• Celtes au combat

     

    Fête de la Toussaint

     

    Nous approchons bientôt de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration la vénération la glorification du Roi de ce monde je parle de SAMMAËL,  celui que vous considérez comme le Prince du « Mal ».

    « Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier pour des statues de pierre représentant hommes et femmes disparus.

    La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !

    Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque mais ce dernier ira officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.

    Le lendemain vous chrétien vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.

    Quel jour de l’hypocrisie !

    Vous mes semblables ne leur ressemblez pas ! Laissez vos morts en paix, il ne sont que poussière et si vous allez sur la tombe du souvenir choisissez un autre jour, une autre semaine, un autre mois, car la plus belle tombe et celle du cœur, personne ne le voit personne ne le sait sauf celui qui nous a offert le « Souffle de Vie ».

    Il y aura plusieurs chapitres mais cette année je vais faire cours

     

    Chapitre N° 1

     

    SAMHAIN Dieu Celte des morts

     

    Comme chaque année en cette du mois d’Octobre, un mois d’Automne passé et nous avons des températures supérieur à celles du mois de Juillet avec depuis le 22 Septembre un petit 22-24 degré C° et une fête Scandinave pays du nord de l’Europe exportée aux USA par les colons en 1750-1800, je parle de la fête d’Halloween.

    Vous Lectrices et Lecteurs qui, depuis plusieurs années me lisez, vous savez que j’aime parler de ce Dieu seul et unique, mais aussi que j’aime bien étayer mes écrits par des preuves historiques, je ne vais pas enfreindre cette règle. Par la moitié des scientifiques spécialisés en archéologie et en géologie, par des preuves irréfutables sur le Continent Australien, Américain à Pales-River et au Brésil, mais aussi l’Européen particulièrement la Sibérie, sans compter l’Asiatique avec le Caucase et les steppes de Mongolie intérieure avec un squelette de Saurien à Xilin-Gol, où pour l’un c’est des pieds de Dinosaure et d’humains côte à côte à Glen-Rose, pour l’autre de la verdure bloquée dans la mâchoire d’un Mammouth, puis une végétation comme le bananier qui n’a pas lieu d’être avec un squelette de Mammouth, et l’autre toujours un squelette de Tigre à dents de sabre, etc, etc.

    Charles Berlitz  :

    « Dans le Pays de Galle et le Devonshire, et dans nombre de régions du sud de l’Angleterre, on trouve sur des collines des charniers entiers emplis dos broyés d’hyènes, d’hippopotames, d’éléphants, d’ours polaires et d autres animaux connus. Dans les fissures rocheuses du Mont Genay en France se trouvent des ossements de rhinocéros, d’éléphants, de lions et d’aurochs »

    Selon les scientifiques ces squelettes d’animaux auraient des millions d’années, alors qu’en réalité prouvé par les couches de limons successives, ils auraient moins de dix mille ans et un peu plus de cinq mille ans. Ces docteurs et experts comme John Mackay, Cécile Daugherry confirme qu’il y a bien eût Déluge planétaire à une époque donnée, il y a six à cinq mille ans et, qu’entre cette date et celle de l’Ère Commune (EC) ou Jésus-Christ (J-C.) il y eut d’autre grand « Déluge » dans différente région du Globe suite à des éruptions volcaniques.

    Noé après le « Déluge » avait partagé la Terre entre ses trois fils à Japhet qui était blanc l’Europe, à Sem qui était cuivré toute l’Asie, et Cham qui était noir L’Afrique.

    Bien après la mort de Noé peut-être dix siècles les humains voulurent construire une tour qui atteindrait les nuées pour qu’ils ne périssent plus par un Déluge. Voyant cela EL-SHADDAÏ les stoppa après quarante trois ans de construction en changeant leur aspect et les confondant dans leur langage. Les humains ne reconnaissaient plus leur propre frère et ne le comprenaient plus alors chacun se dispersât sur la Terre selon son langage, selon son aspect. Livre des Antiquités Bibliques, La tour de Babel : VII : 2-5, « // EL-SHADDAÏ dit : « Voici qu’ils sont un seul peuple et qu’ils ont une seule langue pour tous. Testament de Nephtali VIII : 3, -- Ce qu’ils ont commencé à faire, la terre ne le supportera pas et le ciel ne pourra tolérer sa vue. Il arrivera, si on ne les empêche pas immédiatement, qu’ils deviendront audacieux en tout ce qu’ils auront décidé de faire. C’est pourquoi, voici que je vais séparer leurs langues et leur aspect et je les disperserai dans tous les pays pour que chacun ne connaisse plus son frère et que chacun d’entre eux ne comprenne plus la langue de son prochain. Je mets les pierres en garde à leur sujet. Ils se construiront des demeures avec les tiges de la paille et ils se creuseront des cavernes et comme les bêtes des champs, ils habiteront là. Et il en sera ainsi en tout temps, je les considérerai comme une goutte d’eau et je les comparerai à un crachat.Voir II Baruch LXXXII : 5, -- Quant aux peuples qui habitent la Terre, quand ils commencèrent à bâtir la tour, EL-SHADDAÏ sépara leurs langues et changea leur aspect. Chacun ne connut plus son frère, et chacun ne comprenait plus la langue de son prochain. (IIIème Bible-BÉI-Antiquités bibliques p. 1251-1252) Les blancs, du légèrement bronzé au blanc, selon son langage, les cuivrés, qui allaient de la couleur jaune au rouge, selon son langage, et les noirs, toutes les couleurs du noir, selon son langage, tous se dispersèrent les noirs tout le Continent Afrique, les blancs tout le Continent Europe, les cuivrés tout le Continent Asie. Quelques humains des trois couleurs traversèrent la Grande Mer pour aller peupler le Continent des Amériques et d’autres prirent la route de l’Extrême-Orient par le Détroit de Béring pour peupler les Amériques.

    Je viens de vous expliquer le peuplement de la Terre voilà pourquoi dans toutes les Amériques les humains étaient adorateur d’un seul Dieu. Tous les amérindiens ne priaient que le « Grand-Esprit », et dans le Continent « Amérique du Sud »  les autochtones comme les Olmèques, Toltèques, Zapotèques, Mixtèques, Aztèques et Mayas mais aussi du coté Pacifique avec les civilisations Andines :Incas, Moches, Chibchas, Cañaris, au niveau spirituel n’adoraient qu’un seul « Dieu », ce dernier étant servi par une multitude de « sous-dieu » un peu comme la religion chrétienne avec ses « Saints », quoique, sûrement plus propre, car ils ne vénèrent qu’un seul « DIEU », alors que le christianisme adore trois Dieux, Dieu Père, Dieu Fils, Dieu Saint-Esprit qu’il prie séparément, mais aussi globalement en la personne de « DIEU » qui est seul représentant les trois.

    Pour confirmer ce que j’écris, il est prouver que les Amériques furent peuplé par des sémitiques, en effet des squelettes de  type europoïde furent découvert, l’homme de Kennewick dans l’État de Washington  en 1996, la Femme de Peñon près de Mexico, la caverne de Lovelock en 1911, puis en 1931 où des restes humains de type europoïde furent découvert âgés de 5000 ans et 7000 ans, des crâne à Lucia au Brésil, près du site de Clovis au Nouveau Mexique l’homme de Folsom, et au Canada région Québécoise en plus des marques européennes, des restes de maison Iroquoise façonnée avec des rondins, 6000 ans environ.

    Bien avant Christophe Colomb, Éric le Rouge,  au Xème siècle découvrit l’Island, puis le Groenland et Terre-Neuve. Son fils continua l’avancement jusqu’à l’embouchure du Saint Laurent qu’il remonta pour former une Colonnie.

    La présence viking est prouvée par l’archéologie et qui aurait peut-être formé le peuple d’Inuits et Iroquois.

    Maintenant que j’ai écrit sur l’histoire supposé du monde, il faut bien faire confiance à nos anciens qui découvrir les Amériques bien avant Christoph Colomb, je vais revenir vers nos moutons qui sont la « Toussaint » et la fête du jour des morts.

    Halloween fête scandinave, mais surtout d’origine Celte, se fête le 31 Octobre. La culture « Celte » apparaît vers le VIIIème siècle avant la naissance de Jésus le Nazôréen. Personnellement je suis convaincu que la culture Celte avec sa langue le gaëlique est une résultante de la tour de Babel quand les humains furent dispersés sur toute la surface de la Terre selon leur aspect et leurs langues. Ceux que l’on nommera les galiciens sont ces humains qui suivirent les cotes des mers, mais aussi les grandes plaines et plateaux, de l’Anatolie point de départ où ils reviendront des millénaires après, en Galatie, traversant le Bosphore, séparant la Mer Noire de la Mer de Marmara, Mer Méditerranée, suivant la route de Sofia, Belgrade, Zagreb, Trieste, Milan, col du Mont Cenis, Grenoble, Nîmes, Béziers, Toulouse, Bordeaux, Bayonne, Bilbao, La Corogne en Galice. Ce peuple en Galice ce format une langue grammaticale, et l’humain étant un nomade une partie de ces humains remontèrent à Bordeaux puis vers le Nord donnant leur nom les « Gales » qui devinrent les Gaules. Leur langue était le Celte et ces Celtes s’installèrent en Petite Bretagne, puis traversèrent la Mer du Nord et la Manche et s’établirent dans cette grande ile qui deviendra la Grande Bretagne, l’Écosse et le Pays de Galles, avec une autre grande ile à coté de celle-ci je parle de l’Irlande puis le Nord de l’Europe juste avant les pays Scandinaves jusqu’au Danube, tous étaient de langue Celte.

    La culture spirituelle de tous ces peuples étaient le druidisme. Ils croyaient en un Dieu le Samhain qui s’écrit aussi Samhan, Samain.

    La mythologie celtique est pauvre en document ce qui fait que les connaissances sont lacunaires et les seules sources que les historiens et exégètes possèdent sont indirectes, les vestiges archéologiques, les témoignages de ceux qui les ont côtoyés comme les Grecs et les Romains, Jules César avec ses écrits sur « la guerre des Gaules », et les littératures médiévales galloise et irlandaise. Comme les autres peuples de l’antiquité, les Celtes avaient une culture religieuse polythéiste dans laquelle officiait le classe sacerdotal druidisme. Cette religion s’est progressivement dissoute dans la culture de l’Empire Romain des dix décennies avant l’Ère Commune (EC.), à l’exception de l’Irlande et de l’Écosse où la civilisation celtique résista jusqu’à l’arrivé au Vème, VIème siècle du christianisme qui évangélisa ces deux Nations en faisant des concessions sur leurs fêtes païennes, les christianisant.

    Il faut reconnaître que les Prêtres druidismes, privilégiaient l’oral sur l’écriture car peu d’humains savaient lire ce qui devint pour eux une perte du témoignage, les paroles s’envolent seuls les écrits restent d’où des informations données au compte goutte. La civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe pendant plusieurs siècles.

    Dans la mythologie celtique le « Samhain » est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « Sombre » de l’année celtique qui en opposé avait une saison « Claire ». Le Samhain est une fête de transition, le passage d’une année à l’autre, et d’ouverture vers « l’Autre Monde », celui des dieux. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est indéniable, incontestable puisque nous la retrouvons en Gaule sous les trois nuits de Samain durant le mois de Somonios, notre mois de Novembre, sur le calendrier de Coligny.

