• Symbole de la Sagesse

     

    Conscience, esprit Sain

     

    Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».

     L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles  se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.

    Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».

     

    Dernière phrase du chapitre précédent

     

    Je vous écris cette partie de ma vie pour vous prouver qu’EL-SHADDAÏ pardonne beaucoup de péchés, mais je n’ai jamais commis le contre-nature. Si vous faites un pas vers Lui, il en fait dix vers vous, et si vous allez vers Lui avec sincérité, sans hypocrisie, il aplanît le sentier qui  mène à Lui car il désire que vous soyez son enfant, et comme un père il vous aimera, vous cajolera, et vous corrigera quand vous fauterez, tout cela je le confirme pour l’avoir vécu.

    Comme je l’ai été, vous êtes seul pour faire votre choix, seul de votre décision, car comme ce Dieu que je vénère, comme nous sommes son image, son reflet, nous sommes de petit Dieu sur la Terre, nous sommes responsable de nous-même devant sa face, libre de notre choix, car contrairement à l’animal qui vie par instinct, nous pouvons réfléchir, raisonner, penser puisque nous sommes inventeur, créateur, et volontairement nous choisissons la vie ou le néant.

    Croyez-vous sincèrement que la vie que nous menons sur la Terre était celle prévue par celui qui nous a créés ? … ?

    Je reviendrai sur cette réflexion !

     

    Chapitre 2  

     

    Esprit Sain = Sagesse

     

    Maintenant je vais vous prouver que les humains déforment le sens de certains textes Bibliques.

    Le premier livre de Jean l’Évangéliste à son commencement pose dilemme, car beaucoup de chrétiens se réfèrent à ce livre pour prouver que Jésus-Christ est un Dieu, donc égal à son Père Céleste.

    Posons les cinq premiers versets du chapitre un, de Jean et les différentes traductions

    Jean I : 1-5

    a) Bible de Jérusalem

    Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu.

    Il était au commencement avec Dieu.

    Tout fut par lui, et sans lui rien ne fut.

    Ce qui fut en lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

    Et la lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont pas saisie.

    b) Bible Segond 1910 – Bible protestante

    Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.

    Elle était au commencement avec Dieu.

    Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle

    En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

    La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue.

    c) Bible Darby – Bible Protestante

    Au commencement était la Parole; et la Parole était auprès de Dieu; et la Parole était Dieu.

    Elle était au commencement auprès de Dieu.

    Toutes choses furent faites par elle, et sans elle pas une seule chose ne fut faite de ce qui a été fait.

    En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

    Et la lumière luit dans les ténèbres; et les ténèbres ne l'ont pas comprise.

    d) Bible courante – Bibliothèque de la Pléiade

    Au principe était la parole, la parole était chez Dieu et la parole était Dieu.

    Elle était au principe chez Dieu

    Tout a existé par elle et rien de ce qui existe n’a existé sans elle.

    En elle était la vie et la vie était la lumière des hommes.

    La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’on pas trouvée

    La traduction dans la Bible de Jérusalem prend le mot « Verbe » au lieu de « Parole » pour les Bibles Protestantes et « parole » en nom singulier pour la traduction d’une Bible courante.

    La première constatation est que pour qu’il y ait  « Paroles ou paroles » il faut qu’existe la substance, la matière.

    Le premier Dieu de tout l’Univers c’est fait de part « Lui-même » d’où le terme substance.

    Ce Dieu substance que je nomme EL-SHADDAÏ possède un esprit de réflexion de raisonnement et une chose intégrante à Lui-même la « Sagesse ». Nous-mêmes, étant à l’image de ce Dieu, à son reflet plus exactement, et à leurs ressemblances Père, Fils et les Vivants célestes que nous nommons « Anges », nous possédons ce que le premier être de l’immensité détient et détenait c’est-à-dire l’esprit pour la réflexion, puis la « parole » pour que nous puissions exprimer « l’esprit » par le langage qui est représenté par un nombre de paroles disposées les unes derrière les autres, avec le « verbe » qui donne l’intonation de ces « paroles » exprimant un sentiment.

    Si nous croyons et avons foi dans les écritures bibliques, tout fut créé, fait par la « Parole ». Mais il n’y a pas que la Bible qui explique les mystères de la création, le « Livre des Secrets d’Hénoch » offre aussi de bonnes explications et bien avant l’Ancien Testament les écrits du Patriarche Hénoch étaient déclarés «  Sain », et je n’ai pas fait de faute d’orthographe.

    Comme je ne suis pas ici, à cette heure avancée de la nuit pour être un égoïste, mais pour servir EL-SHADDAÏ, et vous enseigner, afin que vous preniez, si bien entendu vous le désiriez, ce chemin qui mène à ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, je vais vous poser les versets du Livre d’Hénoch                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                

    II Hénoch ou Livre des Secrets – Bible III, Écrits Intertestamentaires p 1189-1193 (Collection les Pléiades, éditeur Gallimard)

    …// Et tout ce qu'il convient d'apprendre, Vreveil me l'exposa pendant trente jours et trente nuits, écrivant tous les signes. Et quand j'eus fini, Vreveil me dit:

    « Assieds-toi, écris tout ce que je t'ai exposé ! »

     Et je m'assis, le double de trente jours et trente nuits, et j'écrivis tout exactement, et je composai trois cent soixante livres.

    La création du néant à l'être XXIV : 1-5

     Et El-Shaddaï m'appela, et il me plaça à sa gauche, plus près que Gabriel, et j'adorai El-Shaddaï. Celui-ci me dit:

    « Tout ce que tu as vu, Hénoch, ce qui est stable et ce qui se meut, c'est moi qui l'ai réalisé, et moi je t'expliquerai, du début avant que tout cela n'existât, tout ce que j'ai formé du néant à l'être et de l'invisible au visible. Même à mes anges, je n'ai pas expliqué mon secret, et je ne leur ai pas dit comment ils ont été formés, et ils n'ont pas connu ma création infini et inconnaissable, et à toi je l'explique aujourd'hui. Avant que ne fussent toutes les choses visibles, la lumière s'ouvrit, et moi, au milieu de la lumière, je parcourais l'espace // Le soleil trouvera le repos, mais moi, je ne trouvai pas de repos, parce que tout était sans forme. »

    Adoël XXV : 1-4

    « Ayant médité d'établir un fondement pour faire une création visible, j'ordonnai dans les profondeurs que montât, visible, une des choses invisibles. Adoël sortit, extrêmement grand, et je le considérai, et voici qu'il avait dans son ventre le Grand Siècle. Et je lui dis:

    « Délivre-toi, Adoël, et que soit visible tout ce qui naît de toi. »

     Et il se délivra, et le Grand Siècle sortit de lui, qui ainsi portait toute la création que moi, je voulais faire. Et je vis que c'était bon, et je dis:

    « Monte, toi, plus haut, et affermis-toi, et sois le fondement des choses d'en haut ! »

     Et il n'y a par-dessus la lumière rien d'autre.

    Arouchaz XXVI : 1-3

    « Et je regardai, me dressant de mon trône, et j'appelai une seconde fois dans les profondeurs, et je dis:

    « Que sorte de l'invisible, visible, une chose ferme ! »

    Et Arouchaz sortit, dur, lourd et noir extrêmement. Et je vis qu'il convenait, et je lui dis:

    « Descends, toi, en bas, et affermis-toi, et sois le fondement des choses d'en bas ! »

     Et il descendit et s'affermit, et il fut le fondement des choses inférieures. Et il n'y a sous les ténèbres rien d'autre. »

    Création de l'abîme, de la terre et du firmament XXVII-XXVIII

    «Entourant l'éther de lumière, je l'épaissis et l'étendis au-dessus des ténèbres, et des eaux j'affermis de grandes pierres, et j'ordonnai aux brouillards de l'abîme de se sécher sur la terre ferme, et je nommai abîme ce qui retomba. Je rassemblai la mer en un seul lieu et la liai d'un joug: j'établis entre la terre et la mer une limite éternelle, et elle ne sera pas rompue par les eaux. Je fixai le firmament et en posai le fondement au-dessus des eaux. »

    Création des anges XXIX : 1-2

    « Pour toute la milice céleste, je formai le soleil de la grande lumière et je le plaçai au ciel pour qu'il brille sur la terre. Des pierres, je fis jaillir un grand feu, et du feu je fis toute la milice des incorporels et toute la milice des étoiles, et les Chérubins et les Séraphins et les Ophanims, tout cela je le fis jaillir du feu. »

     Création des plantes et des animaux  XXX : 1-2

    « A la terre, j'ordonnai de faire croître tout arbre et tout fruit et toute herbe à céréale et toute semence qui se sème: avant de faire des âmes vivantes, je leur avais préparé la nourriture. A la mer, je commandai d'engendrer ses poissons et tout reptile rampant sur la terre et tout oiseau volant. Quand j'eus tout achevé, je commandai à ma Sagesse de faire l'homme. »

    Sagesse et Pensée de Dieu dans la création  XXXIII : 1-4

    « Maintenant, Hénoch, tout ce que je t'ai expliqué, et tout ce que tu as vu dans les cieux, et tout ce que tu as vu sur la terre, et tout ce que tu as écrit dans tes livres, c'est par ma Sagesse que j'ai combiné de faire cela. Je l'ai fait depuis le fondement du bas jusqu'à celui du haut et jusqu'à leurs extrémités, il n'y a pas de conseiller ni de continuateur, c'est moi seul, éternel, sans œuvre des mains ; ma Pensée immuable est mon conseiller et ma Parole est acte, et mes yeux contemplent tout : tout tient si j'y porte mon regard, mais si je détourne ma face, alors tout se détruit.

