• Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    En effet le terme « Jésus-Christ » signifie bien aujourd’hui « Jésus-Croix » et aie bien interprété comme tel par les ouailles de toute la chrétienté. Voilà pourquoi pour commencer et terminer une prière ils se signent du « signe » de la croix en invoquant les trois « Dieux » de la chrétienté, le Père, le Fils, le Saint-Esprit confirmant par le « ainsi soit-il » tout cela agenouillé devant un morceau de bois, de pierre, de fer, représentant une croix avec l’effigie d’un humain fixé dessus.

    L’idolâtrie devant toute sa splendeur !

    Ce flagrant délit, vous le niez !

    Et pourtant, quelle réalité !

    Jésus le Nazaréen et son Père EL-SHADDAÏ doivent être dans un état d’écœurement, de colère en voyant tous ces humains dans ces Temples Chapelles, Églises, Cathédrales prier de la matière sans vie en invoquant leur NOM.

    Autre chose, le terme « Nazôréen » fut appliqué à Jésus dont-il caractérisait l’origine, puis à ses sectateurs. Ce terme s’est maintenu dans le monde sémitique pour désigner les disciples de Jésus, tandis que le nom « chrétien » à partir du IIème siècle prévalu dans le monde gréco-romain.

     

    Chapitre N° 15

     

    Procession

     

    Sur le remaniement des Écritures originelles, particulièrement le Nouveau Testament, il fut prophétisé :

    IH : XCVIII : 15, XCIX : 1-2

    « Malheurs à vous qui écrivez des discours mensongers, des discours fallacieux. Il en est qui écrivent et égarent beaucoup de gens par leur mensonges. Vous, vous vous égarez vous-mêmes. Il n’y a pas de salut pour vous.

    Malheurs à vous qui créez l’égarement, qui obtenez gloire et honneur par vos œuvres fallacieuses.

    Malheur à vous qui dénaturez les paroles de vérité, transgressez l’ordonnance éternelle et vous croyez exempts de péché. »

    CIV : 10-11

    « Et maintenant je vous dis ce mystère : les pécheurs altèreront et réécriront les paroles de vérité, ils en changeront la plupart, ils mentiront et forgeront de grandioses fictions, ils rédigeront des Écritures en leur nom.

    Si seulement ils écrivaient en leur nom toutes mes paroles, fidèlement, sans les abolir ni les altérer, mais en rédigeant fidèlement les témoignages que je leur transmets ! »

    J’ai un exemple de transgression des écrits bibliques sous les yeux. Un petit nombre de mes semblables a entendu parler du « Livre de I Hénoch ». Un Pasteur ou Révérend puisqu’il est de confession protestante fait des commentaires sur ce livre, alors je le cite les commentaires du chapitre VI

    « Eve fut séduite par cet animal. (…)
    Il est clair que c’était un
    esprit d’ animal et non pas un ange céleste déchu qui se serait logé dans un serpent.

    Eve eut une relation avec le serpent et ensuite avec Adam et c’est ainsi que Caïn et Abel sont nés le même jour et étaient des jumeaux. C’est ce que vous devez comprendre en lisant Gen 4/1 et 2. Caïn sortit en premier et Abel en second. Puis, Caïn tua son frère Abel.

    Après la chute d’Adam et Eve, les pattes de ce dragon lui furent ôtées. Gen 3/14.

    Et ce serpent ancien a disparu finalement de la surface de la terre, (sans doute dans le déluge).

    Mais quelque chose de lui est resté dans les gênes de l’être humain.

     La relation que cet animal et Eve ont eue a permis à cet animal d’avoir une progéniture. (Avec Adam, cet animal n’a pas pu avoir de progéniture. Mais il est clair qu’il a eu un rapport avec cet animal, et qu’il est devenu, comme Eve, une seule chair avec le serpent. Les deux races se sont mélangées là.)
    Eve et Adam ayant une relation avec cet animal, ils sont devenus une seule chair avec lui.       
    1 Cor 6/16. »

     

    En lisant ce texte ci-dessus, nous ne sommes plus dans l’homosexualité mais dans la zoophilie. Ce Révérend fait croire à ces semblables qu’Ève et Adam auraient eu des rapports sexuels avec un animal. Un mensonge aussi grossier ne peut être acceptable surtout par un humain qui se considère comme un « ÉLU »

     

    CHAPITRE 68

     

    L’assomption d’Hénoch

     

    1. Il arriva ensuite à Hénoch, que de son vivant, son nom fût enlevé auprès de ce Fils de l’homme et auprès du Seigneur des Esprits, loin de ceux qui habitent sur la terre ferme. 2. Il fut enlevé dans le char du vent, et disparut d’entre eux.

    3. Depuis ce moment, je ne vais plus au milieu des enfants des hommes, mais il me plaça entre deux esprits [vent], entre le septentrion et l’occident, où les anges avaient reçu des cordes pour mesurer pour moi le lieu réservé aux justes et aux élus. 4. Là je vis les premiers pères, les saints qui habitaient dans ces beaux lieux pour l’éternité.

     

    CHAPITRE 69 --  Livre d’Hénoch

     

    La montée d’Hénoch vers le séjour d’EL-SHADDAÏ

     

    1. Après cela, mon esprit fut caché, s’envola dans les cieux. J’aperçus les saints anges fils de Dieu marchant sur un feu ardent ; leurs vêtements étaient blancs, et leurs visages transparents [et resplendissants] comme le cristal.

    2. Je vis deux fleuves d’un feu brillant comme l’hyacinthe.

    3. Alors je me prosternai devant le Seigneur des Esprits.

    4. Et Michael, un des archanges, me prit par la main droite, me releva, et me conduisit dans le sanctuaire mystérieux de la clémence et de la justice. 5. Il me montra toutes les choses cachées [secrètes] des limites du ciel, les réceptacles des étoiles, des rayons lumineux, d’où ils viennent en présence des saints.

    6. Et il cacha mon esprit et moi, Hénoch, je fus dans le ciel des cieux.

    7. Là, j’aperçus au milieu de la lumière, un édifice [comme une maison] bâti avec des pierres de cristal [de glace]. 8. Et au milieu de ces pierres il y avait des langues d’un feu vivant ; mon esprit vit un cercle, qui entourait l’habitation  depuis ses quatre côtés, jusqu’à ces fleuves de feu vivant qui l’environnaient.

    9. Les séraphins, les chérubins et les ophanims se tenaient debout tout autour. Ils ne dorment jamais ; mais ils gardent le trône de gloire.

    10. Et je vis des anges innombrables, des milliers de milliers, des myriades de myriades, qui entouraient cette habitation. 11. Michel, Raphaël, Gabriel, Phanouël et les saints anges, qui étaient dans les cieux supérieurs, y entraient et en sortaient. Michel, Raphaël, Gabriel, Phanouël sortaient de cette habitation, et une foule innombrable de saints anges. 12. Avec eux était l’Ancien des Jours, dont la tête était blanche et pure comme la laine, et dont le vêtement blanc est impossible à décrire.

    13. Alors je me prosternai, et toute ma chair [mon corps s’affaissa] fut saisie d’un tremblement convulsif, et mon esprit fut transfiguré. 14. Et j’élevai la voix, pour le bénir, le louer et le célébrer. 15. Et les louanges qui s’échappaient de ma bouche étaient agréables à l’Ancien des Jours.

     

    Un autre chapitre le LXIX commentaires :

    « Au Chapitre 68 nous avons vu qu’Hénoch est enlevé auprès du Fils de l’homme et auprès du Seigneur des Esprits. Hénoch voit donc là, Jésus-Christ qui est Dieu dans sa création, avec son corps tel que nous savons qu’Il est maintenant qu’Il est ressuscité. Il voit aussi les premiers pères et les saints qui demeurent en ce lieu.

    Il voit donc Adam qui est le premier père. Mais il voit aussi les autres, ceux qui ne sont pas encore morts et qui donc encore vivent sur la terre. Hénoch est le premier à découvrir cette grande réalité : nous qui sommes les fils de Dieu, nous sommes déjà dans les lieux célestes, bien que vivant encore sur cette terre. Eph 1/3.

