• Crucifix objet d’adoration par les Humains !

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Le crucifix objet de dévotion, inconnu à l’ère de Paul, car les premiers humains de la mouvance de Jésus le Nazôréen faisait attention à tout ce qui pourrait devenir idolâtre. Pendant un siècle et demi, soit cent cinquante ans ce mouvement de Jésus le Nazôréen essaya de rester pur et les humains qui avaient des responsabilités due à la force de leur foi et de leur connaissance restaient humble, c’est l’ère des « Pères Apostoliques ».

    Comme ces premiers humains qui suivent l’enseignement de Jésus le Nazôréen, par mes écrits je tente de vous guider vers ce Dieu seul et unique, Père de Jésus le Nazaréen au sens propre du mot, puisque, Jésus fut engendré, tandis que nous « Humain », nous fûmes créé, sortie « tout droit d’un cerveau », donc inventé, mais quelle invention cette machine « Humaine », il n’y a pas plus beau et plus complexe dans tout l’Univers !...

    N’oublions jamais, nous sommes façonnés à l’image, au reflet, à la ressemblance de notre Créateur et de son enfant dans les Cieux, voilà pourquoi EL-SHADDAÏ dit « faisons », mais son fils engendré n’est pas là, tout comme le premier incorporel façonné, mais des chefs des Anges sont là, comme témoin tel que Michel, Gabriel, Ouriel, Vevriel, Raphael, etc, voilà pourquoi nous possédons un cerveau ordinateur magnifique qui commande toutes les actions de vie automatisé comme les poumons, cœur, foie, éjection des excréments, comme les animaux, bêtes et bestioles, mais en plus pour nous différencier, comme notre créateur nous possédons un « Esprit » qui loge dans le cerveau et qui fonctionne avec le cœur, car notre « Créateur » lui aussi possède un cœur siège des sentiments.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    Ceci est la version de Luc qui accuse les Juifs du complot. Paul, de son côté, croit que ce sont les autorités civiles qui en veulent à sa vie : « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas IV faisait garder la ville pour m'arrêter et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j’échappai à ses mains. » (II Corinthiens XI : 32)

    Cette conspiration contre Paul est probablement orchestrée par les deux groupes, c’est à dire par les Juifs avec l’appui des autorités de la ville.

    À partir d’une maison qui appartenait à un Nazôréen, Paul se blottit dans un grand panier et on le laisse descendre le long du mur au moyen de cordes solides. Arrivé en bas, il se dégage et, après avoir traversé les jardins, les canaux d'irrigation et les cours de fermes, il atteint la route qui conduit vers le Sud, vers la « via maris », la route de la mer.

    Il se rendra alors en Arabie pour trois ans.

    Pour Paul, ce fut la première d’une série de nombreuses escapades qui l’obligeront à fuir de ville en ville pour sauver sa vie.

     

    Chapitre N° 18

    Pierre enseigne Saül

     

    Après son séjour de trois ans en Arabie, Paul éprouvait le besoin de rencontrer les disciples de Jésus. Il devait apprendre à connaître tout ce que celui-ci avait dit sur les routes de Palestine, lors de ses apparitions après sa résurrection, ainsi que le miracle de la Pentecôte pour les « Douze ». Il avait tout à apprendre des faits et gestes de Jésus.

    De plus il devait s’informer sur la pratique du culte dans la communauté de la mouvance de Jésus le Nazôréen à Jérusalem et se familiariser avec ce qui devenait une tradition pour l’enseignement, le baptême, et la Loi de Moïse.

    Un rappel, les Apôtres étaient tous juifs et surtout suivait la confession des hébreux c’est-à-dire les « Livres de la Loi » dictée par EL-SHADDAÏ à Moïse, ajouté à ses Livres ceux des Prophètes comme Ézéchiel, Jérémie, et particulièrement Isaïe. Les Apôtres annoncèrent la « Bonne Nouvelle » en premier à la communauté hébraïque de Jérusalem, puis de Galilée, Judée, Samarie, ensuite Syrie, Moyen-Orient, Grèce, Italie avec Rome.

    La cécité de « Paul » à lieu en l’an 38 de l’EC., et quand il revient à Jérusalem nous sommes en l’an 41- 42 de J-C. En effet le Roi des Nabatéens Arétas IV est décédé en l’an 40 de l’EC., et c’est son fils Malichos II qui lui succède.

    Le terme « Chrétien » n’existe pas encore, il faudra attendre un siècle avant que le vocable soit employé pour la première fois et plus de deux siècles et demie avant que l’expression « Chrétien » ne soit dans le langage courant.

    Je vous écris une partie de la vie de Saül de Tarse dit Paul car par ces Lettres et Épitres il représente à lui seul un tiers des écrits du Nouveau Testament, et beaucoup de ses « écrits » furent falsifiés par les copistes, par des ajouts, retranchements, changement des tournures de phrases, etc. Donc par des références historiques je vais essayer, avec l’aide d’El-Shaddaï, par son « Souffle d’Intelligence », si vous préférés « l’Intelligence », donc « l’Esprit » qu’il va m’apporter dans mon « Esprit », me guidant pour que je sois le plus près de la vérité par mes recherches et mon raisonnement.

    Saül de Tarse connaissait l’araméen et l’hébreu. Sa langue natale était le grec de la « koiné », et c’était dans la traduction des « Septante » qu’il lisait la Bible. Il ajoute à son nom hébraïque Saül, le cognomen, le surnom de « Paulus ». Des études récentes font apparaître une maîtrise de la diatribe grecque, qui suppose une éducation sérieuse à Tarse, donc d’une famille aisée, possédant le droit de citer romain, pratique courante dans les familles juives de l’époque surtout chez les rabbins, qui leur permettait d’apprendre un métier manuel et Paul devait être selon les Actes des Apôtres tisserand, voir sellier, car il était à la fabrication des tentes.

    Actes des Apôtres XVIII : 2-3

    « Il y trouva un Juif nommé Aquilas, originaire du Pont, qui venait d'arriver d'Italie avec Priscille, sa femme, à la suite d'un édit de Claude qui ordonnait à tous les Juifs de s'éloigner de Rome. Il se lia avec eux, et, comme ils étaient du même métier, il demeura chez eux et y travailla. Ils étaient de leur état fabricants de tentes. »

    La conception que Paul a de Jésus le Nazôréen n’est pas le produit d’une spéculation religieuse, mais d’une révélation de 1’Esprit. En Arabie, sa nouvelle théologie a trouvé ses bases.

    Pendant son séjour, à partir des Écritures qu’il connaît bien, Paul développe une nouvelle conception de Jésus et de la foi. Il comprend alors que le plan universel d’El-Shaddaï est adressé non seulement aux Juifs mais à toutes les nations. Paul, à proprement parlé, n’écrit pas un évangile comme Matthieu, Luc, Marc ou Jean, mais sa « Bonne Nouvelle » annoncée dans ses Lettres et Épîtres sera accessible aux juifs, aux grecs, comme aux païens des nations, qui viendront grossir le mouvement de la secte des Nazôréens.

    Il découvre aussi le mystère de l’amour infini d’El-Shaddaï pour nous à travers le rejet de son peuple et l’immolation de son Fils engendré, non créé comme l’humain, par la torture romaine de la crucifixion, afin que ce dernier, trois jours après son décès, son Père, notre Père, le ressuscite d’entre les morts,  car par amour pour l’humain, la « Mort » première, due à la transgression volontaire des deux premiers humains, fut vaincu par un humain qui ayant résisté à toutes les attaques du Prince de la Terre, ayant vécu parfaitement sur cette Planète Bleue, donnant la réplique parfaite à Adam et Ève, pour que cet humain puisse lui aussi ressusciter, pour vivre éternellement sur une Nouvelle Terre, sous de Nouveaux Cieux.

    Jésus le Nazaréen est le « Grand Guerrier » qui vainquît la Mort, avec l’Hadès et ses Ténèbres et qui, trois jours après son décès sur la croix, fut ressuscité par son Père et son Dieu, qui est notre Père et notre Dieu, (Jean XX : 17) monta aux Cieux et reçut par son Père, EL-SHADDAÏ son investiture comme Roi des Cieux avec les pleins pouvoirs pour gérer cette charge.

    Paul prenait ainsi conscience de la volonté de Jésus de faire disparaître la barrière et le mur qui séparaient le judaïsme des autres nations.

    L’idée fondamentale qui lui est révélée à Damas, est celle d’une intervention puissante d’El-Shaddaï  dans l’histoire, en la personne de Jésus venu sauver les hommes et non les condamner. Jésus est l’envoyé du Père, le messager de la bonne nouvelle, le Messie-Sauveur. L’amour que le Seigneur a pour Paul, le persécuteur, est offert à tous. Jésus est intervenu avec miséricorde dans sa vie et a rendu efficace le salut offert à l’humanité tout entière.

    Paul est aussi profondément touché par l’abnégation, le dévouement, le sacrifice de Jésus, et la façon avec laquelle il remplit sa mission d’holocauste :

     Épître aux Philippiens II : 6-10

    « Lui, de condition divine, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à EL-SHADDAÏ. Mais il s’anéantit lui-même, prenant la condition d’esclave, et devenant semblable aux hommes. S’étant comporté comme un homme, il s’humilia encore, obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix. »

    Voilà le style de versets bibliques que je considère comme tronqués. Parlant de Jésus le Nazôréen, Saül de Tarse le pose comme étant de condition divine, ce qui n’est pas faux, par contre lui donner le même rang que son Père, EL-SHADDAÏ, là, la pensé est complètement caduque avec un manque complet de raisonnement sain de la part de Paul, car considérant Jésus le Nazaréen comme un Dieu cela supprime l’unicité de son Père qui déclare tout le long de la Bible qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu », Lui ! Et pas un autre !

