• Autre fête Chrétienne : le 02 Février

     

    LA  CHANDELEUR

     

    Aujourd’hui, toujours dans un sens d’une aide spirituelle à mes semblables, je vais écrire sur une fête d’origine païenne que la chrétienté a absorbée dans son giron par une magouille de dogmes religieux et de date ; je parle de la Chandeleur, fête des Chandelles.

    Quoique, à notre époque moderne, cette fête païenne perd de son charme, l’humain ne prenant plus le temps pour s’amuser et rire, figé devant son poste de télévision, mais il y a toujours des humains qui aiment les traditions, que ce soient religieuses ou païennes.

    Il existe encore, de nos jours des dictons, mais aussi un symbolisme mystérieux lié à la confection des crêpes et à la manière de les faire sauter. Une pièce d’or, plus exactement un Louis d’or, sinon une menue monnaie dans la main gauche, la crêpe dans le poêle et de la main droite, hop, nous faisons sauter la crêpe afin qu’elle se retourne d’un demi-tour en l’air, et vite la récupération ! … Réussi ! … Alors vous aurez la prospérité toute l’année

    On dit aussi que la première crêpe confectionnée doit être gardée dans une armoire et qu’ainsi les prochaines récoltes seront abondantes.

     Il est parfois précisé qu'il s'agit du sommet d'une armoire et que la crêpe est alors réputée ne pas moisir et éloigner la misère et le dénuement.

    Comme écrit ci-dessus la fête de la « Chandeleur » est d’origine païenne –la festa candelarum ---

    Pour le plaisir, cinq à six dictons des régions de France

    À la Chandeleur, l'hiver se meurt ou prend vigueur.

    À la Chandeleur, au grand jour, les grandes douleurs.

    Si le ciel n'est ni clair ni beau, nous aurons plus de vin que d'eau

    Rosée à la Chandeleur, l'hiver à sa dernière heure.

    Si la Chandeleur pleure, l'hiver ne demeure

    Bien avant la naissance de Jésus le Nazaréen, dans toute l’Europe et le Moyen-Orient, selon le calendrier, et dans ce monde barbare où le temps de l’hiver servait de repos pour les humains, les armes et la terre, nous fêtions la fête des Dieux et Déesses, mais surtout de l’Ours. Toutes les fêtes dues au Solstice de l’Hiver étaient finies. Les humains commençaient à s’apercevoir de l’allongement de la lumière journalière, cela annonçait le réchauffement de la terre, la fin de l’hiver. Le monde agricole et pastorale commençaient les préparatifs pour une nouvelle année de travail et les guerriers leurs armes pour les nouvelles campagnes.

    En Europe en l’honneur de la déesse Brigit, vers le début février, les paysans portaient des flambeaux et parcouraient les champs en procession, célébrant la purification de la terre ainsi que sa fertilité les semailles approchant.

    Longtemps en Europe, les humains fêtaient l’Ours, objet d’un culte qui s’étendit de l’Antiquité jusqu’au cœur du Moyen Âge. Dans les Pyrénées ou en Bigorre les indigènes disaient qu’à la Chandeleur, appelé dans de nombreuses régions européennes le « Chandelours », l’animal sortait de la grotte où il hibernait, inspectait le ciel, et si celui-ci était dégagé, l’ours retournait dans son gîte pour quarante jours, en clair cela signifiait que l’hiver durerait encore une quarantaine de jours.

    Selon les régions et les traditions l’animal hibernant, dit « dormeur », changeait où était un complément de l’Ours, dans le Limousin s’était le loup, en Lorraine la loutre, en Irlande le hérisson, en Forêt Noire, les Savoie, la Toscane la marmotte.

    Tiens !, en parlant de la marmotte, les européens émigrants en Amérique du Nord amenèrent avec eux leurs coutumes et traditions. Une entrée du journal personnel de James Morris, commerçant du comté de Berks en Pennsylvanie du 5 février 1841 mentionne : 

    « Mardi dernier le 2 était la Chandeleur, le jour où selon la tradition allemande la marmotte jette un coup d'œil hors de son terrier. Si elle voit son ombre, elle retourne se coucher pour six semaines de plus, mais si la journée est nuageuse elle demeure à l'extérieur car le reste de l'hiver sera doux ».

    Au Canada comme dans le Nord des États-Unis le 2 Février ne se nomme plus la « Chandeleur » mais « Le Jour de la Marmotte »

    Les peuples germains, scandinaves, celtes, gaulois célébraient la sortie d’hibernation de l’ours vers la fin du mois de janvier ou le tout début du mois de février. Mais la date faisant l’objet des plus importantes célébrations était le 24 janvier dans la majeure partie de l’Europe.

    Il s’agissait du moment où l’ours sortait de sa tanière pour voir si le temps était clément.

     Cette fête était caractérisée par des déguisements ou travestissements en ours, et des simulacres de viols ou d’enlèvements de jeunes filles.

    Petite explication de physique avant de continuer

    En début février, les pays tempérés de l'hémisphère nord se retrouvent dans une circulation atmosphérique zonale. Ceci veut dire qu'il y a des poussées d'air froid du nord qui alternent avec des incursions chaudes venant du sud. Un ciel clair et dégagé veut dire que la région est recouverte par un anticyclone arctique, donc l'air est très froid et l'hiver semble bien parti pour rester. Par contre, un temps nuageux signifie le passage d'une dépression amenant de l'air doux du sud ce qui peut faire penser à une fin précoce de cette saison.

    En réalité, le printemps a peu de chances d'arriver avant la date prévue et le temps qu'il fait le 2 février n'est que pure coïncidence. De plus, tout dicton provenant d'Europe a bien peu de chance de s'appliquer à un endroit qui a une climatologie différente comme l'Amérique du Nord.

    Chez les Romains, on fêtait les Lupercales, fête de purification, inspirées de Lupercus, dieu de la fécondité et des troupeaux, aux environs du 15 février. À la même époque, on trouve également la fête de Feralia qui était la fête des morts car c’était le dernier jour de l’année.

    Les luperques, prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal, au pied du mont Palatin, où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus, après avoir découvert les deux jumeaux sous un figuier sauvage situé devant l'entrée de celle-ci, et avant qu'ils ne soient recueillis et élevés par le berger Faustulus et son épouse Acca Larentia, une prostituée surnommée lupa, la « louve », par les autres bergers de la région.

    Le mois de février tire son nom de « Fébruar » qui signifie « purification »

    La Festa Candelarum tire son nom d'une coutume consistant à allumer des cierges à minuit en symbole de purification

    Reste que la « Festa Candelarum » à Rome commémorait la recherche de la Déesse de la Lumière, Perséphone enlevée par le Roi de l'Autre Monde Hadès, par sa Mère la déesse de la Vie Déméter. Perséphone n'étant plus dans notre monde les ténèbres étaient omniprésentes, sa mère a alors éclairé sa recherche avec une torche, et a fini par obtenir que sa fille soit sur Terre et sur l'Olympe pendant les deux tiers de l'année, période claire, et dans l'Autre Monde, l’Hadès, durant un tiers du temps, saison hivernale.

    La fête des Chandelles symbolise le retour de la Lumière.

    Maintenant voyons le religieux, la Chrétienté !

    En premier, juste pour la mémoire, nous savons que la date de la naissance de Jésus le Nazôréen un 25 décembre, fut choisie arbitrairement par l’Évêque de Rome, Libère, en 354 de l’EC alors que la réalité, la vérité, veut que ce Jésus de Nazareth soit né entre fin Septembre et au plus tard le milieu Octobre de l’an -7 ou -5 de J-C.

    Comme écrit plus avant le mois de Février, Fébruar, dont la signification veut dire purification par le retour à la Lumière est aussi la fête des animaux « dormeurs » en particulier et surtout l’Ours.

    IVème siècle, l’Empereur Théodose 1er, par l’Édit de Thessalonique, rend le christianisme religion d’Empire, mais c’est lui qui reste le « Pontifex Maximus » de cette religion. Pour prendre de l’ampleur les Évêques des deux communautés les plus importantes, Rome et Constantinople, de cette religion chrétienne, cherchent à éradiquer les fêtes importantes païennes pour les incorporer dans le giron de l’Église. La fête des « Chandelles » ou du « Chandelours » après celle du Solstice de l’Hiver et de la Nativité, Noël maintenant, fait partie de celle-là.

    Au Vème siècle, comme Libère, l’Évêque de Rome Gélase 1er substituera cette fête, la « Chandeleur », aux antiques « Lupercales » et « Feralia », mais aussi à la célébration de l’Ours, qui, malgré cette commutation, continuera pendant des siècles avec ses feux de joie et ses déguisements, en remplaçant les torches par des chandelles bénites pour les processions, dont la lueur supposera éloigner le mal et rappellera que le « Christ » est la « Lumière du monde ».

    Cette fête, imposée par Gélase 1er, quarante jours exactement après la naissance du « Jésus-Christ », soit le 2 février portera le nom de « Fête de la présentation de Jésus-Christ au temple », et en 1372 l’Église chrétienne, par dogme, instituera à la même date, la « Fête de la Purification de Marie » et mettra au 1er Février la fête de Sainte Brigitt, de la Saint-Ours d’Aoste, de Saint-Blaise, Blaise signifiant Ours.

    La « Chandeleur », fêtes des « Chandelles », est une fête religieuse chrétienne officiellement nommée « Présentation du Christ au Temple » et aussi « Purification de la Vierge Marie ».

     Luc II : 21-40 – La vierge Marie est la mère de jésus le Nazôréen

    « Quand fut arrivé le huitième jour, celui de la circoncision, l'enfant reçut le nom de Jésus, le nom que l'ange lui avait donné avant sa conception. Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi :

     « Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. »

     Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :

    « Un couple de tourterelles ou deux petites colombes ».

    Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C'était un homme juste et religieux, qui attendait la consolation d'Israël, et le « Souffle d’Intelligence » était sur lui. Le « Souffle d’Intelligence » lui avait révélé qu'il ne verrait pas la mort avant d'avoir vu le Messie d’EL-SHADDAÏ. Poussé par le « Souffle », Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l'enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient. Syméon prit l'enfant dans ses bras, et il bénit EL-SHADDAÏ en disant :

    « Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple. »

    Le père et la mère de l'enfant s'étonnaient de ce qu'on disait de lui. Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère :

    « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. - Et toi-même, ton cœur sera transpercé par une épée. - Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d'un grand nombre. »

    Il y avait là une femme qui était prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser. Demeurée veuve après sept ans de mariage, elle avait atteint l'âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s'éloignait pas du Temple, servant EL-SHADDAÏ jour et nuit dans le jeûne et la prière. S'approchant d'eux à ce moment, elle proclamait les louanges d’EL-SHADDAÏ et parlait de l'enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.

    Lorsqu'ils eurent accompli tout ce que prescrivait la loi d’EL-SHADDAÏ, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth. L'enfant grandissait et se fortifiait, tout rempli de sagesse, et la grâce d’EL-SHADDAÏ était sur lui. »

    Le premier Janvier est le jour de la circoncision de Jésus-Christ soit sept jours après la naissance dans la nuit du 24-25décembre.