    C’est l’esprit de l’archange Michael. Et c’est lui qui va conduire Hénoch dans ce lieu. Le Nom de Celui qui est le plus élevé dans toute la création, c’est celui de Jésus. Jésus est le Nom de Dieu le créateur de tout, il est celui du Sauveur et du Maître absolu. C’est le Nom du Tout-Puissant, il n’y a aucun autre Nom au-dessus du Nom de Jésus. Dieu est notre Sauveur et Dieu est Unique. »

    Notes personnelles : réponse à ces écrits de Mr Michel Genton : En italique : Cette pensée du Pasteur Michel Genton – P. MG. – est complètement erronée. Hénoch voit bien deux êtres différends. En premier l’Ancien des Jours, qui est le Seigneur des Esprits, c’est-à-dire le Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ, et présenté par Celui-ci accompagné de son armée Céleste sous les ordres de quatre Archanges, le Fils de l’Homme ou Fils d’Homme qui est le fils unique engendré d’EL-SHADDAÏ, c’est-à-dire Jésus le Nazôréen.

    En tout premier, Hénoch est bien pris pour le fils d’un humain, un fils d’homme charnel

    Un rappel : Hénoch est dans les Cieux comme le « Seigneur de Justice »

    Pour un humain croyant, étant un théologien sensé, comment ce Pasteur peut-il écrire des vilenies aussi grosses ? Que de mensonges ! Certifier que le Créateur de toutes choses porte le Nom de Jésus et que celui-ci, Jésus, est Dieu, je trouve ces écrits écœurants. Quand je pense que cet humain éloigne un nombre incalculable d’humains du véritable Dieu que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, quel vat-être le Jugement du Dieu unique, pour cet humain inique ?

    L’Ancien des Jours et le Seigneurs des Esprits sont la même personne c’est-à-dire EL-SHADDAÏ.

    Cet humain est l’Ange de Lumière cité souvent dans la Bible car il vient de vous dire que Jésus-Christ est « DIEU » et que c’est son Nom alors je ne comprends plus !

    « il vous faudra oser envisager que ce que Jésus dit dans Matt 13/37-43 est la pure vérité : il y a deux sortes de personnes sur terre : les fils de Dieu et les fils du diable.

    A partir de quel moment Dieu nous laisse choisir indépendamment de Sa Volonté souveraine ?

    Est-ce celui qui croit que Dieu est TOUT-PUISSANT ou celui qui croit que nous avons une puissance qui peut Lui échapper et que nous pouvons donc faire des choix qui surprennent notre Dieu Tout-Puissant qui est au Ciel ?
    Hénoch a vu le Palais de Dieu et Il a vu que rien n’échappe à La Volonté de Dieu. Tout ce qui existe a été créé dans un but précis
    Prov 16/4 et rien ne peut entraver le plan parfait de Dieu. Dieu ne s’est pas trompé en créant Satanas. Dieu ne s’est pas trompé en créant Eve qui a goûté au fruit défendu. Dieu a un but que nous ne connaissons qu’en partie. Plus on avance dans le temps et plus Dieu révèle Ses secrets à certains de Ses serviteurs. »

    Comme vous le constatez, « Dieu », EL-SHADDAÏ a repris sa place ! Bizarre ! Bizarre !

    Après cet exemple flagrant revenons à des écrits plus sérieux !

    Vous constatez la justesse de ces Écrits, car il s’agit bien d’une transgression quand une Loi d’EL-SHADDAÏ est bafouée par la chrétienté comme prier devant un morceau de pierre ou de métal.

    Un exemple que vous ne pourrez pas nier.

    Dans une procession il y a bien en tête du cortège le Curé, l’Abbé ou l’Évêque portant comme un fanion un « Christ » au bout d’une perche, puis au milieu du défilé la statue du « Saint » ou de la « Sainte » que l’on vénère porté par six ou huit humains afin de surélevé cette effigie pour qu’elle soit visible de loin et que les spectateurs se signent au passage de ce morceau de pierre représentant un humain et se joignent au cortège.

    Difficile pour vous, chrétiens, de me démentir !

    Tout ce que j’écris, je le fais pour éclairer l’Esprit et le Cœur de mes semblables, afin que par eux-mêmes ils trouvent le sentier de « vérité », celui qui mène à ce Dieu unique que je nomme EL-SHADDAÏ, sachant que vous pouvez lui donner un Nom qui vous conviennent puisque son véritable « Nom » à été rendu tabou par les humains.

    Vous, par votre conscience, avec votre esprit de raisonnement, de réflexion, vous permettra de voir votre fond, votre intérieur, connaître le bien et le mal qu’il y a en vous et de vous transformer, c’est-à-dire de vous laver spirituellement si vous le désirez, comme un baptême, afin de prendre une autre voie, un autre chemin, celui qui mène en premier dans une « Demeure » et au « Temps Défini » à la vie éternelle sur cette magnifique Terre.

    Vous n’avez pas besoin de Temple, encore moins de Prêtre, puisque comme Jésus le Nazaréen l’a dit, écrit dans l’Évangile de l’Apôtre Thomas :

    « Jésus a dit : 

    « Si ceux qui vous guident vous disent : « Voici, le Royaume est dans le ciel ! » alors les oiseaux du ciel y seront avant vous. S'ils vous disent « Il est dans la mer ! » alors, les poissons y seront avant vous. Mais le Royaume est à l'intérieur de vous et il est à l'extérieur de vous !

     Lorsque vous vous connaîtrez, alors on vous connaîtra, et vous saurez que c'est vous les fils du Père qui est vivant. »

    Combien de fois ai-je écrit que votre religion, la chrétienté, était idolâtre ?

    Souvent, je dirai même très souvent !

    En voici encore une preuve.

    Le disque et surtout le cercle étaient les symboles bien connus de la divinité du soleil et figuraient largement dans le symbolisme oriental. La divinité du soleil était entourée d'un cercle ou d'un disque.

    Dans les iconographies et le culte des images la tête de Jésus-Christ, de sa Mère que la chrétienté nomme Madone, des Apôtres, des Saints et des Saintes est inscrit dans un cercle ou un disque appelé « nimbe ». Cette pratique vient encore de Babylone qui représentait Nemrod, Astarté comme Dieu et Déesse du soleil. Les déesses qui se disaient parentes du soleil étaient autorisées à se faire orner d’un nimbe lumineux.

    Apollon, l’enfant du soleil, était souvent représenté de cette manière tout comme Circé de Pompéi, la fille du soleil.  Trois à deux siècle avant l’Ère Commune EC :

     « Les empereurs se l'appropriaient en signe de déification et sous ce respectable patronage, il s'introduisit, comme tant d’autres coutumes païennes, dans les usages de l'Église. Mais nous adressons aux empereurs plus de blâme qu'ils ne méritent car ce fut plutôt les évêque Orientaux, puis Occidentaux qui firent pénétrer dans l'Église « la superstition païenne » » ! (Les deux Babylone - Alexander Hislop)

    Est-ce que les chrétiens connaissent l’origine de la forme du chapeau « Papal »

    Ce chapeau élevé vers le haut en forme d’ogive à deux cornes se nomme une « mitre ». Cette mitre portée par le Pape lorsque, assit sur le grand autel il reçoit l’adoration des cardinaux, est la même que portait le dieu Dagon, dieu des semences et de l’agriculture vénéré par les Amorrites, Ougarites, Babyloniens, et surtout Philistins qui le représentaient moitié homme, moitié poisson, la partie supérieure du corps était celle d'un homme, la partie inférieure  se  terminait  en  queue  de  poisson.

    Souhaitant ardemment que cette lecture vous fera réfléchir et vous montrera le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ par la logique se ces écrits et votre conscience.

    Prenez soins de vous et portes-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    Je vais vous prouver une transgression des ordres de Jésus le Nazaréen.

     Le nom de « Jésus-Christ » signifie pour les chrétiens « Jésus sur la croix » ou « Jésus plus crux » en version latine.

    Le terme grec « christos », participe passé d’un verbe qui signifie oindre, graisser, enduire.

     Ce terme fut adopté pour traduire le mot hébreu « Mashia » qui signifie envoyé d’EL-SHADDAÏ --( Dieu pour vous chrétiens ) --, sur lequel repose l’esprit d’EL-SHADDAÏ. Un « Mashia » est un personnage sacré, un envoyé d’EL-SHADDAÏ.

    Pour rendre ce terme, « Mashia », les traducteurs de la Septante n’ont pas hésité à prendre le mot grec profane « christos », et du coup ont infléchi ce terme dans un sens religieux « Christos » signifiant « Messie, Oint » d’EL-SHADDAÏ. Ce sens est tellement affirmé que le terme ne sera pas traduit en latin, --( par Unctus ) -- mais simplement transcrit en « Christus » ce qui donner en français, « Christ ».