    La dernière phrase ne veut rien dire de la manière qu’elle est écrite. Paul dit que Jésus le Nazôréen s’humilia par obéissance jusqu’à la mort – et à la mort de la croix ? qu’est-ce-que cela veut dire ? Personnellement je pense qu’il y a faute de syntaxe et que la fin du verset devrait être écrit comme ceci : « et à la mort sur la croix ! »

    Épître aux Philippiens II : 9-11  

    « Aussi EL-SHADDAÏ l'a-t-il exalté et lui a-t-il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, pour que tout, au nom de Jésus, s'agenouille, au plus haut des cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue proclame, de Jésus le Nazôréen, qu'il est Seigneur, à la gloire d’EL-SHADDAÏ le Père. »

    Le « Nom » qu’El-Shaddaï a glorifié pour Jésus le Nazôréen ne peut-être que le plus beau c’est-à-dire « Fils », car ce Dieu a engendré Jésus le Nazôréen aux Cieux et il n’existe pas plus beau « nom » pour un père que de déclarer « Fils de » qui signifie bien engendré, et surtout pas ce « nom » de « Fils de Dieu », prôné par le christianisme, car de quel « Dieu » ? Par contre en dehors du Père il n’existe pas de plus beau « Nom » dans les Cieux, « Fils d’EL-SHADDAÏ », de la descendance d’EL-SHADDAÏ, le seul et unique Dieu de tout l’Univers. Et pour confirmer l’essai, comme le dit le jargon populaire, EL-SHADDAÏ engendra une seconde fois son Fils, mais cette fois-ci en tant qu’humain, passant par le spermatozoïde et l’ovule féminin,  avec le mystère de physique et chimie interne à la femelle, où des milliers de mains invisibles façonnent, sculptent, l’humain.

    Pendant ces trois années de réflexion interne, au plus profond de son être Paul a pu mesurer le fardeau que Jésus portait, « ce chef-d’œuvre de l’amour d’EL-SHADDAÏ ». Certains commentateurs bibliques chrétiens en profiteront pour faire croire à leurs lecteurs que Saül de Tarse peindra la « Croix de Jésus-Christ » aux Galates, et la prêchera aux Corinthiens.

    I Corinthiens II : 1-5

    « Pour moi, quand je suis venu chez vous, frères, je ne suis pas venu vous annoncer le mystère d’EL-SHADDAÏ avec le prestige de la parole ou de la sagesse.

    Non, je n'ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié.

    Moi-même, je me suis présenté à vous faible, craintif et tout tremblant, et ma parole et mon message n'avaient rien des discours persuasifs de la sagesse ; c'était une démonstration d'Esprit et de puissance, pour que votre foi reposât, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance d’EL-SHADDAÏ. »

    Je me suis permis de poser les versets de « 1 à 5 » pour une meilleur compréhension de l’idée que se faisait le Disciple Paul. Pour moi, je ne vois rien qui pourrait dépeindre une « croix » en dehors de « Jésus-Christ crucifié ». En lisant juste cette phrase, nous pourrions penser qu’il y a deux Jésus-Christ, un normal et un autre crucifié.

    Je tiens à réitérer que le mot « Christ » ne fut accolé à Jésus qu’à partir du IVème siècle après le Concile de Nicée en 325 de l’EC, avant sur les « Écrits » c’était Jésus de Nazareth, mais le plus souvent « Jésus le Nazôréen » comme ce dernier ce faisait nommer dans les « Évangiles » ou encore « Jésus le Nazaréen, Nazarénien »

    Matthieu II : 22-23

    « Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il craignit de s'y rendre ; averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth ; pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

    Il sera appelé Nazôréen. »

    Voyons voir maintenant avec l’Épître aux Galates III : 1

    « O Galates sans intelligence, qui vous a ensorcelés ? A vos yeux pourtant ont été dépeints les traits de Jésus Christ en croix. »

    En lisant bien ce verset comme celui qui est dans la première Lettre aux Corinthiens, je ne vois pas qu’il y ait une adoration de la Croix comme la chrétienté par ses textes en fait référence pour que les ouailles se signent devant cette dernière.

    Après trois ans, Paul retourna à Damas et se présenta à la synagogue. Au grand étonnement des Juifs, il demanda la parole pour démontrer, en s’appuyant sur les textes des Prophètes, que Jésus était le Messie tant attendu et qu'il était vivant. Chez les Juifs orthodoxes, la colère se mit à gronder et Paul fut menacé de mort.

    La Bible relate cet épisode en « Actes des Apôtres IX : 23-25 et en II Corinthiens XI : 32-33 ». Un peu d’histoire chronologique : Saul sort de sa retraite après trois années passées dans le désert d’Arabie en pays Nabatéen ou le Roi Arétas IV meurt en l’an 40 et son fils Malichos II lui succède.

    Paul conte :

    « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas faisait garder la ville des Damascéniens pour m'appréhender, et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j'échappai à ses mains. »

    Là, il y a une petite erreur de la part de Paul puisque le Roi Nabatéen Arétas IV est décédé comme écrit  avant les versets de la deuxième Épître aux Corinthiens.

    Jacques le Juste, Apôtre et cousin, mais sûrement pas « frère de Jésus le Nazaréen », fils d’Alphée, nommé aussi « le Mineur, le Petit » en contraste avec Jacques fils Zébédée frère ainé de Jean, tous deux Apôtres, qui sera décapité par le glaive sous le gouvernement d’Hérode Agrippa Ier en l’an 44 de l’EC., et à cette même époque Pierre sera emprisonné et délivré miraculeusement par les Anges d’EL-SHADDAÏ, sera le premier chef de la mouvance de Jésus le Nazaréen à Jérusalem.

     Suite à cet incident à Damas, nous sommes en l’an 41-42 de l’EC., Saül de Tarse alla alors à Jérusalem chez Pierre, homme d'une grande simplicité, toujours affable et accueillant, invitant Paul à partager son logis dans la maison hospitalière de Marie, la mère de Marc l’évangéliste, dont Joseph surnommé Barnabé qui signifie « fils d’encouragement » était l’oncle.

    Paul restera une quinzaine de jours chez Pierre. Épître aux Galates I : 18-19

    « Après trois ans, je suis monté à Jérusalem pour rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours; je n’ai pas vu d’autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur. »

    Comme écrit plus avant, Jacques d’Alphée que la Bible faussement nomme « frère du Seigneur » est simplement cousin de ce dernier !...

    Soyons objectifs et logique, si Jésus le Nazaréen avait réellement eu des frères et aussi des sœurs, pourquoi aurait-il confié sur la croix sa mère, Marie, à Jean fils Zébédée ? …

    Il faut aussi penser que le père nourricier de Jésus le Nazaréen est décédé vers l’an 24-26 de l’EC., et qu’il était avancé en âge. Donc obligatoirement il y aurait eu adultère, voir fornication, fini la perfection et Jésus-Christ devient un charlatan et tout ce que nous conte le christianisme n’est que fadaise et faribole.

    L’humain devient une espèce maudite sur la Terre !

    Pourquoi écrire tout ce que j’écris s’il n’existe aucun espoir ? …

    Heureusement que les « Frères et Sœurs de Jésus le Nazaréen » ne sont que mensonges inventé par les humains, faisant perdre la virginité perpétuelle à Marie ainsi que sa « Perfection » de corps !

    Qu’est-ce-que la jalousie fait faire ! …

    Avec Pierre, l’enseignement des faits et gestes de Jésus le Nazôréen continua pour Saül de Tarse, en particulier ce que le christianisme nomme « l’Eucharistie ». En réalité Pierre apprend à Paul comment la communauté de la mouvance de Jésus le Nazôréen fonctionne. Cette « Assemblée » au départ est pure suivant les Enseignements de Jésus, mais aussi en respectant les Lois et Préceptes de son Père EL-SHADDAÏ, car n’oublions pas qu’il fallait évangéliser en premier les hébreux de Jérusalem, Galilée, Judée, Samarie, ainsi que toutes les communautés cosmopolites qui vivaient dans les grandes villes comme Jérusalem, Césarée, Tibériade, Samarie, Damas, et il y avait ces hébreux d’Égypte vivant à Alexandrie qui lisaient la Bible en grecque dans leur synagogue, les hellénisants comme ils étaient nommés à l’époque.

    Les hébreux ou juifs suivaient les enseignements des livres de Moïse et des prophètes comme Daniel, Ézéchiel, Isaïe, Jérémie.

    Simon-Pierre et Jacques d’Alphée enseignèrent Saül de Tarse sur la communauté de la mouvance de Jésus le Nazaréen que l’on nommait « Assemblée » ou « Église » en grecque qui était guidée par des « Presbytres ou Anciens » et c’est les Anciens qui au moment du repas Pascal, c’est-à-dire une fois par an au moment de la Pâque, rendaient grâce en rompant le pain, et en servant le vin répétant les paroles de Jésus le Nazaréen. Ils ne faisaient pas cela tous les jours comme la chrétienté le fait.

    Le début de cette mouvance pour le royaume d’EL-SHADDAÏ, était frais, enthousiaste, gauche, insouciant, fonctionnant avec une grande sincérité et une foi solide comme le roc et cela se faisait sentir par les adeptes croissants à Jérusalem, mais aussi dans les contrées et villes avoisinantes et cela déplaisait énormément au groupe sacerdotale Juif, le Sanhédrin qui cherchait un moyen pour éradiquer cette nouvelle mouvance avec des hommes de conviction comme Saül de Tarse qui arrêtaient et emprisonnaient hommes, femmes, enfants, vieillards de la mouvance de Jésus le Nazôréen, les jetant hors de la ville et les lapidaient.

    Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

    Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connaît l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

    A bientôt, je l’espère !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

     

     




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  • Le nid d’Aigles – Pétra,  péninsule Arabique

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Je continue mon exposé sur l’apôtre Paul, apôtre dans le sens d’envoyé pas comme les Apôtres de Jésus le Nazôréen. Comme je l’ai déjà écrit, le considère Saül de Tarse comme un grand Disciple de Jésus le Nazôréen, mais qui doit son éloge grâce aux humains, alors qu’il y a eu certainement des Apôtres qui méritaient autant d’attention que ce Disciple Paul. Un fait très étonnant dans l’histoire de ce Disciple ait que, après la mort de Pierre en l’an 64 de l’EC., jusqu’au jour de sa décapitation en l’an 67 environ plus personne n’entendra parler de Saül de Tarse, pourquoi ? L’énigme est là ! Au niveau image je vous poserai celles de Pétra en Arabie ou l’on suppose que Paul séjourna pendant trois ans.

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

    De ce phénomène naturel entre deux enfants il y a un minimum de trois ans et demi, quatre ans. Quand Jésus à douze ans, Marie sa mère à vingt sept ans et n’est toujours pas enceinte et nous sommes en l’an 5 de l’EC, sachant que Jacques devrait être théoriquement le deuxième enfant de Marie et que la conception ait eu lieu tout de suite après l’histoire de Jérusalem ce qui fait sa naissance en l’an 7 de EC. Quand son frère Jésus est crucifié il a théoriquement 25 ans.

    Imaginons qu’après la naissance de Jacques Marie enfante une fille soit un accouchement en l’an 11 de EC, puis Joseph en l’an 15 de EC, pas de chance encore une fille en l’an 19 de EC, ce qui fait la naissance de Jude en l’an 23 de EC. Au crucifiement de Jésus le Nazaréen Jude aurait dix ans et serait Disciple de son frère … ! … !...