    Le mot « Halloween » est un mot typiquement anglais son étymologie ayant aucun rapport avec la langue celtique même le gaélique. En effet en langue  anglaise « Hallows » qui est une  forme archaïque de « Holy » qui signifie « saint » et de « even » qui signifie « soir » Ce « even » est devenue « evening », puis « e’en » pour finir par « een » Ce qui en français devenait le « soir de tous les saints » devenant « Toussaint »

    La fête de « Samain » était une fête importante dans le milieu celte puisque c’était une fête de nouvelle année qui commençait toujours par la saison « Sombre ».La fête durait sept jours trois jours avant, le jour pour Samhain, trois jours après, les trois premiers jours marquaient la fermeture des jours « Claires » puisqu’il n y avait plus de récolte, puis venait le jour de la nouvelle année, le premier Novembre, et les trois premiers jours « Sombres » qui représentait l’arriver du froid

    Les celtes avaient peu de Dieux et selon la province ils changeaient de nom. Cela ne les a pas empêché d’avoir une mythologie élaborée. Contrairement à la pensée générale, si les celtes privilégiaient l’orale, ils connaissaient l’écriture comme l’alphabet étrusque ou grec, et  ils ont quand même inventé un système particulier de notation qui est l’écriture oghamique

    L’immortalité de l’âme était une des croyances des Celtes, ce qui explique, peut-être, les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.

    Ils croyaient que Samhain, le dieu des morts, rassemblait les âmes de ceux qui étaient morts pendant la dernière année et décidait quelle forme ils prendraient l’année suivante.

    Ces âmes pouvaient aussi bien avoir un corps humain ou être condamnées à vivre dans des animaux, les âmes ou les esprits les plus méchants prenant la forme de chats. En espérant tromper Samhain et lui faire donner des sentences plus légères, les adorateurs celtes essayaient de le soudoyer en offrant des prières et des cadeaux.

    L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit:

    « Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. Samhain fut un important précurseur de l’Halloween. »

    « La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir fait les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençait leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leurs maisons. Puis les druides, prêtres celtes, qui signifie, « Savant, Savoir, Sagesse », se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient cet arbre comme sacré, et ils préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur dieu soleil. Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale. »

    Le nom de Samhain signifie « réunion », c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des assemblées et des banquets rituels ; son caractère païen la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides.

    Le 31 Octobre dans notre époque moderne est la fête de l’Halloween, veille de la « Toussaint » fête religieuse, et dernier jour de l’année Celte qui équivaut à notre Saint Sylvestre, le 1er Novembre étant le premier jour de l’année Celte jour de célébration du Dieu Samhain, sachant que « Halloween » signifie « soir de tous les Saints » et comme déjà écrit, il existe aucune relation avec la croyance celtique, même gaélique.

    En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samhain – Samain – qui était célébrée au début de l’automne par les celtes et constituait pour eux une fête de fin d’année et de « Nouvel An ». En gaélique, l’Halloween est ainsi connue jusqu’à nos jours sous le nom de « Oïche Shamhna » fête très populaire en Bretagne, Irlande, Pays de Galles et Écosse on l’on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-O’-Lantern est elle-même issue d’une légende irlandaise.

    Tout ce que je viens d’écrire est l’histoire religieuse du paganisme alors qu’en est-il de cette religion mondiale, le christianisme ? En avant propos, j’ai survolé l’essentiel pour que déjà, avec votre conscience vous réfléchissiez à la dure réalité de mes écrits.

    Que la « Toussaint » soit la plus grande fête idolâtre du christianisme est une vérité, et cela est évident puisque c’est l’adoration des « Statues » fixée fermement sur des « basses-rondes » le long des murs ou des colonnes du « Temple Chrétien » église, chapelle, cathédrale, en reconnaissant que parmi le monde chrétien seul les Protestants rejettent tout ce qui est représentation de saints.

    Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

    Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Adam et Ève devant leur Créateur 

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    A la recherche de la vérité sur ce Dieu « Très-Haut » comme Melchisédech le nommait devant Abraham, il existe beaucoup d’écrits « Apocryphes » datant des premier, deuxième, troisième, quatrième siècle sur la vie et paroles de Jésus le Nazôréen, des Apôtres et des premiers Disciples. N’oublions jamais que la retransmission des connaissances se faisait en générale oralement surtout les deux premiers siècles, voire le troisième. Après la victoire au Pont de Milvius par Constantin le Grand en l’an 312 de l’EC., où il prit la religion « Chrétienne », déclarant cette dernière religion d’Empire, elle représentait à peine dix pourcent de toutes les religions. Si Constantin avait perdu cette bataille, la chrétienté n’existerait pas aujourd’hui !

     Au Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC., avec l’aide de son ami Eusèbe de Césarée ils décidèrent du premier Canon Biblique, Constantin le Grand demandant pour son compte personnel une cinquantaine d’exemplaire, Ancien et Nouveau Testament, pour offrir à ses amis.

    Le chapitre ci-dessous parle de l’Esprit et de l’action. Vous aurez le droit de me contredire après la lecture. L’Esprit est éphémère, cela je vous l’ai déjà écrit. L’Esprit c’est la pensé, réflexion, raisonnement en relation avec le cœur. Selon la force, la sagesse, de toutes ces choses nous nommons cela l’intelligence qui diffère selon l’individu. Donc en premier l’Esprit travaille, puis commande à la chair. Prenons l’exemple de l’adultère : votre voisine est belle et par l’Esprit en premier vous convoitez de la voir dans votre lit conjugale. Là l’Esprit vous dirige dans un sens et sa première action est de vous donner du bagout pour la draguer. Par votre Esprit vous parlez avec « Esprit » par des jeux de mots et de phrases qui amusent beaucoup votre voisine. Vous lui plaisez, elle vous plaît, et chacun attire l’autre jusqu’à ce que vous soyez en accord en osmose, et vous allez commettre l’acte de chair car maintenant ce n’est plus l’Esprit qui dirige, mais l’attirance charnelle.

    Différents stades sont apparus l’Esprit et l’action comme la pensé, puis le regard, la parole qui sont des actions d’Esprit et de chair mélangé. Donc volontairement vous allez vers le péché et vous en commettez plusieurs puisqu’il y a convoitise du bien d’autrui. Dans votre cerveau une multitude de pensées viennent et s’en vont, et quelques unes restent en mémoire.

    Donc avant que la chair soit maîtresse de l’action il y a tout un processus d’Esprit et de petites actions mélangées, qui, comme vous êtes libre de votre choix, peuvent arrêter votre mauvaise idée.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    La bible nous dit que ce jour était un jour de « Préparations » Jean XIX : 14, « Or c'était la Préparation de la Pâque ; c'était vers la sixième heure. Il dit aux Juifs : « Voici votre roi. » » Luc XXIII : 54 « C'était le jour de la Préparation, et le sabbat commençait à poindre. » Une seule certitude le lendemain de la crucifixion était un jour de « Sabbat » ! Jean nous dit que ce « Sabbat » est celui de la Pâque. Autre certitude, le premier jour de la semaine hébraïque, le Dimanche où le jour commençait tout juste à apparaître, le tombeau était vide, ce qui nous donne la certitude de la crucifixion, soit le mercredi et pas un autre jour.

    Le temps passé dans le tombeau ?

    Là non plus il n’y a pas d’erreur puisque c’est le temps prophétique que Jonas passa dans le ventre d’un gros poisson, soit trois jours et trois nuits. Jonas II : 1, 11 « EL-SHADDAÏ  fit qu'il y eut un grand poisson pour engloutir Jonas. Jonas demeura dans les entrailles du poisson trois jours et trois nuits. EL-SHADDAÏ commanda au poisson, qui vomit Jonas sur le rivage. » Entre ces deux versets il y a toute une prière implorant El-SHADDAÏ, mais il faut reconnaître que Jonas resta dans le ventre de ce gros poisson comme dans l’abîme de l’Hadès. Si parmi vous, Lectrices et Lecteurs il y a quelqu’un qui peut me donner une réponse à ce problème je serai ravi de le lire et de vous en faire bénéficier si la réponse s’avère correcte historiquement et bien sûr que cette réponse soit en accord avec la vie de Jésus le Nazaréen ainsi que dans l’Esprit d’EL-SHADDAÏ.

    Jésus le Nazôréen est aussi « SAIN », car sur la Terre il a été un parangon et en quarante ans sur la Terre pas un seul péché n’est venu entacher sa saine vie, car il vécut parfait. L’équivalence avec Adam et Ève qui furent déposé sur la Terre parfait, était accompli par Jésus le Nazôréen par sa perfection pendant quarante ans sur la Terre.

     

    Chapitre N° 30

     

    Esprit réflexion, action chair

     

    Par un humain, c’est-à-dire par la femme, qui la première transgressa la « Loi » d’EL-SHADDAÏ de l’interdiction de manger du fruit de « l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal » le « péché » entra sur la Terre entraînant « la Mort », de même par le comportement parfait d’un seul humain, prouvant à l’humanité entière que l’on peut résister aux attaques du Prince de la Terre, et de ses environs, l’Ange le premier façonné dans les Cieux portant le « Nom » de SAMMAËL, le « péché » fut vaincu ainsi que la « Mort » grâce à la résurrection de Jésus le Nazôréen par son Père géniteur EL-SHADDAÏ, après soixante douze heures passé dans l’Hadès, le séjour des morts.

    Premier Épître aux Corinthiens 15 :21

    « Car, la mort étant venue par un homme, c'est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.

    De même en effet que tous meurent en Adam, ainsi tous revivront par Jésus le Nazôréen »

     Sagesse de Salomon II : 24

    « C'est par l'envie du diable que la mort est entrée dans le monde ils en font l'expérience, ceux qui lui appartiennent ! »

    Les « Écritures » disent que par un seul humain le péché est entré sur la Terre. L’humain, Adam, fut posé sur la Terre par son concepteur, parfait en chair c’est-à-dire le corps, et parfait en esprit puisque le mal n’existait pas sur la terre Sammaël et les siens étant plongés dans une profonde léthargie. Quant Ève fut façonnée comme l’homme, après que ce dernier fut endormi par EL-SHADDAÏ afin que celui-ci prenne une côte et modèle la femme, elle fut déposée sur la Terre, parfaite en corps, c’est-à-dire en chair, et en esprit et fut présentée à l’homme.

    Genèse II : 22-23.

    Puis, de la côte qu'il avait tirée de l'homme, EL-SHADDAÏ façonna une femme et l'amena à l'homme.

    Alors celui-ci s'écria : « Pour le coup, c'est l'os de mes os et la chair de ma chair ! Celle-ci sera appelée femme, car elle fut tirée de l'homme, celle-ci ! »

    L’homme et la femme sont sur la Terre, tous les deux parfaits en tout, chair qui est le corps, et esprit qui est la pensé, réflexion, raisonnement, sentiments en relation avec le cœur. C’est à ce moment que Sammaël et les siens sont réveillés de leur torpeur sachant qu’ils ont été chassés des Cieux et que leur déplacement est limité à la Terre et ses environs. Sammaël dans son « Défit » avec EL-SHADDAÏ c’était juré qu’il se vengerait de l’homme, celui-ci étant responsable involontairement de tous ses tracas. Le mieux pour la petite histoire, la troisième Bible, « Écrits Apocryphes Chrétiens » « Questions de l’Apôtre Barthélémy » conte à la page 290 : « Sammaël le premier Ange à être façonné conte à Barthélémy :

    « El-Shaddaï dit à Michel : 

    « Apporte-moi une masse de terre provenant des quatre extrémités de la Terre et de l’eau provenant des quatre fleuves du Paradis. »

    Lorsque Michel les eut apportées, il façonna Adam dans les régions de l’Orient ; il donna une forme à la masse de terre informe, déploya les nerfs, les artères et les veines, les agença avec harmonie. Et Michel voyant l’image, le reflet d’El-Shaddaï dans le creux de sa main, il se prosterna devant l’homme à l’image, la ressemblance de son Créateur et à la leur.