     

    Chapitre N°14

     

    Nazôréen, interdiction Messie

     

    Les premiers Évangiles, Lettres et Épîtres furent écris en hébreu et en araméen pour une grande majorité, puis en grec. Il faut toujours se mettre à l’esprit que les Apôtres ainsi que les tous premiers Disciples de Jésus le Nazaréen étaient hébreux pur souche, peu hellénisé comme Luc l’Évangéliste, médecin de son état. Dans les « Écrits » originels, le terme « Messie, Oint » était le plus employé.

     C’est vers le milieu du deuxième siècle que les copistes, traducteurs remplaceront le terme « Messie » par le terme profane « Christos, Christ en langue française »

    Au cours de sa vie Jésus était nommé Jésus de Nazareth, Nazôréen, Nazarénien, le Galiléen, mais jamais « Jésus-Christ ».

    Ceci est un fait historique certifié

    Matthieu II : 22-23,

    « Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

    « Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

    Luc XVIII : 37 -- Il est question d’un aveugle :

    « On lui annonça que c'était Jésus le Nazôréen qui passait. »

    Luc XXIV : 19-20 -- la scène se passe sur la route qui mène au village d’Emmaüs, après sa résurrection, Jésus se mêle à un groupe d’humains qui se dirige vers ce village :

    « « Quoi donc ? » leur dit-il.

    Ils lui dirent :

    « Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant EL-SHADDAÏ ( Dieu ) et devant tout le peuple, comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être condamné à mort et l'ont crucifié. »

    Actes des Apôtres II : 22-24

    « « Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ --( que Dieu )-- a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ --( de Dieu )--, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ --( Dieu )-- l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »

    III : 6 -- il s’agit d’un impotent au porte du Temple

    « Mais Pierre dit :

     « De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus ( Christ ) le Nazôréen, marche ! » -- {( ) ajout de copiste} »

    VI : 14 -- arrestation d’Étienne et présentation devant le Sanhédrin

    « « Nous l'avons entendu dire que Jésus, ce Nazôréen, détruira ce Lieu ci et changera les usages que Moïse nous a légués. » »

    XXII : 8 -- Sur la route de Damas quand le Seigneur ce fait connaître à Saül de Tarse qui deviendra un de ses plus « grand » Disciple.

    « Je répondis :

    « Qui es-tu, Seigneur ? »

    Il me dit alors :

     « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes. » »

    XXIV : 5 -- Quand Tertullus accuse le Disciple Paul, Saül de Tarse

    « Cet homme, nous l'avons constaté, est une peste : il suscite des désordres chez tous les Juifs du monde entier, et c'est un meneur du parti des Nazôréens. »

    XXVI : 9 -- Paul défend sa cause devant le Roi Agrippa

    « « Pour moi donc, j'avais estimé devoir employer tous les moyens pour combattre le nom de Jésus le Nazôréen. » »

    Tous ces versets bibliques prouvent bien que Jésus était nommé le « Nazôréen » ou Jésus de Nazareth jamais « Jésus-Christ ».

    La transgression des ordres et paroles de Jésus le Nazaréen est grande. La marque de l’autorité humaine est impressionnante, car les copistes devaient bien se rendre compte de leurs erreurs.

    Ce texte des Actes des Apôtres, XXII : 8, et les suivant, devraient vous faire réfléchir. Il me semble que Saül de Tarse était un grand persécuteur des « Nazôréens » et que Jésus était décédé quand il s’adressa à Paul en ces termes :

    « Je suis Jésus le Nazôréen, celui … »

    Ce qui nous prouve que les humains qui suivaient l’Enseignement de Jésus, étaient appelés les « Nazôréens » et non le terme de « Chrétien » qui n’existait pas encore. Comme écrit ci-avant, il faut attendre le milieu du IIème siècle pour que ce terme soit employé et uniquement dans la communauté d’Antioche. Le terme « Chrétien » deviendra courant à la fin du deuxième siècle, voir plus sûrement au début du IIIème siècle.

    La preuve par ce Nouveau Testament qui relate les faits et gestes ainsi que les paroles de ce Galiléen du nom de Jésus fils adoptif de Joseph le Charpentier.

    Jésus le Nazaréen interdit de dire qu’il est le « Mes’hia ou Mashia » en hébreu, « Christos » en grec transformé en « Christ » comme expliqué juste avant et le « Messie » en français.

    Jésus le Nazaréen interdit aux démons :

    Marc I : 23-25

    Et aussitôt il y avait dans leur synagogue un homme possédé d'un esprit impur, qui cria en disant :

    « Que nous veux-tu, Jésus le Nazarénien ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : le Sain d’EL-SHADDAÏ [de Dieu ]. »

    Et Jésus le menaça en disant :

    « Tais-toi et sors de lui. »

    Marc I : 34

    Et Jésus guérit beaucoup de malades atteints de divers maux, et il chassa beaucoup de démons. Et il ne laissait pas parler les démons, parce qu'ils savaient qui il était.

    Marc III : 11 - 12

    Et les esprits impurs, lorsqu'ils voyaient Jésus, se jetaient à ses pieds et criaient en disant :

    « Tu es le Fils de Dieu ! »

    Et il leur enjoignait avec force de ne pas le faire connaître.

    Luc IV : 41

    D'un grand nombre aussi sortaient des démons, qui vociféraient en disant :

    « Tu es le Fils de Dieu ! »

     Mais, les menaçant, Jésus ne leur permettait pas de parler, parce qu'ils savaient qu'il était le Messie. [ Christ ]

    Jésus le Nazaréen interdit aux humains soignés de dire qui il était :

    Marc I : 41- 44

    Ému de compassion, il étendit la main, le toucha et lui dit :

    « Je le veux, sois purifié. »

    Et aussitôt la lèpre le quitta et il fut purifié.

    Et le rudoyant, il le chassa aussitôt, et lui dit :

     « Garde toi de rien dire à personne ; mais va te montrer au prêtre et offre pour ta purification ce qu'a prescrit Moïse : ce leur sera une attestation. »

    Marc V : 41 - 43

    Et prenant la main de l'enfant, il lui dit :

     « Talitha koum ! »

    Ce qui se traduit :

    « Fillette, je te le dis, lève-toi ! »

    Aussitôt la fillette se leva et elle marchait, car elle avait douze ans. Et ils furent saisis aussitôt d'une grande stupeur.

    Et il leur recommanda vivement que personne ne le sût et il dit de lui donner à manger.

    Marc VII : 33 - 36

    « Le prenant hors de la foule, à part, il lui mit ses doigts dans les oreilles et avec sa salive lui toucha la langue.

    Puis, levant les yeux au ciel, il poussa un gémissement et lui dit :

    « Ephphatha ! »

     C'est-à-dire :

    « Ouvre-toi ! »

    Et ses oreilles s'ouvrirent et aussitôt le lien de sa langue se dénoua et il parlait correctement.

    Et Jésus leur recommanda de ne dire la chose à personne ; mais plus il le leur recommandait, de plus belle ils la proclamaient. »

    Marc VIII : 25-26

    Après cela, il mit de nouveau ses mains sur les yeux de l'aveugle, et celui-ci vit clair et fut rétabli, et il voyait tout nettement, de loin.

    Et Jésus le renvoya chez lui, en lui disant :

    « N'entre même pas dans le village. »

    Et pour terminer

    Jésus le Nazôréen interdit aux Apôtres et Disciples de dire qu’il était le Messie :

    Matthieu XVI : 15-20 -- Je ne vous poserai pas les versets 18 et 19 qui sont des versets ajoutés n’ayant rien à voir avec les paroles véritables de Jésus le Nazaréen. En effet ils font l’éloge d’un Apôtre au détriment des autres, supprimant l’humilité enseigné par Jésus le Nazaréen.

    « Mais pour vous, leur dit-il, qui suis-je ? »

    Simon-Pierre répondit :

     « Tu es le Messie [ (Christ) ], le Fils du Dieu vivant. »

    En réponse, Jésus lui dit :

    « Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux. »

    Alors il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le Messie [ ( Christ) ].

    Jean I : 41

    Il rencontre en premier lieu son frère Simon et lui dit :

    « Nous avons trouvé le Messie »

    Marc VIII : 29-30 et Luc IX : 21 qui est une plagia de Marc.

    « Mais pour vous, leur demandait-il, qui suis-je ? »

     Pierre lui répond :

    « Tu es le Messie [ (Christ) ]. »

    Alors il leur enjoignit de ne parler de lui à personne.

    Marc IX : 7-9

    Et une nuée survint qui les prit sous son ombre, et une voix partit de la nuée :

     « Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; écoutez-le. »

    Soudain, regardant autour d'eux, ils ne virent plus personne, que Jésus seul avec eux.