    Si je continue … ! Un peu de sérieux ! Je ne voudrais pas prendre mes semblables pour des imbéciles !

    Comme vous venez de le lire même chez les fous cela ne peut arriver

    Je crois, vous mes semblables qu’il est temps d’arrêter d’écrire sur des « frères et des sœurs » qui n’ont aucune existence en tant que tels, par contre qu’ils soient cousins voilà une vérité plausible et probable.

     

    Chapitre N° 17

    Autobiographie de Saül de Tarse dit Paul

    Je reviens à Saül de Tarse, qui, trois jours après avoir perdu la vue sur la route de Damas en Syrie, reçoit le baptême par le Grand-Prêtre Ananias, selon la tradition de Jean le Baptiste, culte attesté dès le premier siècle, par l’immersion complète dans un bassin d’eau ou en rivière pour le baptisé. C’est au cours de cette cérémonie que le Grand-Prêtre, Ananias, fit recouvrer la vue à Saül de Tarse en faisant tomber les écailles de ses paupières.

    Par contre toutes ces actions doivent obligatoirement avoir une signification. Dans l’Épitre aux Galates il se donne le grade d’Apôtre alors que pour moi, Saül de Tarse dit « Paul » n’est qu’un Disciple de Jésus le Nazaréen, et le fait que « lui » se fait appeler « Apôtre » me déplait énormément car il y a de la vanité. Il se peut aussi que je sois dans l’erreur, car si Jésus le Nazaréen a choisi cet homme là, c’est qu’il connait son cœur, dont-il veut faire un « envoyé » dans les Nations, soit un « apôtre » dans le sens réel du terme.

    Le fait de rester trois jours et trois nuits dans les Ténèbres, où Paul a eu le temps de se remettre en question, car il est peut-être aveugle mais son « Esprit » lui fait voir l’éclat de la « Lumière » qu’il vit sur la route de Damas, puis la couleur de l’Hadès et le temps que resta Jésus le Nazaréen dans celui-ci, soit trois jours et trois nuits qui équivaut à soixante-douze heures.

    Que de similitudes ? De quoi faire réfléchir tout humain qui est à la recherche d’un « DIEU » seul, unique, et de la vérité Biblique, sachant que cette dernière, particulièrement le Nouveau Testament, les humains ont retranché, ajouté, falsifié, transformé des textes authentiques qui leur déplaisaient pour les mettre dans leurs convenances idéologiques et spirituelles du jour.

    Que je suis heureux quand EL-SHADDAÏ m’ouvre « l’Esprit » à la compréhension des textes bibliques, car grâce à son amour pour vous, vous en êtes les heureux bénéficiaires et pour ceux qui hésiteraient, quelles magnifiques preuves.

    Plus haut j’ai écrit « quelle similitude ? », alors regardons ! … Prophétiquement Jonas reste trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson, soit soixante-douze heures, et ces soixante-douze heures représentent le temps que Jésus le Nazaréen passa dans l’Hadès soit trois jours et trois nuits dans les Ténèbres avant que sont Père, EL-SHADDAÏ le ressuscite d’entre les morts, cette dernière, La MORT, venant d’être vaincue ! Grâce à Jésus le Nazaréen  qui prouva que l’on pouvait vivre sur la Terre et rester parfait jusqu’à la « mort », rendant une équivalence à Adam et Ève, comme eux il avait le « Libre-Choix », mais par amour pour l’humain, il accepta, volontairement, la souffrance de la torture qui n’était pas nécessaire, je ne parle pas du crucifiement, je parle de cette torture tout le long du trajet, jet de pierre, crachats, flagellation avec des branches flexibles et épineuses, comme la prunelle noire, l’épine-vinette, l’obier, etc, et tous ces buissons épineux fournissant des baguettes longues et flexibles, qui pullulent dans cette région, oui cette torture gratuite, de vengeance, à cause du « Nom d’El-Shaddaï », « si tu es le fils d’EL-SHADDAÏ, libère-toi » vociféraient-ils, tout cela n’était pas utile !...

    Jésus le Nazaréen est décédé par la torture romaine de la crucifixion en l’an 33 de l’EC., mais il est né en l’an -7, -5 de J-C. la première date serait la plus logique, car Jésus aurait eu quarante ans à sa mort, nombre prophétique dans l’Ancien et Nouveau Testament. En l’an 34-35 de J-C., ou de l’EC., le Disciple helléniste Étienne meurt par lapidation. Á cette lapidation assiste un homme, persécuteur très actif des premiers humains juifs suivant « la Voie de Jésus le Nazôréen » ou la « mouvance de Jésus le Nazôréen », et qui fut sans doute responsable de l’arrestation d’Étienne et de sa lapidation.

    Le nom de cet humain, Saül de Tarse, qui n’a jamais rencontré Jésus le Nazaréen avant sa crucifixion ne faisant pas partie de ses Disciples et encore moins des « Douze ». Saül de Tarse était connu dans toute la Galilée, Judée, Samarie, Syrie comme un pharisien qui persécutait de manière violente ceux qui suivaient la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ». Lui-même sur son autobiographie écrit aux Galates I : 13-14

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Et à sa lettre envoyé aux Philippiens toujours en parlant de lui, III : 4-6

    « J'aurais pourtant, moi aussi, des raisons de placer ma confiance dans les valeurs charnelles. Si quelqu'un pense avoir des raisons de le faire, moi, j'en ai bien davantage. J'ai reçu la circoncision quand j'avais huit jours ; je suis de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu fils d'Hébreux ; pour la Loi, j'étais un pharisien ; pour l'ardeur jalouse, j'étais un persécuteur de l'Église ; pour la justice que donne la Loi, j'étais irréprochable ».

    En l’an 37-38 il obtient des lettres de recommandations pour rechercher et persécuter les adeptes de la « Voie prônée par Jésus le Nazaréen » dans la ville de Damas en Syrie. C’est sur cette route en direction de Damas vers midi que ce produisit le « miracle »

    Actes des Apôtres XXII : 6-11

    « Je faisais route et j'approchais de Damas, quand tout à coup, vers midi, une grande lumière venue du ciel m'enveloppa de son éclat. Je tombai sur le sol et j'entendis une voix qui me disait :

    « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ? ».

    Je répondis : « Qui es-tu, Seigneur ? ».

     Il me dit alors : « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes ».

    Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.

    Je repris : « Que dois-je faire, Seigneur ? ».

    Le Seigneur me dit : « Relève-toi. Va à Damas. Là on te dira tout ce qu'il t'est prescrit de faire ».

    Mais comme je n'y voyais plus à cause de l'éclat de cette lumière, c'est conduit par la main de mes compagnons que j'arrivai à Damas. »

    Je continue l’autobiographie de Saül de Tarse dans une première Épître qu’il écrivit aux Corinthiens XV : 3-9

    « Je vous ai donc transmis en premier lieu ce que j'avais moi-même reçu, à savoir que le Christ est mort pour nos péchés selon les Écritures, qu'il a été mis au tombeau, qu'il est ressuscité le troisième jour selon les Écritures, qu'il est apparu à Céphas, puis aux Douze.

    Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois - la plupart d'entre eux demeurent jusqu'à présent et quelques-uns se sont endormis - ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres.

    Et, en tout dernier lieu, il m'est apparu à moi aussi, comme à l'avorton.

    Car je suis le moindre des apôtres ; je ne mérite pas d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté l'Église d’EL-SHADDAÏ. »

    Autobiographie de Paul écrivant aux Galates I : 11-20

    « Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ.

    « Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l'Église d’EL-SHADDAÏ et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères. »

    Mais quand Celui qui dès le sein maternel m'a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l'annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m'en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours : je n'ai pas vu d'autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur : et quand je vous écris cela, j'atteste devant EL-SHADDAÏ que je ne mens point. »

    Je reviens à ma similitude, Saül de Tarse marche avec ses compagnons sur la route allant à Damas quand un miracle se produit, une lumière enveloppant Saül de Tarse le faisant tomber à terre, le rendant aveugle trois jours et trois nuits, sûrement soixante douze heures du début de sa cécité au moment qu’il reçoit le baptême, chez Ananias, par immersion, comme cela se faisait à cette époque et avec certitude pendant les deux premiers siècles. Les « Anciens » qui baptisaient le faisaient « au Nom d’EL-SHADDAÏ, et grâce au sacrifice de Jésus le Nazaréen » mais jamais au nom de Jésus le Nazôréen et encore moins au nom d’un « Saint-Esprit » qui n’existait pas. De plus Jésus le Nazôréen n’a jamais baptisé personne ! 

    Matthieu XXVIII : 18-20Jésus le Nazaréen vient de ressusciter au tout début de la première heure du premier jour de la semaine et il est monté voir son Père pour recevoir son investiture au Ciel dans les Cieux, mais si, il l’a reçu pour la Terre, il ne peut rien faire car la Royauté de la Terre appartient à un autre, qui se nomme Sammaël et cela pour le « Temps Défini » par EL-SHADDAÏ, donc Jésus le Nazôréen ne peut prendre son investiture terrestre. Si cela avait été le cas, pensez-vous que la Terre serait gérée comme elle l’ait aujourd’hui ?

    Paul dans son autobiographie, dans sa première Lettre aux Corinthiens écrit XV : 21-24

    « Car, la mort étant venue par un homme, c'est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.

    De même en effet que tous meurent en Adam, ainsi tous revivront dans le Christ.

    Mais chacun à son rang : comme prémices, le Christ, ensuite ceux qui seront au Christ, lors de son Avènement.

    Puis ce sera la fin, lorsqu'il remettra la royauté à EL-SHADDAÏ le Père, après avoir détruit toute Principauté, Domination et Puissance. »

     Cela vous prouve à vous mes semblables que mes écrits sont véridiques !

    S'avançant, Jésus leur dit ces paroles :

    « Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde. »

    Les copistes qui ont tourné ces versets l’on fait pour accorder le nouveau signe, je dirais plutôt la nouvelle marque aux fers rouges des adeptes de Sammaël, par ce « Signe » de croix disant « Au nom du Père » sur le front, « Au nom du Fils » à l’épaule, « Au nom du Saint-Esprit » à l’autre épaule, avec un « Amen ou Ainsi soit-il » sur l’abdomen. D’autres font le signe de croix sur le front, la bouche, et le cœur. Tous ces gestes sont les marques de l’idolâtrie car ils sont fait à l’entrée du Temple, en sortant du Temple, devant un crucifix, une statue de pierre représentant un « Saint ou Sainte » quelconque.