    Puis, après le temps déterminé, les parents de Jésus-Christ, Joseph et Marie présentent leur progéniture au Temple d’EL-SHADDAÏ, et font l’offrande sacrificielle.

    Si la date de la naissance de Jésus le Nazaréen n’avait pas été magouillée, rien à dire.

    Le problème c’est Marie, la mère de Jésus le Nazôréen !

    Le même jour que la « Présentation au Temple » il y a la « Purification de Marie » !...

    Alors vous, mes semblables chrétiens, je vous demande de bien suivre ma logique.

    Marie, la mère de Jésus-Christ, est donc reconnue imparfaite par votre religion, puisqu’elle doit se purifier quarante jours après la naissance de son fils. J’en déduis que votre Jésus-Christ fut façonné dans un corps terrestre imparfait, donc il ne peut pas naître parfait.

    Je serai très curieux de connaître la réponse d’un chrétien contre cette logique imparable, indémontable, basée uniquement sur les dogmes de la chrétienté.

    Ce qui est grave, c’est si je continue cette logique,  tout l’édifice chrétien s’écroule.

    Alors je vais continuer !

    Vous avez constatez, j’espère, que j’écris « Jésus-Christ » et non « Jésus le Nazôréen ».

    Donc Jésus-Christ a, à ses premiers instants de vie sur la Terre, un ADN pour cinquante pourcent de son Père EL-SHADDAÏ, donc parfait et un ADN de cinquante pourcent de sa mère terrestre, donc imparfait en suivant la logique ci-dessus. Ce que je viens d’écrire est une Loi de physique-chimie immuable puisque créé par EL-SHADDAÏ, père géniteur de Jésus-Christ que je nomme Jésus le Nazaréen ou Nazôréen.

    Comment un humain imparfait peut-il absoudre les péchés de ses semblables, mais encore pire, étant imparfait l’équilibre avec Adam et Ève est rompu, donc il ne peut pas sauver la race humaine de ce premier péché.

    Son sacrifice sur la croix ne sert à rien, car je ne vois pas EL-SHADDAÏ accepter une offrande imparfaite. Malheureusement il n’existe aucun texte canonique pour me démentir.

    Donc la race humaine est condamnée à disparaître du globe Terre, dans d’affreuses souffrances, corporelles bien-sûr, mais surtout spirituelles car il n’existe plus d’espoirs.

    Et ce n’est pas cet Abbé, Curé, Évêque, Cardinal, Pop, Pape qui redonnera espoir à ses ouailles, car ils sont tous « Prêtre » de SAMMAËL.

    Alors au XXIème siècle, que reste-t-il à l’humain puisque Jésus-Christ est né imparfait ?

    La chrétienté s’est fourvoyée dans le mensonge depuis que les écrits font allusion à un rédempteur, un « Sauveur ».

    Les humains qui commencèrent à gérer cette multitude d’Églises ou d’Assemblées étaient sous la houlette d’un Empereur. Le Christianisme a pris son essor grâce à Constantin le Grand qui déclara cette religion, religion d’Empire.

    Les Évêques du début du troisième siècle au sixième voire septième siècle essayèrent tant bien que mal de gérer cette Église Chrétienne Occidentale et Orientale. Les Enseignements de Jésus le Nazôréen sont dans les oubliettes, tout comme les Lois de son Père El-Shaddaï.

    Pourquoi à l’ère du développement du Christianisme, aucun « Père de l’Église », ne dévoilât l’imperfection de Jésus-Christ ?

    Je mets ce que j’écris au conditionnel, car personnellement je n’y crois pas.

    Il paraîtrait même, que le Vatican dans sa Grande Bibliothèque, dans une pièce que l’on nomme « Enfer », aurait des « Écrits en grec » qui stipuleraient que Jésus-Christ commettait la fornication avec une prostituée à laquelle il avait chassé sept démons qui étaient dans son corps et qui se nommait Marie de Magdala, en français, « Marie Madeleine ».

    De cette union de luxure serait né des enfants, toujours d’après les « Écrits » que le Vatican possèderait dans sa Bibliothèque.

    Si ce que je viens d’écrire est réel alors le Jésus-Christ des chrétiens est véritablement imparfait, et nous, pauvres humains sur cette Terre nous n’avons aucun espoir de rédemption, nous sommes comme des touristes, mais en plus, nous sommes des êtres maudits, plus bas que les animaux, notre seul espérance c’est de croire en l’arrivé d’un hypothétique « Messie ».

    Oui ! La race humaine est maudite, détestable avec un « Messie », « Jésus-Christ », imparfait, ce qui signifie que ce n’était qu’un charlatan, guérisseur, exorciste !...

    Une question :

     Comment se fait-il qu’EL-SHADDAÏ ait accepté que son Fils unique, Lui parfait dans les Cieux, naisse dans un corps humain imparfait ?

    Cela est d’un illogisme !... !...

    Maintenant que l’imperfection de Jésus-Christ est démontrée, je reviens à l’historique de cette fête de la Chandeleur, fête des Chandelles.

    Gélase Ier, d’origine berbère, est l’Évêque de Rome de 492 à 496

    Gélase défendit vigoureusement la primauté de Rome lors du schisme d'Acacius, patriarche de Constantinople, conséquence de la politique religieuse de l'empereur Zénon

    Il continue la politique d'indépendance de l'Église, entamée par Félix III, en particulier vis-à-vis de la cour de Byzance et du nouvel empereur Anastase Ier en lui faisant parvenir en 494, une lettre où il formule avec clarté le principe, qui selon lui, doit inspirer les relations entre l’évêché et l'empire.

    « Deux pouvoirs, Auguste Empereur, règnent sur le monde.

    Le pouvoir sacré des Évêques et le pouvoir des Rois. Le pouvoir des Évêques l'emporte d'autant plus sur celui des Rois que les Évêques auront à répondre au tribunal de Dieu de tous les hommes, fussent-ils rois.

    Votre pieuse Majesté ne pourra donc qu'en conclure que personne, en aucun temps, sous aucun prétexte humain, ne pourra jamais se dresser contre la fonction absolument unique de cet homme que le précepte du Christ lui-même a placé à la tête de tous et que la Sainte Église reconnaît comme son chef. »

    Comme vous venez de le lire le terme « Pape » n’est absolument pas employé. Vous constaterez en même temps le peu d’humilité dans cette écriture. En plus le mensonge ne le dérange pas beaucoup car jamais, je dis bien jamais, Jésus le Nazaréen n’aurai accepté une telle vanité.

    Pour éradiquer la fête de Lupercales, Gélase Ier décide en 495 de célébrer la fête de la « Saint Valentin » le 14 février, date de son anniversaire, qui sera la fête chrétienne des amoureux, et dans le même élan il interdit cette fête païenne

    Je reviendrai rapidement sur cette fête de la Saint Valentin dans deux semaines

    Si cela n’est pas une christianisation d’une fête païenne, dites moi ce que c’est !

    Sous l’Évêque de Rome Gélase 1er, le 2 Février était la fête des « Chandelles » qui pris le nom  de « Chandeleur » parce qu'à partir du VIIème siècle on célébrait à Rome, à cette occasion, une procession de pénitence qui commençait à l'aurore et devait se faire à la lueur de cierges. Cette procession représentait le voyage de Joseph et Marie avec leur bébé pour aller de Bethléem ou Nazareth au temple de Jérusalem.

    À partir du Xème siècle, c'est à l'occasion de cette fête qu'on procède à la bénédiction des cierges.

    Mais ce n’est qu’en 1372 que cette fête sera officiellement associée à la purification de la Vierge

    Si ce que je viens d’écrire ci-dessus n’est pas une forme d’idolâtrie, alors dites-moi ce que c’est !

    Les crêpes avec leur forme ronde et leur couleur dorée rappelleraient le soleil, ce qui expliquerait que l'on confectionne des crêpes à la Chandeleur, moment de l'année où les jours s'allongent de plus en plus vite. C’est également à cette époque de l’année que les semailles d’hiver commençaient.

    Quand j’écris que la chrétienté est l’emblème de SAMMAËL sur la Terre je suis vraiment dans la vérité.

    Cependant, les célébrations de l’ours et du retour de la « Lumière » continueront lors de feux de joie et autres processions de flambeaux. Pourtant la chrétienté fit tout pour déraciner, éradiquer ces coutumes païennes et ancestrales.

    Ce n’est malheureusement pas encore fini, car le christianisme se développe et les actions idolâtres avec.

    Du XIIème siècle au XVIIIème siècle, la chandeleur fut appelée « chandelours » dans de nombreuses régions françaises où le souvenir du culte de l'ours était encore très présent

    Je ne vais pas vous quitter sans vous laisser d’espoirs spirituels. Souvenez-vous, je vous écrivais l’imperfection de Jésus-Christ, juste quelques lignes au-dessus, qui ne nous laissaient aucun espoir.

    Pensez-vous que le Dieu que je glorifie, serait un Dieu machiavélique ?

     Sûrement pas !

    Pensez-vous qu’EL-SHADDAÏ aurait laissé son propre Fils naître sur la Terre dans un corps imparfait, le rendant du coup imparfait, et ne pouvant plus accomplir ce à quoi il était destiné ?

    Au contraire EL-SHADDAÏ choisit deux êtres humains qui étaient de descendance Royal, dans la ligné « Davidique » même si pour une femme cela est plus compliquée que pour un mâle.

    Bien-sûr qu’il y a des humains qui ont écrit sur la perfection de Marie, mais les hommes à la direction du christianisme du IVème siècle déclarèrent apocryphe tous ces écrits car, en plus, ils étaient de langue araméenne.

    A la lecture des faits historiques de la gouvernance du Christianisme des dix premiers siècles, vous avez vite compris que cette religion ne pouvait être « Inspirée », et que ses servants étaient des adeptes de Mastéma Prince de la Terre avec toutes les actions idolâtres comme la bénédiction de cierges.

    Le péché de « descendance » de l’humain que Marie, la mère de Jésus le Nazaréen, avaient à sa naissance, fut abolit par EL-SHADDAÏ le jour où Joachim et Anne présentèrent l’enfant au Temple. Ce jour-là, le Grand Prêtre Zacharie et ses assistants furent témoin de ce phénomène, la petite fille à trois ans monta sur le Parvis du Temple réservé uniquement au Grand Prêtre et esquissât des pas de danse : 

    « Tous furent émerveillés et remercièrent EL-SHADDAÏ en le glorifiant du signe qu’il leur avait fait constater. »

    Ceci est expliqué dans le « Protévangile de Jacques », « protévangile » signifiant « antérieur à » ou « avant les évangiles de Luc et Matthieu ». Ce livre étant considéré comme apocryphe par les Catholiques, et canonique par les Orthodoxes, avait une très large diffusion au premier et deuxième siècle. --- Voir Origène, Clément d’Alexandrie, Justin et Celse.---

    Grâce à ces écrits, que je vous conseille de lire, le « Protévangile de Jacques » est en ligne ainsi que sa copie « évangile du pseudo-Matthieu », je peux dire avec une immense joie que Jésus le Nazôréen, fils unique d’EL-SHADDAÏ, fut façonné dans un corps parfait, et qu’il est né parfait, sans tache, sans péché.