    Comme ils descendaient de la montagne, il leur ordonna de ne raconter à personne ce qu'ils avaient vu, si ce n'est quand le Fils de l'homme serait ressuscité d'entre les morts. »

    Avoir autant d’interdiction et écrire tout au long de ce Nouveau Testament du « Jésus-Christ » dans les Évangiles est un non-respect de la parole de Jésus le Nazaréen et de l’homme qui s’est sacrifié pour permettre à cet humain de recouvrer la Vie Éternelle.

    On aurait pu admettre que ce terme, « Jésus-Christ », soit pris dans les Actes des Apôtres, ainsi que les Lettres et Épîtres du NT si le sens avait été dans la direction de « Messie » « Oint » et non dans le sens de crux, « Croix ».

    En effet le terme « Jésus-Christ » signifie bien aujourd’hui « Jésus-Croix » et aie bien interprété comme tel par les ouailles de toute la chrétienté. Voilà pourquoi pour commencer et terminer une prière ils se signent du « signe » de la croix en invoquant les trois « Dieux » de la chrétienté, le Père, le Fils, le Saint-Esprit confirmant par le « ainsi soit-il » tout cela agenouillé devant un morceau de bois, de pierre, de fer, représentant une croix avec l’effigie d’un humain fixé dessus.

    L’idolâtrie devant toute sa splendeur ! …

    Ce flagrant délit, vous le niez !

    Et pourtant, quelle réalité !

    Jésus le Nazaréen et son Père EL-SHADDAÏ doivent être dans un état d’écœurement, de colère en voyant tous ces humains dans ces Temples Chapelles, Églises, Cathédrales prier de la matière sans vie en invoquant leur NOM.

    Autre chose, le terme « Nazôréen » fut appliqué à Jésus dont-il caractérisait l’origine, puis à ses sectateurs. Ce terme s’est maintenu dans le monde sémitique pour désigner les disciples de Jésus, tandis que le nom « chrétien » à partir du IIème siècle prévalu dans le monde gréco-romain.

    Dans quelques jours la suite des écrits sur Jésus le Nazôréen et la chrétienté, alors pendant ce temps, prenez-soins de vous, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Représentation orthodoxe du « Saint-Esprit »

     

    Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    Zacharie 14 : 9

    « Alors EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }-- sera roi sur toute la Terre. En ce jour-là, EL-SHADDAÏ --{  Yahvé }-- sera unique, et son nom unique. »

    NT Matthieu 4 : 10, 23 : 9

    « Alors Jésus lui dit :

     « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur { EL-SHADDAÏ } ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. » »

    « N'appelez personne votre « Père » sur la terre : car vous n'en avez qu'un, le Père céleste. »

    NT Jacques 2 : 19, 4 : 12

    « Toi, tu crois qu'il y a un seul Dieu ? Tu fais bien. Les démons le croient aussi, et ils tremblent. »

    « Il n'y a qu'un seul Législateur et Juge, celui qui peut sauver ou perdre. Et toi, qui es-tu pour juger le prochain ? »

    Si j’avais été un peu plus courageux j’aurai pu vous remplir la page de textes bibliques où les écrivains citent un « Dieu seul et unique »

    Entre parenthèse, jamais un Témoin de Jéhovah ne vous citera ce verset biblique de Jacques, alors quand ils viennent sonner à votre porte et qu’ils veulent vous parler de bible, citez-leur ce verset et attendez la réaction.

    Tout au long de cette Bible, qui représente l’Écriture Sacré, il n’est question que d’un « Dieu » seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ. Le Christianisme jusqu’à nouvel ordre accepte bien l’Ancien Testament comme un Livre Chrétien ainsi que le Nouveau Testament !

    Vous, Chrétiens, vous êtes bien en accord avec ce que je viens d’écrire ?

    Vous ne pouvez pas nier !

    Alors je viens de vous prouver que la « Sainte Trinité » est une pure invention et qu’elle contredit les versets de l’Ancien et du Nouveau Testament cités ci-dessus !

     

     

    Chapitre N° 13

     

    Pour mes semblables qui écrivent que j’insulte leur religion et que j’écris avec haine contre les chrétiens, ils feraient mieux de reconnaître, qu’au contraire, j’ai beaucoup d’amour pour eux, car je leur fait constater tous les travers de leur religion, leur prouvant qu’ils sont sur une mauvaise voie en suivant aveuglément leurs mauvais « Pasteurs ».

    Je ne suis pas responsable de la vanité, de l’orgueil de ces Évêques, puis de ces Papes, Popes, Pasteurs accompagnés par leur Cardinaux qui mélangent religion et politique, ne pensant qu’à remplir leurs coffres forts d’or et de pierres précieuses dédaignant le vœux de pauvreté, mais appauvrissant leurs ouailles, ceux-ci les écoutant, les suivant comme des sourds et des aveugles, transformant les paroles et écrits d’EL-SHADDAÏ et de son Fils unique Jésus le Nazaréen.

    Ce n’est pas moi qui aie décrété cette aberration de « consubstantialité » qui déclare que le Fils d’El-Shaddaï et l’Esprit-Saint sont de même substance que le Créateur, ce qui en découle que le Fils, le Père et l’Esprit-Saint sont la même personne en formant un seul Dieu en trois personnes distinctes, comme une Trimurti.

    Ce n’est pas de la méchanceté de dire et d’écrire que ce qui est écrit ci-dessus n’a rien à voir avec les paroles d’Enseignements de Jésus le Nazaréen

    Ce n’est pas être contre les semblables chrétiens et les haïr en leur prouvant que leur « Trinité » n’existe pas comme le Saint-Esprit. Au contraire c’est une preuve d’amour envers eux, que de leur dire que les enseignements oraux originels ont été détournés, falsifiés, remaniés.

    Tout être humain chrétien ou autre un peu sensé reconnaîtra que pour porter le titre de « Père » il faut avoir conçu. Un homme avant d’avoir donné la vie n’ai qu’un « Monsieur » parmi ses semblables, mais le jour où il conçoit, il a l’honneur de porter ce titre de « PAPA », il est « Père ». Pour être le « FILS » d’un humain, il faut que celui-ci nous ait engendré, sinon nous ne sommes rien. De plus vous constaterez, quoique vous disiez, que dans la nature, quel qu’elle soit, le « Père » et le « Fils » forment bien deux êtres différents, sinon ce serait du clonage, chose impossible puisque le clonage n’existe pas dans tout l’univers à l’exception de l’humain, qui à son image corps terrestres et son image substance visible dans l’invisible de l’humain.

    Si cette logique indémontable, incontournable est une loi de physique et de chimie pour tous les êtres vivants sur cette Terre, animal et humaine, alors ma logique est encore plus durement soudée, donc indestructible pour l’Être qui nous a créé à son image, à leur « ressemblance Père, Fils, Incorporels ».

    En effet si, « Dieu pour vous chrétien », EL-SHADDAÏ, porte le Titre de « PÈRE » comme sur la Terre, c’est qu’il a engendré.

    Je dis et j’écris bien engendré, à ne pas confondre avec créer, terme qui a une toute autre signification.

    L’humain est une création comme toutes choses, Jésus le Nazaréen, par-contre est un être engendré, sorti des entrailles de son Père géniteur EL-SHADDAÏ.

    Tout le long des Écritures EL-SHADDAÏ -- Dieu pour les Chrétiens -- est considéré avec une très grande affirmation comme étant le seul et unique « DIEU », mais aussi comme un « Père » à la vue de la création et tout particulièrement dans le Nouveau Testament comme un « PÈRE » en tant que géniteur de son Fils Jésus le Nazaréen.

    IL est « PÈRE » Céleste au sens propre du mot, car étant androgyne il enfanta son Fils unique Jésus le Nazaréen. En effet celui-ci est sorti de ses entrailles, donc il engendra ce Fils à sa ressemblance mais non androgyne comme Lui. Ce Fils, comme il se doit, est de la même substance moléculaire, chromosomique que son Père mais comme il n’est pas androgyne cela en fait deux Êtres Célestes différents.

    Par ces explications logiques indéracinables, vous êtes chrétiens, obligés d’admettre que votre Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi, est différent de son Père géniteur, qu’il n’est pas son égal, donc il n’est pas « Dieu » , seulement son Fils. Le dogme de la Trinité vient de prendre du plomb dans l’aile, quand à la Sainte -Trinité, ce dogme peut prendre la direction du placard à balaies.

    Autre fait qui le rend différent de son Père génétique, c’est sa venue sur Terre comme tout être humain.