    « Les baptisant au Nom du Père, en leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. »

    Je suis convaincu que se sont les paroles d’origine !

    Autre fait historique, Paul passe trois ans dans le désert d’Arabie où se poursuit en lui une transformation spirituelle et intellectuelle, recevant l’instruction nécessaire à sa vocation d’apôtre, Disciple de Jésus le Nazaréen, « L’évangile que j’ai annoncé n’est pas à mesure humaine : ce n’est pas non plus d’un homme que je l’ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus-Christ. » (Galates I : 11-12).

     Le terme « Arabie » s’appliquait alors à toute la péninsule arabique, mais le noyau en était le royaume des Nabatéens, avec sa capitale Petra, véritable nid d’aigle dans le désert, qui contrôlait  la route des caravanes. Les ruines gréco-romaines de cette capitale-forteresse sont impressionnantes. L’Arabie comprenait aussi Basra, Homs, Amman, et un très grand territoire allant jusqu’aux fleuves de la Mésopotamie, le Tigre et l’Euphrate. Le cheik des Nabatéens, Arétas IV, 9 av. J-C. à 40 ap. J-C., roi de Damas et d’une grande partie du territoire d’Arabie, était en guerre avec le roi Hérode Antipas, parce que celui-ci avait répudié sa fille pour épouser Hérodiade, la femme de son frère, celle qui avait demandé la tête de Jean le baptiste. En Arabie, Paul se sentait protégé contre les émissaires juifs, et c’est peut-être la raison pour laquelle il s’est rendu dans cette région désertique.

    Paul est à Damas chez Ananias et les juifs viennent d’apprendre que ce persécuteur de la mouvance de Jésus le Nazôréen vient de se faire baptiser faisant partie de ses humains qui suivent la « Voie de Jésus ce Nazôréen »

    Avant toute chose lisons le texte biblique des Actes des Apôtres IX : 17-25 – Saül de Tarse était sur la route de Damas quand il fut frappé par la Vision de Jésus le Nazaréen et qu’il fut atteint de cécité pendant trois jours et trois nuits exactement le même temps que Jésus resta dans le tombeau.

    Alors Ananie partit, entra dans la maison, imposa les mains à Saul et lui dit :

    « Saül, mon frère, celui qui m'envoie, c'est le Seigneur, ce Jésus qui t'est apparu sur le chemin par où tu venais ; et c'est afin que tu recouvres la vue et sois rempli de l'Esprit Saint. »

    Aussitôt il lui tomba des yeux comme des écailles, et il recouvra la vue. Sur-le-champ il fut baptisé ; puis il prit de la nourriture, et les forces lui revinrent. Il passa quelques jours avec les disciples à Damas, et aussitôt il se mit à prêcher Jésus dans les synagogues, proclamant qu'il est le Fils de Dieu.

    Tous ceux qui l'entendaient étaient stupéfaits et disaient : « N'est-ce pas là celui qui, à Jérusalem, s'acharnait sur ceux qui invoquent ce nom, et n'est-il pas venu ici tout exprès pour les amener enchaînés aux grands prêtres ? »

    Mais Saül gagnait toujours en force et confondait les Juifs de Damas en démontrant que Jésus est bien le Christ.

    Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr.

    Mais Saül eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr.

    Alors les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille. »

    Il se trouva des conjurés qui firent la promesse de tuer « l'apostat », dès qu'il circulerait dans le dédale des rues de la ville. Il fut facile d'acheter les dirigeants de Damas. On fit mettre des gardes à toutes les portes pour se saisir de Paul s’il tentait de s’enfuir : « Au bout d'un certain temps, les Juifs se concertèrent pour le faire périr. Mais Saul eut vent de leur complot. On gardait même les portes de la ville jour et nuit, afin de le faire périr. Alors .les disciples le prirent de nuit et le descendirent dans une corbeille le long de la muraille » (Actes 9, 23-24).

    Ceci est la version de Luc qui accuse les Juifs du complot. Paul, de son côté, croit que ce sont les autorités civiles qui en veulent à sa vie : « A Damas, l'ethnarque du roi Arétas IV faisait garder la ville pour m'arrêter et c'est par une fenêtre, dans un panier, qu'on me laissa glisser le long de la muraille, et ainsi j’échappai à ses mains. » (II Corinthiens XI : 32)

    Cette conspiration contre Paul est probablement orchestrée par les deux groupes, c’est à dire par les Juifs avec l’appui des autorités de la ville.

    À partir d’une maison qui appartenait à un Nazôréen, Paul se blottit dans un grand panier et on le laisse descendre le long du mur au moyen de cordes solides. Arrivé en bas, il se dégage et, après avoir traversé les jardins, les canaux d'irrigation et les cours de fermes, il atteint la route qui conduit vers le Sud, vers la « via maris », la route de la mer. Il se rendra alors en Arabie pour trois ans.

    Pour Paul, ce fut la première d’une série de nombreuses escapades qui l’obligeront à fuir de ville en ville pour sauver sa vie.

    Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

    Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connait l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

    A bientôt, je l’espère !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »


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  • Joachim & Anne

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Je ne vous poserai pas les dernières phrases du chapitre précédent car l’ensemble est un peu long. Avec ce chapitre, je fais une rétroactivité de la naissance de Jésus le Nazaréen, avec ses frères et sœurs inexistants réellement, cousins directs probablement.

     

    Chapitre N° 16

     

    « Frères et Sœurs » de Jésus le Nazaréen ?

     

    Mensonges ! …

     

     

    Douze Apôtres et seulement deux « Évangélistes » avec Pierre, Jacques, et Jude qui ont juste une « Lettre » reconnue comme canonique alors que tous les exégètes savent qu’il y avait plus de deux mille « Lettres et Épîtres » qui circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen à l’ère des Apôtres.

    Deux Disciples Évangélistes Marc et Luc nous prouvant que le choix des « Écrits » dit canoniques ont été choisis arbitrairement par Constantin le Grand au Concile de Nicée en 325 de l’EC., sous les conseils de son ami écrivain et théologien chrétien Eusèbe de Césarée.

    Parmi toutes ces « Lettres » les exégètes et historiens d’aujourd’hui reconnaissent que sept « Lettres ou Épîtres » d’Ignace d’Antioche sont authentiques alors pourquoi la religion chrétienne nous cache-t-elle ces « Écrits » ?...

    Saül de Tarse ne fut pas tout de suite Disciple de Jésus le Nazaréen pour une chose, il ne connaissait rien de la vie de Jésus le Nazaréen, et comme il était connu de la Syrie à la Judée comme persécuteur des humains de la mouvance de Jésus le Nazôréen, il était important qu’il se fasse oublier par tout le monde.

    Il y a toujours dans les dates de cette époque ce phénomène de trois années, exemple la conversion de Saül de Tarse se situe entre 37-40 de l’EC. Tout comme la naissance de Jésus le Nazaréen -7 à -4 av. J-C ou EC., si vous aimez mieux, et sa mort par la torture romaine de la crucifixion aux environs de l’an 30-33 de l’Ère Commune. Si l’on estime que la mort de Jésus le Nazaréen doit être un nombre prophétique l’on dirait naissance en l’an -7 de l’EC., mort en l’an 33 de J-C ce qui ferait que Jésus le Nazaréen à son décès avait quarante ans, le nombre quarante étant un nombre prophétique, Moïse quarante jours et nuits au Mont Sinaï, les israélites restèrent quarante ans dans le désert, Josué avait quarante ans quand Moïse s’adressa à lui pour qu’il conduise le peuple en terre promise, Jésus resta quarante jours dans le désert, etc.

    Saül de Tarse est conduit à Damas par ces hommes d’armes qui l’accompagnait chez un certain Ananias ou Ananie

    Actes des Apôtres IX : 8-19

    « Saul se releva et, bien qu'il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien. Ils le prirent par la main pour le faire entrer à Damas.

    Pendant trois jours, il fut privé de la vue et il resta sans manger ni boire.

    Or il y avait à Damas un disciple nommé Ananie. Dans une vision, le Seigneur l'appela :

     « Ananie ! »

     Il répondit : « Me voici, Seigneur. »

    Le Seigneur reprit : « Lève-toi, va dans la rue Droite, chez Jude : tu demanderas un homme appelé Saul, de Tarse. Il est en prière, et il a eu cette vision : un homme, du nom d'Ananie, entrait et lui imposait les mains pour lui rendre la vue. »

    Ananie répondit : « Seigneur, j'ai beaucoup entendu parler de cet homme, et de tout le mal qu'il a fait à tes fidèles de Jérusalem. S'il est ici, c'est que les chefs des prêtres lui ont donné le pouvoir d'arrêter tous ceux qui invoquent ton Nom. »

    Mais le Seigneur lui dit : « Va ! Cet homme est l'instrument que j'ai choisi pour faire parvenir mon Nom auprès des nations païennes, auprès des rois et des fils d'Israël. Et moi, je lui ferai découvrir tout ce qu'il lui faudra souffrir pour mon Nom. »

    Ananie partit donc et entra dans la maison.

    Il imposa les mains à Saul, en disant : « Saul, mon frère, celui qui m'a envoyé, c'est le Seigneur, c'est Jésus, celui qui s'est montré à toi sur le chemin que tu suivais pour venir ici. Ainsi, tu vas retrouver la vue, et tu seras rempli d'Esprit Saint. »

    Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles, et il retrouva la vue. Il se leva et il reçut le baptême.

    Puis il prit de la nourriture et les forces lui revinrent. »

    Toujours le même problème avec l’Esprit Sain, mais il peut exister une confusion de personnage. Nous sommes dans une traduction grecque et YHWH ou « Dieu » est remplacer par « Seigneur » et là, Jésus le Nazaréen est nommé « Seigneur » j’espère que cela est une appellation respectueuse de Jésus le Nazaréen, et que ce n’est pas le titre de « Dieu » qui lui est donné car se serait une grave erreur.

    Toujours dans les remarques Saül de Tarse, maintenant appelé « Paul » depuis son Baptême ne reçoit pas le Souffle d’EL-SHADDAÏ comme les « Douze Apôtres », mais celui de Jésus le Nazaréen qui lui donnera la « Compréhension » des Écritures.

    Paul après son baptême, ayant repris des forces partira trois longues années dans le désert d’Arabie recevoir et apprendre toute la vie de Jésus le Nazaréen. Pousser sans doute par une force extérieur, en premier pour se faire oublier des hébreux car il était connu comme un persécuteur de la mouvance de Jésus le Nazôréen, puis des romains pour la même raison mais dans le sens opposé, et en second pour que sa façon de penser change qui est le « soi » interne et il faut du temps pour faire se changement, puis étudier et apprendre toute la vie de Jésus le Nazaréen depuis sa naissance jusqu’à sa mort et la question se pose qui était son instructeur, un Disciple qui partit avec lui dans le désert, où son instruction l’a-t-il reçu directement de Jésus le Nazaréen ?