    Mais en écrivant ceci, je démonte toutes les cérémonies de l’Église Catholique, vous prouvant, encore une fois, même si cela ne fait pas plaisir à certains, que cette religion est bien l’enseignement de SAMMAËL, car la fête de la « Purification de Marie » la Mère de Jésus le Nazaréen, n’a plus lieu d’exister, Marie étant parfaite, voilà pourquoi elle allaite directement son enfant sans attendre le temps de la purification.

    Involontairement je viens encore de prouver que l’Église, pour avoir des fidèles, a christianisé des fêtes païennes, inventant des cérémonies religieuses, qui sont les plagias de commémoration païenne, rendant ces fêtes idolâtres par des bénédictions sur de la matière sans vie comme les cierges.

    Sachant qu’un bon nombre de mes semblables n’apprécie pas ce que j’écris, je le fais pour qu’ils dessillent leur esprit par le raisonnement et la réflexion, et qu’ils soient honnêtes avec eux pour qu’ils trouvent le sentier qui mène à ce Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham et sa descendance, car même si je ne suis pas parfait, ce qui est certain, c’est par la voie que j’essaie de vous montrer, que vous trouverez le repos spirituel et la vie éternelle.

    Vous mes semblables, vous êtes responsable de vous individuellement, c’est vous qui continuez à vous signer devant un Christ sur une croix, ou devant une statue de pierre en demandant à cette matière d’écouter votre prière. Par ce geste idolâtre, car reconnaissez que cette action est la même que nos ancêtres pratiquaient devant un veau d’or, pensez-vous que Jésus le Nazaréen va intercéder votre prière devant son Père ?

    Un peu d’honnêteté !

    Respectez-vous !

    Portez-vous bien, prenez soins de vous ayant toujours les Lois d’El-Shaddaï et les Enseignements de Jésus le Nazaréen dans votre cœur pour les pratiquer

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

     


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  • Circoncision de Jésus le Nazôréen

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Exode XXXIV : 14

    Tu ne te prosterneras pas devant un autre dieu, car EL-SHADDAÏ a pour nom Jaloux : c'est un Dieu jaloux. 

    Deutéronome IV : 23-24

    « Gardez-vous d'oublier l'alliance que SHADDAÏ votre Dieu a conclue avec vous et de vous fabriquer une image sculptée de quoi que ce soit, malgré la défense de SHADDAÏ ton Dieu ; car EL-SHADDAÏ est un feu dévorant, un Dieu jaloux. »

    Ce sentiment de jalousie est un sentiment d’amour, car l’être humain étant l’image, le reflet de ce Dieu unique, est jaloux de ce qu’il aime tout comme EL-SHADDAÏ.

    Si je prends mon exemple, par la parole je dis et disais à mes semblables que je ne suis, que je n’étais pas jaloux, mais si l’un deux commençait à être un peu trop entreprenant envers mon épouse, même si je lui faisais confiance, je n’appréciais pas, surtout, si pour s’amuser, elle répondait légèrement aux avances, afin de me rendre jaloux. Donc cette jalousie est vraiment un sentiment d’amour, car nous tenons à ce que nous aimons !

    Il se fait qu’en cherchant un texte biblique pour confirmer mes écritures, j’ai trouvé cette épitre de Paul, Saül de Tarse, aux Galates. La Galatie territoire au milieu de l’Anatolie, aujourd’hui la Turquie, doit son nom à des Celtes Gaulois qui s’installèrent dans cette région en 300-280 avant J-C.

     

    Volet N° IX

    Circoncision de cœur

    Pour mieux vous situer ce pays, il s’étend du mont Loubar dans les montagnes Ararat en descendant dans les plaines fertiles du Tigre et de l’Euphrate. Cela ne vous rappelle pas une famille qui aurait  échoué là ? …

    Revenons à cette épitre de Paul aux Galates

    Galates V : 11-26

    « Quant à moi, frères, si je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté ? C'en est donc fini du scandale de la croix !

    Qu'ils aillent jusqu'à la mutilation, ceux qui bouleversent vos âmes !

    Vous en effet, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement, que cette liberté ne se tourne pas en prétexte pour la chair ; mais par la charité mettez-vous au service les uns des autres.

    Car une seule formule contient toute la Loi en sa plénitude : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

    Mais si vous vous mordez et vous vous dévorez les uns les autres, prenez garde que vous allez vous entre-détruire.

    Or je dis : laissez-vous mener par l'esprit et vous ne risquerez pas de satisfaire la convoitise charnelle.

    Car la chair convoite contre l'esprit, et l'esprit contre la chair ; il y a entre eux antagonisme, si bien que vous ne faites pas ce que vous voudriez.

    Mais si l'Esprit vous anime, vous n'êtes pas sous la Loi.

    Or on sait bien tout ce que produit la chair : fornication, impureté, débauche, idolâtrie, magie, haines, discorde, jalousie, emportements, disputes, dissensions, scissions, sentiments d'envie, orgies, ripailles et choses semblables - et je vous préviens, comme je l'ai déjà fait, que ceux qui commettent ces fautes-là n'hériteront pas du Royaume d’EL-SHADDAÏ.

    Mais le fruit de l'Esprit est charité, joie, paix, longanimité, serviabilité, bonté, confiance dans les autres, douceur, maîtrise de soi : contre de telles choses il n'y a pas de loi.

    Or ceux qui appartiennent au Christ Jésus ont crucifié la chair avec ses passions et ses convoitises.

    Puisque l'Esprit est notre vie, que l'Esprit nous fasse agir.

    Ne cherchons pas la vaine gloire, en nous provoquant les uns les autres, en nous enviant mutuellement. »

    Une chose qu’il ne faut jamais oublier, les Apôtres et les premiers Disciples étaient des hébreux, --- juif en français --- donc pour eux la circoncision signifiait qu’il faisait partie du Peuple du Dieu seul et unique, et d’ailleurs Jésus le Nazaréen lui-même dit bien qu’il n’est pas venu abolir la Loi, mais l’accomplir. Il a aussi essayé de faire comprendre à ses Apôtres et Disciples que la circoncision de corps ne représente rien, puisque la Loi stipulait qu’il fallait circoncire les enfants mâles huit jours après leur naissance.

    N’oublions pas que le geste de la circoncision était un geste d’Alliance entre les humains et l’unique Dieu de l’Univers. De plus, cela était un signe de reconnaissance entre humains. Les humains des Nations qui voulaient embrasser la religion du Dieu seul et unique se faisaient circoncire pour signe volontaire extérieure du choix de leur religion

    Genèse XVII : 11-12

    « Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous.

    Quand ils auront huit jours, tous vos mâles seront circoncis, de génération en génération //. »

    Sur ce sujet Jésus le Nazôréen est sans équivoque quand les Apôtres posaient la question sur l’importance de la circoncision.

    Jamais je ne comprendrais la discorde des premiers Disciples et des Apôtres quelque vingt, vingt-cinq ans après la mort de Jésus le Nazôréen sur ce sujet de la circoncision.

    Évangile de Thomas : logia 53  -- Jésus le Nazaréen est questionné par ses Disciples sur le sujet épineux de la circoncision

    Ses disciples lui dirent :

    « La circoncision est-elle utile ou non ? »

    Il leur dit :

    «  Si elle était utile, leur père les engendrerait circoncis de leur mère, mais la véritable circoncision en esprit est tout à fait utile. »

    Pour Jésus le Nazôréen la circoncision de l’esprit avait de l’importance car cela signifiait que l’humain prenait fait et cause pour les Lois de son Père El-Shaddaï, mais aussi de tous ses Enseignements. Comme souvent Jésus le Nazaréen l’a dit, il ne suffit pas de parler, il vaut mieux se taire et mettre tout cet enseignement en pratique, en arrêtant d’adopter les péchés du monde, en prenant une autre façon de vivre, évitant ces péchés du monde, cela se nomme la circoncision d’esprit car l’on pense autrement, de tel manière que l’humain se transformant devienne un parangon pour ses prochains, ses semblables.

    Déjà à l’ère de Moïse, EL-SHADDAÏ portait une plus grande attention aux humains qui pratiquaient la circoncision de cœur. Aujourd’hui, à l’ère du modernisme, rien à changer aux yeux d’El-Shaddaï, au contraire, car ce Dieu SHADDAÏ connait en ce début du « Siècle », des dernières « Générations », l’immense difficulté qu’il y a d’accepter la circoncision du cœur.

    Petites explications de ce passage du livre Deutéronome de la Bible. En premier il est écrit « écoute Israël » et nous savons que le pays fut définitivement rayé des cartes géographiques à partir de la destruction du second Temple soit en l’an 70 de l’EC. Alors, aujourd’hui ce n’est plus « Israël » mais les « Enfants du Dieu Shaddaï » qui forment et formeront son « Nouveau Peuple ». Le nom du Dieu seul et unique, « Yahvé », sera remplacé par le nom qu’Abraham lui donnait soit « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes », pour être égal avec moi-même, le Nom « Yahvé » désignant la religion hébraïque ou juive en français.

    Je reviens maintenant à la circoncision du cœur !

    Deutéronome X : 12-20

    Et maintenant, Israël, que te demande SHADDAÏ --(Yahvé)-- ton Dieu, sinon de craindre SHADDAÏ –(Yahvé)-- ton Dieu, de suivre toutes ses voies, de l'aimer, de servir EL-SHADDAÏ –( Yahvé)-- de tout ton cœur et de toute ton âme, de garder les commandements d’EL-SHADDAÏ  –(de Yahvé)-- et ses lois que je te prescris aujourd'hui pour ton bonheur ?

    C'est bien à SHADDAÏ –(Yahvé)-- ton Dieu qu'appartiennent les cieux et les cieux des cieux, la terre et tout ce qui s'y trouve.

    EL-SHADDAÏ --(Yahvé)-- pourtant ne s'est attaché qu'à tes pères, par amour pour eux, et après eux il a élu entre toutes les nations leur descendance, vous-mêmes, jusqu'aujourd'hui.

    Circoncisez votre cœur et ne raidissez plus votre nuque, car SHADDAÏ  –(Yahvé)-- votre Dieu est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, vaillant et redoutable, qui ne fait pas acception de personnes et ne reçoit pas de présents.

    C'est lui qui fait droit à l'orphelin et à la veuve, et il aime l'étranger, auquel il donne pain et vêtement.

    Aimez l'étranger car au pays d'Égypte vous fûtes des étrangers.

    C'est SHADDAÏ –(Yahvé)-- ton Dieu que tu craindras et serviras, t'attachant à lui et jurant par son nom.

