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Eh bien ! ce que Dieu a uni, l'homme ne doit point le séparer. »

    « Pourquoi donc, lui disent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de divorce quand on répudie ? »

    « C'est, leur dit-il, en raison de votre dureté de cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; mais dès l'origine il n'en fut pas ainsi.

    Or je vous le dis : quiconque répudie sa femme - pas pour «  prostitution » - et en épouse une autre, commet un adultère. »

    Il faut lire attentivement ces lignes et vouloir comprendre. Il faut  avec l’esprit de raisonnement se mettre à l’ère de Jésus le Nazaréen. La Palestine ou le pays d’Israël moderne était sous tutelle romaine. Dans ce Pays il y avait plusieurs langues parlées, latin, grec, hébreux littéraire et vulgaire, l’araméen, sans compter les dialectes des paysans.

    A cette époque il était normal qu’un homme ait deux ou trois femmes s’il était dans le pouvoir de les choyer, nourriture, logis, vêtement, etc. Voilà pourquoi j’ai souligné « vos femmes » car Jésus le Nazaréen connaissait ce mode de vie internationale de l’époque. Avoir plusieurs femmes n’était pas une faute, loin de là, c’était même un signe extérieur de richesse. Même les gens pauvres pouvaient avoir plusieurs femmes s’ils étaient capables de les choyer et les protéger.

    Le verset suivant il y a ce rajout que Jésus n’a jamais prononcé «  pas pour prostitution ». Dans l’antiquité une femme adultère était considérée comme une prostituée. Quand elle se faisait prendre, soi l’époux la répudiait, soi, il la dénonçait devant les « Prêtres » et la foule pour qu’elle soit lapidée. Voilà pourquoi les premiers traducteurs hellénistes ont pris le mot  « porneia » - prostitution - à la place du mot « moïcheia » - adultère - car ce mot était peu employé.

    La répudiation faisait partie intégrante de la Loi Mosaïque et ces paroles de Jésus le Nazaréen le prouvent.

    NT -« Il est plus facile que le ciel et la terre passent que ne tombe un seul menu trait de la Loi. »

    Donc Jésus confirme bien la Loi sur le « divorce »

    Il existe aussi ce texte que peu de chrétiens connaissent en dehors des « Prélats » qui étudient les Écritures dans leur séminaire.

    L’Apôtre Nathanaël :

    « Ô Maître, si quelqu’un pèche en commettant le péché du corps, quel sera son salaire ? »

    Jésus le Nazaréen :

    « Le fait de ne se marier qu’une fois est affaire de sainteté. En vérité, je te le dis : après la troisième femme, celui qui pèche est indigne de mon Père. » ( p.294, 5 : 7-8, T1 EAC III Bible Ques. Nath. Barth.)

    Comment se fait-il que l’Église Chrétienne n’accepte pas le « Divorce » alors que la Bible l’autorise ? ...

    Voici un texte ou -- EL-SHADDAÏ -- Yahvé , lui-même parle du divorce en confirmant ce que je vous ai écrit ci-dessus

    « Si un homme répudie sa femme, et que celle-ci le quitte et appartient à un autre, a-t-il encore le droit de revenir à elle ?

    N'est-elle pas totalement profanée, cette terre-là ?

    Et toi qui t'es prostituée à de nombreux amants, tu prétends revenir à moi !

    Oracle -- d’EL-SHADDAÏ --  Yahvé.

    Elle a vu aussi que j'ai répudié la rebelle Israël pour tous ses adultères et lui ai donné son acte de divorce. Or la perfide Juda, sa sœur, n'a pas eu de crainte; elle est allée, elle aussi, se prostituer.

    Mais comme une femme qui trahit son compagnon, ainsi m'avez-vous trahi, maison d'Israël, oracle -- d’EL-SHADDAÏ --  Yahvé. »

    L’adultère est bien compris comme de la prostitution par EL-SHADDAÏ.

    Voici un autre texte ou son Fils, Jésus le Nazaréen, enseigne :NT :

    « Vous avez entendu qu'il a été dit : Tu ne commettras pas l'adultère.

    Eh bien ! moi je vous dis : Quiconque regarde une femme pour la désirer a déjà commis, dans son cœur, l'adultère avec elle.

    « Il a été dit d'autre part : Quiconque répudiera sa femme, qu'il lui remette un acte de divorce. »

    Pour répudier, enfin employons le terme, pour divorcer, il n’y avait pas que l’adultère, car une partie de texte ci- dessus stipule bien : « Soit un homme qui a pris une femme et consommé son mariage ; mais cette femme n'a pas trouvé grâce à ses yeux, et il a découvert une tare à lui imputer … »

    Comment était considéré le mariage dans l’antiquité et à l’ère de Jésus le Nazaréen ?