    La réponse nous vient de l’Épitre aux Galates et c’est aussi pendant cette période de vie dans le désert d’Arabie qu’il trouve sa transformation spirituelle et intellectuelle.

    Épître aux Galates I : 10-12,

    « En tout cas, maintenant est-ce la faveur des hommes, ou celle d’EL-SHADDAÏ que je veux gagner ? Est-ce que je cherche à plaire à des hommes ? Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ.

    Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ. »

    Le terme de « Christ » qui a son origine grec signifiait « Messie, Oint » fut complètement dénaturé à partir du IVème siècle quand les « Livres » du Nouveau Testament furent choisis et réunis arbitrairement par Constantin le Grand sous les conseils de son ami théologien chrétien Eusèbe de Césarée en un codex canonique au Concile de Nicée en 325 de l’EC. Il faut aussi penser que les traducteurs et copistes ne commencèrent réellement leur travail après le pèlerinage de la mère de Constantin en l’an 326 et qui se termina par la découverte de la « Vraie Croix » en l’an 327 par cette dernière qui se prénommait Hellène.

    Le mouvement de Jésus le Nazôréen n’existait plus remplacé par la chrétienté qui en plus trois cent ans avait bien changé. Les Évêques étaient devenus des « Princes » où leurs idées faisaient force de Loi et chacun avaient son courant comme l’arianisme, donatisme, docétisme, modalisme, subordinatianisme, dithéisme, trinitarisme, etc….

    Constantin le Grand fait du « christianisme » en 312 de l’EC., la religion d’Empire et l’Empereur devient le Pontifex Maximus de cette religion.

    Le terme « Christ » devient le synonyme de « Croix » et sera accolé à Jésus le Nazaréen à partir de 330-350 en devenant dans les Évangiles, Lettres et Épîtres dit canoniques « Jésus-Christ »

    Épître aux Galates I : 15-20

    « Mais quand Celui qui dès le sein maternel m'a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l'annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m'en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours. Je n'ai pas vu d'autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur, et quand je vous écris cela, j'atteste devant EL-SHADDAÏ que je ne mens point. »

    Toujours cette impossibilité que Jésus le Nazaréen ait eu « des frères et sœurs », pourquoi ?

    Toujours dans ma logique, si, il avait eu « des frères et des sœurs », il serait l’ainé. Nous savons qu’à l’âge de douze ans son père nourricier et sa mère le cherchèrent dans toute la ville de Jérusalem et qu’ils le trouvèrent entrain de conversé avec les prêtres sur le Rouleau d’Isaïe, et que Marie à cette époque n’était pas enceinte et que Jésus le Nazaréen n’avait pas de frères, ni de sœurs. Si cela avait été le cas des scribes se serait empresser de l’écrire et aujourd’hui nous aurions eu des traces historiques.

    Protévangile de Jacques XVII : 2

    « Et il sella son âne et la fit asseoir dessus. Son fils tirait la bride et Samuel suivait »

    Par cet écrit nous apprenons que Joseph à au minimum deux fils sans doute d’un premier mariage dont l’un se nomme Samuel.

    Que c’est-il passé avant que Marie ne soit l’épouse de Joseph ? La Bible canonique est muette comme une carpe, pourquoi ?

    Protévangile de Jacques VIII : 3

    « Le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange du Seigneur apparut, disant :

    « Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui le Seigneur montrera un signe en fera sa femme. »

    Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous. »

    Protévangile de Jacques IX : 1-3

    9.1. « Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre dit :

    « Joseph, Joseph, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge du Seigneur. »

    2. Mais Joseph protesta :

    « J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »

    « Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »

    3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :

    « Marie, le temple du Seigneur t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. Le Seigneur te gardera. » »

    En VIII : 3 dans le Protévangile de Jacques, Zacharie convoque les veufs du peuple et que chacun amène une baguette. Au chapitre IX il obtempère et se rend lui aussi chez le grand-prêtre avec sa baguette. Joseph est choisi par El-Shaddaï pour garder Marie avant qu’elle est l’âge requis pour devenir sa femme. Joseph est un vieillard et il a des enfants d’un autre mariage. De plus ont présente Joseph comme un chef d’entreprise ce qui à mon avis personnel est plus proche de la vérité que d’écrit comme un malheureux charpentier ayant peu de travail comme dans les évangiles synoptiques

    Le Pseudo-Matthieu est encore plus explicite VIII : 1, 4

    1. Mais il arriva qu'elle eût quatorze ans, et pour les Pharisiens c'était l'occasion de dire qu'à cause de son état de femme Marie ne pouvait pas demeurer dans le Temple d’EL-SHADDAÏ.

    4. Alors, le peuple tout entier félicita le vieillard en disant:

    « Tu as obtenu le bonheur dans ta vieillesse, de sorte que Dieu t'a désigné comme digne de recevoir Marie. »

     Mais, quand les prêtres lui dirent:

    « Prends-la, car de toute ta tribu toi seul as été élu par EL-SHADDAÏ. »

    Joseph se mit à leur témoigner son respect, et à les supplier, et à dire avec déférence :

    « Je suis un vieillard et j'ai des fils, pourquoi me donnez-vous cette fillette, ma petite-fille d'après son âge, et qui est même plus jeune que mes propres petits-enfants ? »

     Alors, Abiathar, le chef des grands prêtres, dit:

    « Souviens-toi, Joseph, comment Dathan, Coré et Abiram ont péri, pour avoir méprisé la volonté du Seigneur. Tu auras le même sort si tu méprises obstinément ce qu’EL-SHADDAÏ  t'ordonne. »

    La Joseph est vraiment un vieillard car il a des enfants, mais aussi des petits enfants puisque Marie est plus jeune « que ces propres petits-enfants »

    Pour résumé Joseph le père nourricier de Jésus le Nazaréen avait une entreprise de Charpente et du travail du bois en général et il se déplaçait beaucoup pour voir les différents chantiers surtout qu’à l’époque il y avait beaucoup de travaille, port de Césarée sur la Grande Mer, la ville de Tibériade sur la mer de Génézareth sortait de terre, la ville de Séraphoris en grande transformation.

    On pense que Joseph est décédé vers l’an 24-26 de l’Ère Commune et était octogénaire ce qui fait que quand il reçu Marie, Joseph était dans la cinquantaine en âge.

    Par ce fait Jésus le Nazôréen n’a jamais eu de frère. Souvenez-vous, « Son fils tirait la bride et Samuel suivait », donc le premier qui tirait la bride pouvait ce prénommer « Jacques », mais même là, Jacques et Samuel ne peuvent être les demi-frères de Jésus, car Joseph n’est pas le père géniteur de Jésus le Nazaréen, et leur mère n’a pas enfanté Jésus, donc ils sont les demi-frères de Jésus par adoption si l’on veut être gentil.

    Un autre fait historique, que ne ménage pas la Bible, c’est Marie. Marie fille de Joachim et Anne n’ont eu que cet unique enfant, donc Marie n’a pas de sœur, ni de frère. En suivant les textes Bibliques et pour confirmer les écrits apocryphes, Jacques dit le Mineur, en opposition à Jacques fils Zébédée frère de Jean, tout deux surnommés les « Fils du Tonnerre », le Petit, le Juste a comme frère Joset ou Joseph, surnommé Barnabas et Jude, tout trois fils de Marie Jacobée épouse d’Alphée avec Matthieu nommé aussi Lévi, ces quatre là sont frères, c’est une certitude. Marie Salomé est l’épouse Zébédée et a eu deux garçons, Disciples de Jésus le Nazôréen, puis Apôtres de ce dernier qui les surnomma « Fils du Tonnerre », l’ainé Jacques et Jean le Disciple que Jésus aimait le plus puisqu’il lui confia sa mère en étant sur la croix disant « femme voici ton fils ! » et à Jean « Jean voici ta mère ! » Il nous reste Siméon dit le Zélote fils de Clopas, frère de Joseph le Charpentier et de Marie sœur d’Anne femme de Joachim.

    En lisant les encyclopédies au sujet des « Frères » de Jésus le Nazaréen, j’ai un sourire car elles trouvent le moyen de se «  mélanger les pinceaux ». Ce qui prouve le capharnaüm qui existe sur les « Frères et Sœurs » de Jésus le Nazôréen, il fallait bien que je pense aux « sœurs » si non vous auriez pensé avec juste raison que je ne faisais pas mon travail correctement.

    Pour en finir avec les « frères et sœurs » de Jésus le Nazaréen qui n’existent pas voici une logique indémontable

    Évangile du Pseudo Matthieu IV

    « Or après neuf mois accomplis, Anne mit au monde une fille et l'appela du nom de Marie. Et lorsqu'elle l'eut sevrée la troisième année, Joachim et sa femme Anne s'en allèrent ensemble au temple du Seigneur, et, tout en offrant des victimes au Seigneur, ils présentèrent leur petite fille Marie pour qu'elle habitât avec les vierges qui passaient le jour et la nuit à louer EL-SHADDAÏ. » 

    Donc à cette époque les femmes nourrissaient aux seins leur enfant jusqu’à l’âge de trois ans. Pendant ce temps d’allaitement, si tout fonctionne normalement c’est une contraception naturelle et la femme ne peut être enceinte. De ce phénomène naturel entre deux enfants il y a un minimum de trois ans et demi, quatre ans. Quand Jésus à douze ans, Marie sa mère à vingt sept ans et n’est toujours pas enceinte et nous sommes en l’an 5 de l’EC, sachant que Jacques devrait être théoriquement le deuxième enfant de Marie et que la conception ait eu lieu tout de suite après l’histoire de Jérusalem ce qui fait sa naissance en l’an 7 de EC. Quand son frère Jésus est crucifié il a théoriquement 25 ans.

    Imaginons qu’après la naissance de Jacques, Marie enfante une fille, soit un accouchement en l’an 11 de EC, puis Joseph en l’an 15 de EC, pas de chance encore une fille en l’an 19 de EC, ce qui fait la naissance de Jude en l’an 23 de EC. Au crucifiement de Jésus le Nazaréen, Jude aurait dix ans et serait Disciple de son frère … ! … !...

    Si je continue … ! Un peu de sérieux ! Je ne voudrais pas prendre mes semblables pour des imbéciles !