    Toujours sur le sujet de la circoncision de cœur

    Jérémie IV : 4

    Circoncisez-vous pour EL-SHADDAÏ -- (Yahvé)--, ôtez le prépuce de votre cœur, gens de Juda et habitants de Jérusalem, sinon ma colère jaillira comme un feu, elle brûlera sans personne pour éteindre, à cause de la méchanceté de vos actions.

    Pour EL-SHADDAÏ la circoncision de chair n’était qu’une marque extérieure de reconnaissance de son « Peuple » comme un propriétaire possédant un troupeau de petit et gros bétail marquera ses bêtes au fer rouge afin de les reconnaître parmi la multitude du cheptel, mais ce qui comptait le plus pour Lui c’était la circoncision de cœur.

    El-Shaddaï prophétisera sur les humains qui formeront son Peuple, car ils auront le cœur dur et le cou raide.

    Lévitique XXVI : 40-42

    « Ils confesseront alors leurs fautes et celles de leurs pères, fautes commises par infidélité envers moi, mieux, par opposition contre moi.

    Moi aussi je m'opposerai à eux et je les mènerai au pays de leurs ennemis. Alors leur cœur incirconcis s'humiliera, alors ils expieront leurs fautes.

    Je me rappellerai mon alliance avec Jacob ainsi que mon alliance avec Isaac et mon alliance avec Abraham, je me souviendrai du pays. »

    El-Shaddaï parle souvent du cœur des humains qui formaient son Peuple, et aujourd’hui au XXIème siècle, ayant été trop bafoué par l’humain, il désire que ce soit l’humain qui vienne vers Lui, par le cœur et la sincérité pour former son « Nouveau Peuple » ce « petit nombre », que personnellement je désirerai qu’il soit le plus grand possible.

    Jamais un texte biblique a interdit à l’humain de se réjouir, de manger, boire, chanter, danser, au contraire, puisque le rire fait partie de la particularité humaine, en effet sur la Terre, en dehors de cet humain, aucun être vivant ne possède la faculté du rire, cette action qui exprime une grande joie, un grand bonheur, une insouciance. Un humain qui ne rit pas est un être malheureux sur la Terre, car le rire c’est l’enfance, et devant El-Shaddaï, qui est notre Père créateur à tous, nous sommes ses enfants.

    Avant de déposer l’homme sur la surface de la Terre, ce Dieu unique,  agençât cette dernière, créant, décrétant des myriades de lois de physique et chimie sempiternelles, immuables, inaltérables, incorruptibles laissant à l’intelligence humaine le soin de les découvrir, voilà pourquoi aujourd’hui, même à notre ère de modernisme et de science, l’humain ne connaît pas le dixième de ces Lois. Prenez simplement cinq minutes par jour en réfléchissant sur la gestion de la planète Terre. Par cette action, involontairement, vous vous approcherez de ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ et qu’est-ce que c’est que cinq minutes sur mille quatre cent quarante minutes par jour ?

    Un exemple, pensez au mouvement perpétuel de l’eau ! L’eau sort d’une source et cela commence par un minuscule filet d’eau, puis devient ruisseau, rivière, affluent, fleuve et se jette dans la mer. Évaporation de cette immensité d’eau grâce au soleil qui la chauffe en surface, cette eau se transforme en nuée s’élevant dans les cieux, poussée par les vents vers la terre ferme, et cette nué se désagrège doucement arrosant cette terre jusqu’aux montagnes où là, à très haute altitude elle se dissocie en neige, cette dernière fond en eau s’infiltrant dans les roches, retrouvant ou plus exactement reformant un minuscule filet d’eau, qui après quelques kilomètres est un ruisseau, … et le cycle recommence !

    Réfléchissez à ce cycle qui ne peut être une évolution, mais bien une gestion et quelle merveilleuse gestion car les lois de physique et chimie pour ce cycle sont innombrables !

    Par cette simple explication je viens de vous prouver l’existence d’une intelligence phénoménale, mais pour qu’il y ait intelligence obligatoirement il faut un cerveau, qui dit cerveau dit tête où loge ce cerveau, et qui, par son fonctionnement, est l’habitat de l’ « Esprit » de raisonnement, réflexion, penser, ce tout formant « l’intelligence », cette tête est attachée à un corps par le cou, et l’on arrive à un être auquel nous ressemblons puisque nous sommes son image, son reflet.

    Tient, pensez à un arbre, celui-ci vit plus vieux que l’âge moyen de l’humain, alors donnons-lui un siècle, et pendant toute sa vie où il fut couvert de milliard de feuilles pas une seule ne fut semblable à l’autre, alors imaginez-vous l’humain !

     Jamais la Bible a interdit à l’humain de se réjouir, au contraire, car l’humain est un enfant devant El-Shaddaï, et nous savons bien que la folie est attachée au cœur de l’enfant, mais aussi qu’un humain qui ne s’amuse pas va droit à sa mort, donc El-Shaddaï a créé de bonne chose pour l’humain, comme toute cette nourriture nombreuse et variée, mais aussi les vins avec leurs nectars délicieux, tout cela est le plaisir du ventre, mais il y a aussi le plaisir des yeux par cette flore multicolore, et tous ces insectes du plus merveilleux aux plus hideux, ainsi que les animaux des plus petits aux plus gros. Ajoutons à cela les milliers d’odeur, de la plus agréable, à la plus détestable, tout cela El-Shaddaï l’a créé et géré pour le plaisir de l’humain.

    De toutes ces bonnes choses, l’humain craignant El-Shaddaï s’en servira raisonnablement, avec sagesse.

    Dans cette Épitre aux Galates que devons-nous retenir comme enseignement dans la vie courante ?

    Nous devons nous aimer les uns les autres et pour prouver cet amour platonique, nous devons nous aider entre semblables. N’allons pas aider un ami, un camarade, un copain, car où serait la difficulté puisqu’ils ont déjà dans notre cœur un statu, mais essayons de tendre la main à la personne que nous n’aimons pas, un voisin de confession différente, venant d’un autre pays du Bassin Méditerranéen, où aussi ayant le délit de « sale gueule », de couleur de peau, d’origine, voilà les semblables pour lesquelles nous devons faire un effort afin qu’avec le temps ils parviennent à faire partie de notre milieu de fréquentation proche.

    Cette Épitre parle aussi des péchés de chair et d’Esprit.

    En premier je pense que vous serez en accord avec moi ; avant qu’il y ait péché de chair, il est fomenté initialement par l’Esprit. Attention, quand je vous parle de « l’Esprit », ce n’est pas celui de la religion chrétienne, car je réitère « l’Esprit » est volatil, éphémère, invisible, c’est notre façon de penser, raisonner, réfléchir, et à cela il faut joindre les sentiments du cœur tel que la patience, jalousie, autorité, mansuétude, douceur, etc, donc pour en revenir à l’originel avant de commettre certaines actions, nous les pensons, suscitons, soulevons, et après nous les commettons.

    Exemple pour l’homme et la femme, si ce premier a une érection il a peut-être envie d’uriner simplement, mais il se peut aussi qu’il est des pensées pornographiques, ou encore, fantasmant en regardant le sexe opposé passer  en face … C’est bien « l’Esprit », comme je le conçois, qui en premier pèche, mais cela parce que vous le voulez bien, et l’action de chair n’est qu’une approbation de l’esprit, si nous refusons en esprit nous ne pratiquons pas ce péché. Toutes les fautes d’ordre sexuelle, sont des péchés réfléchis, pensés, que ce soit la luxure, débauche, pédérastie, pédophilie, orgie, mais il y a ceux de l’esprit comme la fourberie, traitrise, mensonge, calomnie, rapine, convoitise, orgueil, vanité et tant d’autres encore qui sont tous, le fruit de l’esprit.

    Par contre il nous arrive de péché par la colère où souvent les paroles et les gestes partent sans aucune réflexion, là, l’esprit de raisonnement n’agit pas, c’est souvent le cœur qui parle. Ce que nous disons sous la colère vient souvent de quelque chose que nous avons médité, ruminé, songé, parce que nous n’avons pas eu le courage d’en parler avec notre vis-à-vis, et ceci mûrit dans un coin de notre cerveau, comme un mal blanc, jusqu’au moment où cela éclate sous la colère et se dégonfle comme un ballon de baudruche. La langue a envoyé ses coups de poignard et, la colère dissipée, nous regrettons amèrement notre langage.

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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  • Procession, marque typique de l’idolâtrie chrétienne

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Et le déchet qui en reste et qui n'est bon à rien, un bois tordu et poussé tout en nœuds il le prend et le sculpte avec l'application des heures de loisir, il le façonne, avec le savoir-faire des instants de détente. Il lui donne une figure humaine, ou bien il le fait semblable à quelque vil animal, le recouvre de vermillon, en rougit la surface à la sanguine, recouvre d'un enduit toutes ses taches.

    Puis il lui fait une habitation convenable, le place dans un mur et l'assure avec du fer.

    Ainsi veille-t-il à ce qu'il ne tombe pas, sachant bien qu'il est incapable de s'aider lui-même, car ce n'est qu'une image, et il a besoin d'aide !

    Pourtant, s'il veut prier pour ses biens, son mariage, ses enfants, il ne rougit pas d'adresser la parole à cet objet sans vie; pour la santé, il invoque ce qui est faible, pour la vie, il implore ce qui est mort, pour un secours, il supplie ce qui a le moins d'expérience, pour un voyage, ce qui ne peut même pas se servir de ses pieds, pour un gain, une entreprise, le succès du travail de ses mains, il demande de la vigueur à ce qui n'a pas la moindre vigueur dans les mains ! »

    Comme la vérité explose ici !

    En effet, pour vous chrétiens quand vous allez visiter une ville, comme Reims, Lisieux, Paris, Cologne peu importe la ville, où la cathédrale imposante au-milieux de la ville, vestige de l’ère du Moyen-Âge, conte involontairement des siècles d’histoire, en souvenir, vous achetez chez les marchands du Temple une statuette fluorescente représentant un «  Saint ou une Sainte » que vous posez sur la table de nuit ou sur une étagère, vers laquelle dans les moments difficiles vous vous tournez, et devant cette effigie de matière vous vous signez, certains s’agenouillant même, faites une prière pour demander ce qui vous manque à cet objet qui ne peut rien pour vous car il ne parle pas, n’entend pas, ne voit pas, incapable de se mouvoir et qui de sa hauteur tombe à terre, se fracasse, et vous la jetez sans vergogne à la poubelle.

    Volet N° VIII

    Seul et unique Dieu, EL-SHADDAÏ

    Pour être un peu plus complet un autre texte de cet Ancien Testament que vous chrétiens vous ne pouvez démentir puisqu’il fait partie du « Canon Biblique ».

    Isaïe XIVL : 9-11, 13-20

     « Néant, tous ceux qui modèlent des idoles, leurs meilleures œuvres ne servent à rien! Elles sont leurs témoins, qui ne voient ni ne savent rien, en sorte qu'ils seront couverts de honte.