    A partir du moment que vous vouliez faire l’amour avec une jeune femme, quinze ans à l’époque, et que celle-ci était vierge, obligatoirement il y avait mariage. C’était un déshonneur pour les parents si une fille avait des rapports sexuels avant le mariage. Celle-ci était considérée comme une prostituée. Le mariage se faisait simplement. Les parents des deux parties se mettaient en accord pour tout ce qui était financier et dote et ils annonçaient à tout le village ou le bourg que le fils prenait pour épouse la fille de …

    Le festin et les réjouissances en général duraient plusieurs jours. Le religieux n’avait cours que chez les gens aisés ou connus tel que le Chef du Village ou du Bourg, les Prêtres, bien entendu, et en plus pour les hébreux les « Prophètes », le forgeron, charpentier, potier, patron pêcheur, tisserand, etc.

    Dans l’antiquité judaïque le divorce est exclusivement donné par le mari. Il ne peut cependant le faire que si son épouse est consentante. Il ne peut, en aucun cas, le faire sous la contrainte ou l'influence. Il nécessite donc l'accord des deux parties, contrairement à une croyance persistante, l'un qui « donne » et l'autre qui « l'accepte. »

    Chez les Romains et les Grecs, le mari divorçait aussi par répudiation, mais l’épouse répudiée partait avec sa dote, sauf en cas d’adultère.

     L’épouse pouvait, elle aussi demander le divorce en cas de maltraitance, et si cela était prouvé, l’épouse récupérait sa dote et en plus le mauvais mari devait lui payer dix-huit pourcent de la dote par année de mariage.

    La répudiation de l’épouse, en dehors de l’adultère, se faisait pour les mêmes raisons qu’aujourd’hui, c’est à dire une femme qui ne tenait pas son rôle de femme, mais le divorce pour la femme était aussi autorisé, comme maintenant, si le mari ne tenait pas son rôle d’époux c’est à dire subvenir aux besoins de la famille et de son épouse.

    En lisant l’histoire de l’Antiquité, nous  pouvons certifier sans nous tromper, qu’il était plus facile de se séparer entre époux, si la preuve formelle de la défaillance d’un des époux était faite, que de nos jours.

    Voyons maintenant le second,

    Je n’écris que des textes Bibliques, c’est-à-dire ce qui est écrit dans ce livre chrétien «  la BIBLE. »

    Je continuerai ces écrits bibliques dans le prochain chapitre.

    En attendant je vous laisse à vos vérifications et remarques

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


    votre commentaire
  • Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes  qualités, et mon caractère.

    Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas.  Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

    De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

    « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

    Mais aussi :

    « Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

    Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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    Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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    Dernière phrase du chapitre précédent

     

    Il connaît aussi les paroles d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour vous, qui dit en parlant de son peuple, je cite :

    « Je les épurerai comme on épure l’or précieux. »

    Allez lire ces versets, et vous-même vous comprendrez que cette idée de « PURGATOIRE » est vraiment une affabulation grossière des textes bibliques.

    Sans être médisant, les « Témoins de Jéhovah », « Adventiste du 7ème Jour », « Évangéliste » et autres, affabulent beaucoup sur les versets bibliques, comme ces « Grands Théologiens Chrétiens » que l’on peut lire sur le « Net ».

     

    H.C. -- Chapitre N° 20

    Enseignement Volet II

     

    Le « Dieu » Jésus-Christ ne vaut pas un pêt de lapin

     

    Pour finir je n’ai pu résister à vous poser ce texte officiel de la religion chrétienne et de son purgatoire, vous prouvant ainsi que l’enseignement de Jésus le Nazaréen est bien oublié, comme les Lois et Préceptes de son père génétique EL-SHADDAÏ.

    « Le catéchisme pour adultes, publié par la Conférence des évêques de France en 1991 avec l'accord de la Congrégation  pour la doctrine de la foi qui a donné le 23 janvier 1991 l'approbation du Saint-Siège, indique simplement ce qui suit :

    « ...Pour parvenir à cette contemplation de Dieu, une étape de purification, appelée purgatoire, peut être nécessaire. Il ne s'agit ni d'un lieu, ni d'un temps ; on peut parler plutôt d'un état. En tout cas, le purgatoire, qui est bien une peine, n'est pas à concevoir comme une punition, par laquelle Dieu se vengerait en quelque sorte de nos infidélités. La communion avec Dieu, dans laquelle nous introduit la mort, nous fait prendre conscience douloureusement de nos imperfections et de nos refus d'aimer, et du besoin de nous laisser purifier par la puissance salvatrice du Christ.