    Applique ton esprit, Hénoch, et connais celui qui te parle ! Et prends les livres que tu as écrits, et je te donne Semeil et Rasouil qui t'ont fait monter vers moi, et descends sur la terre et explique à tes fils tout ce que je t'ai dit et tout ce que tu as vu depuis le ciel inférieur jusqu'à mon trône : toutes les milices, c'est moi qui les ai faites, il n'y en a pas qui s'oppose à moi ou ne se soumette pas, et tous se soumettent à mon pouvoir monarchique et servent ma seule puissance. »

    En lisant ces textes de la troisième Bible, Écrits Intertestamentaires, nous constatons que la création de l’Univers, puis des incorporels, après notre système solaire et enfin l’humain c’est fait, grâce en premier à la « Pensé » et après par la « Parole » qui fait le langage et le « Verbe » puisque le Créateur « ordonne ».

    En plus cet Univers est délimité vers le haut, vers le bas, et seulement après il y a « Infini » c’est-à-dire le « néant »

    Je suis un humain imparfait, mais une chose est sûre, comme je suis l’image d’El-Shaddaï, son reflet, tout comme vous, comme Lui je pense, et j’en déduis que le Créateur de toute chose, ce Dieu unique, a en premier établit un plan par la réflexion, donc par l’Esprit de raisonnement pour ajuster, justement ces pensées de création.

    Dans tout cela il n’y a pas d’ « Esprit-Saint » comme veulent nous endoctriner les « Dirigeants ou Enseignant » de la chrétienté.

    Par contre, comme Il le dit lui-même, il faut avoir une grande Sagesse. Cette « Sagesse », ce sentiment noble, doit être en soi, dans l’origine, le fondement interne, voilà pourquoi ci-dessus il est écrit : « C’est par ma Sagesse que j’ai combiné de faire cela », mais aussi :

    Siracide I : 1-13

      « Toute sagesse vient d’El-Shaddaï, elle est près de lui à jamais.

    Le sable de la mer, les gouttes de la pluie, les jours de l'éternité, qui peut les dénombrer ?

    La hauteur du ciel, l'étendue de la terre, la profondeur de l'abîme, qui peut les explorer ?

    Mais avant toutes choses fut créée la sagesse, l'intelligence prudente vient des temps les plus lointains.

    La racine de la sagesse, à qui fut-elle révélée ? Ses ressources, qui les connaît ?

    Il n'y a qu'un être sage, très redoutable quand il siège sur son trône c'est EL-SHADDAÏ. C'est lui qui l'a créée, vue et dénombrée, qui l'a répandue sur toutes ses œuvres, en toute chair selon sa largesse, et qui l'a distribuée à ceux qui l'aiment.

    La crainte d’El-Shaddaï est gloire et fierté, gaîté et couronne d'allégresse.

    La crainte d’El-Shaddaï réjouit le cœur, donne gaîté, joie et longue vie.

    Pour qui craint El-Shaddaï, tout finira bien, au jour de sa mort il sera béni. »

    Sagesse de Salomon I : 1-7

    « Aimez la justice, vous qui jugez la terre, ayez sur El-Shaddaï de droites pensées et cherchez-le en simplicité de cœur, parce qu'il se laisse trouver par ceux qui ne le tentent pas, il se révèle à ceux qui ne lui refusent pas leur foi.

    Car les pensées tortueuses éloignent d’El-Shaddaï, et, mise à l'épreuve, la Puissance confond les insensés.

    Non, la Sagesse n'entre pas dans une âme malfaisante, elle n'habite pas dans un corps tributaire du péché.

    Car la Sagesse, éducatrice, fuit la fourberie, elle se retire devant des pensées sans intelligence, elle s'offusque quand survient l'injustice.

    La Sagesse est un esprit ami des hommes, mais elle ne laisse pas impuni le blasphémateur pour ses propos ; car EL-SHADDAÏ est le témoin de ses reins, le surveillant véridique de son cœur, et ce que dit sa langue, il l'entend.

    L'esprit d’El-Shaddaï en effet remplit le monde, et lui, qui tient unies toutes choses, a connaissance de chaque mot. »

    Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Notre conscience, esprit sain

     

    Chapitre N°1

     

    Tous peuvent venir à EL-SHADDAÏ                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          

     

    Comme je vous l’écris souvent, je suis un humain comme vous, avec mes qualités et mes défauts, comme vous, je suis un humain imparfait. Je ne suis pas supérieur à vous, car comme vous, tous les jours je dois lutter contre les tentations néfastes que Sammaël me tend, nous offre, sur un plat judicieusement garni afin que chaque humain puisse puiser avec une extrême facilité.

    Comme exemple ?

    Aujourd’hui votre parole, par la langue, dira un peu plus de mots grossiers, ou toujours par la langue, vous aurez tendance à calomnier plus facilement vos semblables, ou si au magasin la caissière se trompe en votre faveur, ne rien dire en empochant se supplément d’argent, etc, … Une multitude de petites fautes insignifiantes, machinales qui vont s’échelonner tout le long de la journée et qui le soir dans votre lit, vous donneront mauvaise conscience envers El-Shaddaï, rendant difficile votre endormissement.

    Et si vous désirez trouver le sommeil il ne vous reste plus qu’à demander pardon à El- Shaddaï de cette mauvaise journée où, les « Principes » de ce Dieu Shaddaï, votre Dieu seul et unique, ont été oubliés involontairement.

    Cet exemple est valable pour moi aussi, pour d’autres fautes encore plus subtiles, plus profondes, s’approchants encore plus de ce que je pourrai appeler la « perfection ».

    En, effet tous les soirs, il est bon de faire un examen de conscience de la journée. Cet examen vous permettra de corriger vos fautes, jusqu’à la disparition totale de ce ou ces péchés. El- Shaddaï est un Dieu patient, qui sait très bien que pour corriger tel péché il vous faudra beaucoup plus de temps, que pour fustiger tel autre péché, car c’est un Dieu d’amour pour ses enfants, et comme un Père il nous fait comprendre où sont nos fautes afin que nous éradiquions cette faute, ce péché de notre esprit, de notre action, de notre langage, de notre cœur.

    Bien sûr que je prends exemples sur moi-même et sur ma « Petite Vieille », mon épouse depuis quarante-trois ans. Toute ma vie j’ai cherché un véritable Dieu et je ne l’ai trouvé que quand « Lui », ce Dieu unique que je prie aujourd’hui, et pour lequel je démarche auprès de vous,  a bien voulu ce faire connaître.

    Un peu de recul : j’ai fait ma vie qui est loin d’être une vie de « Saint »

    Il est vrai que toute ma vie j’ai cherché au fond de moi le sentier qui mène vers un « Dieu » unique, un véritable DIEU.                        

    Sur cette autoroute de spiritualité j’ai écouté des personnes qui me disaient que leur « Dieu » était le Dieu unique, celui qui donnait la « Vie Éternelle ». Sans compter ceux qui me contaient que par le « Dieu Jésus-Christ » je ressusciterais et que j’aurai la vie éternelle. Alors avec tous ces Dieux qui donnent la vie éternelle qui soi-disant ressusciteraient, nous allons nous retrouver à cette résurrection plus de quarante milliards d’êtres humains qu’il faudra nourrir. Avec sept milliards d’individus, deux milliards meurent de faim, alors ! …

    Oui je connaissais la nature, son fonctionnement, la vie, la mort, mais je ne connaissais toujours pas ce « Dieu » unique. Je fréquentais ces gens du « Milieu », et tous allaient à l’église blablataient à un Prélat dans le confessionnal toutes leurs « conneries », puis allaient s’agenouiller dix minutes réciter je ne sais quoi à je ne sais qui ! A la sortie du Temple froidement vous sortait :

    « Tu viens Polo, on va chez le Gus ramasser un peu d’oseille voir si ces Dames ont tapiné correctement »

    J’arrivais à la quarantaine et toujours pas de véritable « Dieu » Ah !... Des « dieux » !... Les humains m’en ont donné à toutes les sauces

    La cinquantaine toujours pas de « Dieu véritable », mais suite à une ablation de la rate à quarante-cinq ans, en cadeau de bienvenue l’hôpital m’a offert un de ces microbes inguérissables qui vous entraine très rapidement vers « DAME MORT » que l’on nomme maladie « Nosocomiale. ». Je sais qu’il ne me reste plus beaucoup de temps à passer sur cette Terre En cinq ans le corps c’est détérioré à une vitesse phénoménale. Maintenant il me faut des béquilles, puis un lit médicalisé, un rehausseur pour les toilettes, plus l’aide d’une personne pour les toilettes intimes, enfin je suis un « légume » ou presque !

    Et cette maladie que personne ne connaît !

    Ce que je vous écris, c’est toujours cette période de temps entre mes quarante-cinq ans et la cinquantaine. Je n’ai toujours pas trouvé ce Dieu unique. J’ai fait jouer mes relations pour récupérer mon permis de conduire. Puis j’ai peut-être fait le mauvais choix, car désirant continuer à travailler je suis passé par la COTOREP ! … J’ignorais qu’à l’âge de la retraite ils nous coupaient tous, Ceci fait partie des injustices des Lois Françaises. Moins vous en faites et plus vous touché par l’État.

    La cinquantaine était passé, le microbe continuait à faire son travail, et toujours pas de « Dieu » dans le sens où je considérais qu’il en existait bien un au-dessus de ma tête, la–haut dans cette immensité, un véritable Dieu qui soit un « Dieu », c’est-à-dire seul et unique. C’est à cette époque que, à ce Dieu, que je ne voulais pas appeler « Dieu », je demandais sans trop y croire, une chose, pas pour moi, non, mais pour mon compagnon de misère et dans les deux heures qui suivirent, je fus exaucé.

    Quel fut mon étonnement !

    Quelqu’un au-dessus de ma tête écoutaient mes prières et les mettaient en œuvres !