    En effet son Père EL-SHADDAÏ la engendré une seconde fois, si je puis m’exprimer ainsi en introduisant dans le corps parfait d’une femme, exempte de la tare originaire  dû à la transgression des deux premiers humains, un spermatozoïde dans l’ovule féminin en un mot une « injection in-vitro ».

    Ce que l’être humain est capable de faire difficilement, est pour EL-SHADDAÏ, une opération bénigne puisqu’il connaît le secret de la conception étant le créateur de la « machine » femme.

    Jésus le Nazaréen aurait bien pu venir sur Terre comme les Anges que vit Abraham ou comme ceux antédiluviens ou comme Élie, si son Père EL-SHADDAÏ l’avait voulu. Si cela avait été le cas, l’équivalence avec les deux premiers humains ne tenait plus.

    En prenant vie par la voie régulière de la femme il devenait comme son Père le voulait, supérieur à Adam et Ève qui, eux, furent créés, tandis que son Fils Jésus le Nazaréen restait engendré sur la Terre, comme il fut engendré dans les Hauteurs Célestes. Tout en étant « Homme » il restait supérieur à l’Homme, la descendance de l’humain venant d’une création, mais « Lui » était engendré voilà pourquoi dans les Écritures il est appelé « Fils d’Homme » ou « Fils de l’Homme ».

    De plus, au niveau des Lois Célestes, Jésus le Nazaréen, Fils incontesté d’EL-SHADDAÏ, devenait par sa naissance terrestre le ROI de la Terre, confirmant les Écritures, empêchant SAMMAËL, dont la Terre et ses environs sont son Royaume pendant le « Temps Défini » fixé sur les « Tables Célestes » , d’être le ROI perpétuel de la Terre car ne pouvant se transformer en humain sans perdre sa liberté d’action sur la Terre.

    Comme je l’ai écrit plus avant, Jésus le Nazaréen étant né comme un humain, et avait cinquante pourcent de l’ADN de sa Mère Marie, et cinquante pourcent de l’ADN de son Père géniteur EL-SHADDAÏ, ce qui en faisait un être exceptionnel sur la Terre dans l’harmonie du corps voilà pourquoi il imposait le respect et l’autorité et qu’il ne pouvait pas être cet être malingre et chétif comme le représente la chrétienté.

    Au contraire, Jésus le Nazaréen, Fils d’EL-SHADDAÏ, non créé comme l’humain, mais engendré, devait être un très bel homme, d’un aspect imposant, aux lignes générales fines représentant la légèreté et la finesse féminine, avec une carrure dégageant une certaine force. N’oublions pas que le métier de son père nourricier, Joseph, était charpentier et qu’à l’époque ce métier faisait partie de ces métiers très durs comme le forgeron, ces humains ayant une force certaine. Comme l’on dirait aujourd’hui : « Ce n’étaient pas des pourris ! »

    Comme je l’ai déjà écrit, cet homme exceptionnel devait, rien qu’au regard, dégager crainte, respect, autorité, avec cet aspect d’amour, de gentillesse, de « Grand Sage ».

    Si, il avait été fluet, asthénique, souffreteux, malingre, comme la chrétienté le représente, pensez-vous que des hommes comme Jean et son frère André, qui étaient pêcheurs de métier, donc ils avaient un certain gabarit de muscles et de force, auraient tous quittés, bateau, amis, famille pour le suivre ?

    Certainement pas ! …

    Comme je l’ai écrit ci-dessus il devait imposer force, autorité, respect !

    Par sa perfection de vie, même en faisant le métier de son « Père » nourricier, puis pendant trois ans et demi son ministère terrestre, il devenait et était l’équivalence des deux premiers humains, vainquant la « MORT » dû à la transgression volontaire de ces deux premiers humains, pour permettre aux humains ressuscités et au petit nombre de survivant du « Jour de Colère de son Père EL-SHADDAÏ », de vivre éternellement sur la Terre.

    Sa mort par crucifixion, marquant comme un sceau, l’esprit des humains, leur prouvant sa victoire sur la « MORT », son corps terrestre n’ayant pas goûté l’odeur de la terre, mais Lui, Jésus le Nazaréen, étant bien vivant puisque pendant quarante jours après sa crucifixion il vécut avec ses Apôtres et Disciples pour les enseigner avant de rejoindre son géniteur, son « Père Céleste ».

    Les historiens déclarent et écrivent que Jésus le Nazaréen fut aperçut par plus de cinq cents humains dignes de foi après sa mort par la torture romaine de la crucifixion.

    Quant à « l’Esprit-Saint » que les chrétiens vénèrent je serai curieux de savoir d’où il vient et à qui, il appartient !

    Si c’est l’esprit d’EL-SHADDAÏ, il faut adorer et vénérer EL-SHADDAÏ, lui-même, car il est substance, donc matière, nous à son image, à son reflet, comme nous nous regardons dans une glace nous voyons notre image, notre reflet.

    Cet Être Suprême doit avoir un cerveau pour raisonner, réfléchir, penser, c’est ce que l’on appelle l’esprit, sinon comment aurait-il pu créer l’Univers avec la Terre et poser l’humain dessus à son image comme un « Dieu » ? …

    Par cette écriture vous comprenez la justesse de ma pensé qui est due à mon raisonnement par mon esprit !

    Là, EL-SHADDAÏ étant un Être vivant, il ne peut être « esprit » car ce que nous humain appelons « Esprit » est spectral, fantomatique, voir ectoplasme c’est à dire la vision d’être humain ayant déjà vécu sur la terre, par contre Il possède un « esprit ». Le médium voit l’image, mais vous, vous ne voyez rien sauf les constatations visuelles que veut bien vous faire voir ce médium par un jeu d’écritures, de sons ou toutes autres formes d’actions. C’est aussi ce médium qui vous donnera l’interprétation de tous ces « signes », et là ! …

    Comme vous pouvez vous en apercevoir « l’esprit » ne peut être matière car l’esprit est la pensé, le raisonnement, la réflexion et tout cela est éphémère. Si je ne couchais pas par l’écrit mes pensées, mes réflexions, celles-ci disparaîtraient de mon cerveau comme un coup de vent, puis plus rien.

    N’ai-je pas raison ?

    Difficile de me contredire !

    Car « l’esprit » c’est du vent, c’est passager, puisque la réflexion, le raisonnement, la pensé, sont « Esprit »

    La démonstration est faite, « l’ESPRIT-SAINT » du christianisme n’existe pas, mais « l’esprit sain » lui existe, car c’est une réflexion, un raisonnement, une pensé, propre sans tache, parfaite et qui reste éphémère le temps de son existence, prouvant par ce qui reste en acte, ce que j’ai écrit juste avant.

    Cela prouve l’imperfection humaine, et, ce que le raisonnement de certains hommes théologiens chrétiens, de par leurs richesses, vaniteux et orgueilleux ont déclaré être sous « Inspiration Divine » pour détourner l’Enseignement de Jésus le Nazaréen, le transformant, pour en arriver à la religion telle qu’elle est aujourd’hui, c’est-à-dire une religion faite par les humains idolâtres et mauvais en « esprit ».

    Je vais vous prouver une transgression des ordres de Jésus le Nazaréen.

     Le nom de « Jésus-Christ » signifie pour les chrétiens « Jésus sur la croix » ou « Jésus plus crux » en version latine.

    Le terme grec « christos », participe passé d’un verbe qui signifie oindre, graisser, enduire.

    Ce terme fut adopté pour traduire le mot hébreu « Mashia » qui signifie envoyé d’EL-SHADDAÏ --( Dieu pour vous chrétiens ) --, sur lequel repose l’esprit d’EL-SHADDAÏ.

    Un « Mashia » est un personnage sacré, un envoyé d’EL-SHADDAÏ.

    Pour rendre ce terme, « Mashia », les traducteurs de la Septante n’ont pas hésité à prendre le mot grec profane « christos », et du coup ont infléchi ce terme dans un sens religieux « Christos » signifiant « Messie, Oint » d’EL-SHADDAÏ. Ce sens est tellement affirmé que le terme ne sera pas traduit en latin, --( par Unctus ) -- mais simplement transcrit en « Christus » ce qui donner en français, « Christ ».

    Cette lecture vous oblige à vous scruter intérieurement car elle vous a posé des questions. Alors je suis heureux, car le « Souffle d’intelligence » vient à vous !

    Portez-vous bien !

    Cordiales salutations

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Trimurti - Brahma, Civa, Vishnu

     

    Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    Cela ne doit pas faire oublier que durant l’Antiquité tardive, l’Église n’est pas un ensemble homogène. Chaque cité a ses rites, ses saints, sa langue liturgique, reflet de la diversité de l’Empire.