    Lorsque je revins des extrémités de la Terre, Michel me dit : 

    « Prosterne-toi devant l’image d’El-Shaddaï, qu’il a modelée selon sa ressemblance ! »

     Mais je répondis : 

    « Moi qui suis issu du feu, le premier Ange à avoir été façonné, je devrais me prosterner devant de l’argile mélangé à l’eau ! »

     Michel me répéta :

     « Incline-toi afin qu’El-Shaddaï ne s’irrite pas contre toi ! »

    Je rétorquai :

     « Non, El-Shaddaï ne se fâchera pas contre moi, mais j’établirai mon trône en face de son trône, et je serai comme lui. »

    Alors EL-SHADDAÏ s’affligea contre moi et me précipita en bas avec tous ceux qui étaient avec moi en ordonnant que soient ouvertes les écluses du ciel. Une fois précipité sur la Terre, nous restâmes plongés dans le sommeil pendant quarante ans. Puis le soleil ayant brillé sept fois plus que le feu, nous fûmes soudain réveillés. Je réveillai alors mon fils Salpsas et je le pris comme conseiller pour savoir comment je tromperais l’Homme à cause de qui j’avais été projeté hors des Cieux. » -( cf. apocalypse de Sédrach V : 1-6.)

    Isaïe XIV : 11-15

    Ton faste a été précipité au shéol, avec la musique de tes cithares. Sous toi s'est formé un matelas de vermine, les larves te recouvrent.

    Comment es-tu tombé du ciel, étoile du matin, fils de l'aurore ? As-tu été jeté à terre, vainqueur des nations ?

    Toi qui avais dit dans ton cœur : « J'escaladerai les cieux, au-dessus des étoiles d’EL-SHADDAÏ j'élèverai mon trône, je siégerai sur la montagne de l'Assemblée, aux confins du septentrion.

    Je monterai au sommet des nuages, je m'égalerai au Très-Haut. »

    Mais tu as été précipité au Shéol, dans les profondeurs de l'abîme. »

    L’Homme et la Femme vivaient en « Territoire » d’Éden en parfaite harmonie avec tous les êtres vivants et la nature, le mal n’existait pas. J’écris « Territoire » car le terme jardin laisse voir quelque chose de petit alors que ce jardin là était immense d’où le terme approprié de « Territoire ». Ce Territoire était gardé par des Anges, sans doute en prévision de la libération de Sammaël. Pour entrer dans ce Territoire, Sammaël, le premier Ange à être créé, mais aussi le premier à se révolter contre l’autorité d'EL-SHADDAÏ, prit l’enveloppe de l’animal le plus sensé du Territoire d’Éden et alla vers la femme, Ève, converser avec elle. Il alla vers l’esprit le plus faible, celui qui travaillerait le moins. Tous les jours il rendit visite à Ève et tous les jours il lui parlait de l’arbre de la « Connaissance », de ces fruits, la faisant passer devant sans jamais s’arrêter, mais vantant la beauté de l’arbre et le goût suprême de ses fruits.

    Dans son épître aux Romains Saül de Tarse, essaie de nous faire comprendre la différence entre le spirituelle qui est la pensé, la réflexion, le raisonnement, et l’action commis par la chair sur l’ordre de l’esprit.

    Épître aux Romains VIII : 2-5

    « La loi de l'Esprit qui donne la vie par Jésus le Nazôréen t'a affranchi de la loi du péché et de la mort.

    De fait, chose impossible à la Loi, impuissante du fait de la chair, EL-SHADDAÏ, en envoyant son propre Fils avec une chair semblable à celle du péché et en vue du péché, a condamné le péché dans la chair, afin que le précepte de la Loi fût accompli en nous dont la conduite n'obéit pas à la chair mais à l'esprit.

    En effet, ceux qui vivent selon la chair désirent ce qui est charnel ; ceux qui vivent selon l'esprit, ce qui est spirituel. »

    Ces quatre versets sont le témoignage que je vous écris la vérité. En effet Ève pécha en premier par l’Esprit, car l’animal le plus sensé du Territoire en Éden, par ces nombreuses visites à Ève, donna à celle-ci l’envie, par la vue, faisant remarquer la magnificence de l’arbre avec ses merveilleux fruits qui devaient être aussi savoureux qu’ils sont beaux à regarder, la convoitise par de belles paroles qui si bien expliqué faisait saliver Ève à chaque fois qu’elle passait devant « l’Arbre de la Connaissance » de plus en plus près, admirant ces fruits avec envie.

    C’est bien volontairement qu’elle pécha, car l’animal le plus sensé l’amena en dissertant devant l’arbre, puis il disparut, car il savait qu’elle allait commettre l’acte, pour lui c’était une certitude. Comme nous dirions aujourd’hui son travail de « sape » était fini, il avait fait du bon travail. Seule elle s’approcha de l’arbre, tira une branche vers elle, prit du fruit et le mangea. Mais elle, en plus d’avoir mangé du fruit, elle, Ève, par des paroles de forfaiture, poussa son époux, Adam à la suivre dans sa mauvaise conduite.

    Épître aux Romains VIII : 6-8

    « Car le désir de la chair, c'est la mort, tandis que le désir de l'esprit, c'est la vie et la paix, puisque le désir de la chair est inimitié contre EL-SHADDAÏ : il ne se soumet pas à la loi d’EL-SHADDAÏ, il ne le peut même pas, et ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à EL-SHADDAÏ. »

    Comme écrit ci-dessus pour les quatre premiers versets, avant que la chair n’agisse, l’humain commet le péché par l’Esprit, et c’est l’Esprit qui commande à la chair. Ma réflexion et mon raisonnement sont justes. Bien sûr que le désir de la chair, c’est la route de la mort ! Tout comme l’Esprit est la vie, car l’Esprit commande à la chair, mais l’Esprit, selon son cœur, son raisonnement, sa réflexion donne la direction de l’action en bien en mal, en bien en refusant de commettre le péché, en mal si nous laissons le sentiment de chair agir qui pour ce cas nous entraîne vers le mal c’est-à-dire le péché.

    Le désir de la chair est une animosité envers, voir contre EL-SHADDAÏ, car « le désir de la chair » mène généralement vers la fornication, adultère, contre-nature, débauche, orgie, la luxure pour tout dire, mais aussi l’idolâtrie, le mensonge, la cupidité, l’assassinat voir meurtre, sans compter sur l’agressivité, rancune, haine, aversion, antagonisme, froideur, racisme, misanthropie, misogynie, répugnance, encore et encore …. Voilà pourquoi ceux qui se complaisent dans la chair sont obligatoirement contre les Lois de l’Être Suprême, et ceux qui ne peuvent accepter les lois de ce Dieu seul et unique sont contre Lui.

    Ève commis en premier le péché par l’esprit, tout en connaissant la sentence, et après par la chair, car l’esprit commanda à la chair de prendre le fruit, donc c’est par la chair que le péché est venu sur Terre, et par une seule personne en premier c’est-à-dire la « Femme », mais en second par la faiblesse de l’homme devant la femme, car c’est encore l’esprit qui commanda à la chair de l’homme de manger du fruit présenté par sa femme, qui comme l’animal le plus sensé de l’Éden, agissant de la même manière, trompa son époux par des paroles prodigieuses de trahison.

    Pensons toujours que la chair ne vit que par le sang qui la nourrie, donc c’est le sang qui fut touché par le péché, le sang étant la vie. Quant à l’Esprit, c’est éphémère car c’est du vent !

    En suivant ma réflexion, mon raisonnement, Jésus le Nazaréen par sa perfection de chair, donc de sang et qui dit sang dit vie, donna le change avec Ève, qui fit entrer le péché par la chair, et c’est par la chair parfaite de Jésus le Nazôréen que le péché fut vaincu grâce à la résurrection par EL-SHADDAÏ de cette chair qui était le corps de son fils le Bien-Aimé Jésus le Nazôréen, dont la chair, c’est-à-dire le corps ne connut pas l’odeur de la terre, et de la décomposition, donc ce corps de chair de Jésus le Nazôréen resta parfait pour son « Élévation », son « Ascension » dans les Cieux, pour recevoir par son Père géniteur son couronnement, son investiture de Roi des Cieux.

    Jésus le Nazôréen en recevant sont investiture de « Roi des Cieux » devenait aussi le Pasteur pour garder les brebis, c’est-à-dire les humains, d’El-Shaddaï, mais encore le « Grand Prêtre » des Prêtres comme Melchisédech.

    Jésus le Nazaréen était avant tout un hébreu, et comme tel, il vivait avec les Lois de son Père géniteur, que son père nourricier c’est chargé de lui inculquer depuis sa tendre enfance. Un homme devenait majeur dans la loi hébraïque quand celui-là avait une trentaine d’année. Il commença donc son ministère à sa majorité, ainsi ni son père nourricier, ni sa mère ne pouvait lui interdire son périple.

    Histoire de Joseph le Charpentier XI-XVParmi les livres apocryphes il y a cette histoire de Joseph le Charpentier qui fut écrit en hébreu et en copte vers le début du IVème siècle soit en l’an 300-310 avant le combat du Pont de Milvius où Constantin le Grand promit de se faire baptiser « Chrétien » s’il venait à gagner cette bataille suite à un prisme inscrit dans le ciel par des nuages de haute altitude formant les lettre XP enchevêtrées qui en grec était le nom de Jésus-Christ. Il faut remarquer que l’auteur de cet apocryphe c’est servit d’écrits antérieurs pour étayer son histoire, particulièrement le Protévangile de Jacques, histoire de l’enfance de Jésus, vie de Jésus en Arabe. Apocryphe qui a une tendance à la vénération de Joseph que la Chrétienté c’est servie pour la fête de la « Saint Joseph »

    Alors je vous ai posé ce qui est le plus véridique dans l’historique

    Il y avait un homme appelé Joseph, qui était de la ville appelée Bethléem, celle des Juifs, qui est la ville du roi David. Il était bien instruit dans la sagesse et dans l'art de la menuiserie. Cet homme appelé Joseph épousa une femme dans l'union d'un mariage. Elle lui donna des fils et des filles : quatre garçons et deux filles. Voici leurs noms : Jude et Josetos, qui serait le Samuel du Protévangile de Jacques, Jacques et Simon. Les noms des filles étaient Lysia et Lydia. La femme de Joseph mourut et elle laissa Jacques encore en bas âge. Joseph était un juste, qui rendait gloire à EL-SHADDAÏ en toutes ses œuvres. Il allait au dehors exercer le métier de charpentier, lui et ses deux fils, car ils vivaient du travail de leurs mains selon la loi de Moïse.

    « Or, ses deux plus jeunes fils, Samuel et Syméon, prirent femme et s'établirent dans leurs maisons. Ses deux filles aussi se marièrent selon qu'il est permis à tout homme. Joseph, lui, demeura avec Jacques, son plus jeune fils.

    Voici les états de vie de mon bien-aimé père Joseph. Il atteignit l'âge de quarante ans. Il prit femme. Il vécut quarante-neuf autres années dans le mariage avec sa femme. Puis celle-ci mourut et il passa une année seul. Ensuite ma mère passa deux autres années dans sa maison, après que les prêtres la lui eurent confiée, en lui donnant cette instruction :

     « Veillez sur elle, jusqu'au moment d'accomplir votre mariage. »

    Au commencement de la troisième année qu'elle demeura chez lui - c'était la quinzième année de sa vie à elle - elle me mit au monde et dix-huit autres années se passèrent depuis que ma mère m'eut mis au monde.

    Le total des jours de la vie de mon père Joseph, le vieillard béni, fut de cent onze ans, selon l'ordre qu'avait donné mon Père géniteur. Le jour où il abandonna son corps fut le 26 du mois d'épiphi, j’avais dix-huit ans. »

    Jésus le Nazôréen de son vivant ne fut pas compris par les siens. En effet le Sanhédrin était convaincu que Jésus de Nazareth voulait bouleverser les Lois de Moïse et le fait que ce dernier ne fit rien pour les contredire, au contraire, en renversant les tables des échangeurs à l’entrée du Temple, Jésus le Nazaréen devait savoir qu’il allait mettre Caïphe, chef du Sanhédrin et des Pharisiens, dans une grande colère.

    En effet, Jésus prêchait que cela ne servait plus à rien d’acheter des animaux pour le sacrifice et la rémission des péchés car son Père EL-SHADDAÏ n’agréait plus ces sacrifices, offrandes, oblations, car par son Fils une « Nouvelle Alliance » naissait entre « l’Humain » et « EL-SHADDAÏ », à commencer par le baptême qui à l’ère de Jésus le Nazôréen avait une réelle importance.