    Comme vous venez de le lire même chez les fous cela ne peut arriver

    Je crois, vous mes semblables qu’il est temps d’arrêter d’écrire sur des « frères et des sœurs » qui n’ont aucune existence en tant que tels, par contre qu’ils soient cousins voilà une vérité plausible et probable.

    EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !

    Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.

    Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !

    Salutations cordiales

    Sig : JP.G dit « Grandeloupo »


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  • Les « Douze »

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

     

     

     

    Dernières phrases du chapitre précédent

     

    Après la construction de ce second Temple les premières décennies les humains formant le peuple d’EL-SHADDAÏ respectèrent le contrat qui existait entre eux et leur Dieu. Mais les mauvais démons revinrent vite au galop, en particulier l’idolâtrie, alors EL-SHADDAÏ abandonna son peuple comme celui-ci l’avais abandonné. Le Pays, la Palestine fut tour à tour  sous le joug de la Perse, puis de la Grèce, puis de l’Égypte et enfin de Rome.

    Je viens de vous conter rapidement l’histoire du « Peuple » d’El-Shaddaï jusqu’à l’arrivé du dernier conquérant, celui au pied d’argile, dans la vision de Daniel.

    Nous sommes au IV, IIIème siècle antérieur à Jésus le Nazôréen. Très vite après la fondation de la ville portuaire d’Alexandrie en 331 av. l’EC., par Alexandre le Grand, la diaspora juive s’y développe fortement, en particulier autour du Palais Royal à un point tel que deux des cinq quartiers  de la cité sont déjà pris par les descendants d’Abraham, ce qui n’est pas exacte, mais qui n’est pas faut non plus si l’on considèrent que tout le peuple hébreu vient de la descendance de Jacob.

     

     

    Chapitre N° 15

     

    La Septante, les Douze

     

    Démétrios de Phalère philosophe grec, expatrié à Alexandrie en 307 av. l’EC est le fondateur de la Grande Bibliothèque., de la dite cité, péripatéticien et écrivain il fut l’élève d’Aristote et de Théophraste ainsi qu’ami de Ménandre.

    Sous Ptolémée Ier, à l’instigation de Démétrios de Phalère, la Grande Bibliothèque d’Alexandrie vue le jour en 288 av. J-C., abritant une Université et une Académie. La Bibliothèque fut finie et ne commençât à fonctionner que sous le règne de Ptolémée II Philadelphe, qui, selon Épiphane, aurait demandé « aux rois et aux grands de ce monde » qu'ils envoient les œuvres de toutes les catégories d'auteurs et aurait fixé un objectif de cinq cent mille volumes et rouleaux.

    En réalité, quelques années après la fin de sa construction, la Grande Bibliothèque possédait déjà quelques trois cent mille livres et rouleaux originaux de toute l’histoire antique des pays du Bassin Méditerranéen et autres. Les livres et rouleaux étaient copiés par des érudits qui métrisaient parfaitement la langue du pays et le grec, les originaux étaient conservés à la Grande Bibliothèque et la copie restituée au pays d’origine.

    En 281 av. l’EC., toujours sous le règne de Ptolémée II, la Grande Bibliothèque possédait déjà un nombre important de rouleaux, codex, contant l’histoire Antique de tous les Empires passés, mais ne détenait aucun écrit de l’histoire des hébreux qui vivaient dans un tiers de la ville d’Alexandrie et près du Palais Royal.

    Démétrios de Phalère suggéra au Pharaon Ptolémée II d’ordonner la traduction en grec de tous les Livres Sacrés et narrations profanes des israélites. Ce ne fut pas chose facile car les Rouleaux Sacrés se trouvaient au Temple de Jérusalem sous la garde des Prêtres. L’histoire conte qu’il fallut plusieurs aller retour Alexandrie, Jérusalem avant que les humains de part et d’autres se mettent d’accord.

    Le Grand Prêtre, souverain sacrificateur du Temple de Jérusalem, Éléazar, accède à la demande de Ptolémée II à la condition que ce dernier affranchisse les Juifs de Judée que son père Ptolémée Ier à fait prisonniers et réduits à l’esclavage en Égypte.

    Il paraîtrait que pendant toutes ces discussions certains voulurent faire plaisir à Pharaon, mais :

    « On raconte que cinq anciens traduisirent la Torah en grec pour le roi Ptolémée, et ce jour fut aussi grave pour Israël que le jour du Veau d’or, car la Torah ne put être traduite convenablement. »

    Les hébreux habitant près du Palais Royal continuent à parler leur langue maternelle et l’araméen et à étudier les textes de l’Ancien Testament. Déjà intéressé par le sort de ses sujets israélites, le souverain hellénistique le plus cultivé de son temps apparaît également soucieux de connaître les règles des divers peuples qui lui sont assujettis dans le cadre d’une réorganisation de son royaume.

    Toutes ces négociations durèrent un certain temps et en l’an 270 av. J-C., les deux parties se mirent enfin d’accord.

    Éléazar réunit six érudits parlant parfaitement l’hébreu, l’araméen et le grec de chaque tribus du pays d’Israël ce qui fit un total de soixante douze lettrés qui arrivèrent à Alexandrie avec les rouleaux originaux du Temple.

    Pharaon les reçoit et par sept fois se prosterne devant les Rouleaux de la Loi. Il s’ensuit un banquet qui dura sept jours au cours duquel le Roi interrogea chacun des soixante-douze traducteurs.

    Ptolémée les emmena sur l’ile de Pharos où la construction du phare du port d’Alexandrie se terminait. Ces soixante-douze élites hébraïques furent, par groupe de six, installés dans des petites maisons éloignées les unes des autres  de sorte que le contact entre les maisonnettes étaient assez difficile.

    Ce que j’écris n’est pas de mon invention mais d’une lettre écrit par Aristée au IIème siècle avant J-C., à Philocrate.

    Les traducteurs hébreux par groupe de six traduisirent les Rouleaux de la Loi en grec pendant soixante-douze jours et nuits sans jamais pouvoir se contacter entre groupes. Quand le travail fut terminé par les soixante-douze éclairés, lecture en fut faite devant la Cour de Ptolémée II et l’assemblée des Juifs alexandrins. L’étonnement de l’assemblée fut grand quand ils constatèrent que les douze groupes avaient traduit la même chose mot pour mot, ponctuation pour ponctuation. Pharaon et Démétrios s’exclamant même que ce ne pouvait être que la main de leur « DIEU ».

    En souvenir de tous ces élites Juifs, Ptolémée nomma cette traduction la « Septante Douze » et l’histoire n’a retenu que la « Septante ».

    Toujours dans l’histoire, le Sanhédrin existe réellement depuis le second Temple, et chose étonnante, pour vous prouvez qu’il n’était pas approuvé par EL-SHADDAÏ, il n’est composé que de soixante-et-onze membres.

    Étrange ce nombre impaire ? Alors que l’on pense que le Sanhédrin fut créé par Moïse et comportait soixante-douze membres, six par tribus.

    Je vous ai écrit tout cela pour vous prouver que le nombre « soixante-douze » a un sens prophétique et Jésus le Nazaréen n’a pas choisi au hasard ce nombre de soixante-douze Disciples qui rappelle indirectement le nombre d’érudits qui ont traduit la Bible en Grec.

    Comme déjà écrit, parmi ces soixante-douze disciples il en choisit douze qui seront ses « Apôtres » et qui formeront un cercle restreint. Après son décès sur le tau objet de la torture romaine, puis sa résurrection et les quarante jours qu’il resta sur la terre avant son élévation, seront vraiment appelé « Apôtre » ceux qui furent témoin qu’il quitta la Terre montant dans le ciel accompagné d’une multitude d’Anges. D’autres écrits disent que seul les témoins de la résurrection de Jésus le Nazaréen sont « Apôtres », simplement que là, dans ce contexte aucun humain ne fut témoin de sa résurrection. Ils constatèrent ce fait quand ils virent Jésus le Nazaréen trois jours après qu’il décéda par la torture romaine de la crucifixion. Par cette réflexion et ce raisonnement il faut reconnaître que l’on peut honnêtement dire que les « Apôtres » sont les humains qui étaient présent lors de son « élévation » car une chose est certaine comme Hénoch, Moïse, Esaïe, Élie personne n’a retrouvé son corps, comme celui de sa mère Marie. Cela restera toujours un mystère, soulevant beaucoup de questions avec peu de réponse, seule la foi peut alors guider notre cœur et notre esprit.

    Mais il y a encore une question à « l’Élévation » de Jésus le Nazaréen les Apôtres étaient au nombre de onze, et non douze puisque le douzième Apôtre est choisi après l’Ascension de Jésus le Nazôréen et avant qu’ils ne reçoivent le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ le Père géniteur de Jésus.

    Actes des Apôtres I : 4-11, 23-26

    « Alors, au cours d'un repas qu'il partageait avec eux, il leur enjoignit de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'y attendre « ce que le Père avait promis, » ce que, dit-il, vous avez entendu de ma bouche :

    « Jean, lui, a baptisé avec de l'eau, mais vous, c'est dans l'Esprit Sain que vous serez baptisés sous peu de jours. »

    Étant donc réunis, ils l'interrogeaient ainsi : « Seigneur, est-ce maintenant, le temps où tu vas restaurer la royauté en Israël ? »

    Il leur répondit : « Il ne vous appartient pas de connaître les temps et moments que le Père a fixés de sa seule autorité.

    Mais vous allez recevoir une force, celle de l'Esprit Sain qui descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. »

    A ces mots, sous leurs regards, il s'éleva, et une nuée le déroba à leurs yeux.

    Et comme ils étaient là, les yeux fixés au ciel pendant qu'il s'en allait, voici que deux hommes vêtus de blanc se trouvèrent à leurs côtés ; ils leur dirent :

    « Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Celui qui vous a été enlevé, ce même Jésus, viendra comme cela, de la même manière dont vous l'avez vu s'en aller vers le ciel. » »

    « On en présenta deux, Joseph dit Barsabbas, surnommé Justus, et Matthias.

    Alors ils firent cette prière :

    « Toi, Seigneur, qui connais le cœur de tous les hommes, montre-nous lequel de ces deux tu as choisi pour occuper, dans le ministère de l'apostolat, la place qu'a délaissée Judas pour s'en aller à sa place à lui. »

    Alors on tira au sort et le sort tomba sur Matthias, qui fut mis au nombre des douze apôtres. »

    Volontairement j’ai supprimé le « t » de saint car ce n’est pas une sanctification que reçurent les Apôtres, mais un « Souffle » qui est « Sain » c’est-à-dire propre, sans tache, pur qui leur a donné une grande intelligence comme une certaine force intellectuelle.