    A partir de maintenant l’Évêché de Rome et de Constantinople vont prendre de plus en plus d’importance sur les pouvoirs politiques.

    De très grandes dissensions dogmatiques vont opposer Rome qui est l’Occident et Constantinople qui est l’Orient. Le premier deviendra l’Église Catholique de Rome, l’autre l’Église Orthodoxe de Constantinople. Les deux communautés prendront les armes les uns contre les autres. Alliance contre nature, trahison, et autres arriveront à la séparation définitive au grand schisme d’Orient en 1054.

     

    Chapitre N° 12

     

    L’invention de la Trinité

     

    Jamais l’Orient ne reconnaîtra la Papauté de Rome.

    C’est la querelle du « Filioque » à propos de la Trinité.

    La querelle porte précisément sur la « procession » du Saint-Esprit, c'est-à-dire le rapport entre le Saint-Esprit d'une part, le Père et le Fils Jésus-Christ d'autre part.

    À partir du VIIIème siècle, la liturgie latine a ajouté la formule initiale, qui devient :

    « Il -- le Saint-Esprit -- procède du Père et du Fils », en latin Filioque ( ex Patre Filioque procedit ).

    L'introduction du Filioque dans le Credo occidental fut proposée par Charlemagne lors du Concile d'Aix-la-Chapelle de 809, reprenant une proposition plus ancienne qui avait déjà eu cours dans l'Espagne wisigothique.

    Cet ajout fut retenu malgré l'opposition du pape Léon III à cette démarche césaro-papiste du nouvel empereur d'Occident, Charlemagne, qui, avec ses théologiens, souhaitait « rivaliser d'orthodoxie avec l'Orient »[]. Cet ajout fut inséré définitivement dans le Credo romain au XIème siècle.

    Cet écart par rapport à la formule œcuménique se fit unilatéralement, sans l'avis des autres Églises, qui le considérèrent comme le signe d'une volonté de rupture dans les rapports difficiles avec l'Église latine.

    La querelle autour de cette nouvelle formulation reflète deux conceptions différentes du dogme de la Trinité.

    Pour les orthodoxes, l'Esprit est issu du Père par le Fils, c'est le Père qui est premier par rapport au Saint-Esprit.

    Pour les catholiques, le Filioque exprime en outre la communion consubstantielle entre le Père et le Fils : filioquisme.

    Je viens de vous écrire la déchéance du christianisme, qui au cours des siècles se détériorera encore beaucoup plus jusqu’à l’acceptation de l’homosexualité, pédophilie, fornication, adultère, etc, il vous suffit de lire les chroniques journalistiques pour vous apercevoir que j’ai raison.

    La preuve est faite que le christianisme est bien la religion du Prince de ce Monde que vous chrétiens nommez « Satan » qui est un diminutif de SAMMAËL.

    Je suis un menteur !

    Malheureusement pour la chrétienté, ce n’est pas le cas !

    Vous, mes semblables, vous venez de me lire et quel est la constatation première qui vient à l’esprit de raisonnement et de réflexion ?

    Cette religion ce débat dans un dogmatisme « Trinitaire » qui n’a pas lieu d’exister, puisque ce dogme est une pure invention d’humains qui étaient loin de recevoir le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ, comme les Apôtres. Leur inspiration venait plus sûrement du Maître de la Terre et de ses environs, je nomme SAMMAËL, votre SATAN.

    Tout au long de ces lignes d’écriture vous avez constatez que l’Enseignement de Jésus le Nazaréen, des Apôtres et Disciples de celui-ci, puis des disciples des Disciples, petit-à-petit étaient transformés insidieusement par des humains à la recherche de pouvoir, notoriété et richesses.

    Ils commencèrent à vénérer des ossements, vêtements des Apôtres et premiers Disciples de Jésus le Nazaréen.

    Ils continuèrent avec les premiers Évêques érudits et théologiens en les sanctifiants, les déclarants « SAINT » et non « SAIN », propre sans tache, en édifiant des statues, peintures, tableaux, sarcophages à leur effigie.

    C’est le commencement de l’idolâtrie chrétienne !

    Ces Évêques écrivains de haute noblesse firent admettre leurs idées par dissuasion, les rendant sentencieuses et doctrinaires, telle que le dogme de la « Trinité », la « Messe », les fêtes comme Noël, Assomption, Pentecôte, Toussaint, et les grandes inventions comme le Purgatoire, le Confessionnal, le Chemin de Croix, etc.

    Tout ce que je viens d’écrire ci-dessus est véridique !

    Aucun chrétien ne peut et ne pourra me traiter de menteur !

    Pour un seul fait, rien n’est biblique, absolument rien, pas un mot pas un seul n’est écrit dans la Bible et plus particulièrement le Nouveau Testament !

    Voilà pourquoi vous êtes idolâtre et que vous vivez dans l’iniquité, acceptant adultère, homosexuel, et autres orgies. Un petit tour au confessionnal, trois prières toute faite et je recommence.

    Parenthèse

    Dans ma propre famille j’ai l’exemple des chrétiens ainsi que parmi mes très bonnes relations.

    Ma fille qui est critiquée par sa belle-famille les a « collé au mur » dernièrement. En effet il y a une dissension entre ses beaux-parents qui ont plus de soixante ans, les deux sont sur le point de se séparer.

    Je cite ma fille :

    « Beau Papa vous me décriez parce que je ne veux pas faire baptiser mes enfants vous ne manquez pas de culot. Vous allez à la Messe tous les Dimanche, vous lisez des livres de prières et vous mentez à Belle-Maman et à vos enfants, vous la trompez, vous ne tenez jamais vos promesses ! Alors vous m’excuserez, je ne suis pas près d’entrer dans votre religion, car tous ceux qui vous côtoient et vont à la Messe se tiennent comme vous, alors j’ai la conscience un peu plus propre que vous tous ! »

    Ce qui est malheureux à reconnaître et à dire c’est que les amis chrétiens qui viennent à ma table, se tiennent exactement pareil. Ils vont à l’église et ils se mentent mutuellement, se cocufiant les uns, les autres. Quand vous êtes dans le secret de la confidentialité des deux parties et que vous savez qu’ils vont à « confesse » pour recommencer deux jours après, il y a de quoi réfléchir sur cette religion et sur la conscience de ces humains.

    J’entends déjà des voix de mes semblables chrétiens s’élevées, criant que cette tenue est minoritaire.

    Alors je leur demande humblement d’ouvrir les yeux, car moi le « Païen », qui est à l’extérieur de la chrétienté, je confirme que ce genre de comportement est majoritaire dans la chrétienté.

    Autre comportement à la sortie de la « Grand-messe » du Dimanche, il faut écouter ces gens qui viennent tout juste de finir de prier « Dieu » et écouter leur langue vociférer sur leurs semblables.

    Je ferme la parenthèse.

    Vous êtes bien obligé de reconnaître la véracité de ces écrits qui prouvent que le christianisme ne peut pas être la religion représentant EL-SHADDAÏ sur la Terre et que l’enseignement de son Fils Jésus le Nazaréen a été détourné par des humains vaniteux, orgueilleux, menteurs, hypocrites, etc.

    Au Nom de « Jésus-Christ » des Ordres religieux tels que les Templiers, Ordre de Malt et bien d’autres, puis les Croisades, massacreront, violeront, assassineront et acquerront d’énormes richesses. Pendant les deux guerres mondiales les ecclésiastiques des deux camps bénissaient les troupes en disant : « Dieu est avec nous »

    En plus de tout cela ces mêmes ecclésiastiques vont bénir un bateau, une auto, un char d’assaut, un sous-marin nucléaire, un avion de combat, alors si ces actions ne sont pas de l’idolâtrie, vous chrétiens, dites-moi ce que c’est ? …

    Car, pour moi le « Païen », si, il y a bénédiction, il y a obligatoirement une prière pour la protection de « Dieu » sur de la matière et pour moi cela est un acte idolâtre.

    Comme je le répète souvent, je ne fais partie d’aucune Secte ou Religion, et tout ce que j’écris, je le fais en restant un « arlésien » un « quidam » pour éviter que certains d’entre-vous ne m’élèvent à une place de « Maître » « d’Enseignant » ou tout autre titre honorifique, en oubliant le principal, c’est-à-dire EL-SHADDAÏ, l’unique « DIEU », celui que vous devez rechercher en suivant ses Lois et les Enseignements de son Fils Jésus le Nazaréen, qui n’est pas un « Dieu », qui n’est pas l’égal de son Père, car il est un autre « être » vivant  comme je vous l’ai écrit plus avant, pourtant les deux sont indissociables, le Fils obéissant, faisant la volonté de son Père et non la sienne, servant d’intermédiaire entre ce Père et l’humain, étant l’avocat de celui-ci devant son Père, car ayant été sur la Terre comme un humain, personne mieux que lui ne peut représenter l’espèce humaine devant son Géniteur et Créateur de ces races humaines.