    N’y croyant pas trop, il y aura bien un moment où j’aurai besoin de lui et qu’il se fera connaître comme le Seul et Véritable Dieu de tout le Cosmos, l’Univers.

    Des prières j’en ai récité et des toutes faites genre « Notre Père, Mea-culpa, je vous salue Marie » Du vent ! Des Prières pour le vent !

    Enfin les cinquante ans étaient déjà entamés, et juste des prémices d’un « Dieu » Enfin rien !

    Le second événement allait venir beaucoup plus rapidement que je ne le pensais. La chose est vague dans mon esprit. Enfin, il advint, quelques  temps plus tard, de demander à ce « Dieu » une énormité. Je ne me souviens plus exactement, mais ce que je sais est tellement énorme qu’il était impossible pour moi qu’un « Dieu » accepta cette demande. Non n’ayez crainte ce n’est pas de l’argent, ou de gagner une grosse somme au tierce, où de quelque chose de similaire, de matériel.

    Une chose est sûr, c’est que cette énormité me fut offert dans l’heure qui suivi, mon épouse en était ébahi. Ce ne pouvait-être que le véritable « DIEU » qui me poussa à ouvrir ce livre BIBLE de Jérusalem, à feuilleter les pages et à tomber exactement sur ce que je cherchais. Non pas un verset comme ces Chrétiens, Témoins de Jéhovah, Évangéliques, Adventiste du 7ème jour, Étudiant de la Bible, Scientologue, etc, non pas un verset mais un ensemble de phrases qui se succèdent le tout formant ce que je cherchais. J’appelais mon épouse et lui laissait lire les trois ou quatre feuilles.

    Mon épouse :

    « Mis à notre époque c’est exactement ce que tu cherchais, j’en déduis, que tu as trouvé ce que tu cherchais, le véritable « DIEU »

    Pas de prière juste la pensé et le cœur et ce jour-là EL-SHADDAÏ, je ne le nommais pas ainsi me fit voir son sentier. Tu es libre de le prendre ou de continuer ton chemin.

    Comme écrit plus haut, même à cette époque je n’étais pas un « Saint »

    Nous relisions sans cesse ces passages bibliques, et nous nous serrâmes fort, l’un contre l’autre car ce « Dieu » avait exaucé notre prière dans l’heure où nous avions réclamé nous avions reçu.

    Maintenant j’ouvrai ce livre bible, en quête de la vérité. L’Être-Suprême comme je le nommais maintenant guidait mon Esprit. Quand j’écris Esprit ici, c’est l’Esprit d’Intelligence, le Souffle de l’Être-Suprême

    Job XXXII : 6-9

    « Et il prit la parole, lui, Élihu, fils de Barakéel le Buzite, et il dit :

    « Je suis tout jeune encore, et vous êtes des anciens. Aussi je craignais, intimidé, de vous manifester mon savoir.

    Je me disais : « L'âge parlera, les années nombreuses feront connaître la sagesse. »

    A la vérité, c'est un esprit dans l'homme, c'est le souffle de Shaddaï qui rend intelligent.

    Le grand âge ne donne pas la sagesse, ni la vieillesse l'intelligence de ce qui est juste. »

    J’avançais maintenant, non erreur, nous avancions sur le Sentier de l’Être-Suprême. Que de joie, que de bonheur !

    La maladie faisait son travail !

    Oui, mais l’humain que j’étais, se transforma aussi dans le sens spirituel. Que de combats personnels tous les jours il fallait engager. Pendant cette période de deux à trois ans, j’ai combattu contre « DAME MORT » et j’ai perdu beaucoup d’humains qui se considéraient des amis, disons plutôt de bonne relation.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

    C’est pendant cette période que je fis connaissance d’un QUIDAM qui entra dans ma vie étrangement et il resta au sein de notre demeure façon de parler. Le soir nous dissertions pendant des heures où il m’enseigna volontairement ou involontairement, le fait est que j’appris beaucoup de cet humain Bible en main, il me fit voir le NOM de ce « DIEU » unique qu’il nommait comme Abraham « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes. »

    Puis il m’enseigna d’autres livres considérés comme apocryphes par la religion des hommes. Grâce à cet humain et avec l’aide du « Souffle d’Intelligence » j’ai trouvé des livres remarquables.

    Depuis ce temps EL-SHADDAÏ m’a donné ce qui est inimaginable pour le commun des mortels.

    Moi, le voyou, homme autoritaire, bagarreur, qui a commis adultère, fornication, qui dans sa vie à connu le milieu carcéral, même dans la cinquantaine, il a fallu que je trouve le véritable « DIEU » pour que je quitte cette vie de débauche et que je me transforme sincèrement intérieurement pour que ce « DIEU » me pardonne tous ces péchés, ces fautes, car aujourd’hui je me souviens du jour où EL-SHADDAÏ a absous ces péchés et ce n’est pas une absolution d’un humain, cela je le confirme.

    Je me suis même permis de lui demander une « VIE ».

    JE certifie que ce Dieu EL-SHADDAÏ m’a donné la « VIE » que je lui demandais. Cet humain vit toujours, et pour les gens qui sont au courant, par le travail et le comportement de cette enfant tous disent : « Cette enfant lui a bien été donnée, elle n’a pas connue les douleurs de la délivrance, son enfant n’a jamais connu les maladies enfantines et autres, un médecin il l’ignore, maintenant à l’école elle est une des meilleurs de sa classe »

    La personne intéressée ait bien obligé de reconnaître que cette enfant a quelque chose de plus que ses sœurs.

    Je ne vous conterais pas toutes les choses merveilleuses que nous avons vues, mon épouse et moi, car vous nous traiteriez de menteurs, en nous prenant pour des simples d’esprits, des hâbleurs, charlatans, fanfarons, esbroufeurs, mythomanes, etc.

    Une chose est certaine, si je vous écris depuis plusieurs années alors que je devrais être en terre depuis longtemps, c’est pour vous faire connaître ce Dieu seul et unique, ce Dieu SHADDAÏ, qui est le père géniteur de Jésus le Nazaréen, celui que vous nommez Jésus-Christ, ce dernier n’étant pas un Dieu, ni l’égal de son Père, mais notre Roi sur la Terre et pour le moment notre « Médiateur ».

    J’ignore si tous mes semblables qui sont venus dans notre Paradis ont essayé de trouver le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ ou l’ont tout simplement rejeté. Parmi mes propres enfants je sais, qu’il y en a un qui s’en fou royalement, que l’autre ne veut pas l’admettre et pourtant lui !..., qu’une autre est sur le chemin de l’Être-Suprême sans le savoir, quand à ma dernière fille elle pense à EL-SHADDAÏ quand cela l’arrange, comme les chrétiens, sans les idoles tel que les croix statues ou tout autres objets qui lui ferait penser à l’idolâtrie.

    Je certifie qu’EL-SHADDAÏ n’est pas responsable de la maladie « nosocomiale » contracté à l’hôpital, par contre je sais qu’il est responsable de tous ces jours de vie supplémentaire et qui met dans l’étonnement les deux médecins qui me suivent, en premier notre médecin de famille qui avait prophétisé à mon épouse que je n’arriverai jamais jusqu’à soixante-cinq ans, et je suis aujourd’hui dans ma soixante-huitième année, ce qui est pour lui incompréhensible car je vie sur cette Terre contre la logique médicinale, et il en est de même pour le spécialiste qui me suit depuis dix ans à l’hôpital.

    Je vous écris cette partie de ma vie pour vous prouver qu’EL-SHADDAÏ pardonne beaucoup de péchés, mais je n’ai jamais commis le contre-nature. Si vous faites un pas vers Lui, il en fait dix vers vous, et si vous allez vers Lui avec sincérité, sans hypocrisie, il aplanît le sentier qui  mène à Lui car il désire que vous soyez son enfant, et comme un père il vous aimera, vous cajolera, et vous corrigera quand vous fauterez, tout cela je le confirme pour l’avoir vécu.

    Comme je l’ai été, vous êtes seul pour faire votre choix, seul de votre décision, car comme ce Dieu que je vénère, comme nous sommes son image, son reflet, nous sommes de petit Dieu sur la Terre, nous sommes responsable de nous-même devant sa face, libre de notre choix, car contrairement à l’animal qui vie par instinct, nous pouvons réfléchir, raisonner, penser puisque nous sommes inventeur, créateur, et volontairement nous choisissons la vie ou le néant.

    Croyez-vous sincèrement que la vie que nous menons sur la Terre était celle prévue par celui qui nous a créés ? … ?

    Je reviendrai sur cette réflexion !

    Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

    Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

    Salutations cordiales à Tous !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9)

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    En effet « l’Esprit » est la manière de penser, de réfléchir, de raisonner sur un thème, par exemple sur le Créateur, c’est une « Intelligence », et une fois tout ce déroulement accompli il ne reste qu’une partie inscrit dans la mémoire afin qu’il y ait souvenance.

    Qui peut toucher, palper l’esprit ?

    Personne car « l’esprit » est comme le vent !

    Cela vous prouve, nous prouve que ce « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » est une menterie absolue et qu’il ne peut exister !

    Comme écrit avant ce sont les cardinaux qui élisent l’Evêque de Rome, et l’élection de Damase Ier s’est faite dans le sang puisqu’il y eut plus de cent trente morts. A sa mort en 384 les cardinaux élièrent Sirice Évêque de Rome en remplacement de Damase Ier.

    Celui-ci affirmera la primauté de Rome sur les questions doctrinales, sacerdotales et apostoliques. Une lettre envoyée à l’Évêque de Tarragone, Himérius, par Sirice qui donnait son opinion et qui reprenait les dispositions des Conciles de Nicée en 325 et celui de Sardique en 343, fut appelés décrétale en devenant une loi pour l’ensemble de l’Église.

    C’était la première fois qu’une opinion devenait loi d’où le nom de cette missive « décrétale ».