    C'est Dieu lui-même qui purifie et transforme. Mais la Tradition de l'Église catholique affirme que ceux qui sont au purgatoire bénéficient des prières et des supplications adressées en leur faveur à Dieu par leurs frères, et aussi de l'intercession des saints déjà introduits dans la béatitude de la vision de Dieu. »

    Cet interlude fini je reviens aux « écrits »

    Elle reflète l'angoisse des âmes, par la question du salut.

    Dès cette époque, on enregistre les premiers abus, la débauche de certains prêtres et moines qui vivent publiquement en concubinage, s'enrichissent avec l'argent des fidèles,  principalement la simonie : les fidèles marchandent auprès du prêtre un acte de charité, souvent sonnant et trébuchant.

    [ La simonie est, pour les Chrétiens, l’achat et la vente de biens spirituels, tout particulièrement d’une charge ecclésiastique.]

    Ainsi certains prélats devinrent des seigneurs, tirant des profits de la frappe de la monnaie  et exerçant le droit de ban. Ils exploitèrent tous les moyens pour accroître leur puissance : ils jouèrent sur la peur de l’enfer, extorquèrent des dons, et vendirent les sacrements.

    Les charges épiscopales et cléricales, vendues, furent l’objet d’un véritable trafic. On vit même des dynasties d’évêques s’établir et de Papes. ]

    Les « indulgences » sont par la suite vendues : dès que l'or tombe dans la sébile, l'âme s'échappe du purgatoire. La confusion du spirituel et du matériel accentuent les phénomènes de désacralisation de cette époque. []De plus en plus, le fidèle se confesse, non pas poussé par la conscience de la foi, de sa faiblesse, mais par peur de la punition après la mort.

    On monnaie également des dispenses à diverses obligations, les sommes ainsi récoltées finançant des édifices religieux ou permettant à certains prélats de mener grand train.

    Ainsi la Tour de beurre de la cathédrale Notre-Dame de Rouen doit son surnom à la vente des dérogations accordées pour consommer des matières grasses pendant le carême.

    Amorcée dès le XVème siècle et culminante au XVIème siècle, certains  dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des « indulgences. »

    La naissance de l'imprimerie permet la diffusion d'éditions de bibles en langue vernaculaire ou si vous aimez mieux en langues vulgaires en montrant qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. Ce contact direct habitue le lecteur à avoir une relation personnelle avec les textes saints et à réfléchir par lui-même sur leur signification. Le texte originel de la bible se trouve ainsi restauré.

    A partir du milieu du XVème siècle, le pouvoir d'achat s'amenuise.

    Mais ce qui affaiblit le plus l'Église catholique, c'est la perte de la sacralité. Les fidèles voient trop de fils de prêtres devenir prêtres, trop de clercs s'enrichir aux dépens des laïques, trop d'évêques vivant comme des grands seigneurs.

    Les facteurs politiques ne sont pas absents non plus. Le développement des États se heurte à la puissance temporelle de l'Église. De plus en plus, les princes cherchent à intervenir dans le choix des membres du Haut-clergé, évêques, abbés.

    En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.

    Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.

    Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.

    L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII (1592–1605), ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.

    La doctrine des « indulgences » a été rappelée par le concile Vatican II puis la constitution apostolique [ Indulgentiarum doctrina ] de Paul VI, reprise dans le Code de droit canonique de 1983.

     Dans le Catéchisme de l'Église catholique de 1992, l'Église réaffirme son droit à octroyer les « indulgences », « en vertu du pouvoir de lier et de délier qui lui a été accordé par le Christ Jésus ». Elle précise que « l'indulgence » libère seulement de la « peine temporelle » du péché et non de la « peine éternelle » — c'est-à-dire de la privation de la « vie éternelle », de la communion avec Dieu.

     De nouveau, elle rappelle que « l'indulgence » est accordée au pécheur non pas en vertu de ses pénitences seules, mais de la communion des saints.

    Quand je lis ces textes ci-dessus, je suis fier d’être un « PAÏEN », car cette phrase respire le mensonge, la vanité, l’orgueil. Elle est contraire aux Enseignements de Jésus le Nazaréen, ( Jésus-Christ pour vous ).

    Comment peut-on en arriver à un degré aussi important de prétention, d’arrogance ? …

    Et vous, « Chrétiens », ce sont ces gens d’une insolence remarquable que vous écoutez et suivez, ces humains qui vous entraînent vers le « Néant », vers votre mort définitive.