    Je reviens sur le débat la « consubstantialité » du Père et du Fils dans la religion chrétienne.

    L’encyclopédie ou le dictionnaire donne comme définition : inséparable, ne faisant qu’un.

    La notion de consubstantialité fut introduite par les Pères de l’Église au Concile œcuménique de Nicée en 325 sous l’autorité de Constantin le Grand et de son ami Eusèbe de Césarée.

    Par ce terme, les évêques présents à ce Concile condamnaient les théories d'Arius d'après lequel, le Fils étant une créature, celui-ci ne pouvait être de la même substance que le Père.

    Ce Concile fut confirmé par celui de Constantinople en 381. A ce Concile de Constantinople, fut approuvée par la majorité des évêques la « consubstantialité » du Père, du Fils et du Saint-Esprit les trois ne faisant qu’un « Dieu » ou plus exactement, les trois « Dieux » ne représentent qu’un seul et même « Dieu ». Cette « Trimurti » voilée, nommée « Sante-Trinité » fut confirmée par un « Credo » qui est toujours en vigueur aujourd’hui.

    Voilà comment des humains connaissant les « Écritures », qui, sans vergogne, transgressent allègrement ces mêmes « Écritures », rejetant indirectement l’Ancien Testament ainsi que le Nouveau Testament

    Je cite :

    Deutéronome 4 : 35, 39

    « C'est à toi qu'il a donné de voir tout cela, pour que tu saches qu’EL-SHADDAÏ --{ que Yahvé }-- est le vrai Dieu et qu'il n'y en a pas d'autre. »

    « Sache-le donc aujourd'hui et médite-le dans ton cœur : c'est EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }--  qui est Dieu, là-haut dans le ciel comme ici-bas sur la terre, lui et nul autre. »

    Deutéronome 7 : 9 - 10

    « Tu sauras donc qu’EL-SHADDAÏ --{ que Yahvé }-- ton Dieu est le vrai Dieu, le Dieu fidèle qui garde son alliance et son amour pour mille générations à ceux qui l'aiment et gardent ses commandements, mais qui punit en leur propre personne ceux qui le haïssent. Il fait périr sans délai celui qui le hait, et c'est en sa propre personne qu'il le punit. »

    Zacharie 14 : 9

    « Alors EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }-- sera roi sur toute la Terre. En ce jour-là, EL-SHADDAÏ --{  Yahvé }-- sera unique, et son nom unique. »

    NT Matthieu 4 : 10, 23 : 9

    « Alors Jésus lui dit :

     « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur { EL-SHADDAÏ } ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. » »

    « N'appelez personne votre « Père » sur la terre : car vous n'en avez qu'un, le Père céleste. »

    NT Jacques 2 : 19, 4 : 12

    « Toi, tu crois qu'il y a un seul Dieu ? Tu fais bien. Les démons le croient aussi, et ils tremblent. »

    « Il n'y a qu'un seul Législateur et Juge, celui qui peut sauver ou perdre. Et toi, qui es-tu pour juger le prochain ? »

    Si j’avais été un peu plus courageux j’aurai pu vous remplir la page de textes bibliques où les écrivains citent un « Dieu seul et unique »

    Entre parenthèse, jamais un Témoin de Jéhovah ne vous citera ce verset biblique de Jacques, alors quand ils viennent sonner à votre porte et qu’ils veulent vous parler de bible, citez-leur ce verset er attendez la réaction.

    Tout au long de cette Bible, qui représente l’Écriture Sacré, il n’est question que d’un « Dieu » seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ. Le Christianisme jusqu’à nouvel ordre accepte bien l’Ancien Testament comme un Livre Chrétien ainsi que le Nouveau Testament.

    Vous, Chrétiens, vous êtes bien en accord avec ce que je viens d’écrire ?

    Vous ne pouvez pas nier !

    Alors je viens de vous prouver que la « Sainte Trinité » est une pure invention et qu’elle contredit les versets de l’Ancien et du Nouveau Testament cités ci-dessus !

    Il est bon de connaître la vérité sur la plus grande religion mondiale, cette religion idolâtre qui emmène ses fidèles vers une mort sans retour.

    Prenez-soins de vous, portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    Constantin le Grand est personnellement très porté sur le faste, l'ostentation et désire donner à la fonction impériale, par le cérémonial, le costume et l'apparat une dimension suprahumaine. Eusèbe de Césarée affirme dans sa « Vie de Constantin » que l'empereur siège sur son trône dans une attitude hiératique et figée, ses yeux levés vers le ciel.

    Toujours par Eusèbe de Césarée, quand Constantin le Grand partira en campagne contre les Perses, considérant cela comme une croisade, des évêques devront l’accompagner pour participer dans son Conseil

    Suite à cette lecture, vous comprenez maintenant le faste qui existe dans la chrétienté qu’elle soit orthodoxe ou catholique.

    Cette religion qui devrait faire acte de pauvreté étale sa richesse lors des grandes cérémonies religieuses comme Pâques ou Noël.

     

    Chapitre N° 11

     

    Constance II, Théodose

     

    Tout ceci vient de l’ère de Constantin le Grand.

    Suite à ce faste des transformations importantes vont régir cette « Église Chrétienne »

    Beaucoup de dissensions naissent au sein de la communauté religieuse chacun voulant imposer son dogme pour avoir l’autorité sur toute la communauté chrétienne. Vous deveniez le chef incontesté et incontestable sur la religion mais aussi sur la politique avec les honneurs et la richesse.

    Jésus le Nazaréen n’existe plus, c’est juste un « Nom » qui rapporte gloire et fortune.

    Je continue l’écriture, Constantin est décédé et pour le moment c’est encore le Concile de Nicée qui fait foi avec son « Symbole des Apôtres »

    Le troisième fils de Constantin, du nom de Constance II, prendra le pouvoir après le massacre de ses neveux et de ses demi-frères.

    Déjà à cette époque, le christianisme n’était pas encore vraiment structuré, les responsables religieux de cette religion n’étaient pas à une magouille, voir mensonges et faux témoignages près

    En voici une preuve :

     Le consentement sinon la responsabilité de Constance II dans le massacre des neveux et des demi-frères de Constantin est plus que vraisemblable.

    L'évêque Eusèbe de Nicomédie, partisan de Constance II, produisit opportunément un testament de Constantin, qui accusait ses demi-frères de l'avoir empoisonné, et qui incita la Garde impériale à le venger.

    Constance II passe pour le premier empereur byzantin.

    Il affirme tenir son pouvoir du Dieu des chrétiens et exerce un pouvoir absolu et tyrannique qui se manifeste par des attitudes hiératiques et justifie toutes les cruautés.

    Lorsque Constance monte sur le trône, les circonstances ont changé, de sorte qu'il trouve face à lui un clergé chrétien organisé quoique divisé, et habitué depuis des décennies à bénéficier de la faveur impériale.

    Il vit entouré d'une cour peuplée d'eunuques dirigée par le grand chambellan Eusèbe, lieu de toutes les intrigues.

    Le Conseil du prince devient consistoire : les participants doivent rester debout en présence de sa majesté impériale.

    Constance, qui se considère comme « l'Évêque des évêques » entend donc bien contraindre, par la force de son autorité, les prélats récalcitrants, ariens comme nicéens, à professer cette idée controversée de la supériorité et de l'antériorité du Père

    Il sent que sa tâche parfois le dépasse.

    N'ayant pas de fils, il se voit contraint de nommer des Césars parmi ses cousins rescapés du massacre familial de 337 pour le seconder. Il s'en sait détester et ne se résigne à les désigner que lorsque des conséquences extrêmes l'y contraignent.

    En 351, Constance II nomme César en Orient son cousin Gallus pour lutter contre Magnence.

    En 354, mécontent de la manière de gouverner de Gallus, il le fait exécuter.

    En 355, il envoie le demi-frère de Gallus, Julien, le représenter en Gaule, avec le titre de César, pendant que lui-même réside à Milan, inquiet du danger alaman.