     

     

    Chapitre N° 18

     

    Mauvais Pasteurs

     

    Les Évêques se succédèrent à Rome en prenant de plus en plus d’importance sur tous les autres évêchés. La richesse de l’Église et les fastes cérémonials prenant de plus en plus d’ampleur.

    Comme souvent je le répète, l’Enseignement de Jésus le Nazôréen est dans les oubliettes, seul son « Nom » apporte gloire et fortune grâce à la trahison, l’hypocrisie, le mensonge, le meurtre ou l’assassinat.

    La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.

    La crosse, nommée dans l’antiquité « houlette » était un grand bâton de berger qui d’un côté était incurvé et creusé comme une gouttière, servant à jeter des mottes de terre ou des pierres aux moutons, chèvres, cabris, boucs qui s’éloignaient du troupeau, et de l’autre en forme de pointe pour piquer l’animal qui ne voulait pas marcher, mais surtout pour faciliter la marche du berger. Ce grand bâton soulageait le berger de sa station debout par appui du corps en avant comme un trépied. La partie arrondie servait à saisir aisément le petit bétail par la patte arrière, sans se baisser, ni effrayer l’animal par l’approche du berger.

    Les Évêques prirent ce bâton de berger comme un symbole de leur fonction, le nom de houlette étant remplacé par « Crosse », cette « crosse » signifiant bâton de celui qui dirige, conseille, et secourt, houlette du bon pasteur, marchant à la tête du troupeau des fidèles, signe d'une autorité paternelle.

    Les trois symboles de la crosse sont : solide pour soutenir les faibles, recourbé pour rattraper ceux qui s'égarent et pointue pour piquer ceux qui hésitent.

    En résumé et pour finir le « Cérémonial » des Évêques donne la liste des insignes épiscopaux : l’anneau, la crosse, la mitre, la croix pectorale.

    La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.

    La crosse avait initialement la forme d'un tau grec T, mais à partir du XIIe siècle son extrémité supérieure a pris la forme recourbée qui est aujourd'hui la plus répandue, en volute. Cette forme est aussi celle de la houlette du berger, image très emblématique.

    Dans l'Empire romain depuis Théodose, le titre de cardinalis était donné à des officiers de la couronne, à des généraux d'armée, au préfet du prétoire en Asie et en Afrique, parce qu’ils remplissaient les principales charges de l'empire.

    Les cardinaux étaient à l'origine les membres du clergé de Rome, dépendants de l'évêque de Rome qu'ils avaient la charge d'élire. On distinguait trois ordres de cardinaux : les cardinaux évêques des diocèses circonvoisins, évêchés suburbicaires, les cardinaux prêtres, titulaires des paroisses ou titres de la ville de Rome, et les cardinaux diacres, responsables des diaconies romaines.

    Cette prérogative de la ville de Rome ne fut réellement effective qu’à partir du VIIIème siècle. En effet sous l’empire romain depuis Constantin le Grand, ce sont les Empereurs qui sont Pontife Maximus de l’église en générale et le siège est à Constantinople qui était nommé la « Nouvelle Rome ». Ce sont eux qui décrètent les Conciles et élisent des Évêques. Seule la ville de Rome aura se statut particulier de l’élection d’un Évêque principal qui représentera tous les autres Évêques de la région romaine. Cet Évêque de Rome prendra de plus en plus d’importance et de pouvoir. Il faudra attendre l’effondrement de l’Empire Romain puis l’aide de Pépin le Bref à l’Évêque de Rome Étienne II qui lui offrit les premiers États Pontificaux ce dernier prenant illico le titre de Pontife de Rome. Le véritable premier Pape de Rome était né et ce fut cet « Étienne II ».

    En 1059, au moment de la réforme grégorienne de l’Église, le pape Nicolas II définit avec plus de précision le statut des Cardinaux et leur accorda un rang supérieur aux autres évêques de l'Église. En 1179, le pape Alexandre III fit adopter par le IIIe concile du Latran la règle, encore en vigueur, de la majorité des deux tiers pour l'élection d'un nouveau pape. En 1181, les cardinaux prêtres de Rome acquirent le pouvoir d'élire seuls le pape, à l'exclusion du clergé et du peuple de Rome. Ils obtinrent par-là la prééminence sur les évêques.

    Dans les tous premiers siècles, après le décès de Jésus le Nazôréen, les Évêques ne portaient aucun bâton avec eux ils faut attendre le Xème ou le XIème siècle pour voir les Évêques avec ce signe d’autorité et de prestance oubliant la signification de cette « crosse » car aujourd’hui elle ne sert qu’à dévoiler la richesse de celui qui l’a en main par les sculptures en or gravées tout autour.

    Ce sont de mauvais « berger » !

    Et la Bible en juxtaposition avec « Israël » et la prophétie du comportement humain dans les dernières générations, décrit bien ces mauvais « Pasteurs ».

    Je reconnais que ce qui va être écrit ci-dessous sera un peu long, mais c’est EL-SHADDAÏ lui-même qui peint le « Berger » et le mauvais Pasteur à Ézéchiel.

    Ézéchiel XXXIV : - (---) remplace Yahvé

    « Fils d'homme, prophétise contre les Pasteurs {---}, prophétise. Tu leur diras : Pasteurs, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Malheur aux Pasteurs {---} qui se paissent eux-mêmes. Les Pasteurs ne doivent-ils pas paître le troupeau ?

    Vous vous êtes nourris de lait, vous vous êtes vêtus de laine, vous avez sacrifié les brebis les plus grasses, mais vous n'avez pas fait paître le troupeau.

    Vous n'avez pas fortifié les brebis chétives, soigné celle qui était malade, pansé celle qui était blessée. Vous n'avez pas ramené celle qui s'égarait, cherché celle qui était perdue. Mais vous les avez régies avec violence et dureté.

    Elles se sont dispersées, faute de Pasteur, pour devenir la proie de toutes bêtes sauvages. Elles se sont dispersées.

    Mon troupeau erre sur toutes les montagnes et sur toutes les collines élevées, mon troupeau est dispersé sur toute la surface du pays, nul ne s'en occupe et nul ne se met à sa recherche.

    Eh bien! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).

    Par ma vie, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---), je le jure : parce que mon troupeau est mis au pillage et devient la proie de toutes les bêtes sauvages, faute de Pasteur, parce que mes Pasteurs ne s'occupent pas de mon troupeau, parce que mes Pasteurs se paissent eux-mêmes sans paître mon troupeau.

     Eh bien ! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).

    Ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---).

    Voici, je me déclare contre les Pasteurs. Je leur reprendrai mon troupeau et désormais, je les empêcherai de paître mon troupeau. Ainsi les Pasteurs ne se paîtront plus eux-mêmes. J'arracherai mes brebis de leur bouche et elles ne seront plus pour eux une proie.

    Car ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Voici que j'aurai soin moi-même de mon troupeau et je m'en occuperai.

    Comme un Pasteur s'occupe de son troupeau, quand il est au milieu de ses brebis éparpillées, je m'occuperai de mes brebis. Je les retirerai de tous les lieux où elles furent dispersées, au jour de nuées et de ténèbres.

    Dans un bon pâturage je les ferai paître, et sur les plus hautes montagnes  {---} sera leur pacage. C'est là qu'elles se reposeront dans un bon pacage; elles brouteront de gras pâturages sur les montagnes {---}.

    C'est moi qui ferai paître mes brebis et c'est moi qui les ferai reposer, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---).

    Je chercherai celle qui est perdue, je ramènerai celle qui est égarée, je panserai celle qui est blessée, je fortifierai celle qui est malade. Celle qui est grasse et bien portante, je veillerai sur elle. Je les ferai paître avec justice.

    Quant à vous, mes brebis, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Voici que je vais juger entre brebis et brebis, entre béliers et boucs.

    Non contents de paître dans de bons pâturages, vous foulez aux pieds le reste de votre pâturage; non contents de boire une eau limpide, vous troublez le reste avec vos pieds.

    Et mes brebis doivent brouter ce que vos pieds ont foulé et boire ce que vos pieds ont troublé.

    Eh bien! Ainsi leur parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Me voici, je vais juger entre la brebis grasse et la brebis maigre.

    Parce que vous avez frappé des reins et de l'épaule et donné des coups de cornes à toutes les brebis souffreteuses jusqu'à les disperser au dehors, je vais venir sauver mes brebis pour qu'elles ne soient plus au pillage, je vais juger entre brebis et brebis.

    Je susciterai pour le mettre à leur tête un Pasteur qui les fera paître, mon serviteur David : c'est lui qui les fera paître et sera pour eux un Pasteur.

    Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé.

    Je conclurai avec eux une alliance de paix, je ferai disparaître du pays les bêtes féroces. Ils habiteront en sécurité dans le désert, ils dormiront dans les bois.

    Je les mettrai aux alentours de ma colline, je ferai tomber la pluie en son temps et ce sera une pluie de bénédictions.

    L'arbre des champs donnera son fruit et la terre donnera ses produits; ils seront en sécurité sur leur sol. Et l'on saura que je suis EL-SHADDAÏ (---) quand je briserai les barres de leur joug et que je les délivrerai de la main de ceux qui les asservissent.

    Ils ne seront plus un butin pour les nations, et les bêtes du pays ne les dévoreront plus. Ils habiteront en sécurité, sans qu'on les trouble.

    Je ferai pousser pour eux une plantation célèbre; il n'y aura plus de victimes de la famine dans le pays, et ils n'auront plus à subir l'insulte des nations.

    Et vous, mes brebis, vous êtes le troupeau humain que je fais paître, et moi, je suis votre Dieu, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---). »

    Quelle prophétie !... ! Une merveille d’espoir et de réalité !

    Voyons maintenant ce que l’Apôtre Jean écrit dans son Évangile.