    Aujourd’hui le baptême par immersion comme à l’époque de Jean le Baptiste n’a plus lieu en dehors de quelques sectes protestantes qui en détournent le véritable sens. La religion chrétienne elle fait un signe de croix frontal avec de l’eau en signe de baptême, mais qui ressemble plutôt à une marque « au fer rouge » comme faisant partie des adeptes de Sammaël par ce signe de l’idolâtrie.

    Cette lecture vous oblige à vous scruter intérieurement car elle vous a posé des questions. Alors je suis heureux, car le « Souffle d’intelligence » vient à vous !

    Portez-vous bien !

    Cordiales salutations

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Dans ce chapitre ci-dessous il est question de la mort de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens. Tous les écrits veulent faire coïncider cette crucifixion un vendredi, alors que les évangiles démontre le contraire. Une chose est sûre, il est difficile de tricher avec les dates bibliques surtout les temps prophétiques. Le samedi soir après le coucher du soleil commence le premier jour de la semaine soit « Dimanche ».

    Maintenant je vous laisse faire les calculs sachant que Jésus le Nazôréen est resté comme Jonas dans le ventre du gros poisson, trois jours et trois nuits, soit soixante-douze heures.

    Je vous laisse le soin de me lire et vous jugerez par vous-mêmes de ma déduction.

    Rechercher la vérité, la vraie, est une chose difficile, mais à chaque pas fait en direction de ce Dieu seul et unique est une joie intérieure qui nous pousse à nous améliorer et à faire attention aux pièges multiples de Sammaël qui n’apprécie pas que des humains l’abandonnent pour prier et suivre les Lois de son Créateur, EL-SHADDAÏ.

    Que ce Dieu seul et unique éclaire votre esprit par son « Souffle d’Intelligence » !  

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Et maintenant la « Lettre » de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens V : 1-2, VI : 1-2.

    V, 1. Sachant donc que « l'on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ » Galates VI : 7-8, « Ne vous y trompez pas ; on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ. Car ce que l'on sème, on le récolte : qui sème dans sa chair, récoltera de la chair la corruption ; qui sème dans l'esprit, récoltera de l'esprit la vie éternelle. », nous devons marcher d'une façon digne de ses commandements et de sa gloire.

    2. De même, que les diacres soient sans reproche devant sa justice: ils sont les serviteurs d’EL-SHADDAÏ et du Messie, et non des hommes : ni calomnie, ni duplicité, ni amour de l'argent ; qu'ils soient chastes en toutes choses, compatissants, zélés, marchant selon la vérité du Seigneur qui s'est fait le serviteur de tous. Si nous lui sommes agréables en ce temps présent, il nous donnera en échange le temps à venir, puisqu'il nous a promis de nous ressusciter d'entre les morts, et que, si notre conduite est digne de lui, « nous régnerons nous aussi avec lui » 2 Timothée II : 12, « Si nous tenons ferme, avec lui nous régnerons. Si nous le renions, lui aussi nous reniera », si du moins nous avons la foi.

    1. Les presbytres, eux aussi, doivent être compatissants, miséricordieux envers tous ; qu’ils ramènent les égarés, qu’ils visitent tous les malades, sans négliger la veuve, l’orphelin, le pauvre ; mais qu’ils ne croient pas trop vite du mal de quelqu’un et qu’ils ne soient pas raides dans leurs jugements, sachant que nous sommes tous débiteurs du péché.

     2. Si donc nous prions EL-SHADDAÏ de nous pardonner, nous devons nous aussi pardonner. 

    Vous venez de lire le style de « Lettre » des « Disciples » des Apôtres, qui seront nommés « Pères Apostoliques ». Je vous fais constater que dans leurs Écrits ils mettent le Père géniteur de Jésus le Nazôréen en premier le considérant comme le seul et unique « Dieu », puisqu’ils conseillent que les évêques et les diacres soient par leur comportement des parangons tout comme Jésus le Nazaréen là été sur la Terre, et en plus qu’ils soient soumis aux enseignements de Jésus le Nazôréen, comme ce dernier fut soumis à son Père EL-SHADDAÏ.

     

    Chapitre N° 29

    Mercredi jour de Crucifixion de Jésus

    Toujours avec cette Épîtres aux Hébreux où la lecture est vraiment intéressante, mais comme certains « Textes » apocryphes, il faut être très prudent à la compréhension de la lecture qui, si vous n’avez pas la sagesse de la prudence, inexorablement le texte vous entraine vers l’idolâtrie. L’Épître aux Hébreux n’est pas de Saül de Tarse, surnommé Paul et pourtant la fin de cette missive me laisse un peu perplexe.

    Alors à la place de grands discours, je pose la « pierre d’achoppement » !

    Épîtres aux Hébreux XIII : 20-21, 22-25

    « Que le Dieu de paix qui a ramené d’entre les morts par le sang de l’alliance éternelle, le grand Pasteur des brebis, notre Seigneur Jésus le Nazôréen, vous rendent aptes à faire tout le bien qu’il veut. Et qu’il fasse en nous ce qui lui est agréable par Jésus le Nazaréen à qui revient la gloire dans les âges des âges. Amen ! »

    Théoriquement cette Épître devrait ce terminer là, alors sans trop me tromper il me semble que les quatre versets qui suivent vingt-deux à vingt-cinq sont un ajout de copiste qui aurait pris pour exemple les terminaisons de II Corinthiens XIII : 12 et aux Philippiens IV : 21-22, que je vous poserai à la suite des versets aux Hébreux

    « Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles d’exhortations, car ma lettre est brève.

    Apprenez que votre frère Timothée a été libéré. S’il arrive assez tôt, c’est avec lui que j’irai vous voir.

    Saluez tous vos chefs et tous les saints. Ceux d’Italie vous saluent.

    La grâce soit avec vous tous ! »

    Pour la première terminaison rien à redire puisqu’elle fait l’éloge d’EL-SHADDAÏ, nous donnant la preuve que Jésus le Nazôréen fut ressuscité d’entre les morts par la volonté de son Père géniteur, ce Père le glorifiant comme le « Pasteur » de ses « Brebis », Ézéchiel XXXIV.

    Pour la deuxième terminaison celle que je considère comme un ajout de copiste, à prendre avec beaucoup de prudence, particulièrement le verset vingt-quatre, « Saluez tous vos chefs et tous les saints. », car il fait supposer que les humains étant avec leurs chefs sont « saints » c’est-à-dire sanctifiés, donc ils se vénèrent, se glorifient, s’adorent, entre eux. Épître aux Philippiens IV : 21-22 « Saluez chacun des saints dans le Christ Jésus. Les frères qui sont avec moi vous saluent. Tous les saints vous saluent, surtout ceux de la Maison de César. » Voyons maintenant la deuxième Épître écrite aux Corinthiens XIII : 12 « Saluez-vous mutuellement d'un saint baiser. Tous les saints vous saluent » Je vous pose le dernier verset de cette Épître, car pour moi c’est un ajout primaire de copiste, mais vous allez tout de suite le constater par vous-mêmes, verset 13 ou 14 selon les versions de traduction, « La grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour d’EL-SHADDAÏ et la communion du Saint Esprit soient avec vous tous ! » Reconnaissez qu’une telle terminaison vous entraîne directement vers « la Sainte Trinité » qui n’existe pas encore à cette époque. Comme pour l’Épître aux hébreux, l’Épître aux Philippiens possède deux terminaisons, vérifiez par vous-mêmes. Par cette toute petite phrase, « Saluez tous les Saints », Paul, Saül de Tarse a fait entré un ver dans « la Mouvance de Jésus le Nazaréen ». En effet cet apôtre, où plutôt « Disciple » considérait comme « Saint » un humain qui avait pris le baptême, ce qui est une grossière erreur.

    « Saint » écrit tel quel signifie une sanctification et non une perfection comme le « Nom » d’EL-SHADDAÏ, mais là encore, ce n’est pas le « Nom » que nous sanctifions, c’est l’Être qui porte le « Nom », car en vérité c’est bien EL-SHADDAÏ que nous glorifions dans nos prières, c’est bien l’Être que son « Nom » représente, Isaïe XLII : 8  « Je suis EL-SHADDAÏ, tel est mon nom ! Ma gloire, je ne la donnerai pas à un autre, ni mon honneur aux idoles. » que nous vénérons, adorons, donc sanctifions, voilà pourquoi nous prononçons son « Nom » avec respect, avec amour, mais EL-SHADDAÏ n’est pas que « Saint » il est aussi « SAIN », pur, propre, lumineux, limpide, cristallin, inaltéré, parfait.

    Vous allez me demander, et Jésus le Nazôréen comment est-il ?

    En premier ce n’est pas un « Dieu », seul son Père est « Dieu », il est l’unique Dieu de tout l’Univers, pas un seul « Dieu » avant Lui, aucun « Dieu » après Lui, Isaïe XLIV : 24 « Ainsi parle EL-SHADDAÏ, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, EL-SHADDAÏ qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi ! » alors pour Jésus le Nazôréen il n’y a pas d’adoration, de vénération, par contre il y a glorification en tant que Roi des Cieux et de la Terre mais il n’a reçu qu’une investiture, il y a environ deux mille ans, celle des Cieux, il faut attendre « le Jour de la Colère d’EL-SHADDAÏ » sur laquelle je reviendrai dans une série de chapitres car il s’agit de la « Fin des Temps, les Dernières générations » pour que Jésus le Nazôréen reçoive son « Héritage » et qu’il soit investit comme « Roi de la Terre ».

    Alors pour moi il y a une grande différence entre le Père qui est « Dieu » universel et perpétuel, I chroniques 17 : 20  « EL-SHADDAÏ, il n'y a personne comme toi et il n'y a pas d'autre Dieu que toi seul, comme l'ont appris nos oreilles »,  et son « Fils Emmanuel » engendré. En effet comme le « Nom » du Père, celui du fils peut être sanctifié, mais uniquement en glorification, jamais en adoration, vénération, ces actions étant réservées pour son Père, car Jésus le Nazaréen est comme notre « Maître Enseignant », notre « Maître à Penser » en premier, puis comme notre « Roi », avec tout le respect et l’allégeance que nous lui devons en tant que tel. NT - I Timothée 2 : 5 « Car EL-SHADDAÏ  est unique, unique aussi le médiateur entre EL-SHADDAÏ  et les hommes, le Messie Jésus le Nazôréen »

    Ne jamais oublier que Jésus le Nazaréen fit sur la Terre la volonté de son Père, et que ce dernier a tellement aimé son image façonnée de ses mains, je parle bien entendu de l’Homme, Sagesse de Salomon II : 23 « Oui, Dieu a créé l'homme pour l'incorruptibilité, il en a fait une image de sa propre nature » , qu’il offrit en sacrifice aux humains son unique Fils engendré, pour donner une équivalence parfaite au geste de la transgression volontaire des deux premiers humains qui connaissaient la sentence, la mort, tare génétique universelle de l’humain, faisant entrer sur la Terre le « péché », la perfection humaine disparaissant à la vitesse de sa reproduction, pour preuve son sang rivière génétique de sa vie se détériorant, s’altérant.