    Qui a façonné un dieu et fondu une idole qui ne peuvent servir à rien ?

    Voici que tous ses fidèles seront couverts de honte, ainsi que ses artisans qui ne sont que des hommes. Qu'ils se rassemblent tous, qu'ils comparaissent; qu'ils soient remplis à la fois d'épouvante et de honte !

    Le sculpteur sur bois tend le cordeau, trace l'image à la craie, l'exécute au ciseau et la dessine au compas, il l'exécute à l'image de l'homme, selon la beauté humaine, pour qu'elle habite une maison.

    Il a coupé des cèdres, il a choisi un chêne et un térébinthe qu'il a laissés croître pour lui parmi les arbres de la forêt. Il a planté un pin que la pluie a fait grandir.

    Les hommes le destinent au feu : il en a pris pour se chauffer, il l'a allumé et a cuit du pain. Mais aussi il a fait un dieu pour l'adorer, il a fabriqué une idole pour se prosterner devant elle.

    Il en avait brûlé la moitié au feu, sur cette moitié il fait rôtir de la viande, la mange et se rassasie; en même temps il se chauffe et dit :

    « Ah ! Je me suis bien chauffé et j'ai vu la flamme. »

    Avec le reste il fait un dieu, son idole, et il se prosterne devant lui, l'adore et le prie et dit : « Sauve-moi, car tu es mon dieu. »

    Ils ne savent pas, ils ne comprennent pas, car leurs yeux sont incapables de voir, et leur cœur de réfléchir.

    Pas un ne rentre en lui-même, pas un n'a la connaissance et l'intelligence de se dire :

    « J'en ai brûlé la moitié au feu et j'ai cuit du pain sur ses braises, je rôtis de la viande et je la mange; avec le reste je ferais une chose abominable, me prosterner devant un bout de bois ! »

    Il est attaché à de la cendre, son cœur abusé l'a égaré, il ne sauvera pas sa vie, il ne dira pas :

    « Ce que j'ai dans la main, n'est-ce pas un leurre ? » »

    Avez-vous pensé seulement que le bois qui forme une croix dans l’Église était le même que celui que vous achetez à la scierie et qui sert pour façonner les meubles  et se chauffer. !

    Psaume 115

    « Que les païens ne disent : « Où est EL-SHADDAÏ ? »  

    Notre Dieu, il est dans les cieux, tout ce qui lui plaît, il le fait.

    Leurs idoles, or et argent, une œuvre de main d'homme !

    Elles ont une bouche et ne parlent pas, elles ont des yeux et ne voient pas, elles ont des oreilles et n'entendent pas, elles ont un nez et ne sentent pas.

    Leurs mains, mais elles ne touchent point, leurs pieds, mais ils ne marchent point, de leur gosier, pas un murmure !

    Comme elles, seront ceux qui les firent, quiconque met en elles sa foi »

    Des textes bibliques sur l’idolâtrie il y en a encore. Il serait intéressant de connaître ce qu’écrit l’ancien testament sur les responsables de l’idolâtrie et ou cela mène. Scrutons cette religion chrétienne ! Je sais qu’il y en a parmi vous qui vont me reprocher ces écrits en disant que je ne sais faire qu’une chose, critiquer la religion chrétienne. La plus grande partie de vous, Lectrices et Lecteurs, est de confession chrétienne.

    Sagesse de Salomon XIV : 21-31

    « Et voilà qui devint un piège pour la vie que des hommes, asservis au malheur ou au pouvoir, eussent conféré à des pierres et à des morceaux de bois le Nom incommunicable.

    En outre il ne leur a pas suffi d'errer au sujet de la connaissance d’EL-SHADDAÏ ; mais alors que l'ignorance les fait vivre dans une grande guerre, ils donnent à de tels maux le nom de paix !

    Avec leurs rites infanticides, leurs mystères occultes, ou leurs orgies furieuses aux coutumes extravagantes, ils ne gardent plus aucune pureté ni dans la vie ni dans le mariage, l'un supprime l'autre insidieusement ou l'afflige par l'adultère.

    Partout, pêle-mêle, sang et meurtre, vol et fourberie, corruption, déloyauté, trouble, parjure, confusion des gens de bien, oubli des bienfaits, souillure des âmes, crimes contre nature, désordres dans le mariage, adultère et débauche.

    Car le culte des idoles sans nom est le commencement, la cause et le terme de tout mal.

    Ou bien en effet ils poussent leurs réjouissances jusqu'au délire, ou bien ils prophétisent le mensonge, ou ils vivent dans l'injustice, ou ils ont tôt fait de se parjurer comme ils mettent leur confiance en des idoles sans vie, ils n'attendent aucun préjudice de leurs faux serments.

    Mais de justes arrêts les frapperont pour ce double crime parce qu'ils ont mal pensé d’EL-SHADDAÏ en s'attachant à des idoles, parce qu'ils ont juré frauduleusement contre la justice, au mépris de la sainteté.

    Car ce n'est pas la puissance de ceux par qui l'on jure, mais le châtiment réservé aux pécheurs qui poursuit toujours la transgression des injustes. »

    Moi le « Païen », je ne voudrai pas être désobligeant mais il me semble que le texte ci-dessus ressemble étrangement à la chrétienté. En effet je vous convie à écouter les ouailles sortant de la « Grand-Messe » à onze heures trente ou à douze heures selon les régions, vous serez étonné des conversations. Ils viennent de prier leurs Dieux, Dieu le Père, Dieu le fils, Dieu le Saint-Esprit, et sur ce perron de l’Église vous entendez médisance sur votre droite, calomnie sur votre gauche, grossièreté derrière vous, un rendez-vous galant à droite, etc, et tous ces semblables viennent d’écouter le sermon de Monsieur le Curé en chair.

    De plus combien de fidèles sortent de cette Église et sont fornicateurs, adultérins, pour certains homosexuels ?

    Je suis obligé, non, nous sommes obligés de reconnaître que ces écrits de l’Ancien Testament sont  d’une actualité réelle, car l’idolâtrie est bien le plus grand mal pour l’humain. En effet, sincèrement, quand on est un jeune chrétien et que l’on se signe devant deux morceaux de bois formant une croix, nous n’avons pas l’impression de faire un geste idolâtre. La réalité est tout autre, donc nous sommes trahis par nos « Dirigeants » Curé, Abbé, Prêtre, Cardinal, Évêque, Pape, Pope et même les Pasteurs, Révérends de confession Protestante.

    La prière devant une statue représentant une vierge quelconque est bien un signe d’idolâtrie, puisque nous prions un morceau de pierre sculptée, et dans ces Églises, Cathédrales, Chapelles, il y a toujours cinq ou six statues représentant des Saints ou des Saintes nous invitant à les prier. Reconnaissez que le principe est plutôt sournois, fourbe, car l’on vous enseigne de vous signer à l’entrée du Temple en trempant votre main dans un bénitier, puis de vous signer de nouveau en passant devant l’autel ou il y a un crucifix d’une certaine ampleur et de vous signer encore avant et après votre prière. Ce simple geste est la marque certaine que vous êtes dans l’idolâtrie.

    Souvenez-vous de ce commandement d’EL-SHADDAÏ :

    « Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ (Yahvé), ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements. »

    Je crois que j’ai été complet sur le développement de l’idolâtrie chrétienne. Maintenant, vous mes semblables chrétiens, ne vous mettez pas la tête dans un sac pour ne pas entendre, la réalité est là, flagrante, et n’oubliez jamais que vous êtes responsable de vous, nier cette vérité c’est prendre le chemin de la mort définitive, de retourner d’où vous venez, du néant, car sans vos géniteurs vous n’existeriez pas, ce sont eux qui vous ont fait sortir du néant.

    Ne faites pas l’autruche, reconnaissez ce fait évident et rechercher plutôt le chemin qui mène à EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique. Je reconnais que prier un Dieu qui n’a aucune représentation est difficile, mais cela est faux puisque le semblable que vous croisez dans la rue est à l’image d’EL-SHADDAÏ, donc vous croisez son reflet, son image, pourquoi alors s’en créer d’autres de matière sans vie ?

    Je vous laisse à votre réflexion !

    Je réitère, vous seul êtes responsable individuellement de vous, de vos actes et de vos pensées, car au jour du Jugement vous serez seul sur le fauteuil pour être juger.

    De mémoire,

    EL-SHADDAÏ a dit : «  qui crache à la face de l’homme, crache sur ma face ! »

    Ceci vient confirmer ce que je vous aie écrit quelques lignes avant !

    Nous venons de voir quelques Lois ou « commandements » d’El-Shaddaï afin que l’humain ait une voie de conduite qui, s’il les respecte, sa vie soit agréable et heureuse, dans la joie et le bonheur. Si tous les humains respectaient juste les quelques commandements écrit ci-dessus, beaucoup de ses malheurs disparaîtraient et exceptionnellement je ne vais pas parler de l’idolâtrie, mais simplement prendre l’exemple de la convoitise. Si vous ne convoitez pas ce que possède votre prochain beaucoup de péchés s’évanouissent, s’envolent comme la jalousie exécrable. En effet le sentiment de « jalousie » est un sentiment divin, puisqu’EL-SHADDAÏ lui-même est un Dieu jaloux.

    Exode XX : 5-6

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements.

    Exode XXXIV : 14

    Tu ne te prosterneras pas devant un autre dieu, car EL-SHADDAÏ a pour nom Jaloux : c'est un Dieu jaloux.

    Deutéronome IV : 23-24

    « Gardez-vous d'oublier l'alliance que SHADDAÏ votre Dieu a conclue avec vous et de vous fabriquer une image sculptée de quoi que ce soit, malgré la défense de SHADDAÏ ton Dieu ; car EL-SHADDAÏ est un feu dévorant, un Dieu jaloux. »

    Ce sentiment de jalousie est un sentiment d’amour, car l’être humain étant l’image, le reflet de ce Dieu unique, est jaloux de ce qu’il aime tout comme EL-SHADDAÏ.

    Si je prends mon exemple, par la parole je dis et disais à mes semblables que je ne suis, que je n’étais pas jaloux, mais si l’un deux commençait à être un peu trop entreprenant envers mon épouse, même si je lui faisais confiance, je n’appréciais pas, surtout, si pour s’amuser, elle répondait légèrement aux avances, afin de me rendre jaloux. Donc cette jalousie est vraiment un sentiment d’amour, car nous tenons à ce que nous aimons !

    Il se fait qu’en cherchant un texte biblique pour confirmer mes écritures, j’ai trouvé cette épitre de Paul, Saül de Tarse, aux Galates. La Galatie territoire au milieu de l’Anatolie, aujourd’hui la Turquie, doit son nom à des Celtes Gaulois qui s’installèrent dans cette région en 300-280 avant J-C.

    Dans quelques jours je terminerai cette écriture, qui, je le souhaite, vous aura été bénéfique en cœur et en esprit afin que vous empruntiez le sentier qui mène vers ce Dieu unique EL-SHADDAÏ dont la récompense de toutes vos actions sera la résurrection sur cette Terre transformée.