    Jean X : 1-18, 25-29

    « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans l'enclos des brebis, mais en fait l'escalade par une autre voie, celui-là est un voleur et un brigand. Celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.

    Le portier lui ouvre et les brebis écoutent sa voix, et ses brebis à lui, il les appelle une à une et il les mène dehors. 

    Quand il a fait sortir toutes celles qui sont à lui, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.

    Elles ne suivront pas un étranger, elles le fuiront au contraire, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

    Jésus leur tint ce discours mystérieux, mais eux ne comprirent pas ce dont il leur parlait.

    Alors Jésus dit à nouveau :

     « En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.

    Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés.

    Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé. Il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.

    Le voleur ne vient que pour voler, égorger et faire périr. Moi, je suis venu pour qu'on ait la vie et qu'on l'ait surabondante.

    Je suis le bon Pasteur. Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis.

    Le mercenaire, qui n'est pas le Pasteur et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s'enfuit, et le loup s'en empare et les disperse.

    C'est qu'il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis.

    Je suis le bon Pasteur. Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis.

    J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos, celles-là aussi, il faut que je les mène, elles écouteront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul Pasteur. C'est pour cela que le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre.

    Personne ne me l'enlève, mais je la donne de moi-même. J'ai pouvoir de la donner et j'ai pouvoir de la reprendre, tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père. »

    Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père témoignent de moi, mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.

    Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle, elles ne périront  jamais et nul ne les arrachera de ma main.

    Mon Père, quant à ce qu'il m'a donné, est plus grand que tous. Nul ne peut rien arracher de la main du Père. »

    Ces Évêques depuis mille huit cents ans ne ressemblent-ils pas à des loups, des voleurs et des brigands ?

    Avez-vous bien lu les paroles dites par EL-SHADDAÏ et celles de son Fils Jésus le Nazôréen.

    « Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé. »

    Le serviteur David ici représente bien Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétien ! Vous êtes bien en accord avec moi, car je n’invente rien, et tous vos Prélats diront comme moi !

    Donc ce serviteur David, préfigurant Jésus le Nazaréen, n’est pas un Dieu mais il est « Prince » au milieu des brebis qui représentent les « humains » et EL-SHADDAÏ sera leur Dieu.

    Pour confirmer dans Jean, Jésus le Nazaréen dit bien qu’il est le bon Pasteur et qu’il n’y aura qu’un seul troupeau car il réunira toutes les brebis, soit tous les humains qui entendent sa voix pour vivre éternellement, quant à son Père il dit bien qu’il est plus grand que tout. Par cette phrase Jésus le Nazaréen reconnait qu’il n’est pas l’égal de son Père, et que celui-ci est l’unique Dieu car nul ne peut rien arracher de la main de ce Père.

    Et voici une manière de le prier !

    Psaumes XXIII :

    « EL-SHADDAÏ (---) est mon berger, rien ne me manque.

    Sur des prés d'herbe fraîche il me parque. Vers les eaux du repos il me mène, il y refait mon âme; il me guide aux sentiers de justice à cause de son Nom.

    Passerais-je un ravin de ténèbres, je ne crains aucun mal car tu es près de moi; ton bâton, ta houlette sont là qui me consolent.

    Devant  moi tu apprêtes une table face à mes adversaires; d'une onction tu me parfumes la tête, ma coupe déborde.

    Oui, grâce et bonheur me pressent tous les jours de ma vie; ma demeure est la maison d’EL-SHADDAÏ  (---) en la longueur des jours. »

    Je viens de vous poser la merveilleuse prophétie du Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ, qui est aussi votre Dieu « Dieu », mais moi le païen j’arrête l’hypocrisie et je lui donne un « NOM », pas un Nom de mon invention, mais le nom qu’un pasteur de troupeaux, bien avant Moïse, du nom d’Abraham, donna à cet Être invisible à ses yeux, le jour que ce Dieu c’est fait connaître à un humain.

    I Pierre II : 3-8

    « Si du moins vous avez goûté combien le Seigneur est excellent.

    Approchez-vous de lui, la pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie, précieuse auprès d’EL-SHADDAÏ.

    Vous-mêmes, comme pierres vivantes, prêtez-vous à l'édification d'un édifice spirituel, pour un sacerdoce sain, en vue d'offrir des sacrifices spirituels, agréables à EL-SHADDAÏ par Jésus Christ.

    Car il y a dans l'Écriture : Voici que je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui se confie en elle ne sera pas confondu.

    A vous donc, les croyants, l'honneur, mais pour les incrédules, la pierre qu'ont rejetée les constructeurs, celle-là est devenue la tête de l'angle, une pierre d'achoppement et un rocher qui fait tomber »

    Il y a tant à écrire sur cette plus grande religion mondiale qui est la porte-parole de SAMMAËL, Prince de ce monde pour encore un « Temps » et qui par son emblème de la croix nous prouve à nous humains éclairés et réfléchis que cette religion est idolâtre et qu’au jour de la colère d’EL-SHADDAÏ ses statues, crucifix et autres s’écrouleront comme un château de carte. Pour le moment elle entraîne avec elle la mort d’un nombre incalculable d’humains qui ne reverront jamais plus cette Terre car ils sont retournés dans le néant.

    Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

    Portez-vous bien !

    Salutations cordiales !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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  • Credo décrété en 381

     

    Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    En 394, Théodose Ier fut l’auteur du décret interdisant les Jeux olympiques accusés de diffuser le paganisme.

    Les jeux ne seront rétablis qu’en 1896 en Grèce.

    Les temples de l'empire de Théodose sont alors fermés et la statue de la déesse Victoire est retirée du Sénat romain, ce qui provoque l'indignation chez les Romains fidèles à la tradition. Le patriarche d’Alexandrie Théophile est chargé d’appliquer l’édit de Théodose Ier, qui interdit aux païens l’accès à leurs temples et toutes les cérémonies du culte païen, dans le diocèse d’Orient. Les temples sont détruits ou transformés en églises. Les statues sont brisées ou transportées à Constantinople.

    La répression fait sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.

    En 388 Théodose vainquit Maxime à Aquilée qui fut tué.

    Par cette victoire il devenait l’empereur de l’Orient et de l’Occident. La réunification de l’empire était faite.

    Il est le dernier empereur à régner sur l'Empire romain unifié.

    Constantinople était le siège  principal de la religion chrétienne depuis 364 et non l’Évêché de Rome. Les empereurs romains d’Orient et d’Occident étaient les « Pontifex Maximus » c’est-à-dire « Pontife Suprême » du christianisme depuis Alexandre le Grand qui  disait être Empereur « par la volonté de Dieu et de son Fils Jésus-Christ » -- Eusèbe de Césarée, Vie de Constantin

     

    Chapitre N° 17

     Le Credo

    Gratien en 380 refuse de porter ce titre, mais Théodose garde cet honneur en étant le chef incontesté de tout le christianisme d’Empire. Il le prouvera dans les persécutions de 380-381 contre le paganisme.

    Le christianisme nicéen devenait la religion prédominante. Ce christianisme « nicéen » vient de tout ce qui a été décrété autoritairement et arbitrairement au Concile de Nicée en 325  comme le « Canon Biblique », l’adoption du « Symbole de Nicée », de la consubstantialité du Père et du Fils, de l’ordre des sièges patriarcaux, Alexandrie, Jérusalem, Antioche, Rome, de la fixation de la date de Pâques, des condamnations, des dogmes…

    Par ce terme de « consubstantialité » les Évêques présents à ce Concile condamnaient les théories d’Arius d’après lequel, le Fils étant une créature, celui-ci ne pouvait être de la même substance que le Père.

    Anecdote : dans ce « Canon Biblique » de l’an 325 l’Apocalypse de Jean avait été rejeté comme étant un livre hérétique. Le livre apocalyptique de Jean ne sera incorporé au « Canon Biblique » qu’un siècle plus tard après des débats houleux et, où l’Empereur romain de l’époque, Théodose II, au Concile d’Éphèse en 431, arbitrairement, le joignit au « Canon » mettant ainsi un terme à toutes discussions et polémique au sujet de ce « Livre. »

    Par ce qui suit vous allez comprendre la finesse de propagande de ces Évêques en jouant sur la traduction d’un mot ajouté au dogme.

    Pour confirmer son dogme, ce Concile fit le choix du mot grec « homoousios », que traduit le mot français « consubstantiel », censé évoquer l’unité et l’identité de substance, s’opposant ainsi aux ariens, qui soutenaient que Jésus-Christ était différent, « anomoios », et à ceux qui soutenaient qu’il était de substance semblable, « homoiousios », mais non identique, bien que le mot n’apparaît pas dans la Septante – Ancien Testament – Ce terme fut appliqué par la suite dans l’édification du dogme trinitaire au Saint-Esprit.

    La controverse survenue au cours de ce Concile est devenue célèbre, et est restée dans l'expression « ne pas varier d'un iota », c’est-à-dire de la lettre « i ». Les Nicéens soutenaient la thèse que le Fils était « de même substance » -- homoousios -- que le Père, tandis que les ariens soutenaient celle que le Fils était « de substance semblable » -- homoiousios -- au Père. Les deux termes ne se distinguaient en effet que par un iota.

    Un peu de raisonnement et de logique.

    Le Père EL-SHADDAÏ est androgyne, c’est-à-dire qu’il a le mélange des deux sexes dans sa constitution, mais n’est pas hermaphrodite, personne qui possède les deux sexes, et a engendré un Fils qu’il conçu par sa propre volonté, ce dernier étant sorti de ses entrailles.

    Comme tout être formé dans un corps, cet être naîtra avec un ADN de cinquante, cinquante.

    Pour le corps céleste de Jésus le Nazaréen, il avait pour moitié l’ADN de la partie mâle de son Père, pour moitié l’ADN de la partie féminine de son Père, le tout faisant une substance mâle d’une merveilleuse harmonie à la ressemblance de son Père géniteur, sans être androgyne.