    C’est cet humain, ingrat envers Celui qui le fit sortir du « Néant », le créant, lui « l’humain », et en remerciement, ce dernier  fit périr le Fils, de ce seul et unique « Dieu » Créateur de toutes choses, engendré dans les Cieux et sur la Terre, Jésus le Nazaréen, par la torture romaine de la crucifixion. Jean XIX : 24, « Ils se dirent donc entre eux : « Ne la déchirons pas, mais tirons au sort qui l'aura » ; afin que l'Écriture fût accomplie : Ils se sont partagé mes habits, et mon vêtement, ils l'ont tiré au sort. Voilà ce que firent les soldats. » Jean XIX : 26-30, « Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. Un vase était là, rempli de vinaigre. On mit autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « C'est achevé » et, inclinant la tête, il remit l'esprit. »  Toujours par amour pour cet « Humain », sa plus belle création de tout l’Univers, il fallait bien avoir un amour incommensurable pour cet humain qui venait de trucider son Fils unique, El-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazaréen, le ressuscite d’entre les morts après trois jours et trois nuits, soit soixante douze heures passé dans le tombeau, pour respecter les « Écritures prophétiques ». Luc XXIII : 50-53.  « Et voici un homme nommé Joseph, membre du Conseil, homme droit et juste. Celui-là n'avait pas donné son assentiment au dessein ni à l'acte des autres. Il était d'Arimathie, ville juive, et il attendait le Royaume de Dieu. Il alla trouver Pilate et réclama le corps de Jésus. Il le descendit, le roula dans un linceul et le mit dans une tombe taillée dans le roc, où personne encore n'avait été placé. » Jean XIX : 36-42 « Car cela est arrivé afin que l'Écriture fût accomplie : Pas un os ne lui sera brisé. Et une autre Écriture dit encore : Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé. Après ces événements, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par peur des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Pilate le permit. Ils vinrent donc et enlevèrent son corps. Nicodème - celui qui précédemment était venu, de nuit, trouver Jésus - vint aussi, apportant un mélange de myrrhe et d'aloès, d'environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de linges, avec les aromates, selon le mode de sépulture en usage chez les Juifs. Or il y avait un jardin au lieu où il avait été crucifié, et, dans ce jardin, un tombeau neuf, dans lequel personne n'avait encore été mis. A cause de la Préparation des Juifs, comme le tombeau était proche, c'est là qu'ils déposèrent Jésus. » Son Fils devenait ainsi le « Grand Guerrier », vainqueur des « Ténèbres », permettant ainsi à l’humain de recouvrer la vie éternelle comme cela était prévu à l’origine par EL-SHADDAÏ.

    Comme souvent je l’écris, essayez de vous plonger par l’esprit à l’époque de Jésus le Nazaréen, dans un pays occupé par les romains, qui amenèrent avec eux une multitude de dieux, en plus dans votre propre religion, il existe plusieurs courants de pensés, Esséniens, Sadducéens, Pharisiens. Ceux qui forment le Sanhédrin font partie exclusivement des sadducéens en minorité et des pharisiens, mais les deux sont corrompus avec les romains. Je viens de vous écrire l’ambiance qui existait à l’ère de Jésus.

    Dans les évangiles il est écrit « le jour des Préparations ». Le jour des Préparations est le jour de veille juste avant le jour du Sabbat. C’est ce jour où tout était préparé pour le lendemain car il était interdit de faire la cuisine, le ménage, où autres vacations féminines, comme il était interdit aux hommes de travailler. Ce jour était réservé pour la prière, la méditation, pour EL-SHADDAÏ, car EL-SHADDAÏ avait travaillé six jours pour créé l’Univers et l’humain et le septième jour il s’était reposé.

    Voilà pourquoi tout le labeur d’embaumement dura un certain temps et qu’ils déposèrent Jésus le Nazôréen dans ce tombeau neuf juste avant le début du « Sabbat », il était le Mercredi à minuit, soit zéro heure. Dans la semaine où Jésus le Nazôréen fut crucifié il y eu deux « Sabbat » ; le premier le Jeudi fut le « Sabbat » du jour de la Pâque fête juive très importante puisque commençait la semaine des pains « Azymes ».

    N’oublions pas que le jour commence, pour les hébreux, du coucher de soleil au coucher de soleil le jour suivant, et qu’à l’époque les humains considéraient le coucher de soleil à la vue, donc selon l’endroit où l’humain vivait l’heure du coucher de soleil n’était pas la même. L’horlogerie n’était pas encore inventée !

    Voulant être honnête avec vous, car comme moi, je sais qu’il y a des humains qui cherchent ne prenant pas pour argent comptant ce que j’écris, ce qui est tout à fait logique, je suis dans une impasse de chronologie. Jésus le Nazôréen est ressuscité le premier jour de la semaine, soit un Dimanche, sachant que le jour normal du « Sabbat » est un Samedi, Jean XX : 1, « Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala vient de bonne heure au tombeau, comme il faisait encore sombre, et elle aperçoit la pierre enlevée du tombeau. », Luc XXIV : 1-3 « Le premier jour de la semaine, à la pointe de l'aurore, elles allèrent à la tombe, portant les aromates qu'elles avaient préparés. Elles trouvèrent la pierre roulée de devant le tombeau, mais, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. »,  et que Jésus le Nazôréen est resté soixante douze heure dans le tombeau, soit trois jours et trois nuits. Donc il fut crucifié le mercredi, jour des « Préparations » puisque le jeudi était un grand « Sabbat », Jean XIX : 31 « Comme c'était la Préparation, les Juifs, pour éviter que les corps restent sur la croix durant le sabbat -- car ce sabbat était un grand jour -- demandèrent à Pilate qu'on leur brisât les jambes et qu'on les enlevât. » , alors si ce jour était un jour important, quel était-il ?

     La Pâque ?

    Le premier jour des « Pains sans Levain », les « Pains Azymes » ?

    La veille, c’est-à-dire le début du mercredi, la fin du mardi, entre les deux soirs Jésus le Nazôréen fête le Pâque en famille avec ses Apôtres et Disciples et leur famille. Si jeudi est le jour de Pâque alors Jésus le Nazaréen aurait du fêter le repas de la Pâque le mercredi entre les deux soirs, impossible puisqu’il ne faisait plus partie de ce monde.

    Alors, volontairement a-t-il avancé la Pâque d’un jour ?

    La bible nous dit que ce jour était un jour de « Préparations » Jean XIX : 14, « Or c'était la Préparation de la Pâque ; c'était vers la sixième heure. Il dit aux Juifs : « Voici votre roi. » » Luc XXIII : 54 « C'était le jour de la Préparation, et le sabbat commençait à poindre. » Une seule certitude le lendemain de la crucifixion était un jour de « Sabbat » ! Jean nous dit que ce « Sabbat » est celui de la Pâque. Autre certitude, le premier jour de la semaine hébraïque, le Dimanche où le jour commençait tout juste à apparaître, le tombeau était vide, ce qui nous donne la certitude de la crucifixion, soit le mercredi et pas un autre jour.

    Le temps passé dans le tombeau ?

    Là non plus il n’y a pas d’erreur puisque c’est le temps prophétique que Jonas passa dans le ventre d’un gros poisson, soit trois jours et trois nuits. Jonas II : 1, 11 « EL-SHADDAÏ  fit qu'il y eut un grand poisson pour engloutir Jonas. Jonas demeura dans les entrailles du poisson trois jours et trois nuits. EL-SHADDAÏ commanda au poisson, qui vomit Jonas sur le rivage. » Entre ces deux versets il y a toute une prière implorant El-SHADDAÏ, mais il faut reconnaître que Jonas resta dans le ventre de ce gros poisson comme dans l’abîme de l’Hadès. Si parmi vous, Lectrices et Lecteurs il y a quelqu’un qui peut me donner une réponse à ce problème je serai ravi de le lire et de vous en faire bénéficier si la réponse s’avère correcte historiquement et bien sûr que cette réponse soit en accord avec la vie de Jésus le Nazaréen ainsi que dans l’Esprit d’EL-SHADDAÏ.

    Jésus le Nazôréen est aussi « SAIN », car sur la Terre il a été un parangon et en quarante ans sur la Terre pas un seul péché n’est venu entacher sa saine vie, car il vécut parfait. L’équivalence avec Adam et Ève qui furent déposé sur la Terre parfait, était accompli par Jésus le Nazôréen par sa perfection pendant quarante ans sur la Terre.

    Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

    Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Épître aux Hébreux et Barnabé

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

    Voilà une vingtaine d’années qu’un certain Galiléen est décédé par la torture romaine de la crucifixion. Cet humain qui vécut quarante ans sur la Terre, puisque né -7 av. J-C et mort en l’an 33 de J-C, eut une vie parfaite sur la Terre, sans commettre le moindre petit péché. Ayant été façonné comme tous les humains dans un ventre féminin, préalablement rendu parfait en exemptant ce corps de la tare adamique, où le spermatozoïde d’EL-SHADDAÏ fut déposé dans l’ovule féminin par ce dernier, et la magie mystérieuse ventriculaire de la femme commença le modelage de Jésus le Nazaréen.

    Dans les Cieux il fut engendré, puisqu’il fut sculpté à l’intérieur d’EL-SHADDAÏ, dans son enveloppe qui contient le mystère de la vie, et comme Melchisédech le fut bien longtemps après quand il sortie des entrailles de Sophonim épouse de Nêr, frère de Noé, Jésus le Nazôréen au temps révolu, sortie des entrailles d’EL-SHADDAÏ comme un enfant.

    Jésus le Nazôréen, Fils unique de ce « Dieu » Très Haut, seul et unique, fut engendré dans les Cieux, puis engendré sur la Terre, Fils unique de ce « Dieu » Très Haut, EL-SHADDAÏ. Jésus le Nazôréen, ce Fils d’Homme et Fils de l’Homme, fut un parangon pour nous sur la Terre,  en nous montrant l’exemple de vie, résistant aux attaques incessantes de Sammaël, et par la prière demandait l’aide nécessaire à son Père géniteur.

    Jésus le Nazôréen, ce grand Guérisseur, de son vivant fit un nombre incalculable de disciples. Il retransmit à ses Apôtres une grande intelligence sur la compréhension des textes bibliques de l’Ancien Testament, et sur ses « Enseignements ». Son Père EL-SHADDAÏ, à la Pentecôte leur ouvrit l’Esprit leur donnant  par un « Souffle », représenté par une colombe, l’Esprit étant invisible et éphémère, une grande Intelligence, les rendant supérieurs aux humains de leur époque.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Quant à l’Épître aux « Hébreux », tous les historiens et exégètes reconnaissent que cet écrit n’est pas de Saül de Tarse, nommé Paul, mais aussi que ce n’est pas une « Épître », se serait plutôt un traité, voir plusieurs traités, et moi je dirai voir surtout de l’encouragement. Cette Missive d’origine juive et adressée pour les hébreux de Palestine, d’après des historiens et exégètes digne de foi, est postérieure à la décapitation de Jacques le Juste, le Mineur, deuxième Évêque de Jérusalem, et antérieure à la chute du Temple et de la ville de Jérusalem en l’an 70 par les romains sous l’Empereur Vespasien.

    L’auteur anonyme, veut montrer aux Judéo-Nazôréens qui traversent une période sombre la supériorité de la voie de Jésus le Nazôréen, si pénible qu’elle puisse sembler, puisque par ce dernier se dessine une « Nouvelle Alliance » qui cette fois-ci ne sera jamais rompue. En effet toutes les autres « Alliances » entre EL-SHADDAÏ et les humains furent par la faute de ce dernier mis à mal excepté l’Alliance de « l’Arc-en-Ciel » car l’humain ne peut pas agir sur celle-là, mais toutes celles où l’humain était en cause personnellement celui-ci n’a jamais respecté ses engagements.

    Avant de revenir sur la « Nouvelle Alliance », l’auteur inconnu de l’Épître aux Hébreux pourrait être le compagnon de Saül de Tarse, je cite Barnabé.

     

    Chapitre N° 28

    Barnabé et l’Épître aux Hébreux

    Originaire de Chypre, Barnabé a pu bénéficier d’une vaste culture alexandrine, car l’on sait, en effet, que l’île de Chypre vivait depuis des siècles dans la sphère culturelle, sinon politique, d’Alexandrie et plus généralement bien avant la construction du port et de la cité, sous protectorat de l’Égypte.

    En tant que lévite, Barnabé avait dû s’intéresser aux aspects liturgiques, cultuels, du judaïsme, ce qui présente la candidature de Barnabé sous les meilleurs auspices comme auteur de l’Épître aux Hébreux.