    Pour le réel portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G.  Surnommé « GRANDELOUPO »


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    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Quand à convoiter sa femme, pourquoi ? Si c’est dans un esprit désirable tu commets déjà l’adultère, et pourquoi guigner sur la compagne de ton prochain, à cause de sa beauté ? Mais ton épouse à tes yeux était belle puisque tu l’as prise pour femme !

    L’épouse de ton semblable est peut être une femme fidèle, mais aussi une grande travailleuse qui se lève tôt le matin pour préparer le petit déjeuner, faire toute les vacations matinales avec les enfants, le ménage, la cuisine. Épouse qui quand il y a des invités parle peu, juste quand il le faut, avec sagesse, de tout cela tu es avide, envieux.

    La convoitise amène l’humain vers divers péchés, en premier par jalousie il fera agir sa langue en mal, de plus il cherchera à commettre l’adultère et si la femme accepte les avances, le résultat risque d’être catastrophique pour les deux couples. Ils jouent à ce jeu de perdant, perdant.

     

    Volet N°VII

    Fourbe, sournoise, l’idolâtrie chrétienne

    Le péché de convoitise est un péché duquel il faut absolument ce défaire, car cette convoitise vous rend insatisfait en tout, car quoiqu’il arrive vous désirâtes toujours ce que votre prochain possède.

    Proverbes XIII : 4

    « Il ne sert à rien pour un paresseux de convoiter quelque chose, mais un homme actif obtient ce qu'il désire. » 

    Proverbes XXI : 25-26

    « La convoitise du paresseux le fera mourir, car ses mains refusent d'agir.

    Toute la journée il est en proie à la convoitise, alors que l'homme juste donne sans rien garder pour lui »

    Sans oublier que cette convoitise est une jalousie malsaine, alors que la « jalousie » est un sentiment divin puisque EL-SHADDAÏ est un Dieu jaloux.

    « Tu ne commettras pas d'adultère. »

    Ci-dessus, dans la convoitise j’écrivais que ce péché entraînait à l’adultère si « Madame » acceptait les propositions de « Monsieur »

    Pourquoi El-Shaddaï a-t-il mis ce commandement ?

    Quand il a créé l’homme, au bout de quelques temps EL-SHADDAÏ c’est aperçu que l’homme s’ennuyait sur la Terre, et que donnant un nom aux animaux de la Terre qui venaient le voir en couple, mâle et femelle, celui-ci ne comprenait pas pourquoi il était seul. Voilà pourquoi El-Shaddaï dit :

    « Il n’est pas bon que l’homme reste seul sur la Terre, faisons lui une compagne ! »

    Ce que je viens d’écrire ci-dessus est un texte de mémoire, alors voyons les « Écritures » bibliques de l’Ancien Testament dans le livre de la Genèse.

    Genèse II : 18-20

    « Yahvé, El-Shaddaï dit : « Il n'est pas bon que l'homme soit seul. Il faut que je lui fasse une aide qui lui soit assortie ».

    Yahvé El-Shaddaï modela encore du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel, et il les amena à l'homme pour voir comment celui-ci les appellerait : chacun devait porter le nom que l'homme lui aurait donné.

    L'homme donna des noms à tous les bestiaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes sauvages, mais, pour un homme, il ne trouva pas l'aide qui lui fût assortie »

    Vous remarquerez que l’auteur de ce livre inverse une chronologie, en effet Adam donna un nom à tous les animaux, oiseaux qui se présentait à lui en couple, ainsi qu’aux animaux aquatiques  en premier et c’est pendant ce temps que l’homme c’est aperçu de sa solitude et qu’El-Shaddaï décida de lui donner une compagne.

    Ce Dieu inventeur plongea l’homme dans un profond sommeil et prit en bas de la cage thoracique la plus petite côte en cartilage et modela une compagne à l’homme. Cette humaine, la première, El-Shaddaï la fit en armature à la ressemblance de l’homme, mais aussi du point de vue fonctionnement moteur et organe et il sculpta en son sein le mystère de la vie comme il l’avait fait avec les animaux. Personne sur la Terre ne connait l’alchimie de la conception de la vie que ce soit mammifère ou ovipare, je dis bien personne dans tout l’Univers ne connait l’ésotérisme de la vie, même pas Jésus le Nazaréen, seul EL-SHADDAÏ connait ce mystère impénétrable du pouvoir physique et alchimique de façonner la vie par la femelle et dans le sein de la femme.

    EL-SHADDAÏ avec les deux premiers humains institua le mariage puisqu’il leur dit l’homme et la femme vous ne ferez « qu’UN » et il ajouta : « Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère afin qu’il trouvât une femme pour ne faire « qu’UN » »

    L’humain sur la Terre et sans doute dans tout l’univers est le seul à avoir des rapports sexuels volontairement, quand d’un commun accord l’homme et la femme se mélangent et ne font plus qu’une seule chair.

    Cet acte sexuel à l’origine était un acte d’amour, qui procurait un immense plaisir aux deux participants, d’où le terme de jouissance. L’humain comme toujours a détourné cet acte d’amour en un acte de plaisir uniquement le détournant en pratique « contre-nature » et en orgie.

    Voilà pourquoi El-Shaddaï a en horreur les pratiques adultérines, car seul le plaisir compte, tout comme la fornication, l’amour a disparue.

    Proverbe XXX : 20

    « Telle est la conduite de la femme adultère : elle mange, puis s'essuie la bouche en disant : « Je n'ai rien fait de mal ! » »

    Sagesse de Salomon XIV : 23-26

    « Avec leurs rites infanticides, leurs mystères occultes, ou leurs orgies furieuses aux coutumes extravagantes, ils ne gardent plus aucune pureté ni dans la vie ni dans le mariage, l'un supprime l'autre insidieusement ou l'afflige par l'adultère.

    Partout, pêle-mêle, sang et meurtre, vol et fourberie, corruption, déloyauté, trouble, parjure, confusion des gens de bien, oubli des bienfaits, souillure des âmes, crimes contre nature, désordres dans le mariage, adultère et débauche. »

    Siracide ou ecclésiastique de Jésus Ben Sira XXIII : 23  --- Sur la femme infidèle

    « Tout d'abord elle a désobéi à la loi du Très-Haut, ensuite elle est coupable envers son mari; en troisième lieu elle s'est souillée par l'adultère et a conçu des enfants d'un étranger. »

    Marc VII : 20-23

    « Il disait :

    « Ce qui sort de l'homme, voilà ce qui souille l'homme.

    Car c'est du dedans, du cœur des hommes, que sortent les desseins pervers : débauches, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, ruse, impudicité, envie, diffamation, orgueil, déraison.

    Toutes ces mauvaises choses sortent du dedans et souillent l'homme. » »

    En lisant ces versets bibliques, sans être misogyne, nous constatons que c’est la femme qui est en générale responsable d’adultère, pourquoi ? Parce que l’homme propose, mais c’est la femme qui dispose ! En effet si celle-ci se refuse à l’homme, celui-ci ne va pas la violée ! Et par son refus elle reste fidèle à son époux, donc il est vrai que l’homme par sa proposition commet déjà l’adultère, mais il laisse le libre choix à la femme, voilà pourquoi bibliquement c’est elle qui porte la plus grande responsabilité de l’adultère.

    « Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.

    Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ (Yahvé), ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements.

    Tu ne prononceras pas le nom d’EL-SHADDAÏ  (de Yahvé) ton Dieu à faux, car EL-SHADDAÏ (Yahvé) ne laisse pas impuni celui qui prononce son nom en vain. »

    Je vais terminer par ces trois commandements qui sont pour moi indissociables, et qui vont, encore une fois, poser quelques problèmes de conscience à mes semblables chrétiens, mais la vérité est malheureusement là !

    EL-SHADDAÏ réitère souvent l’unicité de sa personne et il tient beaucoup à être le seul et unique Dieu, comme il le dit il n’en existait pas avant lui et il n’en existera pas après lui

    Deutéronome IV : 39

    « Sache-le donc aujourd'hui et médite-le dans ton cœur : c'est EL-SHADDAÏ {Yahvé} qui est Dieu, là-haut dans les Cieux comme ici-bas sur la terre, lui et nul autre. »

    XXXII : 39

    « Voyez maintenant que moi, moi je suis EL-SHADDAÏ et que nul autre à côté de moi n'est Dieu ! C'est moi qui fais mourir et qui fais vivre ; quand j'ai frappé, c'est moi qui guéris et personne ne délivre de ma main. »

    Isaïe LXIII : 10-11

    « --- ; afin que vous le sachiez, que vous croyiez en moi et que vous compreniez que c'est moi EL-SHADDAÏ : avant moi aucun Dieu n'a été formé et après moi il n'y en aura pas.

    Moi, c'est moi EL-SHADDAÏ {Yahvé}, et en dehors de moi il n'y a pas de Sauveur. »

    Isaïe XIVL : 6-7, 24

    Ainsi parle EL-SHADDAÏ, je suis le premier et je suis le dernier, à part moi, il n'y a pas de dieu.

    Qui est comme moi ? qu'il crie, qu'il le proclame et me l'expose !

    « Ainsi parle EL-SHADDAÏ {Yahvé}, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, EL-SHADDAÏ {Yahvé}, qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi ! »

    Amos IV : 2 -- Sur les Dames de Samarie

    « Eh bien, le Seigneur Dieu l'a juré

    « Aussi vrai que je suis l'unique vrai Dieu, voici venir le jour où l'on vous traînera, jusqu’à la dernière, comme des poissons pris à l'hameçon. » »

    Pour assoir cette autorité de l’unique, du seul Dieu, El-Shaddaï interdit à l’humain de modeler, façonner, sculpter un objet qui serait ressemblant à ce qui vit dans les eaux et sur celles-ci, de tout ce qui vit et se meut dans le ciel, de tout ce qui vit à l’intérieur de la terre et sur la terre et d’en faire des sujets de dévotion.

    Donc les statues dans les Églises, Chapelles, Cathédrales, ainsi que les crucifix représentants un humain nommé « Jésus-Christ, Saint ou Sainte » sont des objets interdits par El-Shaddaï puisque ces images représentent des humains sur la Terre.

    En premier un texte biblique qui donne l’explication du début de l’idolâtrie.

    Sagesse de Salomon XIV : 5-20

    « Tu ne veux pas que les œuvres de ta Sagesse soient stériles; c'est pourquoi les hommes confient leur vie même à un bois minuscule, traversent les vagues sur un radeau et demeurent sains et saufs.

    Et de fait, aux origines, tandis que périssaient les géants orgueilleux, l'espoir du monde se réfugia sur un radeau et, piloté par ta main, laissa aux siècles futurs le germe d'une génération nouvelle.

    Car il est béni, le bois par lequel advient la justice, mais maudite l'idole fabriquée, elle et celui qui l'a faite, lui, pour y avoir travaillé, et elle parce que, corruptible, elle a été appelée dieu.