    Les Douze sont institués par Jésus le Nazaréen pour être un signe particulier pour Israël. Ils représentent le peuple nouveau tel qu'il sera rassemblé par EL-SHADDAÏ à la fin des temps, le nombre douze évoquant les douze tribus d'Israël, mais aussi la totalité et l'intégrité du peuple. Il renvoie donc au fait que Jésus a reçu pour mission de rassembler la totalité du peuple et de le mener à son accomplissement.

    Matthieu XIX : 28-29

    « Jésus leur dit :

     « En vérité je vous le dis, à vous qui m'avez suivi : dans la régénération, quand le Fils de l'homme siégera sur son trône de gloire, vous siégerez vous aussi sur douze trônes, pour juger les douze tribus d'Israël.

    Et quiconque aura laissé maisons, frères, sœurs, père, mère, enfants ou champs, à cause de mon nom, recevra bien davantage et aura en héritage la vie éternelle. » »

    Aujourd’hui le pays d’Israël existe depuis 1948, mais que reste-t-il des douze tribus de l’Israël antique ?

    Une certitude, après la mort de Jean se sera la fin des « Douze ». Ce que nous connaissons c’est que les premiers Apôtres firent des « Disciples » auquel ils ont retransmis certains pouvoirs mais à la deuxième génération, ces pouvoirs n’existaient plus sauf un rituel d’imposition des mains au dessus de la tête pour devenir un Évêque.

    Certains « Écrits » donnent Saül de Tarse dit « Paul » comme un treizième Apôtre, mais avant Paul qui se nomme lui-même « Apôtre », il y a Barnabé qui fut pendant un an l’éducateur de Paul, et lui, devrait être le treizième « Apôtre » et Paul le quatorzième.

    Heureusement Jésus le Nazôréen choisit douze « Apôtres » et pas un de plus car les « Douze » représentent les douze tribus qui formèrent le pays d’Israël.

    Suivons un peu l’histoire de Saül de Tarse qui jusqu’à l’an 37-38 fut un persécuteur du mouvement des Nazôréens.

    Il y a douze Apôtres et celui qui a le plus de notoriété dans le Nouveau Testament est un humain hébreu de par sa naissance, il le dit lui-même, grand persécuteur du début du « Mouvement des Nazôréens » particulièrement à Jérusalem, en Galilée et Judée. Il est responsable de l’arrestation du Disciple Diacre Étienne et de sa lapidation, sentence où il était témoin, les écrits historiques ne disent pas si, il a participé à cette lapidation.

    Épître aux Philippiens III : 4-6

    J'aurais pourtant sujet, moi, d'avoir confiance même dans la chair ;// circoncis dès le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu fils d'Hébreux ; quant à la Loi, un Pharisien ; quant au zèle, un persécuteur de l'Église ; quant à la justice que peut donner la Loi, une homme irréprochable.

    Actes des Apôtres XXI : 39

    « Moi, reprit Paul, je suis Juif, de Tarse en Cilicie, citoyen d'une ville qui n'est pas sans renom. Je t'en prie, permets-moi de parler au peuple. »

    Actes des Apôtres XXII : 2-15

    Quand ils entendirent qu'il s'adressait à eux en langue hébraïque, leur silence se fit plus profond. Il poursuivit :

    « Je suis Juif. Né à Tarse en Cilicie, j'ai cependant été élevé ici dans cette ville, et c'est aux pieds de Gamaliel que j'ai été formé à l'exacte observance de la Loi de nos pères, et j'étais rempli du zèle de Dieu, comme vous l'êtes tous aujourd'hui.

    J'ai persécuté à mort cette Voie, chargeant de chaînes et jetant en prison hommes et femmes, comme le grand prêtre m'en est témoin, ainsi que tout le collège des anciens. J'avais même reçu d'eux des lettres pour les frères de Damas, et je m'y rendais en vue d'amener ceux de là-bas enchaînés à Jérusalem pour y être châtiés.

     Je faisais route et j'approchais de Damas, quand tout à coup, vers midi, une grande lumière venue du ciel m'enveloppa de son éclat.

    Je tombai sur le sol et j'entendis une voix qui me disait :

    « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ?

    Je répondis :

    « Qui es-tu, Seigneur ? »

     Il me dit alors :

     « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes. »

    Ceux qui étaient avec moi virent bien la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.

    Je repris :

    « Que dois-je faire, Seigneur ? »

    Le Seigneur me dit :

    « Relève-toi. Va à Damas. Là on te dira tout ce qu'il t'est prescrit de faire. »

    Mais comme je n'y voyais plus à cause de l'éclat de cette lumière, c'est conduit par la main de mes compagnons que j'arrivai à Damas.

    Il y avait là un certain Ananie, homme dévot selon la Loi et jouissant du bon témoignage de tous les Juifs de la ville ; il vint me trouver et, une fois près de moi, me dit :

     « Saül, mon frère, recouvre la vue. »

    Et moi, au même instant, je pus le voir. Il dit alors :

    « Le Dieu de nos pères t'a prédestiné à connaître sa volonté, à voir le Juste et à entendre la voix sortie de sa bouche ; car pour lui tu dois être témoin devant tous les hommes de ce que tu as vu et entendu. »

    Il est incontestable que Jésus le Nazôréen ait choisi cet humain pour qu’il soit le Disciple des Nations donc des « Gentils »

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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  • Pays d’Israël à la séparation

     

     

    Hist. Nom : Jésus le Nazôréen – Ses Enseignements

     

    Ces derniers chapitres, je le conçois, sont loin du titre général ci-dessus, mais je pense que pour avoir la croyance, la foi en quelque chose, il faut une bonne fondation, donc il est important de connaître l’historique de l’humain avec le Dieu seul et unique, mais aussi avec les autres dieux pour que nous ne commettions pas la même erreur que nos ancêtres.

    L’important pour nous humains c’est de mettre en pratique les Lois et Enseignements de notre seul Dieu SHADDAÏ et de son fils Jésus le Nazaréen, je sais que ce n’est pas facile, mais penser à Lui et le remercier indirectement de tous ses bienfaits c’est déjà une prière.

     

    Dernières phrase du chapitre précédent

     

    En faisant une religion « Trinitaire » la chrétienté dans son ensemble en fait une religion idolâtre, même pour le protestantisme qui a pour « Sceau », dans leur « Temple », juste une croix de bois, prétextant que Jésus-Christ n’avait plus lieu d’être sur la croix puisque son corps le jour de l’Ascension était partie rejoindre son Père, mais devant ces morceaux de bois en formant une croix, les fidèles prient la  matière espérant que celle-ci… !

     Devant El-Shaddaï il n’y a pas de « grands idolâtres » ou « petits idolâtres », mais des « idolâtres » simplement. De plus cette religion accepte ce fameux « Esprit-Saint ou Saint-Esprit » qui n’a aucune existence réelle, sauf dans l’esprit inventif des humains, qui se servent de ce mythe pour rendre leurs semblables en servitude à leur intention.

     

    Chapitre N° 14

     

    Résultante d’un Peuple ingrat

     

    Je reviendrai certainement sur cet embryon de la chrétienté Occidentale, nommée plus communément catholique, dont le Siège sera Rome, mais seulement après le Xème siècle, quand la scission entre l’Orient et l’Occident deviendra inévitable ayant comme divergence le « filioque », c’est-à-dire la consubstantialité entre la nature du « Père » et celle du « Fils », l’Orient prenant pour siège Constantinople, devenant la chrétienté « Orthodoxe ». Entre ces deux mouvements chrétiens venant de la même origine se sera une guerre continuelle, par les armes au « Nom de Jésus-Christ » comme par les dogmes religieux. Quand à « l’embryon » qui n’est ni plus, ni moins qu’une révolution interne au christianisme catholique de l’époque, il portera le nom de « Protestant » et non le nom de son chef religieux catholique Martin Luther écœuré du comportement des Dignitaires Religieux se vautrant dans la luxure ainsi que les richesses, opprimant les classes agraires et autres par des impôts élevés.

    Pour une richesse instructive sur la religion je cite :

    « C’est en Allemagne, en 1529, qu’on parle pour la première fois de « Protestants ». Ce quolibet, qui à son origine voulait dire « proclamer, attester, faire profession de foi » est dans un premier temps, utilisé par les adversaires de la « Réforme » pour désigner les adeptes de cette dernière.

    A cette époque vers 1517, un moine allemand, théologien, Martin Luther commence à repenser l’Église et à lui proposer des changements profonds en publiant quatre-vingt-quinze « Thèses » dénonçant les travers de l’Église catholique romaine comme la vente des « Indulgences », et affirme que la Bible doit être la seule autorité sur laquelle repose la foi et doit pouvoir être lu par tout le monde. Il est soutenu dans sa « Réforme » par des théologiens tels que Jean Calvin, Ulrich Zwingli, Pierre Valdo, et des princes électeurs allemands et autres comme John Wyclif, Jan Hus, Lefèvre d’Étaples ainsi que l’empereur Charles Quint pourtant fervent catholique nommé aussi Charles de Habsbourg. Après avoir toléré pendant trois ans le mouvement de la Réforme, pour des raisons pécuniaires il convoque une assemblée politique où il ordonne le ralliement inconditionnel à l’Église catholique romaine.

    Les Princes s’y refusent, ils « protestent devant Dieu // ainsi que devant tous les hommes » de leur refus d’admettre un décret qu’ils jugent contraire « à Dieu, à sa sainte Parole, à leur conscience et au salut de leur âme », d’où ce titre de « Princes Protestants ». Plus d’un siècle après tous ces évènements les adeptes de la Réforme tentent de provoquer des changements au sein de l’Église catholique romaine sans y parvenir. La rupture est inévitable, c’est le début officiel du Protestantisme.

    Aujourd’hui au sein de la seule fédération protestante de France, on dénombre vingt-six unions d’Églises telles que les Luthériens, Baptistes, Calvinistes et la plus importantes Évangéliques, tandis que sur le plan international, ce sont environs trois cent vingt Églises issues du protestantisme qui participent au « Conseil Œcuménique des Églises », aux côtés d’une trentaine d’Églises orthodoxes et des Églises vieilles-catholiques. »

    Après ce petit cours d’histoire théologique je reviens à la naissance pure du mouvement des Nazôréens et au choix des Apôtres.

    Jésus le Nazaréen est de naissance hébraïque-araméenne, donc en français c’est un « Juif ». Avant toute chose Jésus choisit soixante-douze Disciples qui sont hébreux dont une minorité est hellénisée c’est-à-dire de culture grecque. C’est parmi ces soixante-douze Disciples que Jésus choisira ses Apôtres, tous de culture religieuse hébraïque.