    De plus il jouissait d’une haute réputation dans « l’Église » soit « Assemblée » primitive. Il a introduit lui-même Saül de Tarse, qui prit le nom plus connu de Paul, dans le cercle des Apôtres. Ce fut le compagnon de Paul dans les premières missions. Si un différent l’opposa au Disciple Paul, cet incident ne doit pas être exagéré. En effet, Marc l’objet du litige, qui avait en premier suivi son cousin Barnabé, redeviendra disciple de Paul, qui en parle avec les plus grands éloges.

    II Timothée IV : 11

    « Seul Luc est avec moi. Prends Marc et amène-le avec toi, car il m'est précieux pour le ministère. »

    Philémon I : 23-24

    « Tu as les salutations d'Épaphras, mon compagnon de captivité dans le Christ Jésus, ainsi que de Marc, Aristarque, Démas et Luc, mes collaborateurs. »

    Aux Colossiens IV : 10

    « Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, le cousin de Barnabé, au sujet duquel vous avez reçu des instructions : s'il vient chez vous, faites-lui bon accueil. » 

    Marc au sujet duquel vous avez reçu des instructions est une curieuse remarque qui témoigne d’une carrière mouvementée. Jean, surnommé Marc, avait probablement été disciple ou du moins sympathisant, au temps de l’évangile ; il vécut ensuite dans l’ombre de Pierre – Les Actes des Apôtres XII : 12, « Et s'étant reconnu, il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où une assemblée assez nombreuse s'était réunie et priait. » -- jusqu’au jour où son cousin Barnabé l’entraîna dans le sillage de Paul. – Les Actes des Apôtres XII : 25, « Quant à Barnabé et Saul, après avoir accompli leur ministère à Jérusalem, ils revinrent, ramenant avec eux Jean, surnommé Marc. », Les Actes des Apôtres XIII : 5-7, « Arrivés à Salamine, ils se mirent à annoncer la parole d’EL-SHADDAÏ dans les synagogues des Juifs. Ils avaient avec eux Jean comme auxiliaire.

    Ayant traversé toute l'île jusqu'à Paphos, ils trouvèrent là un magicien, faux prophète juif, nommé Bar-Jésus, qui était de l'entourage du proconsul Sergius Paulus, homme avisé. Ce dernier fit appeler Barnabé et Saul, désireux d'entendre la parole d’EL-SHADDAÏ. » -- Dès la première mission, Jean quitta le service de Paul, Saül de Tarse – Les Actes des Apôtres XIII : 13, « De Paphos, où ils s'embarquèrent, Paul et ses compagnons gagnèrent Pergé, en Pamphylie. Mais Jean les quitta pour retourner à Jérusalem. » -- ; ce qui causa une brouille entre Paul et Barnabé. – Les Actes des Apôtres XV : 37-40, « Mais Barnabé voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc ; Paul, lui, n'était pas d'avis d'emmener celui qui les avait abandonnés en Pamphylie et n'avait pas été à l'œuvre avec eux.

    On s'échauffa, et l'on finit par se séparer. Barnabé prit Marc avec lui et s'embarqua pour Chypre.

    De son côté, Paul fit choix de Silas et partit, après avoir été confié par les frères à la grâce d’EL-SHADDAÏ. » --Au moment où Paul écrit aux Colossiens, Marc est de nouveau dans le sillage de Paul, mais d’assez fraîche date, sans doute, puisqu’on vient de « donner des ordres à son sujet », voir l’épître aux Colossiens ci-dessus IV :10. Cette nouvelle alliance durera jusqu’à la deuxième captivité, pendant laquelle Saül de Tarse, du moins, réclamera les services de Marc dans la deuxième Lettre à Timothée IV : 11 ; mais Marc aura peut-être déjà rejoint Pierre, son premier maître, son père spirituel – I Pierre V : 13, « Celle qui est à Babylone, élue comme vous, vous salue, ainsi que Marc, mon fils. » -- à l’ombre de qui il écrira l’évangile.

    Pour confirmer que Barnabé soit peut-être l’auteur de l’Épître aux Hébreux, fait que sa présence dans la cité de Rome fut signalée par les « Recognitiones » pseudo-clémentines et les « Actus Petri cum Simone ». Ces romans ont pu conserver un souvenir historique.

    On sait que l’Église d’Occident a longtemps hésité avant d’admettre cette épître comme paulinienne. Tertullien au début du IIIème siècle l’attribuait formellement à Barnabé. Le portrait psychologique que l’auteur trace de lui-même dans l’Épître aux Hébreux au treizième chapitre, versets dix-huit à dix-neuf, correspond exactement aux éloges de Barnabé que l’on trouve dans Les Actes des Apôtres, spécialement en XI : 22-26, -- « La nouvelle en vint aux oreilles de l'Église de Jérusalem, et l'on députa Barnabé à Antioche.

    Lorsqu'il arriva et qu'il vit la grâce accordée par EL-SHADDAÏ, il s'en réjouit et les encouragea tous à demeurer, d'un cœur ferme, fidèles au Seigneur ; car c'était un homme de bien, rempli d’un Esprit SAIN  -- de l'Esprit Saint -- et de foi. Une foule considérable s'adjoignit ainsi au Seigneur.

    Barnabé partit alors chercher Saul à Tarse.

    L'ayant trouvé, il l'amena à Antioche. Toute une année durant ils vécurent ensemble dans l'Église et y instruisirent une foule considérable. » -- Déjà il « encourageait » les disciples.

    Parenthèse : Dans les versets ci-dessus je ne vous ai pas mis la fin du verset qui est un ajout du IVème siècle quand le terme « chrétien » était entré dans le langage courant. Il est juste de dire que le vocable « chrétien » fut employé la première fois à Antioche par Ignace vers l’an 110-115, puis par Polycarpe de Smyrne, mais il faudra attendre un siècle avant qu’il ne soit de nouveau employé en premier à Antioche, puis en Asie Mineur et Palestine, pour finir en Italie à Rome.

    En plus au verset vingt-quatre à l’origine il est écrit « rempli de l’Esprit Saint » comme à chaque fois il s’agit de vénération, d’adoration alors que, comme je l’ai écrit « rempli d’un Esprit SAIN et de foi » le sens de la phrase change complètement et cela ce n’est pas la première fois que je vous le fais constater car EL-SHADDAÏ offre un « Esprit, un souffle d’intelligence » propre, pur, limpide, parfait, et la vénération est pour ce Dieu seul et unique, car jamais, oui j’écris bien jamais EL-SHADDAÏ donne un « Esprit Saint » qui est un Esprit d’adoration, de glorification !

    Fermons la Parenthèse et reprenons le cours avec Barnabé

    N’oublions pas que les toutes premières « Assemblées » étaient juives, observant la circoncision ainsi que les « Lois de Moïse », ce qui, entre parenthèse est complètement faux puisque c’était les « Lois » qu’EL-SHADDAÏ avait dictée à Moïse sur le Mont Sinaï après la sortie d’Égypte, les hébreux respectant la Loi Noachides, ou Loi de Jacob pendant les quatre siècles qu’ils vécurent en pays d’Égypte. Les tous premiers adeptes de « la Voie de Jésus le Nazôréen » en prenant le baptême de Jean le Baptiste, s’engageaient à respecter « six cent treize commandements ». Un véritable capharnaüm qu’aucun judaïsant ne pouvait respecter !

    Cette « Assemblée » composé d’hommes, de femmes, d’enfants en bas âge, mais aussi de ceux qui arrivaient à l’âge de raison, de vieillards, tous de milieux différents, mettaient leurs biens personnels au service de la communauté ce qui faisait qu’il n’y avait pas de « pauvres » au sens que nous le comprenions aujourd’hui, mais il n’y avait pas de « riches » non plus.

    L’Épître aux Hébreux aux chapitre treize fait penser à la générosité spontané de Barnabé mise en évidence dans les Actes des Apôtres IV : 36-37, « Joseph, surnommé par les apôtres Barnabé ce qui veut dire « Fils d'Encouragement », lévite originaire de Chypre, possédait un champ ; il le vendit, apporta l'argent et le déposa aux pieds des apôtres. », qui recommande de mettre toutes les ressources en commun – Hébreux XIII : 15-16, « Par lui, offrons à EL-SHADDAÏ un sacrifice de louange en tout temps, c'est-à-dire le fruit des lèvres qui confessent son Nom.

    Quant à la bienfaisance et à la mise en commun des ressources, ne les oubliez pas, car c'est à de tels sacrifices qu’EL-SHADDAÏ prend plaisir. » Toute l’Épître aux Hébreux se présente comme un « discours d’encouragement » et renferme d’innombrables exhortations.

    Épitre aux hébreux XIII : 22

    « Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles d'exhortation : aussi bien vous ai-je écrit brièvement. »

    Une chose est presque certaine, cette « Épitre » fut écrite ou envoyée d’Italie et s’adresse à la communauté d’Antioche de Syrie, particulièrement aux hébreux hellénistes que Barnabé s’apprêtait à rejoindre. Il faut dire que dans cette cité, comme dans l’île de Chypre, cet « apôtre », disons plutôt ce « Disciple de Jésus le Nazaréen » jouissait d’un immense prestige, sans pour autant avoir une autorité proprement dite car il se recommandait des Évêques, Presbytres, Anciens des différentes « Assemblées » et « Communautés. »

    Par contre dans cette Épître aux Hébreux il y a ce conseil à la fin, qui sera repris par les Pères Apostoliques, comme Ignace d’Antioche de Syrie ou Polycarpe de Smyrne, qui stipule en XIII : 17, « Obéissez à vos chefs et soyez-leur dociles, car ils veillent sur vos âmes, comme devant en rendre compte ; afin qu'ils le fassent avec joie et non en gémissant, ce qui vous serait dommageable », que les « chefs » des « Assemblées » étaient à cette époque des « Serviteurs » dans le sens réel du terme qui portaient le nom d’Évêque, Presbytre, Ancien, voire vers la fin du premier, début du deuxième siècle, Diacre, Prophétesse même, responsables qui étaient au service de leurs semblables.

    Un petit rappel, comme souvent je l’écris, je remplace ce nom vulgaire de « Dieu » par le nom qu’Abraham lui avait donné et qui est écrit sept fois dans le Livre de la « Genèse » de l’Ancien Testament, soit le seul nom authentique et véritable qu’il nous reste, soit le nom « d’EL-SHADDAÏ ». Pour le nom de son Fils unique engendré, Emmanuel dans les cieux, que les humains nomment « Jésus-Christ », je le nomme comme il est dit dans les Écritures de l’Ancien Testament en :

    Matthieu II : 22-23,

    « Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplisse l'oracle des prophètes :

    Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

    Donc, je le nomme « Jésus le Nazôréen, Jésus le Nazaréen », et, comme je vous l’ai écrit antérieurement le terme grec « christos » qui signifie « Envoyé, Messie, Oint », fut détourné de son origine par la langue latine qui imposa une majuscule au mot « christos faussé en « Christ » » et qui avait la définition de « Crux, Croix en langue française ». Voilà pourquoi au premier et deuxième siècle le vocable « Christ » n’était pas employé, ce qui fait, que pour rester dans la vérité j’emploie le nom de « Jésus le Nazôréen, Nazaréen » en remplacement de « Jésus-Christ », tout comme l’expression « Christ » sera pour demeurer dans un contexte de vérité remplacé par les mots « Messie, Oint, Nazôréen, Nazaréen. » Mes explications étant terminés continuons, pour moi l’écriture, pour vous la lecture sur la qualité des premiers enseignants dans les « Assemblées nommées aussi Églises ».

    Autres choses encore, quand dans certaines Épîtres pauliniennes et les Lettres canoniques des Apôtres et Disciples ainsi que les Lettres des premiers « Pères Apostoliques » la traduction grecque veut que le terme hébreux « YHWH », ainsi que le Nom « YAHVÉ » soit remplacé par le vocable « Seigneur », ce qui bien entendu met le trouble aux lectrices et lecteurs respectueux des « Écrits » car Jésus le Nazôréen est lui aussi appelé « Seigneur », pour éviter cette confusion, je remplace le mot « Seigneur » quand il signifie « Dieu » pour les Chrétiens, et YHWH ainsi que Yahvé pour les Hébreux, Juifs en français, par EL-SHADDAÏ.