    Car EL-SHADDAÏ déteste également l'impie et son impiété, et l'œuvre sera châtiée avec l'ouvrier.

    Aussi y aura-t-il une visite même pour les idoles des nations, parce que, dans la création d’EL-SHADDAÏ, elles sont devenues une abomination, un scandale pour les âmes des hommes, un piège pour les pieds des insensés.

    L'idée de faire des idoles a été l'origine de la fornication, leur découverte a corrompu la vie.

    Car elles n'existaient pas à l'origine, et elles n'existeront pas toujours.

    C’est par la vanité des hommes qu'elles ont fait leur entrée dans le monde, aussi bien une prompte fin leur a-t-elle été réservée.

    Un père que consumait un deuil prématuré a fait faire une image de son enfant si tôt ravi, et celui qui hier encore n'était qu'un homme mort, il l'honore maintenant comme un dieu et il transmet aux siens des mystères et des rites, puis avec le temps la coutume se fortifie et on l'observe comme loi. C'est encore sur l'ordre des souverains que les images sculptées recevaient un culte des hommes qui ne pouvaient les honorer en personne, parce qu'ils habitaient à distance, représentèrent leur lointaine figure et firent une image visible du roi qu'ils honoraient; ainsi, grâce à ce zèle, on flatterait l'absent comme s'il était présent.

    Ceux-là mêmes qui ne le connaissaient pas furent amenés par l'ambition de l'artiste à étendre son culte; car, désireux sans doute de plaire au maître, il força son art à faire plus beau que nature, et la foule, attirée par le charme de l'œuvre, considéra désormais comme un objet d'adoration celui que naguère on honorait comme un homme. »

    Vous venez de lire ces quelques versets bibliques qui expliquent comment l’humain en est venu à adorer une image. Maintenant revenons au christianisme primitif ! Les symboles chrétiens de la croix, puis du crucifix, ensuite des statues représentant des humains que les dirigeants nomment « Saint ou Sainte », ont commencé à apparaître après le décès des derniers Disciples de la deuxième génération, quand les humains commencèrent à rechercher les reliques mortuaires des Apôtres et Disciples de la première génération et de les garder comme des objets de dévotion.

    Je ne voulais pas, mais après avoir bien lu ce chapitre treize de la Sagesse de Salomon je vais le poser comme cela je serai sûr que vous l’aurez lu.

    Sagesse de Salomon XIII : 1-19

    « Oui, vains par nature tous les hommes en qui se trouvait l'ignorance d’EL-SHADDAÏ, qui, en partant des biens visibles, n'ont pas été capables de connaître Celui-qui-est, et qui, en considérant les œuvres, n'ont pas reconnu l'Artisan.

    Mais c'est le feu, ou le vent, ou l'air rapide, ou la voûte étoilée, ou l'eau impétueuse, ou les luminaires du ciel, qu'ils ont considérés comme des dieux, gouverneurs du monde !

    Que si, charmés de leur beauté, ils les ont pris pour des dieux, qu'ils sachent combien leur Maître est supérieur, car c'est la source même de la beauté qui les a créés.

    Et si c'est leur puissance et leur activité qui les ont frappés, qu'ils en déduisent combien plus puissant est Celui qui les a formés, car la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, contempler leur Auteur.

    Ceux-ci toutefois ne méritent qu'un blâme léger; peut-être en effet ne s'égarent-ils qu'en cherchant EL-SHADDAÏ et en voulant le trouver versés dans ses œuvres, ils les explorent et se laissent prendre aux apparences, tant ce qu'on voit est beauté !

    Et pourtant eux non plus ne sont point pardonnables s'ils ont été capables d'acquérir assez de science pour pouvoir scruter le monde, comment n'en ont-ils pas plus tôt découvert le Maître !

    Mais malheureux sont-ils, avec leurs espoirs mis en des choses mortes, ceux qui ont appelé dieux des ouvrages de mains d'hommes, or, argent, traités avec art, figures d'animaux, ou pierre inutile, ouvrage d'une main antique.

    Et voici encore un bûcheron : il scie un arbre facile à manier, il en racle soigneusement toute l'écorce, il le travaille avec adresse, il en forme un objet propre aux usages de la vie.

    Quant aux déchets de son travail, il les emploie à préparer sa nourriture et il se rassasie.

    Et le déchet qui en reste et qui n'est bon à rien, un bois tordu et poussé tout en nœuds il le prend et le sculpte avec l'application des heures de loisir, il le façonne, avec le savoir-faire des instants de détente. Il lui donne une figure humaine, ou bien il le fait semblable à quelque vil animal, le recouvre de vermillon, en rougit la surface à la sanguine, recouvre d'un enduit toutes ses taches.

    Puis il lui fait une habitation convenable, le place dans un mur et l'assure avec du fer.

    Ainsi veille-t-il à ce qu'il ne tombe pas, sachant bien qu'il est incapable de s'aider lui-même, car ce n'est qu'une image, et il a besoin d'aide !

    Pourtant, s'il veut prier pour ses biens, son mariage, ses enfants, il ne rougit pas d'adresser la parole à cet objet sans vie; pour la santé, il invoque ce qui est faible, pour la vie, il implore ce qui est mort, pour un secours, il supplie ce qui a le moins d'expérience, pour un voyage, ce qui ne peut même pas se servir de ses pieds, pour un gain, une entreprise, le succès du travail de ses mains, il demande de la vigueur à ce qui n'a pas la moindre vigueur dans les mains ! »

    Comme la vérité explose ici !

    En effet, pour vous chrétiens quand vous allez visiter une ville, comme Reims, Lisieux, Paris, Cologne peu importe la ville, où la cathédrale imposante au-milieux de la ville, vestige de l’ère du Moyen-Âge, conte involontairement des siècles d’histoire, en souvenir, vous achetez chez les marchands du Temple une statuette fluorescente représentant un «  Saint ou une Sainte » que vous posez sur la table de nuit ou sur une étagère, vers laquelle dans les moments difficiles vous vous tournez, et devant cette effigie de matière vous vous signez, certains s’agenouillant même, faites une prière pour demander ce qui vous manque à cet objet qui ne peut rien pour vous car il ne parle pas, n’entend pas, ne voit pas, incapable de se mouvoir et qui de sa hauteur tombe à terre, se fracasse, et vous la jetez sans vergogne à la poubelle.

    Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dernières phrases du chapitre précédent.

    Comme vous vous en doutez, je parle de ce Dieu unique, seul, que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, « Dieux au-dessus des Montagnes », que les hébreux nomme Yahvé ou Élohim, et que la chrétienté nomme vulgairement « Dieu », c’est le Dieu « Dieu », et que les musulmans nomme Allah ou El-Ilah.

    Depuis les années 1960, 1970, la race humaine c’est enfermée dans ce que nous nommons le péché. En effet, depuis ces dates, force est de constater la dépravation de la race humaine, drogue, tabagisme, beuverie, fornication sont les actions de nos jeunes. Quant aux parents qui ont ou sont en approche de la quarantaine, l’hypocrisie, le mensonge, l’argent, l’adultère sont leurs actions quotidiennes, sans parler de l’augmentation de l’homosexualité, de la pédophilie, mais aussi de la perte de foi, ne sachant plus vers quels Dieux se tourner.

    Je suis un menteur ! Certes non, il suffit de regarder, constater cette dépravation de l’humain.

     

    Volet N° VI

    Quelques Lois, injonctions.

    Pour en revenir sur ce livre, l’Ancien Testament, c’est un manuscrit historique contant par plusieurs spicilèges, recueils, assemblages, la vie d’une Nation et de son peuple sur plusieurs siècles et de la relation tumultueuse avec leur Dieu dont le tétragramme « YHWH », avec une vocalisation hypothétique, serait « Yahvé » ou « Élohim », le véritable nom ayant été déclaré par les Grands Prêtres tabou, car imprononçable pour le commun des mortels et trop saint, sauf pour eux, comme il se doit. Ce que les exégètes connaissent sur ce nom, c’est qu’il comporte soixante-douze et qu’il ressemblerait un peu à cela « Sa Majesté Sérénissime, Albert II Prince de Monaco » et que son écriture est un vieil araméen plus connu de nos jours.

    L’histoire de ces livres compilés en un Canon nous enseigne en premier un « Décalogue » sur deux livres l’Exode et le Deutéronome. Je vais écrire les commandements les plus importants pour notre époque

    Exode XX : 2-18, Deutéronome V : 6-22 

        « Je suis Shaddaï (Yahvé), ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude.

    Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi. 

    Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi EL-SHADDAÏ (Yahvé), ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements.

    Tu ne prononceras pas le nom d’EL-SHADDAÏ  (de Yahvé) ton Dieu à faux, car EL-SHADDAÏ (Yahvé) ne laisse pas impuni celui qui prononce son nom en vain.

    Tu te souviendras du jour du sabbat pour le sanctifier.

    Honore ton père et ta mère, afin que se prolongent tes jours sur la terre que te donne EL-SHADDAÏ (Yahvé) ton Dieu.

    Tu ne tueras pas.

    Tu ne commettras pas d'adultère.

    Tu ne voleras pas.

    Tu ne porteras pas de témoignage mensonger contre ton prochain.

    Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, rien de ce qui est à ton prochain. »

    Tout le peuple, voyant ces coups de tonnerre, ces lueurs, ce son de trompe et la montagne fumante, eut peur et se tint à distance. »

    Je viens de vous poser quelques Lois où Commandements qu’El-SHADDAÏ dicta à Moïse pour le bien être de l’humain. Je vous demande de relire attentivement ces Lois ou Enseignements et si vous les mettez tous en pratique alors vous devez vivre heureux, car c’est le début du Paradis.

    Je réitère ce livre l’Ancien Testament fait bien partie des livres sacrés de la chrétienté, donc les Écritures sont bien pour que les ouailles, les fidèles de tout le christianisme les lisent et les mettent en pratique

    Commençons par les plus faciles !

    « Tu ne tueras pas ; tu te souviendras du jour du sabbat ! »

    Voilà deux commandements que nous respectons involontairement, car tuer son semblable n’est pas aussi facile que cela, il faut un certain courage pour supprimer, retirer la vie à son prochain, par contre pour le suivant, comme aujourd’hui nous ne travaillons que cinq jours par semaine le sabbat est d’office respecté.

    Les autres ordonnances ont pour moi, approximativement la même valeur, alors je vais les poser par ordre du réflexe de la conscience.

    « Tu ne voleras pas ! »  

    Voilà une action difficile et simple à la fois ; vous allez acheter votre pain et la commerçante se trompe en vous rendant la monnaie ; vous avez l’œil vif et vous constatez que c’est en votre faveur, alors promptement vous glissez ce rendu dans votre poche en gardant le silence, mais ayant cette pensé : « c’est pour les fois où elle me vole » et vous sortez de la boutique ; dans une grande surface vous voyez deux CD que vous aimez, vous les prenez et les glissez dans votre chemise, puis vous mettez dans votre « kadi » les courses qu’il vous faut et vous allez à la caisse payer vos achats en omettant les deux CD ; ce n’est pas grave juste un petit larcin ; comme à votre travail où vous prenez différents matériaux où matériels que vous emmenez à votre domicile. Il existe tout une panoplie de cambrioles plus ou moins importantes, et l’action grande ou petite reste de l’escroquerie, du vol.