    Pourquoi Jésus le Nazaréen choisit-il soixante-douze Disciples en premier et que parmi ce nombre il choisit de nouveau douze Disciples tellement différent mais ayant, quand même pour certains des liens familiaux très proches, qu’il nommera « Apôtres » ?...

    Voyons ces « Disciples » qui porteront le nom « d’Apôtre » et qui recevront le pouvoir de guérir les maladies, mais le plus important est celui de l’exorcisme, avoir la force et le pouvoir de dominer sur les « Serviteurs de Sammaël représentants du mal », en les chassant, les expulsant du corps, de l’esprit, de leurs semblables.

    Matthieu X : 3 et +, Marc III : 13-19, puis Luc VI : 12-16, voici donc ces douze « Apôtres » que l’on nommera vulgairement « les Douze »

    « Deux frères qui sont pécheurs sur la mer de Génézareth Syméon nommé Simon-Pierre surnommé « Képhas », (Jean I : 42), le « Rocher » en français et qui gardera le prénom de Pierre et son frère André, puis Jésus prend deux autres frères Jacques et Jean dit l’Évangéliste, mais nommé par leur Maître, « Boanergès », qui signifient « fils du Tonnerre », fils Zébédée, tous deux pécheurs sur la Mer de Galilée, qui est la même que cité ci-dessus, puis Philippe, Barthélemy nommé aussi Nathanaël, Didyme Jude Thomas, sa ressemblance avec Jésus le Nazaréen était telle qu’il fut surnommé « Didyme », qui signifie « Jumeau » et son véritable prénom était Judas, mais à cause d’Iscariote il fut nommé « Jude », ensuite il y a les frères d’Alphée appelé souvent « Frères de Jésus-Christ » ce qui ait une absurdité notoire. Matthieu dénommé Lévi, « le publicain, collecteur d’impôts ou douanier », fils d’Alphée, ses frères Jacques dit le Mineur, le Petit et Jude fils d’Alphée interpelé « Thaddée » dans certains « Évangiles » et dit fils de Jacques le Mineur dans d’autres « Évangiles » pour ajouter un peu plus de confusion. Personnellement je pense qu’il est le petit frère de Jacques fils d’Alphée. Nous avons pour terminer Syméon susnommé le Cananite ou le Zélote, désigné aussi comme Simon le Zélote fils de Clopas et de Marie Jacobée, et le dernier Apôtres Judas d’Iscariote qui trahit Jésus le Nazaréen, pour trente sicles d’argent. »

    Simon apostrophé de Zélote, fils de Clopas fut choisit à la succession de Jacques le Majeur, ou Jacques Zébédée frère de Jean après la destruction du Temple de Jérusalem en 70 de l’EC.

    Ce que je vous écris en ce moment est très important pour la connaissance historique, bien sûr, et pour notre propre foi.

    Toute cette partie territoriale du delta du Tigre et de l’Euphrate en remontant vers leur source, puis rejoignant la Grande Mer, qui est la Mer Méditerranée, suivant les côtes vers le pays de Canaan, allant jusqu’au grand delta du Nil remontant ce fleuve vers la Nubie, ou continuant le long des côtes « jusqu’à l’immensité d’eau qui avale le soleil » sont des routes de passage des troupeaux de nomades, mais aussi de convoitises guerrières car toute cette partie de terre est fertile.

    En effet nous sommes dans les années 1700, 1500 avant l’EC., ou J-C., (EC = Ère Commune, J-C. = Jésus-Christ) et se sont les Hyksôs qui gouverne la Basse et Moyenne Égypte. Ces Hyksôs ont une puissance militaire incontestable pour l’époque, arc en composite, char de guerre, cote de maille, casque de fer pour protéger la tête, bouclier d’une efficacité reconnue, juste ce qu’il faut pour faire réfléchir plus d’un roi.

    D’après les historiens ils forment la XV et XVIème dynastie égyptienne.

    Ils se sont installés en Basse et Moyenne Égypte sans combats. Ils laissent les différents vassaux en place leur exigeant un tribut. Les souverains Hyksôs au contact de la civilisation égyptienne, beaucoup plus avancé que la leur, adoptent le protocole et les titres de la cour royale. Dans le gouvernement de l’Égypte, ils conservent l’organisation administrative existante. Pour ce faire, ils utilisent un personnel de fonctionnaires égyptiens. Ils installent des petits royaumes contrôlés par des Égyptiens collaborateurs en Moyenne-Égypte. Tous ces vassaux forment la XVIème Dynastie.

     Ces gens, les « Hyksôs », n’avaient pas besoin de faire la guerre, tellement la supériorité militaire était importante.

    C’est dans ce contexte historique que Joseph arrive en Égypte, et qu’il devient la seconde personnalité la plus importante après le Roi qui serait « Méry-ouser-Rê soit Yaqoub-Her »

    Le nom sémitique « Jacob » puisse apparaître sous la forme de « Yaqoub-Her » des rois Hyksôs, demande une certaine prudence avant d’affirmé que c’est bien le Jacob biblique.

    L’Égypte n’est pas encore la grande dynastie pharaonique de l’ère de Moïse.

    Avec l’aide de son fils Joseph, Grand Intendant du pays d’Égypte, Jacob vient s’installer dans ce pays où il leur fut donné le pays de Goshen à la limite orientale du Delta du Nil.

    Quand Jacob fut enterré en Palestine tous reviennent vivre en Égypte, ils sont avec les douze fils de Jacob soixante-dix. Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Issacar, Zabulon, Dan, Nephthali, Gad, Asher, Joseph qui formeront deux tribus celle de Manassé et d’Éphraïm, Benjamin, seront les douze tribus qui formeront le Pays d’Israël. Tous auront un territoire en Israël sauf la tribu de Lévi qui sera responsable de la Prêtrise.

    Comme je l’ai déjà écrit le « Peuple » d’Israël c’est formé en terre étrangère, c’est-à-dire en Égypte. De soixante-dix humains sous le règne des Hyksôs qui gouvernaient l’Égypte, la descendance de Jacob était de trois à quatre cent mille hommes en quatre cent ans environ puisqu’à l’ère de Moïse nous sommes sous le Pharaon Ramsès II, qui fit construire son palais non loin d’Avaris ancienne cité royal des Hyksôs, qu’il nomma « Pi-Ramsès ».

    Les Lois religieuses qu’observaient la descendance d’Abraham, puis des fils de Jacob en terre étrangère étaient la circoncision, le respect du sabbat, et la croyance en un Dieu seul et unique qu’ils nommaient « EL-SHADDAÏ » qui signifiait « Dieu au-dessus des Montagnes ».

    Ils devaient aussi respecter ce que l’on appelle les Lois Noachides c’est-à-dire les Lois et Préceptes qu’EL-SHADDAÏ donna à Noé lors de l’Alliance qu’il fit avec la race humaine en posant l’Arc-en-Ciel dans les nuées. Il répéta et ordonna ces mêmes Lois et Préceptes à Abraham et sa descendance, que l’humain nommera les « Sept Lois Noachides »

    Les voici :

    « Tu adoreras un seul et unique Dieu, celui qui créa le Ciel, la Terre, tous ce qui respire et tu ne blasphémeras pas.

    Tu n’adoreras pas d’image taillée représentant ce qui vit au Ciel, sur la Terre, sous la terre, dans les eaux.

    Tu n’auras pas des unions illicites

    Tu ne voleras pas

    Tu ne tueras pas comme un assassin

    Tu ne mangeras pas un animal vivant, avec son sang, étouffé

    Tu respecteras les tribunaux. »

    Le peuple hébraïque venant plus important que les indigènes, ceux-ci les mirent en esclavages afin de faire diminuer les naissances. Le faite que le peuple hébreux était plus prospère en naissance venait de leurs lois hygiéniques qui rendaient la mortalité infantile moindre.

    Le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ était reconnu par la circoncision.

    Ce Dieu libéra son « Peuple » du joug de l’esclavage et lui donna la Terre Promise. Les douze tribus formant le pays d’Israël étaient, si l’on peut dire, des états fédérés sous la tutelle d’un Roi. Pendant environ quatre siècles, jusqu’à la mort de Salomon, le pays respecta l’Alliance qui existait avec leur Dieu. En l’an 931 le pays d’Israël se scinda en deux, dix tribus qui continuèrent à être le Pays d’Israël, et les deux autres tribus, la grande Juda avec la petite Benjamin qui gardèrent Jérusalem comme capitale avec son Temple réserver à leur Dieu unique celui de Jacob et de Moïse. Les autres tribus adorèrent d’autre Dieux qu’ils posèrent tout le long de la frontière comme un défit et prirent comme capitale Samarie.

     Les dix tribus seront déportées par les assyriens dans tout l’Empire en 722 av l’EC., se sera la Diaspora. Quand au pays de Juda les élites seront déportées à Babylone, la capitale Jérusalem et le Temple réduit en cendre par les Babyloniens en l’an 587 av J-C. Si l’on connaît les prophéties sept semaines d’année après la destruction du Temple celui-ci sera reconstruit. Babylone se trouve sous domination Perse et Darius en 539 av l’EC., autorise les hébreux captifs à rentrer chez eux et on l’autorisation de reconstruire le Temple en 538 av J-C. Jusqu’en l’an 70 ap. J-C., où Jérusalem et le Temple seront complètement détruit, cette époque sera appelée, ère du Second Temple.

    Après la construction de ce second Temple les premières décennies les humains formant le peuple d’EL-SHADDAÏ respectèrent le contrat qui existait entre eux et leur Dieu. Mais les mauvais démons revinrent vite au galop, en particulier l’idolâtrie, alors EL-SHADDAÏ abandonna son peuple comme celui-ci l’avais abandonné. Le Pays, la Palestine fut tour à tour  sous le joug de la Perse, puis de la Grèce, puis de l’Égypte et enfin de Rome.

    Je viens de vous conter rapidement l’histoire du « Peuple » d’El-Shaddaï jusqu’à l’arrivé du dernier conquérant, celui au pied d’argile, dans la vision de Daniel.

    Nous sommes au IV, IIIème siècle antérieur à Jésus le Nazôréen. Très vite après la fondation de la ville portuaire d’Alexandrie en 331 av. l’EC., par Alexandre le Grand, la diaspora juive s’y développe fortement, en particulier autour du Palais Royal à un point tel que deux des cinq quartiers  de la cité sont déjà pris par les descendants d’Abraham, ce qui n’est pas exacte, mais qui n’est pas faux non plus si l’on considèrent que tout le peuple hébreu vient de la descendance de Jacob.

    Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

    Salutations cordiales à tous !

    Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »


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