      Ignace d’Antioche aux Éphésiens I : 3, II : 1, III : 2, IV : 1 –

    3. C'est donc bien toute votre communauté que j'ai reçue au nom d’EL-SHADDAÏ, en Onésime, homme d'une indicible charité, votre évêque selon la chair. Je souhaite que vous l'aimiez en Jésus-Christ, et que tous vous lui soyez semblables. Béni soit celui qui vous a fait la grâce, à vous qui en étiez dignes, d'avoir un tel évêque.

    Il, 1. Pour Burrhus, mon compagnon de service, votre diacre selon EL-SHADDAÏ, béni en toutes choses, je souhaite qu'il reste près de moi pour faire honneur à vous et à votre évêque. Quant à Crocus, digne d’EL-SHADDAÏ et de vous, que j'ai reçu comme un exemplaire de votre charité, il a été pour moi un réconfort en toutes choses : puisse le Père de Jésus le Nazôréen le réconforter lui aussi avec Onésime, et Burrhus, et Euplous et Fronton ; en eux c'est vous tous que j'ai vus selon la charité.

    2. Mais puisque la charité ne me permet pas de me taire à votre sujet, c'est pour cela que j'ai pris les devants pour vous exhorter à marcher d'accord avec la pensée d’EL-SHADDAÏ. Car Jésus le Nazôréen, notre vie inséparable, est la pensée du Père, comme aussi les évêques, établis jusqu'aux extrémités de la terre, sont dans la pensée de Jésus le Nazaréen.

    IV, 1. Aussi convient-il de marcher d'accord avec la pensée de votre évêque, ce que d'ailleurs vous faites. Votre presbyterium justement réputé, digne d’EL-SHADDAÏ, est accordé à l'évêque comme les cordes à la cithare.

    Et maintenant la « Lettre » de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens V : 1-2, VI : 1-2.

    V, 1. Sachant donc que « l'on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ » Galates VI : 7-8, « Ne vous y trompez pas ; on ne se moque pas d’EL-SHADDAÏ. Car ce que l'on sème, on le récolte : qui sème dans sa chair, récoltera de la chair la corruption ; qui sème dans l'esprit, récoltera de l'esprit la vie éternelle. », nous devons marcher d'une façon digne de ses commandements et de sa gloire.

    2. De même, que les diacres soient sans reproche devant sa justice: ils sont les serviteurs d’EL-SHADDAÏ et du Messie, et non des hommes : ni calomnie, ni duplicité, ni amour de l'argent ; qu'ils soient chastes en toutes choses, compatissants, zélés, marchant selon la vérité du Seigneur qui s'est fait le serviteur de tous. Si nous lui sommes agréables en ce temps présent, il nous donnera en échange le temps à venir, puisqu'il nous a promis de nous ressusciter d'entre les morts, et que, si notre conduite est digne de lui, « nous régnerons nous aussi avec lui » 2 Timothée II : 12, « Si nous tenons ferme, avec lui nous régnerons. Si nous le renions, lui aussi nous reniera », si du moins nous avons la foi.

    1. Les presbytres, eux aussi, doivent être compatissants, miséricordieux envers tous ; qu’ils ramènent les égarés, qu’ils visitent tous les malades, sans négliger la veuve, l’orphelin, le pauvre ; mais qu’ils ne croient pas trop vite du mal de quelqu’un et qu’ils ne soient pas raides dans leurs jugements, sachant que nous sommes tous débiteurs du péché.

     2. Si donc nous prions EL-SHADDAÏ de nous pardonner, nous devons nous aussi pardonner. 

    Vous venez de lire le style de « Lettre » des « Disciples » des Apôtres, qui seront nommés « Pères Apostoliques ». Je vous fais constater que dans leurs Écrits ils mettent le Père géniteur de Jésus le Nazôréen en premier le considérant comme le seul et unique « Dieu », puisqu’ils conseillent que les évêques et les diacres soient par leur comportement des parangons tout comme Jésus le Nazaréen là été sur la Terre, et en plus qu’ils soient soumis aux enseignements de Jésus le Nazôréen, comme ce dernier fut soumis à son Père EL-SHADDAÏ.

    Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

    Portez-vous bien !

    Cordiales salutations à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Paul et les femmes

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Dans ce chapitre il est question de la femme. Saül de Tarse comme Timothée ont une tendance masochiste au sujet de la femme. L’homme rend responsable la femme du premier péché qui amena la « Mort » sur la Terre, simplement que celui-ci était libre de son choix et c’est bien volontairement qu’il suivit sa femme dans le péché. Un dicton populaire dit : « L’homme propose, la femme dispose ! ». Une chose est certaine, pour EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, Créateur de l’homme et de la femme, jamais la femme ne sera égale à l’homme. Ils sont complémentaires l’un, l’autre, car chacun a besoin de l’autre voilà pourquoi ils ne font qu’un. L’homme doit subvenir aux besoins de sa femme, et cette dernière doit-être soumise à l’homme. Honte à l’homme qui fait les travaux de la femme, honte à la femme qui fait des travaux d’homme abandonnant son intérieur, sa maisonnée. Si EL-SHADDAÏ fit ses deux êtres semblables et tellement différent c’est pour une raison. Alors que chacun de nous garde sa place et le bonheur règne dans la maison, et nous sommes en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen. Lire Siracide XXVI.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Dix ans après le décès de Saül de Tarse que reste-t-il de ses Épitres ? Ces Épîtres ont du être recopiées une multitude fois et la falsification à fait son œuvre car certains copistes ont retranché, ajouté, transformé les mots, le sens d’une phrase.

    Suite à ce que je viens d’écrire Paul considérait Jésus le Nazaréen comme une divinité :

    Épître aux Colossiens II : 9-10

    Car en lui habite corporellement toute la Plénitude de la Divinité, et vous vous trouvez en lui associés à sa plénitude, lui qui est la Tête de toute Principauté et de toute Puissance.

    Épître aux Colossiens I : 18-20

    Et il est aussi la Tête du Corps, c'est-à-dire de l'Église : Il est le Principe, Premier-né d'entre les morts, il fallait qu'il obtînt en tout la primauté, car EL-SHADDAÏ s'est plu à faire habiter en lui toute la Plénitude et par lui à réconcilier tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix.

    Dans un chapitre précédent, je me souviens vous avoir écrit que Jésus le Nazôréen après avoir passé trois jours et trois nuits dans le tombeau de Joseph d’Arimathie, soit exactement soixante-douze heures, son Père EL-SHADDAÏ le ressuscita d’entre les morts. Jésus le Nazôréen est parti voir sa Mère, Marie, lui interdisant de la toucher car il n’était pas encore monté aux Cieux recevoir son investiture par son Père, en tant que Roi dans les Cieux, et je vous avais même écrit qu’il ne pouvait recevoir son intronisation terrestre car, pour le moment, c’est Sammaël qui est Prince du Royaume terrestre et de ses environs pour un « Temps » défini par l’Être Suprême. Je vous avais même dit que si Jésus le Nazôréen aurait reçu son investiture la Terre n’aurait pas la gestion catastrophique qu’elle a aujourd’hui.

    Ci-dessus je parlais de falsification et bien en voici la preuve avec cet ajout : « en faisant la paix par le sang de sa croix. » qui ne veut absolument rien dire dans cette phrase, constatez par vous-mêmes !

    Autre chose à l’ère ou cette Épître fut écrite, même à une époque tardive soit dans les années soixante-dix, quatre-vingt par un auteur inconnu, une « Église » était le nom donné aux « Assemblées » de la secte Judéo-Nazaréenne nommé aussi « Mouvance de Jésus le Nazôréen », « Messianiste de Jésus le Nazaréen ». Jésus le Nazaréen de son vivant ignorait complètement le développement dans le monde se son message sur le Royaume à venir de son Père sur la Terre. Là aussi l’on s’aperçoit de ce rajout « c’est-à-dire de l’Église » dans le verset 18 du premier chapitre de cette épître aux Colossiens.

     

    Chapitre N° 27

     

    Paul et les femmes

     

    Il semble que, chez Saül de Tarse, cette notion de « plénitude » participe de deux traditions : l’une, d’inspiration biblique, que nous montre EL-SHADDAÏ remplissant l’univers par le rayonnement de sa gloire, Isaïe VI : 3, Ils se criaient l'un à l'autre ces paroles : « Saint, saint, saint est EL-SHADDAÏ Sabaot, sa gloire emplit toute la terre. », Psaumes LXXII : 19, béni soit à jamais son nom de gloire, toute la terre soit remplie de sa gloire! Amen! Amen!, par l’ubiquité de sa présence, Jérémie XXIII : 24, Un homme peut-il se terrer dans des lieux cachés sans que je le voie? Oracle d’EL-SHADDAÏ ! Est-ce que le ciel et la terre je ne les remplis pas? Oracle d’EL-SHADDAÏ., par son comportement de propriétaire, Psaumes XXIV : 1, Psaume. De David. A EL-SHADDAÏ la terre et sa plénitude, le monde et tout son peuplement; Psaumes L : 12, Si j'ai faim, je n'irai pas te le dire, car le monde est à moi et son contenu.-,  l’autre, d’inspiration gréco-romaine, imagine un dieu-univers dépensant en lui-même son énergie divine. Ainsi s’expliquerait que le Messie, récapitulant tout en lui, Épître aux Éphésiens I : 9-10, Il nous a fait connaître le mystère de sa volonté, ce dessein bienveillant qu'Il avait formé en lui par avance, pour le réaliser quand les temps seraient accomplis : ramener toutes choses sous un seul Chef, le Messie, les êtres célestes comme les terrestres. , soit, d’un autre point de vue, la tête du reste, Épître aux Colossiens I : 17, Il est avant toutes choses et tout subsiste en lui. , Épître aux Colossiens II : 18-19, Que personne n'aille vous en frustrer, en se complaisant dans d'humbles pratiques, dans un culte des anges : celui-là donne toute son attention aux choses qu'il a vues, bouffi qu'il est d'un vain orgueil par sa pensée charnelle, et il ne s'attache pas à la Tête, dont le Corps tout entier reçoit nourriture et cohésion, par les jointures et ligaments, pour réaliser sa croissance en EL-SHADDAÏ.

    Dans cette Épître aux Éphésiens j’ai relevé deux choses : la première est qu’il faut changer le mot « Christ » qui n’existait pas à l’époque de la rédaction en « Jésus le Nazaréen » ou encore « Jésus le Fils d’EL-SHADDAÏ », et en second Paul nous fait sous entendre que la « Royauté » des Cieux et de la Terre n’est pas encore faite car il écrit « quand les temps seraient accomplis » pour que les deux, Cieux et Terre, soit réunis sous un même Roi.

    Voici encore avec les écrits pauliniens comment une simple lettre vous change complètement le sens d’une phrase. Ci-dessous je vous pose deux versets bibliques. Avant de me lire, lisez attentivement ces versets

    Épître aux Éphésiens I : 13-14

    C'est en lui que vous aussi, après avoir entendu la Parole de vérité, l'Évangile de votre salut, et y avoir cru, vous avez été marqués d'un sceau par l'Esprit de la Promesse, cet Esprit Saint qui constitue les arrhes de notre héritage, et prépare la rédemption du Peuple qu’EL-SHADDAÏ s'est acquis, pour la louange de sa gloire.

    Comme souvent dans les textes bibliques il est question de « l’Esprit », comme ici l’Esprit de Promesse. « C’est en lui », C’est en Jésus le Nazôréen que vous aussi …. Donc après avoir entendu des « Paroles de vérité » qui vous ont marqué au cœur, l’humain est marqué comme un sceau, comme la circoncision, comme une marque au fer rouge, non seulement au cœur mais aussi spirituellement et là c’est fini puisque cette marque devient une marque de vénération, d’adoration, alors que l’écriture devrait être ainsi « vous avez été marqués d'un sceau par l'Esprit de la Promesse, cet Esprit SAIN ».