    De cela, il faut se défaire, car en premier vous avez toujours la peur de vous faire prendre, mais encore si le commerçant vous connaît et c’est aperçu de son erreur, il aura une méfiance envers vous et parlera de vous avec une mauvaise langue et vous, vous aurez toujours cette conscience qui vous torturera et comme je l’écris souvent, la torture du corps peut se soigner, s’apaiser, voir disparaître, mais celle de l’esprit est inguérissable.

    « Tu ne porteras pas de témoignage mensonger contre ton prochain ! »

    La langue se petit organe qui fait partie des cinq sens de la tête créé par El-Shaddaï est une chose merveilleuse et terrible à la fois. En effet elle peut être douce, sucrée, délicieuse comme le miel, et dans l’instant suivant être sifflante et envoyer comme la vipère un venin mortel.

    Si par la langue tu portes un faux témoignage de ton prochain devant un Juge, cette attestation peut lui couter sa tête par la guillotine et devant El-Shaddaï que trouveras-tu à dire avec ta langue, pour te sauver toi, du Jugement Suprême, car par ta langue tu es devenu un assassin ?

    Gardes toi bien de ce petit muscle qui peut-être acéré comme l’épée, tirer des flèches empoisonnées, qui devant toi, fera un rapport élogieux, et une fois loin attestera des vilénies, fourbe, sournoise, hypocrite qu’elle est, et dès ton retour te fera des ronds de jambes doucereux, mielleux, cauteleux.

    Combien d’humains ont perdu la vie à cause de ce petit organe ?

    Qui dirige se petit muscle ? Ce ne peut être que toi et personne d’autre !

    Par cet attribut des Rois perdirent leur royaume, leur Empire et des vagabonds, des gueux, des clochards devinrent des Princes, Ducs, Barons.

    Comme souvent je l’écris pour vous, l’Esprit de sanctification tel que la chrétienté nous l’explique n’existe pas ; dans tout l’Univers seul l’Esprit d’EL-SHADDAÏ est Saint car nous humains nous sanctifions notre Dieu SHADDAÏ donc nous consacrons  aussi sont « Esprit » qui fait partie aussi de sa personne, même si cet « Esprit » est volatil, car « l’Esprit » est une réflexion, un raisonnement, une pensé, un sentiment, donc pour El-Shaddaï nous pouvons dire qu’il possède un « Esprit-Saint » mais qu’il a avant cela un « Esprit-Sain », propre, sans tache, parfait, clair comme le cristal.

    Par quel organe sanctifions-nous EL-SHADDAÏ si ce n’est la langue, et c’est par le même que nous le maudissons. Car ce petit instrument dans notre bouche dévoile par la parole une partie de notre esprit de nos pensées, mais vous constaterez qu’avec ce petit muscle dans l’instant même, nous pouvons faire les éloges de notre prochain et penser le contraire.

    De la source de la rivière sortira toujours une eau claire et limpide, nous ne pouvons pas dire et écrire la même chose de la bouche, car de celle-ci sort le bon et le mauvais grâce à la langue. 

    Une langue dans une bouche sert pour le goût, le bon et le mauvais, le chaud et le froid, le sucré et l’amer, mais aussi pour le langage, la parole révélatrice de l’existence du cerveau, alors voyons les enseignements de Jésus le Nazôréen et ce qu’il disait en parlant aux Pharisiens

    Matthieu XII : 34-37

    « Engeance de vipères, comment pourriez-vous tenir un bon langage, alors que vous êtes mauvais ? Car c'est du trop-plein du cœur que la bouche parle.

    L'homme bon, de son bon trésor tire de bonnes choses ; et l'homme mauvais, de son mauvais trésor en tire de mauvaises.

    Or je vous le dis : de toute parole sans fondement que les hommes auront proférée, ils rendront compte au Jour du Jugement.

    Car c'est d'après tes paroles que tu seras justifié et c'est d'après tes paroles que tu seras condamné. »

    Matthieu XV : 7-20  --- Jésus le Nazôréen parle aux Pharisiens et à la foule présente qui représente le « peuple » d’El-Shaddaï, car comme aujourd’hui avec la chrétienté, ce sont les dogmes humains qui comptent plus que les paroles et Lois d’El-Shaddaï voilà pourquoi le verset sept commence ainsi :

     « Hypocrites ! Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit :

    « Ce peuple m'honore des lèvres, mais leur cœur est loin de moi. Vain est le culte qu'ils me rendent : les doctrines qu'ils enseignent ne sont que préceptes humains. »

    Et ayant appelé la foule près de lui, il leur dit :

    « Écoutez et comprenez ! Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme ; mais ce qui sort de sa bouche, voilà ce qui souille l'homme. »

    Alors s'approchant, les disciples lui disent :

    « Sais-tu que les Pharisiens se sont choqués de t'entendre parler ainsi ? »

    Il répondit :

    « Tout plant que n'a point planté mon Père céleste sera arraché. Laissez-les : ce sont des aveugles qui guident des aveugles ! Or si un aveugle guide un aveugle, tous les deux tomberont dans un trou. »

    Pierre, prenant la parole, lui dit :

    « Explique-nous la parabole. »

    Il dit :

    « Vous aussi, maintenant encore, vous êtes sans intelligence ?

    Ne comprenez-vous pas que tout ce qui pénètre dans la bouche passe dans le ventre, puis s'évacue aux lieux d'aisance, tandis que ce qui sort de la bouche procède du cœur, et c'est cela qui souille l'homme ?

    Du cœur en effet procèdent mauvais desseins, meurtres, adultères, débauches, vols, faux témoignages, diffamations.

    Voilà les choses qui souillent l'homme ; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille pas l'homme. » »

    Je pense que vous avez remarqué que Jésus le Nazaréen dit à ses Apôtres qu’ils sont encore sans intelligence, Pierre étant obligé de demander une explication de la parabole à celui-ci. Ce passage des écritures permet de dater l’évènement sachant que le ministère de Jésus le Nazaréen ne dura que trois ans.

    Jésus Ben Sira dans l’ecclésiastique écrit XXVIII : 15-22

    « La langue a fait répudier des femmes parfaites, les dépouillant du fruit de leurs travaux.

    Qui lui prête l'oreille ne trouve plus le repos, ne peut plus demeurer dans la paix.

    Un coup de fouet laisse une marque, mais un coup de langue brise les os.

    Bien des gens sont tombés par l'épée, mais beaucoup plus ont péri par la langue.

    Heureux qui est à l'abri de ses atteintes, qui n'est pas exposé à sa fureur, qui n'a pas porté son joug, qui n'a pas été lié de ses chaînes.

    Car son joug est un joug de fer et ses chaînes des chaînes d'airain.

    Une mort terrible, la mort qu'elle inflige, et le shéol lui est préférable.

    Elle n'a pas d'emprise sur les hommes pieux, ils ne sont pas brûlés à sa flamme. »

    Jacques fils d’Alphée surnommé le Mineur, le Petit, le Juste, frère de Matthieu, Jude nommé aussi Thaddée, Joseph surnommé Barnabé, Justus, que la Bible par erreur le considère comme un « frère » de Jésus ce qui complètement impossible et expliqué dans les chapitres sur « Les Couleuvres avalées par … », écrit sur la langue :

    Jacques III : 5-11

    « De même la langue est un membre minuscule et elle peut se glorifier de grandes choses ! Voyez quel petit feu embrase une immense forêt : la langue aussi est un feu. C'est le monde du mal, cette langue placée parmi nos membres : elle souille tout le corps ; elle enflamme le cycle de la création, enflammée qu'elle est par la Géhenne.

    Bêtes sauvages et oiseaux, reptiles et animaux marins de tout genre sont domptés et ont été domptés par l'homme.

    La langue, au contraire, personne ne peut la dompter, c'est un fléau sans repos. Elle est pleine d'un venin mortel.

    Par elle nous bénissons le Seigneur et Père, et par elle nous maudissons les hommes  faits à l'image d’EL-SHADDAÏ.

    De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction.

    La source fait-elle jaillir par la même ouverture le doux et l'amer ? »

    Pour conclure nous devons savoir que la langue c’est nous même qui la dirigeons, dans le bien, vers le mal, de ce petit muscle nous sommes responsable volontairement car c’est lui qui dévoile aux autres semblables ce qu’il y a dans notre cerveau et notre cœur, et en même temps c’est celui qui cache par la même, nos véritables pensées, sortant de belles paroles par la bouche.

    Proverbes XIII : 2-3-

    « Par le fruit de sa bouche l'homme se nourrit de ce qui est bon, mais l'âme des traîtres se repaît de violence.

    Qui veille sur sa bouche garde sa vie, qui ouvre grand ses lèvres se perd »

    Comme vous le voyez il faut vraiment faire attention à ce petit muscles et avant de s’en servir faire fonctionner notre cerveau à grande vitesse en pensant à EL-SHADDAÏ afin qu’il nous aide à maitriser ce petit muscle indomptable.

    « Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, rien de ce qui est à ton prochain. »

    Pensez bien à ce commandement qui fait partie des commandements les plus simples à respecter et qui en réalité aborde de grandes difficultés.

    Convoiter c’est-à-dire vouloir, mais vouloir quoi, lui prendre ou par jalousie en avoir une plus belle que lui ?

    Pour l’instant je parlais de la maison, de la matière !

    Quand est-il avec les êtres vivants ?

     Toujours la même question, convoiter les serviteurs, les animaux pourquoi ?

    Les serviteurs sont plus courageux que les tiens, plus serviables, plus robustes ; les bêtes de somme plus grasses, aux poils chatoyant, rutilant, luisant prouvant qu’ils ont une nourriture saine et en abondance. Être envieux de tout ceci, ne serait-ce pas une sorte de jalousie de ta part ?

    Quand à convoiter sa femme, pourquoi ? Si c’est dans un esprit désirable tu commets déjà l’adultère, et pourquoi guigner sur la compagne de ton prochain, à cause de sa beauté ? Mais ton épouse à tes yeux était belle puisque tu l’as prise pour femme !

    L’épouse de ton semblable est peut être une femme fidèle, mais aussi une grande travailleuse qui se lève tôt le matin pour préparer le petit déjeuner, faire toute les vacations matinales avec les enfants, le ménage, la cuisine. Épouse qui quand il y a des invités parle peu, juste quand il le faut, avec sagesse, de tout cela tu es avide, envieux.

    La convoitise amène l’humain vers divers péchés, en premier par jalousie il fera agir sa langue en mal, de plus il cherchera à commettre l’adultère et si la femme accepte les avances, le résultat risque d’être catastrophique pour les deux couples. Ils jouent à ce jeu de perdant, perdant.

    Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

     

     

     

     


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