    Pourquoi continuez-vous à suivre leurs mauvais principes et cet « Enseignement » fallacieux ?

    Cela est tellement simple pour vous !

    La preuve je l’écris ci-dessous !

    Jusqu'au concile Vatican II, les paroissiens comportent encore, dans le chapitre consacré aux prières, une section sur les « indulgences. »

    Ainsi, le Paroissien des fidèles publie une liste d'invocations indulgenciées : les invocations « Mon Jésus, miséricorde ! » ou « Cœur agonisant de Jésus, soyez mon amour » correspondent à 100 jours de pénitence, tandis que « Saint Joseph, patron de la bonne mort, priez pour nous » équivaut à 300 jours de pénitence.

    J’ignore ce que vous allez penser en lisant ces lignes ci-dessus !

    Effarant ces textes officiels de la religion chrétienne !

    Avez-vous remarqué qu’un « Saint » a plus d’importance que « Jésus-Christ » puisque, invoquer une « Idole », là un saint en statue, remplace 300 jours de pénitence, alors qu’invoquer « Jésus », le fils de Dieu, ne supprime que 100 jours de pénitence ? …

     

    Veuillez me pardonner, mais votre « Jésus-Christ », ne vaut pas un pêt de lapin ! …

     

    Tiens ! Comme vous considérez votre Jésus-Christ comme un « Dieu », alors c’est vraiment un minuscule « dieu » comparé aux « Saints » comme Saint Joseph ci-dessus qui lui doit être un grand « dieu » puisqu’il vaut trois fois plus ! … !

    Avec des textes comme cela vous pouvez faire les « quatre cents coups », vous êtes sûr d’être pardonné … , enfin par la doctrine dogmatique des humains, quant au pardon d’EL-SHADDAÏ, cela est une autre histoire ! …

    Comme les paroles de Jésus le Nazôréen, votre Jésus-Christ, sont dans les oubliettes ! …

    Matthieu 10 : 8-10

    « Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.

    Ne vous procurez ni or, ni argent, ni menue monnaie pour vos ceintures, ni besace pour la route, ni deux tuniques, ni sandales, ni bâton : car l'ouvrier mérite sa nourriture. »

    J’espère que vous me pardonnerez, mais ne ressemblez-vous pas à ce « Simon » dans les Actes des Apôtres ? …

    Vous allez me répondre : « Mais non ! … Nous ne faisons pas ce que tu as écrit ci-dessus ! … Peut-être certains d’entre-nous, mais c’est la minorité ! … Nous, nous ne commettons pas ces actions ! … »

    Comment se fait-il que l’Église Chrétienne soit si riche ? …

    Avez-vous vu un Prélat mourir de faim et de froid ? …

    Malheureusement pour vous, vous les commettez ! …

    Existe-t-il une différence entre celui qui donne beaucoup au Prélat et celui qui met une pièce dans le tronc de la statue qui est dans l’église, ou qui met des sous pour faire brûler un cierge devant cette statue en demandant de lui pardonner ses fautes ? …

    Aucune ! …

    Le geste et la pensée sont les mêmes ! …

    Acheter son pardon !

    Actes 8 : 19-23  --- Le premier qui parle est Simon :

    « Donnez-moi, dit-il, ce pouvoir à moi aussi : que celui à qui j'imposerai les mains reçoive l'Esprit Saint. »

    Mais Pierre lui répliqua :

    « Périsse ton argent, et toi avec lui, puisque tu as cru acheter le don [ d’EL-SHADDAÏ ]  Dieu à prix d'argent !

    Dans cette affaire il n'y a pour toi ni part ni héritage, car ton cœur n'est pas droit devant [ EL-SHADDAÏ ] Dieu.

    Repens-toi donc de ton mauvais dessein et prie [ EL-SHADDAÏ ] le Seigneur : peut-être cette pensée de ton cœur te sera-t-elle pardonnée ; car tu es, je le vois, dans l'amertume du fiel et les liens de l'iniquité. »

    La « Sagesse » veut que je vous laisse à votre réflexion personnelle, que vous vous aperceviez de la réalité de vos actes, de la véracité des textes ci-dessus, afin que, par votre conscience, avec ce « Libre-choix », vous preniez vos responsabilités devant le Dieu unique EL-SHADDAÏ.

    Ceci étant écrit, je vais reprendre le cours des textes bibliques que vos « Haut-Personnages » devraient vous inculquer.

    Repos obligatoire, alors en attendant la suite, portez-vous bien !

    Cordiales salutations !

    Sig : JP.G. dit  « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »


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