    Je n’ai plus rien à écrire « saint et SAIN » sont vraiment à l’opposé. La phrase avec saint, et la phrase avec SAIN deux pensés différentes. L’un vénère, adore glorifie, l’autre est propre, pur, limpide, transparent, parfait, purifié, inaltéré, angélique.

    Sur l’importance de Paul dans la propagation du message christique en dehors du judaïsme, il faut là aussi nuancer et ne pas oublier que Jésus le Nazôréen et les premiers disciples étaient originaires de Galilée, une région où se côtoyaient Hébreux et non-Juifs comme le rappelle Marie-Françoise Baslez, historienne française, professeur d’histoire grecque à l’université de Paris IV-Sorbonne. Elle s’applique notamment à l’analyse des relations entre hellénisme et judaïsme, depuis la traduction de la Septante jusqu’à l’émergence du christianisme.

    « Terre de contacts, la Galilée était aussi à l’époque de Jésus, une terre de contrastes et d’antagonismes. Dans la prédication apostolique qui s’adressa, au-delà des Juifs, à la terre entière, l’insistance sur l’enracinement galiléen permit d’affirmer d’emblée la perspective universaliste d’une religion dont le fondateur n’était presque jamais sorti de Palestine. On comprend mieux aussi la vocation des Apôtres. »

    Dans la « Voie prônée par Jésus le Nazaréen » les femmes avaient une certaine notoriété dans l’Évangélisation des communautés féminines bien entendu, mais aussi dans le milieu masculin. Marie, la mère de Jésus le Nazôréen, était réputée pour être une grande prophétesse. Saül de Tarse devant la gente féminine était un véritable « macho », ce qui lui porta d’énormes préjudice.

    Aussi, ses propos concernant les femmes lui ont été vivement reprochés et ont été opposés à la sollicitude que Jésus le Nazaréen a manifestée à leur égard. Ils doivent cependant être contextualisés et ne pas occulter qu’il s’agit de rappels à l’ordre témoignant justement que les femmes avaient une participation active au sein des premières communautés de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen ».

    Pour Saül de Tarse, le statut compte moins que la fraternité dans les relations sociales, comme entre maîtres et esclaves I Corinthiens VII : 21-23

    Étais-tu esclave, lors de ton appel ? Ne t'en soucie pas. Et même si tu peux devenir libre, mets plutôt à profit ta condition d'esclave.

    Car celui qui était esclave lors de son appel dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; pareillement celui qui était libre lors de son appel est un esclave du Messie.

    Vous avez été bel et bien achetés ! Ne vous rendez pas esclaves des hommes.

    De même l'autorité étatique doit être acceptée si elle s'exerce avec justice.

    Saül de Tarse devait avoir un problème avec la gente féminine déjà dans son Épître aux Corinthiens XI : 3-16

    « Je veux cependant que vous le sachiez : le chef de tout homme, c'est le Jésus ; le chef de la femme, c'est l'homme ; et le chef de Jésus le Nazôréen, c'est EL-SHADDAÏ.

    Tout homme qui prie ou prophétise le chef couvert fait affront à son chef.

    Toute femme qui prie ou prophétise le chef découvert fait affront à son chef ; c'est exactement comme si elle était tondue.

    Si donc une femme ne met pas de voile, alors, qu'elle se coupe les cheveux ! Mais si c'est une honte pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou tondus, qu'elle mette un voile.

    L'homme, lui, ne doit pas se couvrir la tête, parce qu'il est l'image et la gloire d’EL-SHADDAÏ ; quant à la femme, elle est la gloire de l'homme.

    Ce n'est pas l'homme en effet qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ; et ce n'est pas l'homme, bien sûr, qui a été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme.

    Voilà pourquoi la femme doit avoir sur la tête un signe de sujétion, à cause des anges.

    Aussi bien, dans le Seigneur, ni la femme ne va sans l'homme, ni l'homme sans la femme ; car, de même que la femme a été tirée de l'homme, ainsi l'homme naît par la femme, et tout vient d’EL-SHADDAÏ.

    Jugez-en par vous-mêmes. Est-il convenable que la femme prie EL-SHADDAÏ la tête découverte ?

    La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter les cheveux longs, tandis que c'est une gloire pour la femme de les porter ainsi ? Car la chevelure lui a été donnée en guise de voile.

    Au reste, si quelqu'un se plaît à ergoter, tel n'est pas notre usage, ni celui des Églises d’EL-SHADDAÏ. »

    Avant de poser la contradiction des écrits de Paul, voyons la suite des textes de Saül de Tarse sur la femme toujours dans cette Épître aux Corinthiens XIV : 32-35

    « Les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes ; car EL-SHADDAÏ n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix. Comme dans toutes les Églises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis de prendre la parole ; qu'elles se tiennent dans la soumission, selon que la Loi même le dit. Si elles veulent s'instruire sur quelque point, qu'elles interrogent leur mari à la maison ; car il est inconvenant pour une femme de parler dans une assemblée. »

    Saül de Tarse dans ses Épîtres  considère les humains des « Assemblées » ou « Églises » de la « Mouvance de Jésus le Nazôréen » comme des « Saints » ce qui est une grave erreur, car cette façon de nommé les humains baptisés dans « la Voie de Jésus le Nazôréen » des « Saints » va quelques décennies plus tard, soit environ deux siècles, faire des Évêques de ses « Églises » ou « Assemblées » des « Saints » que les humains vont commencer à vénérer, adorer, glorifier, gardant précieusement leurs reliques comme objet de culte, début de l’idolâtrie.

    Merci Monsieur le Disciple Saül de Tarse, nommé Paul d’avoir insidieusement fait entrer « le ver dans le fruit », c’est-à-dire d’avoir dirigé les humains vers l’idolâtrie ! … Si seulement vous n’aviez pas appelé vos semblables imparfaits des « Saints » ? « Comme dans toutes les Églises des saints, que … ».

    Que de contradictions au sujet de la femme sachant que le Disciple Philippe, helléniste, compagnon d’Étienne et des cinq autres qui étaient avec eux au « Service de Table », surnommé l’évangéliste, avait quatre filles qui étaient prophétesses dans les synagogues.

    Les Actes des Apôtres XXI : 7-9

    « Après avoir salué les frères et être restés un jour avec eux, nous repartîmes le lendemain pour gagner Césarée. Descendus chez Philippe l'évangéliste, qui était un des Sept, nous demeurâmes chez lui.

    Il avait quatre filles vierges qui prophétisaient. »

    Ces femmes enseignaient aussi bien les hommes que les femmes et cela avec l’aval d’EL-SHADDAÏ puisque c’est Lui qui leur donna l’Esprit de prophétiser.

    I Timothée II : 5-12Comme écrit dans les chapitres précédents les Lettres ou Épîtres à Timothée I et II ainsi que l’Épître à Tite sont des écrits pauliniens dit « Pastorales » car écrit quelques décennies après la mort de Saül de Tarse. L’écriture est-elle vraiment de Timothée et de Tite où d’un auteur inconnu ? Une chose est certaine le masochiste de Paul vis à vis des femmes ce répercute dans cette première Épître en oubliant qu’il y a eu après la mort de Jésus le Nazôréen de grandes « Prophétesses » dans ce premier siècle, en dehors des quatre filles de Philippe nous pouvons citer la Mère de Jésus le Nazôréen, qui enseignait dans les synagogues d’Éphèse accompagné de Jean, l’Apôtre que son fils aimait bien et dans l’Ancien Testament Houldah et Débora.

    « Car EL-SHADDAÏ est unique, unique aussi le médiateur entre EL-SHADDAÏ et les hommes, le Messie Jésus, homme lui-même, qui s'est livré en rançon pour tous. Tel est le témoignage rendu aux temps marqués et dont j'ai été établi, moi, héraut et apôtre - je dis vrai, je ne mens pas -, docteur des païens, dans la foi et la vérité.

    Ainsi donc je veux que les hommes prient en tout lieu, élevant vers le ciel des mains pieuses, sans colère ni dispute.

    Que les femmes, de même, aient une tenue décente ; que leur parure, modeste et réservée, ne soit pas faite de cheveux tressés, d'or, de pierreries, de somptueuses toilettes, mais bien plutôt de bonnes œuvres, ainsi qu'il convient à des femmes qui font profession de piété.

    Pendant l'instruction, la femme doit garder le silence, en toute soumission.

    Je ne permets pas à la femme d'enseigner ni de faire la loi à l'homme. Qu'elle garde le silence. »

    Encore une fois l’auteur ce dit d’être l’héraut d’El-Shaddaï et de son fils, et par là même en profite pour se donner le titre d’apôtre alors que l’humilité aurait dû le placer « Disciple de Jésus le Nazôréen »

    Ces deux Épîtres à Timothée plus celle de Tite sont dit des écrits « Pastorales » car écrit pour le « troupeau », soit la communauté au sens large, ils sont dit aussi pseudépigraphes qui signifie que l’auteur a pris un nom d’emprunt.

    Saül de Tarse fit l’évangélisation d’une grande partie de l’Asie Mineur, mais aussi de la Grèce, Macédoine, Rome bien entendu, annonçant la « bonne nouvelle » avec son cœur. En effet il  écrivit ceci comme enseignement aux Corinthiens dans sa première Épître.

    I Corinthiens XIII : 1-3

    « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert de rien. »

    Paul dans son Épître aux Corinthiens  XI : 3-16,  et l’auteur de I Timothée 5-12 écrivent sur la parure de la femme, sur ses toilettes, et sur son vocabulaire, tout cela non avec amour, mais plutôt dans un sens masochiste, autoritaire. Simplement que, comme les « Grands Prêtres » babyloniens qui officiaient dans leur Temple respectif, selon le Dieu qu’ils vénéraient, gente mâle qui portaient la « Robe », tout comme les « Grands Prêtres » du Judaïsme qui célébraient les offices du Temple, ces « Évêques » du troisième et quatrième siècle, se mirent à porter la « Robe » paré de fil d’or, de pourpre et de pierreries avec en main une crosse sculptée enchâssée de pierreries, avec comme coiffe une mitre toute aussi décorée, faisant voire au petit peuple le rang social qu’ils avaient et de part là même le droit de l’enseignement religieux, exactement comme les femmes de l’ère de Saül de Tarse, étaient considérées par ce dernier dans les « Assemblées » ou « Églises ».

    Quant à l’Épître aux « Hébreux », tous les historiens et exégètes reconnaissent que cet écrit n’est pas de Saül de Tarse, nommé Paul, mais aussi que ce n’est pas une « Épître », se serait plutôt un traité, voir plusieurs traités, et moi je dirai voir surtout de l’encouragement. Cette Missive d’origine juive et adressée pour les hébreux de Palestine, d’après des historiens et exégètes digne de foi, est postérieure à la décapitation de Jacques le Juste, le Mineur, deuxième Évêque de Jérusalem, et antérieure à la chute du Temple et de la ville de Jérusalem en l’an 70 par les romains sous l’Empereur Vespasien.

    L’auteur anonyme, veut montrer aux Judéo-Nazôréens qui traversent une période sombre la supériorité de la voie de Jésus le Nazôréen, si pénible qu’elle puisse sembler, puisque par ce dernier se dessine une « Nouvelle Alliance » qui cette fois-ci ne sera jamais rompue. En effet toutes les autres « Alliances » entre EL-SHADDAÏ et les humains furent par la faute de ce dernier mis à mal excepté l’Alliance de « l’Arc-en-Ciel » car l’humain ne peut pas agir sur celle-là, mais toutes celles où l’humain était en cause personnellement celui-ci n’a jamais respecté ses engagements.

    Avant de revenir sur la « Nouvelle Alliance », l’auteur inconnu de l’Épître aux Hébreux pourrait être le compagnon de Saül de Tarse, je cite Barnabé.

    Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

    Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à « Tous » !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

     


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