    Comme nous humains, nous sommes de la même substance que nos parents, la preuve est que si nous sommes noirs, notre progéniture sera noire, si nous sommes basanés notre descendance sera de même.

    Par contre notre apparence sera un mélange des deux parents nous donnant un autre aspect.

    Il est au Ciel comme il est sur la Terre !

    Donc pour Jésus le Nazaréen, il était aux Cieux différent de son Père avec une autre silhouette, physionomie, caractère, ce qui faisait deux êtres de même substance à l’aspect distinct, comme nous humains, puisque nous sommes à leur ressemblance.

    Après ces explications logiques, nous pouvons prendre la traduction « homoiousios ».

    Par contre, Jésus le Nazaréen terrestre est tout autre puisqu’il a un ADN pour moitié de son Père Céleste et l’autre moitié l’ADN de Marie, sa Mère terrestre. L’explication ci-dessus est aussi valable pour Jésus le Nazôréen terrestre. En effet, il est complètement humain, ce qui est sa substance apparente, faite comme tous les autres humains, de chair et d’os.

    Obligatoirement son aspect sur la Terre est pour une partie la génétique de son Père et pour l’autre la génétique de sa Mère, Marie.

     J’aurai apprécié de connaître son ADN car la moitié est Céleste, l’autre moitié est terrestre, ceci est obligatoire et  le corps de Jésus le Nazaréen ne peut déroger de cette loi de physique immuable, créé par son Père géniteur.

    Aucun scientifique ne pourra me démentir sur ces Lois invariables de physique et chimie.

    Pour conclure, nous pouvons certifier que Jésus le Nazaréen charnel était différent en tout de son Père géniteur, quant au Jésus le Nazôréen Céleste il est de même substance, tout en étant un mélange de substances de substance, même matière que son Père géniteur, tout en étant un être très différent en stature, caractère, esprit de raisonnement car il est sorti du néant par la volonté de son Père, ce qui fait qu’il a eu un commencement et qu’il peut avoir une fin si son Père en prenait la décision.

    Cela en fait deux Êtres distinct !

    Je vous ferais constater que ce sont nos parents qui nous sortent du néant, car sans eux nous n’existerions pas, rien c’est le néant.

    Après cet éclaircissement, je reprends « les armoiries papales »

    Dans l'Empire romain depuis Théodose, le titre de Cardinalis, soit Cardinal, était donné à des officiers de la couronne, à des généraux d'armée, au préfet du prétoire en Asie et en Afrique, parce qu’ils remplissaient les principales charges de l'empire.

    Ce titre fut donné, par Théodose Ier, à des évêques qui remplissaient les charges de l’Église dans l’Empire. Ce sont eux qui avaient la charge d’élire l’Évêque de Rome.

    Je reviendrai sur ce thème des Prélats de robe pourpre.

    Depuis l’an 364 l’Église des chrétiens est gouvernée par les Empereurs romains Orientaux qui se succèdent. Constantinople est surnommée « la Nouvelle Rome »

    Je tiens à faire remarquer aux chrétiens qu’au IIIème, IVème, Vème siècle ce sont les Empereurs Romain qui gouvernent l’Église, ce sont eux les « Pape » puisqu’ils portent le titre de « Pontifex Maximus ». Ceci nous prouve bien qu’à Rome il n’y avait que des « Évêques »

    Ceci est historique ! Pour preuves !

    Qui a décrété et demandé les Conciles œcuméniques ?

    Le Concile de Nicée en 325 est organisé par Alexandre le Grand.

    En 381 il est décrété par Théodose Ier

    En 431 c’est Théodose II qui organise le Concile d’Éphèse.

    Les chrétiens de l’empire romain sont divisés par deux courant de pensé. L’un est l’obéissance et la reconnaissance des dogmes du Concile de Nicée. Ce sont les « nicéens ». L’autre est le courant de pensés du prêtre Arius. La divergence des deux courants est écrit ci-dessus, auquel il faut ajouter pour les nicéens, le Fils est engendré, pour les ariens, le Fils est créé. Cette guéguerre au sein du christianisme durera jusqu’en 519.

    Pour résumer de 379 à 388 nous avons deux Empereurs qui gouvernent l’Empire romain, donc l’Église chrétienne. La primauté de gestion pour la chrétienté sera l’Empereur d’Orient qui installera son siège à Constantinople et il laissera à l’Evêque de Rome une grande liberté sacerdotale. L’Empereur d’Occident, qui pour la chrétienté portera le titre de «  César ou Auguste ou les deux ensembles avec toujours le nom de Pontifex Maximus », laissera la gouvernance à Constantinople.

    L’Évêque de Rome, Damase Ier, profitera de la faiblesse de Gratien pour établir une primauté du siège de Rome, prétextant le martyre de Pierre et de Paul dans cette ville. Il fera admettre à Théodose Ier que ce n’est pas la capitale dominante de l’empire, Constantinople, qui peut être la capitale de la chrétienté, mais bien Rome entant que siège apostolique.

    Suite à la persécution des païens en 380-381 après l’Édit de Thessalonique qui avait fait des milliers de mort, en majorité romain, pour rallier ceux-ci à sa cause, il fit broder deux clefs comme armoirie sur les emblèmes de l’évêché de Rome, disant qu’il est le détenteur des clefs du ciel, tout comme l’était Janus et Portunus, et que ce pouvoir il le détenait du Dieu Suprême et de l’Apôtre Pierre qui le détenait de Jésus-Christ.

    Les versets 18-19 du chapitre XVI de Matthieu furent très certainement ajouté au Concile de Constantinople en 381

    Pour mémoire :

    « Eh bien ! Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les Portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle.

    Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lier, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délier. » »

    Damase chargea Jérôme ( saint ) de faire une nouvelle traduction scientifique de la Bible en latin. Cette nouvelle traduction portera  le nom de « Vulgate » et fera autorité dans l’Église Occidentale jusqu’à Vatican II – 1965 – avec un statut de référence quasi officiel pour tout ce qui concerne le texte biblique.

    Il fera changer la langue de la liturgie qui était célébrée en grec, en latin.

    Par toutes ces transformations il n’est pas difficile de faire des ajouts et des retranchements aux textes bibliques. Un exemple flagrant sur Jésus où il est accolé le terme Christ car « Christ » ne signifie plus « Messie » mais « Crux » ou « Croix » ce qui fait l’emblème de la chrétienté Jésus plus la « Croix » égal Jésus-Christ.

    Il y a aussi cet ajout dans l’évangile de Luc : « Faites ceci en mémoire de moi »

    Ou bien toujours dans Luc IX : 23 : « Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même, qu'il se charge de sa croix chaque jour, et qu'il me suive ».

    Voilà le style de verset remanié

    Jésus-Christ dit à ceux qui veulent le suivre « qu’il se charge de sa croix chaque jour ». Il est impossible que Jésus le Nazaréen ait dit de telles paroles car il ignore comment il va mourir. Là vous êtes poussés vers l’adoration de la croix. Le terme exact est fardeau, « qu’il se charge de son fardeau chaque jour »

    Depuis Constantin, mais surtout après la découverte en 326 par Hélène de la « Vraie Croix », la croix devient l’emblème de toute la chrétienté et doit être portée sur tous les vêtements sacerdotaux.

    Les Évêques, Cardinaux, Prêtres, Diacres, et Primat enfin tous ces gens d’église sont des gens de « Robe », qui se vêtissent comme les prêtres babyloniens qui officiaient dans les Temples. Au milieu du IVème siècle, l’Église dévoilait ses richesses par l’habillement de ses Prélats, particulièrement l’Évêque de Rome qui montrait la suprématie de son Église sur toutes les autres.

    Le Concile de Constantinople en 381 confirme les dogmes de Nicée, mais ajoute en plus la notion du Saint-Esprit comme troisième divinité de même substance, égale au Père et au Fils recevant la même adoration et la même gloire.

    La Sainte Trinité est née !... !

    Suite à ce « Saint-Esprit » le « credo » de Nicée fut sensiblement changer.

    Credo de Nicée en 325 :

    Nous croyons en un seul Dieu Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles.
    Nous croyons en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles, Lumière issue de la Lumière, vrai Dieu issu du vrai Dieu, engendré et non créé, consubstantiel au Père et par qui tout a été fait ; qui pour nous les hommes et pour notre salut, est descendu des cieux et s'est incarné du Saint-Esprit et de la vierge Marie et s'est fait homme. Il a été crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il a souffert et il a été mis au tombeau ; il est ressuscité des morts le troisième jour, conformément aux Écritures; il est monté au Ciel où il siège à la droite du Père. De là, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin.

    Ajout au Concile de Constantinople en 381 :

     Nous croyons en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père, qui a parlé par les Prophètes, qui avec le Père et le Fils est adoré et glorifié ; nous croyons en Église, une, sainte, catholique universel et apostolique. Nous confessons un seul baptême pour la rémission des péchés ; nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

    Comme vous pouvez le constater tout n’est que de l’invention humaine, rien de biblique, et de plus, contradictoire, car ce « Credo » commence par « nous croyons en un seul Dieu » et plus loin en parlant de Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour vous, il est écrit « vrai Dieu issu du vrai Dieu ».

    Après ces écrits officieux de la chrétienté vous constatez qu’il y a deux Dieux, donc l’unique Dieu EL-SHADDAÏ n’existe plus !

    Là l’inspiration divine n’existe pas, car ce « Credo » contredit un commandement d’EL-SHADDAÏ. En effet EL-SHADDAÏ est un Dieu seul et unique donc Jésus-Christ ne peut être un Dieu.

    Exode XX : 3-5

    « Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.

    Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi –EL-SHADDAÏ-- Yahvé, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux … »

    Ces versets prouvent bien que le dieu « Dieu » des chrétiens est un Dieu seul et unique !

    La chrétienté et ses Hautes Sphères Dirigeantes non pas rejetées l’Ancien Testament, mais l’ont bien incorporé comme livre sacré, livre de référence, alors ? … ?

    Cette religion est bien sous une influence démoniaque, influence de Sammaël, qui se nomme aussi Béliar, Prince de ce monde, car en plus, ce « Credo » est un pilier de toute la chrétienté, je dirai même mieux ce « Credo » fait partie de la pierre angulaire de cette chrétienté.

    Je viens d’écrire uniquement sur le « Credo » de Nicée, mais il y a celui de Constantinople qui continue dans cette voie d’aberration car il ajoute ce troisième Dieu « Esprit-Saint », cette nouvelle « chose » étant considérée comme une personne humaine puisqu’il est déclaré « Seigneur », comme le Dieu Père et le « Dieu » Fils, et en plus « il donne la vie » et il doit être glorifié et adoré comme le Père et Fils.

    L’aberration est à l’extrême quand on sait que le Père, le Fils en tant que substance vivante possède un « esprit » de raisonnement, de réflexion, de pensé, ce qui signifierait que ce « Saint-Esprit » possèderait aussi un « esprit », lui en tant quEsprit, ce qui ait une chose impossible sachant que « l’esprit » est quelque chose d’immatériel, éphémère, volatil.

    En effet « l’Esprit » est la manière de penser, de réfléchir, de raisonner sur un thème, par exemple sur le Créateur, c’est une « Intelligence », et une fois tout ce déroulement accompli il ne reste qu’une partie inscrit dans la mémoire afin qu’il y ait souvenance.

    Qui peut toucher, palper l’esprit ?

    Personne car « l’esprit » est comme le vent !

    Cela vous prouve, nous prouve que ce « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » est une menterie absolue et qu’il ne peut exister !

    Comme écrit avant ce sont les cardinaux qui élisent l’Evêque de Rome, et l’élection de Damase Ier s’est faite dans le sang puisqu’il y eut plus de cent trente morts. A sa mort en 384 les cardinaux élièrent Sirice Évêque de Rome en remplacement de Damase Ier.

    Celui-ci affirmera la primauté de Rome sur les questions doctrinales, sacerdotales et apostoliques. Une lettre envoyée à l’Évêque de Tarragone, Himérius, par Sirice qui donnait son opinion et qui reprenait les dispositions des Conciles de Nicée en 325 et celui de Sardique en 343, fut appelés décrétale en devenant une loi pour l’ensemble de l’Église.

    C’était la première fois qu’une opinion devenait loi d’où le nom de cette missive « décrétale ».

    Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

    Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à « Tous » !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » 

     

     


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  • Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

     

    « N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9 )

    Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

    « Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

    « Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

    Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

    Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

    Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

     

    Histoire et déchéance de cette Religion

     

    Dernières lignes du chapitre précédent :

     

    « Les empereurs se l'appropriaient en signe de déification et sous ce respectable patronage, il s'introduisit, comme tant d’autres coutumes païennes, dans les usages de l'Église. Mais nous adressons aux empereurs plus de blâme qu'ils ne méritent car ce fut plutôt les évêque Orientaux, puis Occidentaux qui firent pénétrer dans l'Église « la superstition païenne » » ! ( Les deux Babylone - Alexander Hislop )

    Est-ce que les chrétiens connaissent l’origine de la forme du chapeau « Papal »

    Ce chapeau élevé vers le haut en forme d’ogive à deux cornes se nomme une « mitre ». Cette mitre portée par le Pape lorsque, assit sur le grand autel il reçoit l’adoration des cardinaux, est la même que portait le dieu Dagon, dieu des semences et de l’agriculture vénéré par les Amorrites, Ougarites, Babyloniens, et surtout Philistins qui le représentaient moitié homme, moitié poisson, la partie supérieure du corps était celle d’un homme, la partie inférieure se terminait en queue de poisson.

     

    Chapitre N° 16

     

    Vêtements sacerdotaux aux emblèmes Païens

     

    Austen Henry Layard, archéologue, cunéiformiste anglais ( 5 Mars 1817 - 5 Juillet 1894 ) décrit Dagon : « la tête du poisson, les mâchoires ouvertes qui surmonte la tête de l’homme de Ninive, formait une mitre, tandis que sa queue écailleuse en forme d'éventail, retombait par derrière comme un manteau et montrait les pieds et les membres d'un homme. »

    Les Prêtres des Temples du Dieu Dagon étaient coiffés de cette « Mitre » décorée d’or et de pierres précieuses enchâssées dans la soie qui recouvrait ce chapeau. La mitre papale avec ses deux cornes est la copie conforme de cette coiffe de prêtrise pour servir les Dieux Babyloniens et Philistins. Au début du christianisme les premiers Évêques ne se coiffaient pas de ce chapeau idolâtre, il faut attendre le XIIème siècle soit environ 1140, 1150 pour voir le Pape, les Cardinaux et les Évêques d’Occident porter une mitre à deux cornes et en forme de poisson ou d’ogive si vous aimez mieux, beaucoup plus humble que les coiffes resplendissantes d’aujourd’hui.

    Rien que par cet ustensile nous remarquerons la déchéance de cette religion.

    A l’ère des Pères Apostoliques, toute cette parade religieuse n’existait pas. Au troisième siècle l’enseignement de Jésus le Nazôréen est transformé et c’est l’enseignement humain qui commence à faire force de Loi. Ajout, retranchement des textes évangéliques et autres par les copistes sont une coutume généralisée et le terme « Christ » sera accolé à Jésus. L’adoration des reliques, ossements, vêtements des restes tombales des Apôtres et Disciples de la première heure devient une pratique courante. Des cérémonies païennes deviennent des commémorations christianisées, donc des fêtes religieuses.

    Début du quatrième siècle le christianisme est la religion d’Empire et « l’Empereur », le « César » ou « l’Auguste » est le « Pontifex-Maximus ». Faste, apparat, richesse seront la démonstration de force de cette religion.

    Dans les très grandes cérémonies la mitre est remplacée par la « Tiare »

    La tiare ressemble à un obus sur lequel vous ajusté trois couronnes de circonférences différentes, assez espacées pour que cela soit visible de loin.

    Définition de la « Tiare » : C’est un couvre-chef élevé, généralement en argent, portant trois couronnes d'or. La tiare se termine en ogive et est le plus souvent surmontée d'un globe et d'une croix. Derrière, comme pour la mitre, il y a deux infules, rubans frangés tombant sur la nuque, marquées chacune d'une croix.

    La triple couronne exprime et symbolise le triple pouvoir du pape :

     Pouvoir d'Ordre sacré en tant que Vicaire du Christ et successeur de Pierre, il nomme les évêques et est par excellence le « Grand Prêtre » ici-bas.

    Pouvoir de Juridiction en vertu du pouvoir des clefs, celui de lier et délier sur la terre et au ciel.

    Pouvoir de Magistère en vertu de l'infaillibilité pontificale.

    Vous allez me dire, encore une fois, que je ne fais que critiquer le christianisme, mais ce symbole de la tiare reflète bien le fondement de cette religion, « Vanité, Orgueil et Richesses ».

    Vicaire du Christ est un titre pontifical. Le Christ étant l'unique prêtre, de qui découle tout le sacerdoce, le pape est donc considéré comme vicaire du corps mystique de l'Église, le corps mystique représentant le Christ sur terre.

    De plus se déclarer successeur de Pierre, ce prénom est plutôt vague, car Simon- Pierre dit Képhas est un apôtre de Jésus le Nazôréen et est évêque d’Antioche jusqu’à la fin de l’année 60 de l’EC.

    D’après les historiens du XXème siècle et les exégètes, l’apôtre Pierre n’a jamais été Évêque de Rome, ceci est la première anomalie.

    Le pouvoir des clefs vient du Dieu romain Janus dans la mythologie romaine, donc le christianisme à incorporé dans ses dogmes ce pouvoir païen, ceci est la deuxième anomalie

    Infaillibilité pontificale signifie que le Pape, euh ! Le «  Très Saint Père » se déclare parfait étant l’équivalent de Jésus-Christ sur la Terre. Vous m’excuserez mais je ne vois pas de perfection dans un homme où la vanité est la pierre angulaire.

    Où est l’enseignement de Jésus le Nazôréen ? Troisième anomalie

    La « Tiare Papale » signifie aussi ceci

    Père des rois,

    Régent du monde,

    Vicaire du Christ.

    Puisque je suis dans l’apparat « Papal », je dois aussi vous écrire sur les « Armoiries Papales » qui comportent toutes des clefs, ces clefs étant celles de l’Apôtre Pierre pour ouvrir les portes du Paradis

    Afin que la suite soit plus compréhensive, faisons un peu d’histoire antique et mythologique.

    Janus, divinité romaine, qui dans la hiérarchie de celles-ci est au premier rang car il est le Dieu des commencements et des fins, des choix et des portes, il a le privilège d’être invoqué avant toutes les autres divinités. Comme il est le « Dieu des Portes » il préside à la Nouvelle Année, le premier jour, mais aussi à la saison de la guerre car ses portes sont fermées en temps de paix. Il a donné son nom au premier mois de l’année, Janvier qui est Januarius.

    Janus dieu mâle est associé à Junon qui est la Reine des Dieux et la Reine du Ciel, tout comme Cybèle d'origine phrygienne importée en Grèce et à Rome, Déesse Mère dans le Proche-Orient. Junon est la Fille de Rhéa et de Saturne, elle est à la fois sœur et épouse de Jupiter. Ses attributs sont le paon, un sceptre surmonté d'un coucou et une grenade, symbole de l'amour conjugal, le lys et la vache. Elle est assimilée à l'Héra des Grecs.