    En 356, il publie un édit de persécution contre les païens :

     « Nous décrétons la peine capitale contre ceux qui sont convaincus d'adorer les idoles. »

    En 357, il vient visiter Rome, qu'il ne connaît pas, puis conduit une offensive contre les Sarmates et enfin contre les Perses.

    En 360, à Lutèce, les troupes de Gaule proclament Julien Auguste, c'est-à-dire empereur à part entière.

    Constance II doit se porter contre lui, quand, en 361, en cours de route, il tombe malade et décède rapidement, après avoir reçu, comme son père, le baptême d'un prêtre arien, léguant le trône à son compétiteur.

    Le sens du baptême, que Jean le Baptiste instaura et que Jésus le Nazôréen confirma, n’a plus sa valeur spirituel des premiers jours, mais devient, par peur de la mort et de la vie de l’au-delà, un sacrement de passage pour avoir une meilleure « vie dans la mort ». En effet beaucoup d’humains de ce IVème siècle et des suivants se feront baptiser juste avant de mourir.

    Le célèbre prélat nicéen Hilaire de Poitiers, lui aussi un temps exilé en Orient, en vient même à comparer l'empereur ayant trahi le credo de Nicée à l'Antéchrist en personne.

     L'animosité de l'évêque est telle qu'il maintient un style agressif à l'encontre du Prince même après l'usurpation de Julien et la révélation de l'apostasie du nouveau souverain. Un signe que les haines entre chrétiens, nées des controverses sur la nature de la Trinité, se révèlent parfois plus vives que les tensions latentes entre chrétiens et gentils et que l’Église au sortir du règne de Constance demeure plus désunie que jamais.

    Je continue les faits historiques du début de l’ère chrétienne afin de vous prouver que cette religion, la chrétienté, est une religion faite par les humains et que les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour la chrétienté, ainsi que les « Enseignements » de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, n’ont plus aucune valeur et que seul compte les Lois et Enseignements écrit par les humains.

    À l'exception de Valens, les successeurs de Constantin le Grand, soucieux de paix civile, observent une stricte neutralité religieuse entre les ariens et les nicéens. La défaite d’Andrinople face aux Wisigoths ariens permet aux catholiques orthodoxes de passer à l’offensive. Ambroise de Milan, voulant défendre le Credo de Nicée contre les ariens qualifie l’hérésie de double trahison, envers l’Église et envers l’Empire.

    Gratien-- Empereur de 367-383

     Le 19 janvier 379, Gratien proclame Auguste l’hispanique Théodose Ier, fils du grand général Théodose l'Ancien, qui réprime le soulèvement de Firmus en 375, exécuté à Carthage en 376, probablement sur l’ordre de Gratien. Théodose reçoit l’Orient.

    En 380, Gratien et Théodose arrêtent les Goths en Épire et Dalmatie.

    Les empereurs Théodose, pour l’Empire d'Orient et Gratien, pour l’Empire d'Occident, tous deux chrétiens, élèvent le christianisme au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’Édit du 28 février 380, dit l'Édit de Thessalonique.

     L’empereur Gratien cesse alors de porter le titre de Pontifex Maximus, souverain pontife, du culte romain.

     Ce titre, Pontifex Maximus, est donné de nouveau à l’évêque de Rome des siècles plus tard.

    De 388 à 391, Théodose demeura en Occident, presque toujours à Milan.

     En 390, voulant mettre fin aux mœurs qui avaient jusqu'alors prévalu dans le monde antique, et imposer la morale ascétique préconisée par les chrétiens les plus radicaux, il publia une loi qui punissait de mort les homosexuels, et fit réprimer dans le sang par les troupes barbares une émeute à Thessalonique.

    La répression fit sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent ici majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.

    En 381, il transporte sa capitale de Trèves à Milan, auprès de l’évêque Ambroise.

    À noter qu'en 381, en son honneur, la bourgade de Cularo fut renommée Gratianopolis ---devenue Grenoble ---- après avoir été dotée d'un évêché par Gratien.

    En 382 il combat le paganisme et se montre très bienveillant envers l’Évêque Damas Ier. Il supprime notamment les immunités dont jouissent les prêtres et les vestales et il est le premier empereur à refuser de porter le titre de « Pontifex Maximus. » »

    Gratien finit par s’orienter vers une condamnation de l’arianisme sous l’influence conjuguée de son collègue Théodose et d’Ambroise, il promulgue des lois antihérétiques. Il convoque un concile à Aquilée, en 381, dirigé par Ambroise.

    Les païens, les hérétiques et les Juifs deviennent des citoyens de seconde zone, grevés d’incapacités juridiques et administratives.

     Dans une loi, Théodose précise :

    « Nous leur enlevons la faculté même de vivre selon le droit romain. »

    Cependant, le Judaïsme est la seule religion non-chrétienne à demeurer licite en 380.

    Sur le vieux fond de judéo phobie gréco-romain se greffe un antijudaïsme proprement chrétien, accusant les Juifs d’être déicides et d’avoir rejeté le message évangélique.

     Cela n’empêche pas Théodose de vouloir imposer à l’évêque de Callinicum en Mésopotamie de reconstruire à ses frais, la synagogue que ses fidèles ont détruite, à la grande indignation d’Ambroise de Milan.

    Le christianisme primitif est oublié et les vieux démons humains ont repris vigueurs.

     Ce sont les Évêques qui commandent.

    En 451, le concile de Constantinople définit Dieu comme un être unique, en trois personnes éternelles, le Père, le Fils et le Saint Esprit.

    L’affirmation du dogme de la Trinité. Jésus-Christ est défini comme 

    « Fils unique de Dieu, engendré du Père, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non créé, de la même substance que le Père[] »

    Comme vous pouvez le constater se sont bien les humains qui ont fait le christianisme tel qu’il est aujourd’hui, rien à voir avec les « Enseignements de Jésus le Nazaréen et des Lois perpétuelles de son Père EL-SHADDAÏ. »

    Je n’invente rien dans mes écrits, les historiens sont là pour dévoiler une certaine vérité car il y a la neutralité historique des faits avec des dates.

    Jésus le Nazaréen et ses « Enseignements » ne font plus autorité, mais c’est le pouvoir politico-religieux qui prime.

    Le christianisme primitif n’existe plus.

    Maintenant le christianisme c’est l’État et les Évêques qui en sont propriétaires. Tout ce qu’ils diront et feront au nom du christianisme « fait force de Loi ».

    À partir du IVe siècle, un personnage nouveau se détache de l’évêque, le prêtre. Il obtient peu à peu le droit de baptiser, de prêcher et d’enseigner. Alors que les cités d’Occident se vident de leur population à cause des difficultés de ravitaillement et de l’insécurité, une nouvelle cellule religieuse rurale se développe au VIe siècle, la paroisse dans laquelle il officie.

    Au-dessus des évêques se trouve l’évêque métropolitain qui siège dans le chef-lieu.

     En 381, apparaissent des « primats » qui regroupent sous leur autorité plusieurs provinces. En Occident, Rome et Carthage, en Orient, Constantinople, Alexandrie et Antioche. Au cours du IVe siècle, le siège de Rome commence à établir sa primauté sur l’ensemble de l’Empire.

    La primatie, du latin prima sedes episcoporum, est la dignité d'un « primat », évêque qui possède une suprématie, au moins honorifique, sur tous les évêques et archevêques d'une région. Le terme désigne aussi l'étendue du ressort de la juridiction ecclésiastique du primat, et le siège de cette juridiction.

    Une province ecclésiastique est une circonscription administrative de l'Église catholique qui a pour origine l'organisation administrative de l'ancien Empire romain. Dans l'Empire romain tardif la province était une subdivision d'un diocèse.

    Cela ne doit pas faire oublier que durant l’Antiquité tardive, l’Église n’est pas un ensemble homogène. Chaque cité a ses rites, ses saints, sa langue liturgique, reflet de la diversité de l’Empire.

    A partir de maintenant l’Évêché de Rome et de Constantinople vont prendre de plus en plus d’importance sur les pouvoirs politiques.

    De très grandes dissensions dogmatiques vont opposer Rome qui est l’Occident et Constantinople qui est l’Orient. Le premier deviendra l’Église Catholique de Rome, l’autre l’Église Orthodoxe de Constantinople. Les deux communautés prendront les armes les uns contre les autres. Alliance contre nature, trahison, et autres arriveront à la séparation définitive au grand schisme d’Orient en 1054.

    Ce qui est écrit ci-dessus est malheureusement le reflet de la dépravation humaine. Alors réfléchissons et recherchons le véritable Dieu !

    Portez-vous bien, prenant soins de vous ainsi que de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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