    Pour en revenir à Cybèle, elle  était honorée dans l'ensemble du monde antique.

    Cybèle dispose des clés de la Terre donnant accès à toutes les richesses.

    Pour information ; si parmi vous il y en a qui ont lu « Les deux Babylone » d’Alexander Hislop, il existe une erreur importante où cet auteur met Cybèle gardienne des clefs du ciel comme Janus, dieu Romain, alors qu’en réalité elle n’est détentrice que des clefs des richesses de la Terre.

    Un dictionnaire biblique déclare ce qui suit :

    « Artémis présente de si étroites analogies avec Cybèle la déesse phrygienne, et avec d’autres représentations féminines de la puissance divine dans les pays d’Asie, telles que Ma de Cappadoce, Astarté ou Ashtaroth de Phénicie, Atargatis et Mylitta de Syrie, qu’on peut penser que toutes ces divinités ne sont que les variantes d’un seul et même concept religieux, qui présente quelques différences selon les pays, différences qui s’expliquent du fait que ce concept a évolué en fonction des circonstances locales et de la mentalité du pays. » — A Dictionary of the Bible, par J. Hastings, 1904, vol. I, p. 605.

    Protectrice des femmes, Junon symbolise le mariage lorsqu'elle est représentée recouverte de voiles, et elle est associée à la fécondité lorsqu'elle en tient l'emblème : la pomme de grenade.

    Junon intervenait avec Janus aux calendes. Elle facilitait la tâche du dieu qui préside aux commencements et aux passages grâce à « vitalité » dont elle est la dépositaire. Ainsi la collaboration effective entre Janus et Junon concourent à la transition d'un mois à l'autre de la nouvelle lune[].( Robert Schilling, Janus. Le dieu introducteur. Le dieu des passages. In: Mélanges d'archéologie et d'histoire T.72, 1960, pp. )

    Ceci explique pourquoi les anniversaires de presque tous les cultes de Junon tombent sur le 1er des mois respectifs: Iuno Sospita, le 1er février, Iuno Lucina, le 1er mars, Iuno Moneta, le 1er juin, Iuno Regina, le 1er septembre, Iuno Sororia, le 1er octobre, et Iuno Couella, qui était invoquée à chaque premier jour des mois de l'année.

    Elle inspirait une vénération mêlée de crainte. C'est à Argos, Samos et dans la Carthage romaine qu'elle était principalement honorée.

    Varron, écrivain et savant romain précise que « douze autels correspondant aux douze mois ont été consacrés à Janus ».

    Ovide, poète latin, dit que Janus a un double visage parce qu'il exerce son pouvoir sur le ciel, sur la mer comme sur la terre. Il est aussi ancien que le monde, tout s'ouvre ou se ferme à sa volonté. Lui seul gouverne la vaste étendue de l'univers. Il préside aux portes du ciel, et les garde de concert avec les Heures. Il observe en même temps l'orient et l'occident, il regarde l’avenir et le passé, il détient les clefs de la Terre et des Cieux.

    Janus est représenté tenant de la main gauche une clef, et de la droite une verge, pour marquer qu'il est le gardien des portes et qu'il préside aux chemins. Ses statues marquent souvent de la main droite le nombre de trois cents, et de la gauche celui de soixante-cinq, pour exprimer la mesure de l'année. Il était invoqué le premier lorsqu'on faisait un sacrifice aux autres Dieux.

    Je reviens aux « Armoiries Papales » qui obligatoirement comportent deux clefs.

    Pour commencer je vous pose les deux versets que je considère comme des ajouts grossiers à cet évangile, mais qui bien étudiés permettent au christianisme d’incorporer les croyances du Père des Dieux, ce Dieu romain Janus porteur des clefs du ciel et de la Terre. En effet, comme écrits ci-dessus, ce Dieu est celui qui ouvre et ferme les « Portes ».

    Matthieu XVI : 18-19

    « Eh bien ! Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les Portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle.

    Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lier, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délier. »

    Afin de vous prouver la justesse de ma remarque voilà comment se termine les versets  16-17 et comment commence le 20.

    Vous verrez qu’il y a continuité du texte et que ces deux versets non rien avoir dans le contexte de l’écriture.

    « Simon-Pierre répondit : « Tu es le Messie –( Christ ) --, le Fils du Dieu vivant. »

    En réponse, Jésus lui dit : « Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux. »

    Alors il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le Messie –(Christ) --. »

    Maintenant que vous avez lu, vous êtes bien obligés de constater que ma remarque est justifiée.

    Et pour enfoncer le clou voici la correspondance de Marc ou bizarrement ces deux versets 18-19 ont disparu.

    Marc VIII : 29-30 – Luc IX : 20-21 qui est une plagia de Marc

    « « Mais pour vous, leur demandait-il, qui suis-je ? » Pierre lui répond : « Tu es le Messie –( Christ.)-- »

    Alors il leur enjoignit de ne parler de lui à personne. »

    Fait étrange seul l’Évangile de Matthieu écrit cette infamie

    Quand ces deux versets ont-ils été ajoutés à cet Évangile ?

    Surtout qu’il est dit : « Je te donne les clefs du Royaume des … »

    Exactement comme les Dieux Janus et Portunus qui étaient porteur des clefs du ciel et de la Terre, dont seul le Dieu Janus pouvait ouvrir et fermer les « Portes du Ciel ».

    Un peu d’histoire pour situer le contexte de l’époque

    Nous sommes au milieu du IVème siècle, début du Vème, l’empire romain est divisé en deux, l’Occident et l’Orient.

    Gratien en premier règne sur l’Occident et son oncle Valens sur l’Orient. En 378 Valens meurt à la bataille d’Andrinople.

    Le 19 janvier 379, Gratien proclame Auguste l’hispanique Théodose Ier, fils du grand général Théodose l'Ancien, qui réprima le soulèvement de Firmus en 375.

    Théodose reçoit l’Orient.

    Damase Ier citoyen romain est Évêque de Rome de 366 à 383.  C'est le trente-septième évêque de cette ville depuis le début du christianisme.

    En 380, Gratien et Théodose arrêtent les Goths en Épire et Dalmatie.

    Gratien se montre très bienveillant envers l’Évêque (pape) Damase Ier et à partir de 382, combat le paganisme. Il supprime notamment les immunités dont jouissent les prêtres et les vestales. [ Une vestale est une prêtresse de la Rome antique dédiée à Vesta, divinité italique dont le culte est probablement originaire de Lavinium et qui fut ensuite assimilée à la déesse grecque Hestia. Le nombre des vestales en exercice a varié de quatre à sept. Choisies entre 6 et 10 ans, elles accomplissaient un sacerdoce de trente ans durant lequel elles veillaient sur le foyer public du temple de Vesta situé dans le Forum romain. Durant leur sacerdoce, elles étaient vouées à la continence, symbole de la pureté du feu.]

    En 381, il transporte sa capitale de Trèves à Milan, auprès de l’évêque Ambroise.

    En 383, Gratien doit faire face à l'insurrection d'un général hispanique de l’armée de Bretagne, Magnus Clemens Maximus ou Maxime, et il est vaincu lors de la Bataille de Lutèce et tué à Lugdunum --- Lyon---.

    Maxime s’étant rendu maître de toute la préfecture des Gaules, Théodose le reconnaît empereur d’Occident en 384.

    Théodose Ier, aussi nommé Théodose le Grand, né en 347, mort le 17 janvier 395, est empereur romain de 379 à 395

    Les empereurs Théodose, pour l’Empire d'Orient et Gratien, pour l’Empire d'Occident, tous deux chrétiens, élèvent le christianisme nicéen au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’Édit du 28 février 380, dit l'édit de Thessalonique qui dit :

    « Tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l’apôtre Pierre, celle que reconnaissent Damase et Pierre d'Alexandrie, c’est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »

    L’empereur Gratien cesse alors de porter le titre de pontifex maximus, souverain pontife, du culte romain.

    Ce titre est donné de nouveau à l’Évêque de Rome des siècles plus tard

    Les suites de l'Édit sont catastrophiques pour les tenants de l'ancienne religion romaine et pour la culture gréco-romaine. Les rôles sont drastiquement renversés. Ce sont maintenant les « païens » et leurs œuvres qui sont interdits, traqués, exterminés. Toutes les œuvres et manifestations jugées païennes sont progressivement interdites

    En 394, Théodose Ier fut l’auteur du décret interdisant les Jeux olympiques accusés de diffuser le paganisme.

    Les jeux ne seront rétablis qu’en 1896 en Grèce.

    Les temples de l'empire de Théodose sont alors fermés et la statue de la déesse Victoire est retirée du Sénat romain, ce qui provoque l'indignation chez les Romains fidèles à la tradition. Le patriarche d’Alexandrie Théophile est chargé d’appliquer l’édit de Théodose Ier, qui interdit aux païens l’accès à leurs temples et toutes les cérémonies du culte païen, dans le diocèse d’Orient. Les temples sont détruits ou transformés en églises. Les statues sont brisées ou transportées à Constantinople.

    La répression fait sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.

    En 388 Théodose vainquit Maxime à Aquilée qui fut tué.

    Par cette victoire il devenait l’empereur de l’Orient et de l’Occident. La réunification de l’empire était faite.

    Il est le dernier empereur à régner sur l'Empire romain unifié.

    Constantinople était le siège  principal de la religion chrétienne depuis 364 et non l’Évêché de Rome. Les empereurs romains d’Orient et d’Occident étaient les « Pontifex Maximus » c’est-à-dire « Pontife Suprême » du christianisme depuis Alexandre le Grand qui  disait être Empereur « par la volonté de Dieu et de son Fils Jésus-Christ » -- Eusèbe de Césarée, Vie de Constantin

    Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

    Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

    Salutations cordiales à « Tous » !

    Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »


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